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quelquefois d< hi neige. L< s plus fortes chaleurs de l’été i*e font monter le thermomètre
’ qu’au 1 6e degré, rare'mëtiiliau i 8e; ce n’est même qu’au nfi.lTe^Rwriiir, < t lorsque le'.ufnE
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ï«T au o oh f / ’d'f'g'i'r'Mii lin irriorndtu îinft^iSSfrfth 1,-g lS ii^ ijur Iqm Lo im i 1 i-'e,/^onv*<fer
atf f& e et au 12*°;, en- prïnfems^ et &n auto trine , il'-e^ ’d e (cAq'iSû?isst degrés' pflsjthaut.
Le s habitans de celle contrée sont dédommagés de la rigueur des saisons par la betete
constante de leur é ie l, à l’exceplion du teius où il tombe de la .neige. "ri
En général, on peut dire q i | le Roussillon offre à la fois te&îs'elïÀâfe diffère« et op-
P» és ; dans la plaine, on éprouve presque les feux de lequàteur les' vallées;, ont uni
température douce et modérée, et lés sommets des i i intagnes sont exposés aux'frimats
T&tMî’Wpirs’ de‘f€ n 1 diî»iVi«ttor",lè$ éâùx râ6'lîfâgtfe||dëil®lÈtmè^la plaine,yet?'ùês
dé'tntèïè'' (’ ’n t ms déf rrvu'i c’f ’ih huit nnf
Les e un des rivières qui arrosent la B S t e du Roussillon , yienm ut dès montagnes, et
sont limpides, pures, battues, légères et très-saines -, la seule rit ière de l’Agly peut être
exceptée ;’ ses eaux sont loi hes et un peu pesantes. L a partie de cett pl ne voi è 1 s
rnr’ftriïgfff v qdi'ldM pâî,ifr«lu I riogin dot f f t nff< j. itwÇltHi pl mit
11 mp 1 ies de lontaines, dont l’eau a la même qualité ; mais l:es parties de ces d^ux plaines
qui avoisinent la me r, et celles qui nous désignerons d ms la suite sous Ienîorn A 'A sprc.s,
iiouf qm dtn*Viudf‘pinls.t clldt n sirprij-'ijui 'p u t(uil*ïfjli,¥me^gfcf(ÿari1t'.,(M ilarnt^lqK’O
endroits elle a un goût de bourbi et est désagréable à boire les endroits qui ontvoisins des
i iv K res de 11 Te t e t du T e c , ont la ressource de se se rvir de leurs eaux qui sont bonnes.
On réunit à tJe rpignan ces trois espèces d’eaux dont nous venons de'parle r. L a ville
est remplie de püits il \ en i dans presque toutes les m isons , et l’eau en est toujours
très-fraîche L’e m des puits de la partie haute est très-sèléniteuse et a une fadeur désa
gr< nbh ; celle de s puits de la partie basse contielit si peu de I i ^ que lie est presque
fin perceptible, et elle e st très-bonne'à boire ; elle ne se li onb'lt point, lorsqu’on la garée ,
(’lit- e ml bidft leViégume^,'} rdArefiilHT t V .iWiS’ Ht* I (îf^^^pwT^^lvWTT
’â f e l i i ê f è l’üde^efl a im P 'y ^ ^ m ’ehi’ire-r”brfW‘ ’e le '? lo ii t '^ îB ® f fo ü 'rn it f i l s i i B M
11 ,ln''’ H B B fit VFtn&'rf’i ndifil têi -<i|îS'JF|Mi .|,ini
pluies parce que le urs c maux sont mal consi ru its et peu profonds ; il en résulté encore
que le îü en est très-chaude en é té ; ces fontaines qui ne sont qu’au nombre de cinq,sont
m il distribue e s , ell|ff|pnt réunies presque dans le même f n,droit '■ atf dessous' de la partie
haute rlc tapjj|e ; la partie basse en est-absolument dépourvu II y a encore défeTontaihes
; dont l’eau qui went des e tus vives ramassées prestpï&vs'ilir les lieux , pu peut-être
en filtrant au.travers de la terre , de la rivière de l,a Bass dont elle sont voisines, est
limpide, légère et très-bônnè ; on les connoît ous les noms de Fonia esc 'e S i t //
et M BôBtiQàurj, mais hors la v ille , ents pas de la poru» :w<n
^ n f g n 11 sVcffidtuie- a ^ e u de’ liai- [ onr Its drsfrihltu elms U t u tiftfflfejjfea S c tri
i^fflboit éiîcSré'à Perpignan 'dë l^ u S E f f ç & m ? tue- d é v ”
Minimes et des ( u mes déchaussés ; celle-ci est cependan t fs settle: dont on i isse quelque
cas ; elle passe à travers un filtre fai t de pierre ponce , et est très-üaîc lie e t assez agréable
aü goû t; mais elle est un peu pesante. Cette citerne mérite d’être \ ue ; on i rfeslènd par
un bel escalier, fort la rg e, d e n\ irôn quatre-vingt marches.
’ L eS montagnf s et les vallées du VSlleîpli. et du Gonflent sont couverte de fonthines
il n ƒ a presque, dans ces bon trees, ni v ille , ni village ni hameau qui n’en ait plusieurs;
l’eau en est généralement fraîche, pure et très-légère, et passe bientôt p a t les urines;; I "
y en a quelques-unes tde célèbres pqr Fabondance.et la plus grande piirèté’de' ljffe ,e au x ,
comme celle du Comte près dé SaintMartin-de-Canigou, celle de P o rle-p a -, au sommet de
la montagne de Coamas, au dessus du village d’Euÿ, dette-du PÏCkGuiüerfi, sur le Cauig'ou,
cêllè de F la g ells près dé Saiiil-Michel-dc-Clixa ; celle-ci est I plius abondante ; elle pit
dans
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»-d n lÿMieHKM^iiïtr 1 ' 1 >'it ini&^oiitanémi bâton, dans la terre, dtK
est assuré de faire une fontaine. .
Les miontegnies. de la Cerdagne ont aussi beaucoup de iootaines remarquables , entre
autres celles de la 1 < acla-d’E yn e d ns lâ.yail||^de ce nom, celle de E scln p s, à un quart
de lieue N. du .Mo ni-Louis, celle d « t oni-Momeu, derrière l.a;G6aipelle de te n()n|'i(tdi£fé-
, / r B » ü B ) S en.æ^Mesque,dépau^|tS)‘j
Kon^OBçilSSj rllfiji’ 1 "{>,iilf(Sn^pâl
ALtMEN30;Més,.Kabita0'S des-villcsiéiit'feigens ridiés des campagnes,abusent de la fa c ili#
'i * il i S J ^ ^ ^ Æ f L W A m o i i ■
IfTOaVîI ù ni{!;;in '% .Mf6‘,t.wW^ÆrM. ugjjlV r, la volaille , le gibier
K y 'mm't'tl.l irwfTy ; »■ i ‘ i d ^ H ^ a r g - iS i ®
meilleurs légumes, les fruits de la plus belle espèce, le pain du plus beau froment, le vin
|W K jiiirÆ ^ i‘j?teii[ ’ n J tl?t, > jlîiÿ^.^ViVMiljQiil1 ujjj,'' jj^K raa,
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■ ie'^paiiiH1 de seigle, ét sh r 11 liant des. inoii.tagn es iàiijite. nia i s ou de, bled noir. Les 1 ê/ 'j
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feSîj. i^iiit’ j r i ni P flv •' "'b1 -■
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crudsassez habituellement. I
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rp< ce.'des engi is et! âes..‘| g u rages , à la n. ture d'i s'végétaux ; aussi; tous ;] ali mens A
ceux des environs ië-la',mer contiennent même une espèce de saumure, qui en augmente
l’activité. Les vins y sont très-spiritueux, violens et tartareux; ils perdent celle di i nièÂ
qualité si:'oM,;le.s g ntic I6'n:g,leni.s ou si on les fait cuyie\M|||jie,üyde terns ;pm; ijis, qilelqimi.
du Ro|&|ntaibJpi
en raison dés'jSl|| i en les c ircoinstanGes dont nous venons de.parler. Ils oui la libre sèche,
roide, lèiVâûc-ÿîc, genre nerveux exWêm mt nt.sétfsible , les | ass o =;lorl vives, pour ne
S i w r u T io '^ ^ ^ w ;ÿ t n Ic'^Aft,'!■ le i ui
pagnoles et une suite de l’importance qu’ils me«nSl^Mros|l^fa'ote»fent:..-'^^^^p^^feie
robustes, vigoureuxVipiiOipIes aux sciences et aux arts, 1 orsqu’ils voudront s’y h u ^™Æ ,- ,i
H us. rJu «p ni1 b J- j P t y jkjKI
En général, leur t p m'pérrfm^M^Mfep'Stp‘âMLt^San^^H^^^S ^ a B ^ S :--l é -t
' Xl’vtwjjjl?' <■ Ri no i r, Ü dh (t iijp \ t
sillon, sur’la naturè des àlimens tlon t; ilsise nouTrisse n t , de l’air qu’ils respirent, et sur les
I^ ÏÇ p K ^ ^ K â feQ ^ b è fe d e ^ ë ^ te t flJsw ^ 106’ 1,1,1
s|‘Hijji’V i| > f S ^ iA 'O i i ÿ â S L e i i rr *
dues , leurs fluides épais, et cet épaississement t st'augmenté soit par la succulence de leurs
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