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 f f || irîywiuîU  I lin 'd ctliSufil  {-du  bas  d e ,  otr? -)lBglwuïûriiRqu  |0Ur  
 Bj®l«Kliisjîn',',|).ïrt'i f e ? A d d itifs«pw.Hie\IVnji.s ,--yuj^  iwât&aKûrrjaàguue~ 
 lfirtt  ^ nV çw r^ f^O J ^ ^ ^ r o m.jÿijsatjiiiilijiflpÿ.fVn  --t,  iairjis&fipj', forment  
 un  tdéèorfttffinLre jri(SrisuMlKpjiH tout  eRSm^et’intendu  ihoeu r. 
 aBcSfe 
 .:•' Hly  f f ^ f e 4 éu*l’on,< \eotïfe. d S jnMto.i a li fflgffiiffi menCro efi 11 »lÆ^OriVuM^W^aur  
 du  Jeudi-Saint,  dans  celle  de  muai MHfeiçpu seTitdti’on  du  niuu\u sM aM ra k 
 bKÀangih  ,  dnns-l’ ltgliv  d(s»K( li(n( im wfclftn i-t&tAt^rtllf-d<jl£>rt -ni reolinn .du  
 se  levoit  et  sortoit  de  son  tombeau,  chaque  loti  que  J.  C.  s’upprochoit  et  lui  donnoit  sa  
 bénédiction ;  dans celle  d u/JVmpfe i&iiflïg|ïÈtsftjjfrteti^Sl^l^wscMHf e Aw.oj h u   
 A i M s ,  Ap«n es ;  la table ,  qui .est en  fei ‘a-f  qeffit t-j-Ct  d CM < jffiÿ'fc'P (t ( -sj d,b m tJy. \ 
 On  i  \,u  t ru op<^,i.[i«ndur]^ K(‘i»tJi\ÿi,rd< StMojrtv^ dans  11 gLsSkLtic s  es >  l i 
 u.itt(.iU'ïlu;-l.,ni^^raa5f^^^ra®ï|i,l,o1erd-alan-,  1< s ülAiij^ ^ t.ut'^M.ojt.Tit  leujslwk'-.A,t-'r^ U  
 Sainte Vierge ,  qui  descendoit  pour les délivrer.  , 
 jKpNwm,‘(druiïn'“ m\5 se!i  u tac le ■ tBffflwjlffil k  C'jtfejgro1i m t  stdlftglrot gsdiront, 
 ■ nous  avons  déjà lait  connoilre  la forme  parliculii re  des  babils  du  Clergé  cle cette provide! 
   e.t  de  ceux  des-Consuls  de Perpignan ;  ndiusindiquerons  dans  le  Chapitre  suivant  
 ceux  de  l'Universilé.  iSfous noiis boi-nerons  ici  au  costume  national  du  p< uple ;  celui des  
 Sp|^7kjnjrt(^Muÿôlc,vî'<:s{ne-'di/Êrevpsi®t^^cdluj'idJ^és.téldÈdSi^ÿnG&<i 
 On  di\lîn!g.ite, pour  les-lctmncs-, J habit  a  la  Menestrale < J f \ d ;  1 a  
 fltîutte^tiK'J"  t  pi u  p u s   la  irn tn<  ,  tK  n< *diflf*i f CH  |(fcaO],U(jqui  p u   
 Le  premie i test < glut  de s  le mmes  des Artisan|^^t^s£r^Z;.Ggnifflu®em'dnt  desdtonn'es Bourgeoises  
 fe t des  bonne s= Fermière s  des campagnes ;  le derniër“est.'.celui dès Pajsann.es. Elles  
 ont toutes un  capuchon  noir,  de serge  oli d’étoffe  de soie ;  les  premières  le  portent  toujours  
 sur la tête ;  les dernières Igiplie-nt le  pliis souvent,  e ile   tiennent sur lè lards. .La ,des-  
 ( riptïpn de  la forme dè leurs habits est  assez difficile et longue;  on  la verra plus aisément  
 dans-lès figurés  que  nous  avons  fait  graver  ( Planche XX X  , fîg .  7 ,  8. ). 
 ï  f  costume des femmes  du (  apsn "t  t  dt  la  Cerdagn'e.esl différent  de  celui du reste,delà  
 province  J  liés  couvre fit leurïeté  d’un  filet  igi rest  111 de  fil ou dé  sp.iè  de eotmleur,  ou  
 bien  d’une  simple  mousselineÿ_qui  n’en  recouvre- que  la moiliéÿ.e.t-1 îisse.-à  décout ( rt  les  
 cheveux  du devant ; elles  portent par-dessus  un  capuchon,  rond par-devant,  pointu  par-  
 derrière,  et  tombant  jusqu’à  la  ceinture;  il  est: blanc,  de  laine  pour  le  p eu ple ,  d’une  
 1 fine  plus  fine  ou  dè mousseline  pour  1  s  femme s  1 iches  -  El lès  ont  mi  col  une  fraise  de  
 mousse line  Ou  de  dentelles ;  leur habit  est une  espèce  de  corset,  juste  au  corps  vets  la  
 ta ille ,  mais  qui  s’élargit vers  la  partie  supérieure  ..de  la  poilriee,,  et  y   laisse  un  vide  
 considérable ; i l  .est  contenu  dans  cet  écartement  par  une  espèce  de  busquièré  .triangulaire  
 ,  garnie  de balemes d e - fi  1 ,   couverte  de belles  étoffes,   mais, très-bigarrét s ,  et main-  
 -tenuetpar  des  lacets, rubans ou cordons  de différentes  couleurs.  Leurs,jupons sont  exae-  
 tement ronds ,   à  .petits  plis-renversés  à  la  ceinture ,  et bordés  en-bas  par  des  rubans  de  
 ffil.’du/d&fpie 'd e , différentes  couleurs,  ou  des  galons Ou  denLelles  en: or  ou  en  argent.  
 Les  lemmes  du peuple  portent  des  bas  rouges  ou:verts,,  et  des  espardègnes  ou  souliers  
 de  corde ,  ou bien  des  souliers  dont  le  cuir  est, tailladé  en  plusieurs, sens,  de .maniéré  à  
 former.ûirdessiçu ■ 
 '  1,’habit  des  paysans^nsiste-en. un .gilet croisé .rouge,  bleu  ou  da Jjufilque  autpteojtr -  
 leu ÿ ÿ S tr   lequel  ils  portent;uh;é-véste' o.ü une  camisole  de. drap brun  ;  ils ceignent  le  bas  
 de leuï-ventre ave c une  bande très-large  de  serge bleue du ro ug e ,  qui fait plusie'ur? -Jours ;  
 ils  portent  fur la tête un  bonnet  de  laine  rouge ,  quelquefois :le.chapéau ;.par^dessus ,.. et,  
 à la  place  des b a s ,  des-pièces  carrées.debtor! e ,  dont  ils  entourent  leurs  jambes  et  qu’ils  
 attachent  avec  desîçordons  ( i’r.-ANCHE-.XXX,,/ig .  6 .).  Ceux  du Roussillon  et du bastVal-  
 fespir. portent des  souliers:;  et  cédxadui haut Vallespir,  du  Confient  et d e   la  Cèrdsgne,