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q u e leu r-în sp 'ii 11 ,pçù|dJe<:poii q jm lïo iît Ht tiroi
q^uel'jiK paru fie h ui industrie, ^sjl^-etaK ni luifmell.errK nr~qaresl-ui\ ,
cul n u A , ti* d tliu tM i> l poinlXf-Jin lffii .fi
^ 11 ntOf-bcisarCHte çjaym^nfmit.n.oîflu*‘anf d'u^îqffijfntunc medn>cr§Hp(Stf rt inV
1 7 Æ^i-iSi 'faHliiturlf Ig iu , icm lM ia r i pffiSi
f '33 augrni ^1% "d it^ fu n e Qn l^ u é r 4 p l6 © ja gW H ||) l i^ ^ ^ S t ii ! e n t
.4 J? t5 1«. l ^ r jA l f r n - . » ‘ f ia tîen t^ lS ù ^ |ex fF ém e |||f e ib iljïé , « ^ 'M m if f> § ir o ^ i ’^ q m ? e s t
t e p j p Ude M lv a tio n diq«fettr,.car îclr î.aLty risMbS-aus^in ju fpK tita ù y . atfeonts.ide.rmp.me
^ a u x V°4§cPJ?iS®dés , iFs SffiCf&idmsft^sMii&ht. léSttraiternimimj^iJffA^pivpjit ; c’ësJBB
$ § i l o u s j & j t f i f J j j y ^ n l 'w v ç c AcleJl-floni)eUrf'§t-(ie^,| iv i^ 6 it4 ’
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>9^ l f 4 PÂ’% ï ^ ÿ ^ ^ ï rov*ncP j d j s ' s e d j j s s ; b Kpii>5 ü ]o T Sm iifh n » fJtîr luvrôule»
f e j ^ U ^ gli^. ik a s J è lC x '^ ^ hi |
iêjéf^daps laiÇerdagn'e, le, Capsir et l s i \ illu di&fearol VLc^Jernmf ' [M ^A n t -p lu * timides
dans,_çes* tiqis^h mières contrées, qucdans ,1e y ' ' o 'i 'in t C
■■, d(\ M aria, qui a eté'long-tejjïj^mplove en X dtalo^ne ( i t n’d’a^wfraoefSïirim'è;
• service' du 'Roi;, et,-qui possédait a ^ tc l^ re ^ u p é r re ü l 1 î r l I d S P nnfùfipleîf h mnif •- a
.bien dévêloppëi-le caractère des habnansfde cette province ; il l’a dépeint d’une manière
‘ ‘erivaiW l g ^ o doi11 1 ag Lonile jjlFCtr.Tdfe.nlim m>■■ p.nr
à ^ M É 11 d \ _a-’(L c y ^ g igm i j ^ ÿ â f V i-JftijJSiM
• moigne i que l’on » stirnt leur f our,igy|'h üp constance ç 1 lt ur ««lit se politique ( car ils'
*> s< piquent lf}r1.de lu)-» a quoi Ig s jy ïfa ^ e , ol b soul.ig uu'iitjthfctuïinlu
| ml qu’il .Ht |)( u* ; ih corilubin nt à ce- qu’ils fî< uvc lit , lorsqu il s je. sottt:- conviés de
».ibonné grâÇçj mais ils ne peuventsoÿffiûrni l’injure personnelle, n ila v io lën c ç rë 'ë îë f i) . «
Lf s pt uples du Roussillon ont f u de la pe m< T , ( dt fai | à », iï?o Vr "Ëspagn fies ,
fnftlMf;n’en.existé plus aujourd’hui aucune trace dans là plus grande partie de-celte'pro-
vince.-îLe Comte, d e R o ^ i l lo n y l^ Jo n fle n t ( I le ‘ b j âj[f'^piV(Ml»adopk
les moeurs Fraüçpiç« s , < llqs’ cbmmf m < ni à pf nétrër dans le haut Valléspiry qui est la
p otie r où l’ôn retrouve encore beaucoup dusages'Espagnols , i l (,iirdagm é f lé Capsir
g ® un mélange de moeurs Françoises et-Espagnoles ; la seule \ ille dui’-Mont - Louis' ire
présente aucun vestige d.es dernjèresVp;'i
Ils aime nt [i< u les jeus tranquille s e t paisibles; lés plus lu u\ ans sonC'GëUxqui lés amusen t
Je, plus On,-conserve encore , dansde Valléspir, un goût décidé .pour lés'bourses de tau-
rt aux elle s sont de toutes les li t'es, le s.sifflets qui les annoncent| rttFft? | t tout'lé monde
en mouvement, le Laboureur quitte sa;.charrue..et,rpuyrier sa bouliqin^ÿk r f n ^ 'u n t
capable fit les o tetur. Ils aiment beaucojïp les jeux étdes exercices militaires ; le son du
îamboUr .leur-plalt.-et les anime singulièrement ; on conserve enci3.r,e:à Perpignan un reste
des jpùx de c e genre ; en se rassemble à certains jours; on tire au blanc, quelquéfeis avec
l’a rbalète, plus souvent -avec le fusil, et le vainqueur est promene' danàdà^l’le et ramené
chez lui en triomphe au son des tambours et de la müsiqüe, et au brüit'de la mniusquëterie
Us se,livroient,beaucoup, il n’y a,pas lopg-tems, à Ije-xeïcice,,de-: l£?ftonde ; ils hiisoient
entre eux une petite guerre, des marches , des contre-marches, dés é vo lu tio n sd e s attaques
vraies: du simulées -, des embuscades , et lançoiént les pierres ;avec-une adresse
surprenante ; mais les évènemens fâcheux qui étaient souvent-la suite de ces je u x , les
ôn tdâtteati.p.primer.,
Hs aiment singulièrement la.danse, et s’y, livrent avec excès. Nous ne pàrlelohs point
ici des bals-pârticüliejrs, qui ,ne diffèrent .point de ceux du reste de la France»';dus nous
arrêterons seulement aux danses publiques, qui sont les danses’ nationales de la pro-
vince ; elles’ se tiennent dans les pkteesy ;aii son des ins (.rumen s cl u pâÿS.^otii1 t une- *
CO C&tte-ïm les mains de la 'FanJille àt Pont'r Â.Perpignan; ‘
co rn em u se ,