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 Pa 0 vres.  O n  1i e  saurai t  ass ez  a p plau d i r 
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 Hr^^lBwroa l tm t a S S ^M W ^ ^ ÿ f l i^ jT O ^ 1 i e r s ,  qui  peuvent  contribuer  
 à leur  conservation. 
 dajjs  t  j ^ ‘àfctÆji^^lnMjeii»l< stfHiiiye^gg^mf  
 ^‘nc!ïH^iy>^ R i5ffg( i-iï» l  et 11vMTraKCTÿêt^a-prnvjikt ^ d P S   
 u ^jx sjfj^hcime >  .()nfalKE5n^MStU^iiin  '| 
 de  tout t  là 
 t  aU teef Cnfin  ^S||^fö[W)!® l ^ ^ ''< 
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 «juje-'y  e:^R^dlu’ei^iix-^ oB nS ^ iKtl-’efrV■ it 
 ne sont  pas assez surveillées-;  et leurs nourrissons  sont^sfëu-vètït  les vicfeSes  de  leur négligence  
 ;  on pousse  l’écoHOmie un peu  trop loin  à l’égard de ceux qu’on élève dafisiffiôpilal  
 même ;  on  n’y  proportionne point le nombre  des nourrices  à.c el'nrdj^svêéfans,  et sén^e-nt  
 ceux-ci  pe ijs^t nt  par le  .de;i,iufld*nnj ;  nourriture  suffbarft«*. 
 dóns  dans  l’Hôpital,  cl  ils soul-nlfi'p.-assi-iwbituÓf^ jlplüM^j^ fcijo^W ^ ^ ^ ^ ^ g m B I ^ ^   
 ans ,  on  les envoie  à  l’Hôpital général,  dont nous  allons parier,  . 
 ;  Des  établissemens-pareils  sont multipliés  dans  la  pïoyihfèÿiïL y   a  .des  Hôpitaux  de  
 charité  à A rle s ,  a Pfats-de-Mollo ,  à  Ceret,  à  Elue ,  à  Ille ,  à  Virf&a ,  à  Prades ; mais on  
 <i  diminue  mal-à-propps  leurs  revenus  pour  augmenter  ceux  de  l’Hôpital  de  Perpignan ;  
 il en résulte un  grand  incohvt nient,  les pguvrgs de ces villes et des  lieux.voisiffls , auxquels  
 leur maladie  ni  leur  fortune  ne  j  c rmt If. nt  point  de  se  faire  transporter  à  Eferpiguan,  
 y  .sont privés  de  beaucoup  de  secours  que  la  -modicité  des  revenus  ne  permet  point  dé  
 leur. feujpîreS"5î 
 Il  avbit  été  établi  depuis  l(>rig*?3ii^àWiEMt^ ^ 5^ ^H ow i^ l£w Jiw o ^ )@ K àw a ^ ^ ^M   
 dt  la  MlgériCôrdt  ,  qui  étoit  destiné  à  recevoir  les  orphelins  ;  il  n’avoit  d’autres  revenus  
 que  que Iques si11 ouïs  qu il  rece voit de Ülôte 1-de-Ville ,  le produit  de  quelques fondations  
 et les libéralités  incertaines  des  parlicuners .  ils  ét-oient  insuffisans pour remplir fiobjet  de  
 çét établissent ni  Cette  utile institution  fixa  l’attention  de  Louis  le  Grand  îdiLsépanditsies  
 libéralités  sm  la 'classe  indigente d’un  peuple qui vendît  '<§le se sôumeltre à  sa domination;  
 il  érigea,  en  i 6%6 ;\'H ô p ita l de  la  Miséricorde  en  Hôp  Cal Q.éiiéval’j   il  s’eu déclara  le  conservateur  
 et  le  protecteur pardes  réglemens  les  plus  sages ;  il  y.établit  une  forme  d’administration  
 et une  police  ;  il  lui  accorda un  grand  nombre  de droits utiles,  et  lui fit des.  
 dons considérables.  Lés  vues  defce  prince  orit  été  remplies;  la  p ru d e n c e le   zèle  et  la  
 vigilance  des Administrateurs  ont répondu  à la  sagesse de "ses réglemens ï il  y a peu d’Hô-  
 pitaux  aussi  bien  administrés,  et où  malgré  la multitude  d’individus  qu’il  renferme,  il  y   
 ait  autant  d’ordre-,  d’économie,  de  tranquillité,  de  subordination'et  de  correspondant 3  
 mutuelle ;  la  sagesse  des  Supérieurs  paraît  se  communique!  à  ceux  qui  leur  sont  subor-  
 ti^TOnés.,  et cet-Hôpital  est  l’objet de  1’admiration et <Je*J[a  véneratron  de^la<«j?rp\j^nci? 
 '  Le s Consuls  de Perpignan.sont lés premiers  Administrateurs  d&raeftttmB^oir.niaiS aon  
 administration  particulière• est. confiée  à  un  Bureau  composé  derquafee;:Inlendans, ,d#  
 quatre Administrateurs  et dé  trois Syndics perpétuels t  les quatre premiers ,s qnlj#^,risqp&nni  
 le. Conseil  Souverain  du  Roussillon ,  les  Consuls de  Perpignan , le  Chapitre  de  la Cathédrale  
 et la Noblesse;  les quatre suivans parmi-les MerCadiers  et Notaires,  l^s, Marçfiapds,  
 les  Artistes  et  les Artisans;  les'trois; derniers  ont  la_condü(te  et  la, direction  des  gffaifes  
 sous  les  ordres  du  Bureau.  Ils  servent .tous  gratuitement ;  ils  se  trouvent  assez  payés  de 
 ÆÔStSBl 
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 KffiJKaiçA  i'l> infl *fpjt-rw maum  11  t'iuîlfec ni 1 ifînmamnl cl e \ tinbdes. 
 >VffiiSnyffitlwîf  fi*1 ’  S 1 .  wd.i  .i f ljf lE f f ijj 
 On  reçoit dans  t'. ; [ » « i n  11 1  ' ï'ÎS lôM  ]J  11 H 
 s  pauvres  orphe ïreg d é-Jnij ptj 1- 
 »H S jlijS iu fi  grni'l 
 -irhS é B U f f li'  tl  r  i ' r f r e .‘u lc i  ersonnes que  les mal  ■  u'  , 
 Im j h c j 111 |I 1  l’^di.ns'îui1 >lé ? ®   1  ’î l 1 
 point  de  se  pr i ü ns  y   sont  non-seulement  instruits  des 
 qRî*LtM M !W w S ^ ^B S lt.  irifflî?iBlfe*|M  01*1  .fiin.t  "s( 1 
 d’ê tre  um^Sfi^h'^iSSTOijs q 1 r à leur subsis tan ce  1 orsqu’ils  en  s orte n t..  C e t Hé q i t< 1  a une ma-  ! 
 établissement;- 
 le  Bureau  leur fait  tenir  secrètement des  secours proportionnés  à leurs besoins  et  aux  revenus  
 de  l’Hôpital. 
 Cet  Hôpital,  quoique  très-bic n  administré ,  ne  suffit  à  ses  be: oins,  que  |  ; r  beaucoup  
 d’ordre  et  d'écoBopiïëÿiil  n’a  pu  parvenfejdèpuis  lon g -lem s   à  agrandir  son  lo c a l,  qui,  
 V1' 1  1  ^‘-' "  lr'“b  n j j ^ ^ U ’fli'Vnl  i .ad|  i l f l 
 <‘&"in o.ulmCTiçq sS 'iSop.1' l-ls\  l'mtrmri j.ôpf!c 1  1 
 il y   a deux Médecins,  un  Chirurgien-Major ;  un  Chirurgien Aide-Major, un Apotl^^meï.-  
 jK fH S ^ f f iS a ü o  1  111  1 
 tenus  du  Royaume ;  l’emplacement  en  est  trè s-v a   t  ;  mais  il  n’y   a  qu’une  salle  qr A 
 ^ j M iS tb y n P fÛ y u r a  4  W  a v  li ,‘lSfi,” î ^  '   miU^r^®* 
 lajiCoHiouvre  et  au Mon t-Louis ,«pE;pjnit:'chacun  un  Médecin  et un  Chirurgien-Major ;  
 leu rs  bâ-timens'sootî pet ils  ,  seri t s  :  celui  de  Colliom re  est  dans  un  f ndr  
 tPrj  cl^tl  -SI  t-^  fist£Ln^?iiji<>tb  ihn  S S l j 'i J i 1  neW 
 ul(  i.mxSEqiBnr-Sgt f j 11 u  M -/q  r'thf  qtiM n  <-.1  1  M( dtÿ ujEl<tl^ Kl-'hi--a l? ^ u tL l:.|ri-'  r  l.nl  
 régner  beaucoup  d'ordre;  de  prhipgté; et  dé soins  ¥: 
 On  a  établi  d ms  touÇes  les  vilh s  policées  desTîàsÿles  où  'on -puisse  r am f^ r  aux prin-  
 cipes  dt  I  r S Jm j i a f f i L g s !  v O 
 besoin pu  le  mam  is-exemple  ont  enïraînf  dans le  viee ;  çet  établissement existe  depuis  
 1 mg-tems  à"Pf rj  ignàn,  :sous  le  nom  d Hôpital- rl  s Repenlk  qui  ëstéentiè'reme nt  sous  114  
 ^qlïé '  s 1 iHBvrri s i t r e  ij^jcgil  kîi  ^Wiju^ïfl^m^Au.-iC 
 I c l f ^ î î t ' K i ^ m ® <lnU  u  ’ririn  ;  qui  y   slTuCi ( miïîrn'f  Y ,|S(h n ^ ^ i l f t v n s 
 H ^ n i ç& â \ K ^RtWrlf  c  »1 le  Ntuivyi'u&il^é  I (irem ^ iir^L to n   y u 'n& ^ 7 n r^ u 7% j\ c l'Js.ipii  
 elle  est  administrée. 
 p.  [eiii^Mromontc  I5 tf^ d  1 qu e  1 jL a iOnlrtsïïBMffltiitr 
 ËfiiVlir  .i  l'.,.|  igOM^Qyi>7 r a® l â r ^ i^ iîu .8 ré>  j.iiru ip jl/  ' 
 B ^ ï f e à f c f e u f i i   * ‘•M'OnrniJ 
 vince ;  le  local ,en  esta-esserré,  b a s , mal  construït, mal  aéré..,  et mal  ;ain ; -les  pauvres  y   
 u ni  5î(^ |c ^» d ù tits '  îffisèroit  ^ V cNiuji .qiiîtiiS^Jfethi'iri <1  ijlra r ^ ^m l! iu 3 ÿ.  
 §W| | t eMestmé  à- •&■ nourrir^ de^!m-alh,^fii,eux,  qU^leux  lüfi irif ui  tU s  | 
 mettentjlioib  d e ta l  d  p jbrvuy  ahh Æl-,?K 1;diTis-.tii(.,doit  1  n$tire tre^p|«mj(  u\ 
 9 f ÿ !^ ^ ^M ™ ^ reu sp '.- ' H 
 U  existé, encore  aÆeipir n a^!|U elq in  -L u p i  -,  ct;d  lC.-f n t  a  riEb r nt r çJf 
 ten   lc ^ d s J S f   11  genfrosR  (L   que 1 qut ^  p  itiafir|_L  gF.  1  e  titA-Ib 'Afin  1  t  cÆ ÏÏQ V ^ ip ^ î^   
 ■ t  iîjéumâfHJftéxbiçng en, sont .8ftminigtrfa<MM n - K m c a g H b u l  fi j* \ l   fP^\<>', -'.»ôt-.à:  
 |fa. ROminafi-on d;Ês'-;Çqjisuls., s to s  le 110 nffi'M'ùmônîpr^ ,fti n e  < s  ic \  destjuée- 
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