
 
		H  m   )  '  M 
 ‘tT o i^ S ^ în t  .énfLt 1 3 ;  il .nîo&nn l&Aml'rife anndlfffè'ù  ifêtQm|ip^ès(soh'!ïetour,  e tlaisja  
 un  fils , 'appelé"' G âu fred chi  G ^ fr e 4;. qffii'saccé.feÿtfjses Elps^".$s 
 CHEf-fil|ide*ifèra.p,  Ggrnlî^ g iRpli'^llon-’rL d t  f> frlJgn  r  ^|t t  netit-1iL  
 ^Alphonse  I  RoiJS  \ri^)nÿBiqm^eutB.oùssilloiî^e )^la ’fiK w i  déüziÇme'&ec|MjPa sRc-  
 J[ | |a  aUxf<Etats de son ,pè'ife.^l||® dr'stingfïa*deîpQ'nt)^fcguje «hpsJj^pLsibssien  désarmes ;  
 d  se  frouv’a ”  clans ,dn âge  encore  tenâïe ,--à 'laj.fam,l^se  bÇ^Rl'eLdè rla's' ‘JSlàbcLS, de  JfêôJcisçi  
 gSgnee  lé  i? f jrnlMï  b a i s   Çcfntïe -|és ^Sawaan^Jfar  les RotSïdAl^onfkcl'e  Navarre  e f -de  
 Castille^^®^OT>it^cc'ompagné  dSipd^ieuri'ïpejgtWürs, ^oussilprinots , ' eix&£  autres  <|(^  
 Guillaurné d  O m séiF jd rn a u È  -de B an yu ls, dofit les fdnfillesXxi-.tqrVt en noie, en  lVftU'.ÿklop.;:  
 P iit n   le  C lulrolique, Roi  d’Aragon, son  oncle ,  térrfbm  dé  ses  exploits,  l’arma  Chevalier  
 stÉfeSchamp  de bataille.  Il soutint avec succès des-guerres particulières,  en  i 22-2 ,'ï^jntrep  
 Guillaume  dé  Moncada,  Vicomte  de. 6éa"rn^èt ,*en^^pf®||coûfre-JBeniru c l,  Comte  de  
 Foix.;  celle-ci Fut  terminée par un irai lé de  paix fait  entré  ces  deux Prhiçes,  le  ”   des  ides  
 de  septembre  t a 3 3 .  Il  accompagna,  en  1 2 2 6   ‘dÎÉques  I I ,   Roi  d’Aragon,  à 1 i^conquetfjf  
 de  l’île  de Majorque-';  et  fut  le  premier  qui  descendit  dans  celle  île  .avec  Raimésih dé  
 MonCâda ; -il  s y   signala  dans  plusieurs  combats  edn-tre  les  InMèles ,  ainsi  quau  siégé-e t  
 à  la  prise  de  la -ville  de Majorque  en  i a ®  |  il fi-tpen  ra ’S’b ,  la conquête de  1 ile  dIviça.  
 Il  quitta  ensuite  l(  monde,  ( mbi issi  1 c  I il  ( cclésiaslique ,  lui  f  h  noine  dElne .e®  ra-3 8 ,  
 e t uMarut  en janvier  i 2 4 1 ,   après  avoir léguèises Etais' au. R&jËAragon. 
 F erdinand ,  fils de  Jacques  I ,   Roi  de Majorque  et  Comte  de  Roussillon', étoit ne  au  
 château de  Perpignan:, :el  fut  Seigneur  de  celui  du  VerneÆ,  près  de  cette, villf  ,  et Duc de  
 Clarèhpé^’jy l  se  livra  de  bonue heure  à  la  pFofëssi'bn’des  armes,  eL  fit  conceÿoii  les plus,  
 grande s  e spérancc s  II  se  distingua  sur-tout  1 n  Grèce  d 111s  lés -guéri e s.';.d’è  la  Mimic  ,  les  
 Historié ris  I  sp. ignols  raconte nt  si s!divers  êxploits ;  ils  assùrent  1  me  |pi|l  ht  la  comptétë  
 de  la Morée,  -et qu’il  en  fut  reconnu  le.Souverain  11  y  mourut  eh  f 3.oo.;  s.ob. çQjgs--fut  
 transporté  à  Perpignan,  et  enterré  dans  le  -Couvent  dés  Dominicains  II  avoit  épousé  
 Constance , Duchesse de Clarence, dont il laissa un  fils qui fut le dernier Roi de Majorque;  
 sous  le  nom de  Jacques  II. 
 Q RT AF F A ,  famille  ancienne 'et  illustre  du  Roussillon ,  qui  a produit  plusieurs  grands  
 persorin ig e s,  parmi lesquelle s  on  distingue ,  1 . B érenger dt  Peraperlü. a  i ’O'r. affèi, Grand-  
 Maître d<  la Maison  de  la  Reine  Yolande  d  dragon  dans  le  treizième  siècle  2.  G/IierCy  
 qui  alla, vers le milieu du quinzième siècle-, auvsëc-purs du  fameux Scanderberg ,  à la  l&ti.  
 d e  & 0 0  Espagnols,  3  Gridé/roi'jiGodyerneur de MiraorfîSp;  4. B érengéj-yGomm  ndeur  
 de  l’Ordre  de  Saint-Jacques ;  S .  Fran çois ,  Gouverneur du  château  et  de  la  ville  dt  l’ity l  
 cerda ;  6.  BonâvenLure, Maréchal  des CatnpS  et Arme es  du  R o i,  Conun mdant «  I  Inspecteur 
 Général  des Miqüelets,  dont lè  petit-fils est aujourd’hui Mesure de C ariip d’infan terie,  
 et  Inspecteur des Gardes-Côtes  de  la  province  du  Roussillon.  C. 
 Parmi  lés' grands-hommes  de  celle -Maison ,.on-  sur-tout  P ie rre ,  Gouverneur  
 et Châtelain  du  châLeau  d’Opol  en  Roussillon,  et P ie rre ,  son  fils ,  Vicp-Gérent  
 du  Ro3raume d’A ragon,  Goüver-neut  et  Capitaine-Général  des  Comtés- de.- Roussillon, et  
 de  Cérdagne.  Ils se signalèrent l’un  e f l ’autre  dans  les  guerres  qLiiipÿepédère-nt et suivirent  
 l’engagement  de  la  province  du  Roussillon ,  fait  à  Louis XI  par  Jean ,  Roi  d’Arag©.ff|i:-#s  
 allèrent,  en  14 6 2  ,-au secours  de  la  Reine Jeanne  d’Aragon ,  et du Proriçe  de  Gire-né sdin  
 fils ,  assiégés  dans  la  ville  de  ce' nom par  le   Comte  de  Pal las  et les Catalans  rebe lles,  et  
 contribuèrent,  par  leur1 prudence  et leurs  exploits,  à  leur  délivrance“;- |l  l ^ u j  se  distingua  
 sur-tout  par  la  vigoureuse défense qu’il  fit pendant  le  siégé  de Perpignan  de  147,4'  
 et  14 7 5   ;  il  soutint,  pendant plus  de  huit mois,  tout  l’effort  de  l’armée Françoise ,-sans  
 autres  troupes  que  les  Habitaris,  dont le-courage.seconda  la' v a ^ ^ K f  .1 activité  de  leur  
 Gouverneur; malgré  les horreurs  de  la  famine  là  plus  cruelle ;  aussi,  après  la reddition  
 de  cette  place ,  Louis X I ,  qui  le craignoit;èt  ne  l’aimoit .point,  ne  p,ut.-s’empécher de  l’es-  
 •iiriter.  Il  moüfut  dans  sa patrie.,  vers  la  fin  du,-quinzième  siècle,  couvert  de  glone,,  et  
 jouissant de  la  considération  la plus distinguée.:;  .  ,  BLANCATEtegri), 
 « I   §9  m 
 g fR L A Js r c ^ » !a é ) , ’B o r ir^ fe ^ S é  Pel^^^gytd ç^fem^^'cJhnd î'fflidhAftr-àiti’dfeéliytsmd', 
 mais qui msenoreBa patrie, et qui 
 1  r i *   B   d  t< X *   il’B lh u n -i^ ^& i 
 garj^dta^fé#gatfa.%ftï lr i^ I®»dO T ^ ^ fflM ^M ïf|ll- ^ n ’îquedûéj^is:^ « ? î'u n e  ‘sotîK;! l'^ k s * 
 e 'tSna îtr^ ^ ffil^ 'nlié , '3eV ^ taaq u n lîç   
 plsAtoient s a s 'l ' ’’poniW™  déc o fl r t  f  -»i1  P  /  5  isTStlm 1  iboler 'sonffllffl 
 s’il  ne  leur fe» b u v ro iflè s   portes.  Mais  ce  brave  citoyen ,  fidèle  à  son  de voir,  répondit,  
 que le.  liens  d u 'sa n g el  l'amour pa lem el ne  l ’engage/  en i jam ais  à  iïà lu r sô n iïÿ iéiï,  (l’illc p ®   
 wfçflifi1/ V.  h /  V   jPTO  / ,’  iî£ Jr i'  »  /ï  s * 
 et qui'il jo u rn im iip lu tô t■les  arm es'propres  à 'assouvir  leur cruauté.  Le  I  ls  de  ce  Consul  fut  
 > en  effet  poignardé  à   la .tête  du cam-pj-des  assiégeons,  aux  y eux  dè-lsou. j   re  e td  ri  peuple  
 , d e iS è a r^M ^ É ^ ro ÿ iffih a t l^ t t lt^ liÉ ^W éQ r is i^ ^ S ^ S fM ^ ^ is l^ S l^M c le  'tÿfflrSàbitafâ,  
 td 'e J^ É t^ ro B ^ ^W #c o n s^ ^ ®S ^ ô iÆ § | r£ ^ iÿ 'ê ë Î!® è 'iiî tire il VfV'^lrljUj'sc'ti  'nf;l  fl n„i>iW|âr  
 jd e i » w l   unÿ4j.n--Vi t^(mJ'qyé’ ncitiVi^ jn 'l c6tij^f[.jWihi!i"té;’jlV'-Yl‘,‘i  C  »c1!   
 d’hui  sur  les  murs  de  l’ancien  Jardin  de l ’Intc ndance,  où  étoit  autrefo  m U, i ?rîï frîij 
 M a r g a r i t ,  nom  d’une  famille'ancienne  et  illu  i-ijé  de  Catalogne,  transplantée  c 11 
 si * e   ê il^^Ëonne^S^SS^ip^iïq?  
 S H ®   R< m  me  r  pu*  ®^ t\.D ’fh ç^ n lfln ?^ dW s fc   fipian  11 
 iCapitiàines-Généraux  à  l’Espagne^' des  Gouvefr ëurs  à  la  Catalogue-c  L  à  la- Sic d ^   et  des  
 Généraux à  la Siçiilë',  à  l’Espagne  et  àlaFramce.  Tbse/t/î r/&  
 issu  de  cette  famille  et ne è'ri  ilE B i’ilfe^diÉîin'guà befuc o'ifii (lui 
 un  dlééeu-x  qui  influèrent le plus  à  la révolution  de  16 4 0  , où  la Calalogne se dorenabà la  -  
 Ers nro »ijlj’ oïmnntî[idi ,l^ fo ro apK Ç ^ rnV < » < fë^ [a S |^ B K S ^ ^ ^ i^ ^ ^w i^w ^ B e< la  IH r ^   
 ^mri^W^fÆc  cl,(,S‘ t|1w1i[if s ch  rè l't^ÿiïA frapraïOT®j^SKla'fe''iW'<'i t. '1  
 yflltv f t*çl>c* cüj^flitr inth^t 
 troupes Françoises  de  venir  à  son  secours.  Il  servit  alor  piwp  li  Roi  de  France,  qui  le  
 an3  1 f\c urrth  l^t  «lyldgnr  c lu i 6 - 4 c GM j-féc h J^ l^ w fn p '^ w ^ iÎA ,  • t rT é Jp ï 
 ïWet  1  6ltofl«t,itric ntîtapti‘AdépSti-,-;  1]  baltil  FhVhfl'ô.'ig'no 1 . t;-\ôll^ftÆtAj  111  IffiA'pjfe-  
 so.nnier Martin d’Astor,  leur Général,  ét 
 suivante J a l^r^^^oe^a®ârCeret^^BdS^^pat'èPpïe'vSiliTOD^'G6SS^ffa'nWé^n|^^ntrfl5lB^  
 en  -^tîSjdlIÇv&ïpi isc 'vfey I „1 io-  ÿ*iltîieg’iged  »t a  f t 'r o t  cîrï jW'girif-’ ii^îi  
 “flr'Ljefci cl uV  le  \ilhgf  d  (> Mo lit, 4 dJtlélf ndii  (i ne eloriLtft nd.cfii. WU  .  c ijïjrSiîîV’-' 
 et  iS ô a  , contre  l’armée Espagnole,  et  fut fait  LientenantrGènéïâil-'des Armées  du Roi  en  
 i:6 S 1.  Pendant te  edriifs do  cette  güc fré ,  il  re ndi-t  dës- s'ervices  sign  lés à la  Franc 1  f  par  
 sa  b re v qW ,  son  intell-igençésâ|fç nnc;f,5^sAé’j!a'éliCité .''(■ l'^lÿl'fWÂ'-nh'iTR'c’Ÿfr.tênhJi^jh  
 Rjjraaejjihl  Yendj'DÇsl'rno#jléAet<'âaAltSîSeUeyh P*f ngejÿ  ’ ku   t'-Ab5* 
 yiflteil^le^tno types  Fi &nÇ&$$âfferi  fl'fut  latfl?5jhr,\aloi.i'ctn-f't&id-c  ^Milr'Rolp’ ïmivKŸ 
 nepMqüglÇraéMtpjtttpar  sa1 naissancéi'ej''s®s  servrcfeSa’S^Rl^ibftftaïskxrsteDt j i  Pérjj^m^Ç  
 I t t p t   la  carrière  des  armes,  f l 
 Calvo  ,  autre  famille  d e ^ ^ e B É ^ y  transplantée  en  Roussillon ,  qui  a  donné  le  jour  
 à  Frdnçm s  de  CjflMwO«Plne  ^ ^ S 6'ïï7 « & lw l-Gff'»attacjia  aM®Ktfiisé yqâtl'â  i^^Mhon,de* 
 1 6 5 o  ;  il  servit  dans  différentes  occasions,  sur-tout  en  Hongrie,  où  il  a lla ,  en  K Bra% :  
 avenfesecouM que Louis X'I'V-éritvg'yasèsPfeÿp'eîc tai^fS^e di  1  nstfeiejit-WpK- ndV','  ,n |S ® * 43ï_| 
 ( 1 )  Quelques-uns îévpquenl en doute la vu'iiié de1 celle ancc-  
 dote ;  ils  ne.  se  | ^ h   qu.e|sui!, ce  qp-onv. ne ‘ CKGUtvef^ie^ qui  
 y  soit  relatif dans  les  ^émoues  de  ce  le ms  ;  mais  ces  Mé-  
 moircs  se réduisent à un Journal  du  siège  de Perpignan, qu’on  
 conserve dans celte vilife, et ; «  n’est naspomblet : cette anec-  
 avoir été  rapportée  dans  l‘a partie  quvnqul 
 La 'conséquënce  |ns)^^^Ttfesur-'tojp; 
 lQt#K^lleJèiE!toritTairëtyMifraqi^op.,cdn.§^gÉ^^Eois. sîècl es,,.' 
 ^üi^onc  vécu dans lé siècle  suivant, 
   et surtout au^mohqüipent destiné à  en  consacrer la.'fmé-y  
 moirè|^Eèb[ Annales^ di^^ q^ sillpn' né Dçé^^M’aüdnn autre  
 'é^ëhen®t^a'uquékGë^^^^p lion' jJuîssp êferé'^m^ôrtéeic'. •'■À* 
 'm W ?