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H ltU h t^ ^ fi'c flf t c w p & t 'fîï’sl /{tffrftirf toute Jtlaias les'actes d»s«G&poi!festde' T®âg,0t)le et
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C p f if ik fc îÔ s r t <^feîî?(^!'cSi5frt‘'^T0 |J,?’0<= d a t iS ^ d é r a s anterieurs, aucune >m&nîta’o.ffli4<fce t e
vêque de cetti ville ; le s pre mit rs actes solennels ou il en est question, sont }teM<i>i$ieme
tflÿffiil'o'tlt:.#t)&ldïlfS ' t x-sliii de Nubonm , tinta* Pan ct'l’ iuJïb tyji^'i'Og jl prenjjtenfcld.;
s60scFjptio|i d e Jé ah ^ éW ^ '^ ^ ^ ^ ÿ ç r.!!©epuiS‘Cetfe1ié|)!p'q’^^S©Sldgejja!^te< cemplusaps interruption
et terni dans celte ville ; il lut transfert à Perpignan., avec le C'hâipifee de la
( lliéd r lit , par bulle du pape Clément V IÏÏ du premier de t pturibnt 1 6 » ^ àçcor.dé( a
^Ég&Üf f ig dn .rnt M «p.7iVi?St8itfl>t)wilrr do K t'a it,' ( vi <pK'«,ljlsPîflji^tÿltap|tr< .feakeptljaiis.
latiOh/ful effêitüée le 2 juillet 16 0 2 . On compte , aujourd’h u i, cent vingt-trois« évêqùds
qui ont tenu ce siég é , parmi lesquels il y a eu un patriarche de Constantinople i
p ilriarches dé Je rusàlem , et huit cardinaux.
Il y a li'cu.de croire" que.,dans les premiers siècles, les. évêques dï'îhie furent t hoisis.
par le peuple ; on trouve que Riculfe fut é lu, en 9 4 7 , par acclamation de tout le
diocèse. L e Chapitré de la C athédrale se rendit e nsuile le maitre des él'eçÈüons ; il l’étoit
déjà dès la fin du onzième Siècle Dans la suite , les papes nommèrent quelqiuefoiaéleS
éyt que s , iprès la t ônqué te du Roussillon , losncorside I rant e < n disposèrent m is ceux
qui eurent leur nomination ne purent jamais obtenu des bulles l 'R u in e , & ili •aïomiè
nation leur appartient aujourd’hui en vertu d’un InduU accordé , e ni ,i 6.6 8 , par le pape
® .m ^ n t ;î ® ^
L ’Eglise d’Elne a changé souvent de métropolitain.. Soumise d’abord à la Métropole
de Narbonne, elle cessa de la reGonnoître en 1 S 1 1 , et le pape Jules II la soumitûmmëv-
diatemènt au S. Siège ; Léon X révôqüa-la bulle de son prédécesseur ©n £ 5 1 7 , 1 là
yetoft-soUffla MétrdfSôte de Narbonne. Cette disposition ne dura pas long-tems-;;bientôt
l’Eglise d’Elne.' ne reconnut aucun métropolitain. L e Concile de Irente ayant. ordonné
aux évêques indépèndans de faire le choix d’un métropolitain; celui d’Elne choisit l’archevêque
de ferragone Enfin, après le traite des Pyrénées l eveque d’Elne est rentré
sous la Métropole de Narbonne, en 1 ê 78 , sur les seuls ordres dutRoi, sauj^iutêrvention
i l i i Pape.
- Les évêques d’Elnè jouissoient autrefois d’un privilège singulier ; ils avaient une entière
jurisdietion temporelle sur les habitans des terres de leur Eglise , 'même le droit de
prononcer sur lés premières et secondes appellations, sans Cjuon pû t aj.f.(tlüf‘ T'isvuUntnént
f K Æ o !îrW SB^t*enrauàine manière ; Févêque Guillaume d'OrLaffa L-avôlî o'bteptJwàéjâ. idaus
le douzième siècle , et le souvenir de Celte concession fut consacré dans: l’épitaphe de
ee prélat, mort en 1 2 0 0 , que nous avons déjà rapportée ; il avoit été .renouvelé en 13 4 9
par Pierrè III, roi d’Aragon ; mais ce privilège exclusif est tombé en.dèssuétude-jûlrpfegîtoit
atteinte à l’autorité' du JSquverain , et il étoit.incompatible asydê lescl'oisi du Royaume.
Ils prétendôien§gnCore avoir le droit de siéger les premiers après le.métropolitain, dans
les Conciles et dans les Consécrations des églises et des. évêques., en vertu de la concession
faite à leur Siégé par le Concile ténu, dans le dixième siècle, à Sainl-Genis-derFonitayhes ;
mais M. de M arca et B aluse croyent que les actes de ce Concile ont été Viciés par quelque
personne intéressée à relever la dignité de l’Eglise el’E ln e .,
tHÊÊÊÊÊS mu 11 li mmmmmmmmm
■ ■ ■ ■ ■
I
L ’évêque ife Perpignan gsvoit^u jusqu’ici le titre de grand Inquisiteur, sans pu remplir
aMptdwn^bduq il ne l’a plus aujourd’hui ; il jouit de quelques privilèges en vèrtjéft^
l’union qui a lé tÉ q a iS e ^ ^M ^ g e de la dignité de Chapelain Majeur de l’Eglise de S. Jean,
teriUmaspafler il est «vu owt (7 mseiller-'d’honne n iiiHkuvS£i>ii*'4 >fjyt 1 >in du.
Roussillon. I ljo u itd e s revenus d e so n é v ê ch é ,d e ceux de l hapel un Majeur de S .Je an ,
deiaeusidçr«grand Iuqïdami|,v'wiantile Rj9üj|iii0<(^jtidon, et d ^^9%#e9.jde
FotutdEisarde , dont dta^SjjilsuHipdL réumoét,-^S|^pWsl‘ui formb twHWjéÿiîtui'Vjniiiid •rj"en\3i«i«>H
6 0 ,0 0 0 '1 i v.res.
Chapitre b e im ^ à r ta é p fâ iè ® | :«Êe Chapitre lies de la
flmlest pasfpossïfcléncle semoratter j usqu’àidloi Oafhwÿtlejd’EilfcE
on ignore même s’il y a eu des ( hâLLm sta< ant la fin du onzième siècle ; cependant,
l’auteuc« d’une Ch ron ique manuscrite de ce Chapit re , a no té comme ime chose si ngulière
que , sous l’évêque Bérenger, <|ui tenoit le siège en ,
savoit pas écrire. L a première création de canonicats que nous trouvons, est postérieure
^jeqtfevepoqu.e d’euvtton trèuterahs.'; reltlé t e faitg üpaodov C que
y+ifege eii*-i qboàiiétequioréa‘AÏ'[jgO-*|yj(<lie^KçÏÎotLÔVIsP / ' nqiterç luMEflutl tUljumJ > ( n
1 2 8 7 , par l’évêque Bérc ngei de Cant dups , du consentement du Chapitre ; il a été augmenté
tiu-uite}] u leirlnod'itîjôu»« d^iri lu im iliu - I r- vô erdidt’
vr^comunnime^xplusubsiStoît.®l:6dEe,1eta 1 1 u n tt m'kl d> 1 tpiABai ut Jîi 1 mi''l®Pm>ni ‘»„nn jCI-
l*e pplp u'Ki'i i«( ew 1 1^ 5? l-< >- pt'psôimus d<> «t w,u tÿ-1 '« t j pot i n m Æ ÿ k l'y
en'ftjqfaj teN’éyêqfie Jéréau^^.aconï,! dÆpncmè avemle«^hffiprf^®fît,^Df^e'Cr,e.t, ^ ^ oe @ id i t
BjjiBsecevidiir dj’a n j r e s t i p s r s d n f e s O T ® . d e s «■ dljjjdgommai - ih t'JL >1 a«, n« i -fe «^gi^se
rsàtr. point:'depeÉidUnt*.quEt ce. ©ees i.twtviumatsu.tftiLJw JÆliJt h rn « n* «Ai U (t {traninsiré à
P^^^pAUïeûïlB^^PfWfcréunr a4.^ .u ®S !e 4l£®Coli^^®l^cloîli',.l5 «ti t«lnlal«rl
L ’église de S. Je an , desseïvi«j par des Bénédictins dans le neuvième s iècle , letoit par
feelîo L\i II teux d è Sr*Jc.ùiiîd(vJuni'..ih inï(j|.u)S«Hr. (.nmn 1 ly-Sdlt tU^lâpîujXuUi t¥• 1« ( a ^ m u
Gilabertles transféra, en n o s , à Bajole s, pour établir à leur place un Clergé séculier.
Ce Clergé fut érigé en
et eut pour chef unéCfeâpelain Majeur, dont la dignité lut unie à la manse épist o[ ale t n
i.2i|!’bdG'e Chapelain Majeur avoit h droit de s’emp i< r du ve lïa«ïre de tous les habilâus
■ .'diè-Rerpiignan qui venoient à mourir, c’e st-à-dire , dés'lïiiitts, chaussures , li-ts'et autres
; unaitiblos ipndt^tiuavôu nt lans Lr oh 1 1 bihum d < tijiî'i'-pui'iiu h
cètt( ville lui avoit faite ; l’Evêque, qui lui avoit succédé 5 renonça n 1 2 6 7 , moyennant
iupt h dtfunn i annuelle <L i mq u noue inqm nfc -ftghj Molgoimi
ht ta < rH ^ ^K ^ en v ff?n rifr‘ 1 Uvi^u«"' (l'fîérl 1 mt*, t|ut-1UK 'n l<,rion.tiitwfagl
tklifout oB?*iw)it L \ iPtcommuiH i t-K'Wo liLAn ' -lSî tfoilifl fut r i('^p“ Llé'(-,'iJ ut.i* iu\_
MrÆr,m q j t 'iS e c onte-whon «.tnvmniK a t i ->upffi£ kl tic -d ry ' Erj/Wm \I,ijt mt
s j ^ l g e a ’pe'n'%^|^,*àtfaUTntr iun.&èul|sTst>ance'gM4oqnS{4érable,'à,’lâ la.ljlpdcV^hem-i'nt - i
Ltefét'eûgagem-knt'fut autotîsê par un Decret d d i^ fe îon d de-J&fflMifî’jillçt, i vt jjii^ lÿ hi'',-
]anr?iSLî 2 r 4 |^ ^ ® to ip ^ ^ ^ ^ fe ,0 n ic a ^ ft it .r« ^ |u f^ ffi^ ^ !4 lîé ,^ t t
12 6 6 pai l’évêque Bérenger dt Cantalups. I nfin , ce Chapitri a été supprimé en 1 6 0 2 ,
et réuni à celui1 dë:;’ la Cathédral e dj * H
jd'ète;Çih,apt!res retei&jSlù’iiment lr (Shapitie aCfi’iebde I iCf itlîrd 1 h
dmq.uatrfe «dlgnitsn'è^.tXn grand Archldfflîfeb'd Aid^tdiut t t^dd+W«)J îy-i Ijb u n ^m fld iif y»
d u ‘fcon|)entq un Aich tdw stc 'jlù \a lle s p tr <-t un g u rî «tCY 111 a 1 î r ç jî f I f ^ 111 '.'/f' l'.1 ►’ ’P^-r
u icats, donStdieqîê sont réuhfe’S akm ’âiïse'êpisc op* 1 r>f e t un a 1 «pl c < d o g i tnd lnqurfflf ip,!
EfâTNaùs tmfr^fauela sont |
être tes mOmcs que ccux.dc S: Jean de Jérusak-m, qui ont été joies, qui est l'endroit où furent (n îstérés ces Relig • 4V h
connus ensi jite sous 1 esJiiQms',^C|iévalièr|ide S. Jeari
et de?‘Malte ; ceux-ciri’ûiît iété établis G e p ^ r a a ^ f éfôiraOT^CTiïn p etÉ;p^^e ne\ir marcs d argent.