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 jiïM'idTeti&W,  le  ré'gfmeV la  po-bce  > r  h v;[m-j.\  .qui t IvSgfej^ïijjaffilé. 
 hft  Au  rUrfïi'rWÜBî4fv i<,  i ( nx  xLArnt -   t 1  dt*'Vutit-\1 ulin - de-*('.i8iuiguil.  d ori t-tir ffiisvtdIyn^* 
 pâdtert  r  < 
 [0Sp*M“ |VhiH  iMort.*  i .f*h>Hif,  grand  <i  btri^di-t'ulni'  .SI\ïjuV«Uuo<  •efnfamii«itnata6oviMf j  
 an  ilmetno-'«'Eh  ,  dm-  lequel  il  |iftJ'4^5nMrui  ,  il.ii^itfni(li)8<)üil(.l4Ïtn.fj»^jrt)”eil^ffiffii','ïjJtS'!  
 marbre-,  qti i%f enlfèiï^jSh - be cfCPjard in  ; son éj^p?,- qujini^qu’iïne neft^ eSTfîgraïrOE^rolèi.I e et  
 bien décorée*  b,q,pàl3 i&âtbbâtial et les mafêèi&s des Religieux sonttres-rians, et rebâtjisjffepüjS  
 peu d|e  tfeifrat^tens'lë  g©1» ! moderne 
 A fi h A7 E iïfïSSitS. sîJfWè Mon^stète! PfiîB»ç3Wiéiêtti7 ,^8 i 6 f[riil/âfèbe GasteUaftd  etrtquâtretRie-  
 Îi'giewî^q&i se tênaiestÊaupa-ravanî  à-S3iirt-fteiïe-de4a-Vall-VerdwpLpm$i!H&©ébonn4ife  
 et Charies  1 r  (  Il MVf  ,  lui doinn rent  des- domaines  en  8 2 1 , 8 5 5   et  869 ;  I otJitdljKljjHçrtLrfy  
 se®ÿ sajSplsit<K&ï  en  8 7 8 ,  Guïfre ,  archevêques®^ Narbonne , rafiaJioJjSîf.ürûv.BBgKe  en  
 10 4 7  >  elle fut ensuite rebâtie  et augmente# par  les libéralités  d’Udalgarius  et  d'Artaud d ,  
 évêques  d’Elitê  et  consacrée  en  11S7   par  Bérengei  ârcbevéq.Uf  de  JSsrbqtitn.  
 beaucoup  d A-Soleénité-eS;le>eonso&rs  de plüsii nr<-  piel it-,  pnm c- c t  bâton'-.  co-Un-ql'l'e  
 qui  existe?aujourd’hui^"H  y  a  un Abbé,  qtw ejîêit c  "-a pm-dn hoirsui'.sw'pardjvît'-t donl  
 il  est  Seigneur,  et qui jouit de  14,000  livri s de.renfe  ;  et  huit  Kf.ltffleilx..;dont  les  offices  
 elaustrâux ne  rendent que  de 600  à a So o  livres  de  revenu.  L'Abbaye  est aujourcMâr en  
 commande  ,  et  le  Prieui  claustral  du  Monastère  exerce  toute  la  i l   n  de  l’Abbé,  
 ï.’édifice  de  ce Monastère  est  très ordinaire ;  l’église  est. grande ;  a  tr.ois-nels  , mais sans  
 atrcun ornement.  On_y conserve une tombe miraculeuse,  dont nous avons déjà parlé dans  
 le.  Chapitre  III. 
 -  Il  y- àvditr autrefois,  à § de  lieue S.  d’Ëlne, près du village de  Sorède',  sui  la  i l  dioitc  
 du  T e c ,  une-autreAfebaye  de  Bénédictins,  sous  l’invocation  de  S. André;  elle avoil  été  
 fondée-"âtl‘Commencement  du  neuvième  siècle  par  l’abbé M iro,  et' Louis  le  Débonnaire  
 l’avoit mise  sous sa protection en  88.0 ;  elle  a été réunie à la mense  abbatiale  de  l’Abbaye  
 d’Arlffs. 
 Abbaye  dë- S aïnt-M artin  de  M M M   C e t »  Abbaye  est  bâtît  sur la  face' septentrionale  
 du Cânigou, et à un  tiers d éleVdUoitde  celte montagne,  sur des rochers et sur les  
 bords  de  précipices' très sescarpés  et  très-profonds.  -Elle  lut  fondée  et dotée j  e n i e o  1 ,   
 par  Guïfre ,  Comte  de  OeFelagiie:;  qui  lui  fit  de  nouvelles  concessions  eïi  10  1 7  ,. et  son  
 Église  fut  consacrée  en  10 0 9  ,  par Oliva-révèqùe  d’Elne.  Le   §|jg$te Guïfre  s’y  retira avec  
 la GôjnFêsse Güila, soit  épouse ,'e t ,  suivant  la  tradition ,  ils y habitèrent  dans' le  clocher;  
 on- y   voit  encore  la  pièce  qü’ils  oecupoienf,  où  l’on  apperçoit des  restes  dé.peintures  en  
 mosaïque.  L a  Comtesse  étant morte,  ce  prince  y   prit l’habit  de  Religieux en  ro-aS  ,  et y  
 mourut  en  i‘<-j.A-.o  ;  on  y  voit  son  lônibeiiii,  dont  nous.avons  parlé  el»hS|fje  Châpiitrefl11.  
 O11  conserve encore  dans ce Monastère  une nappe d’aute l,  qu’on  dit avoir été  brodée par  
 cette-,princesseet dont les couleurs-sont,  après  sept cents  cinquante  ans,  aussi  vives et  
 âûsïi;fraîches  que si  elles étoient  de  notre  siècle.  Ce Monastère éloi* composé  d’un Abbé  
 régulier,  avec  les  honneurs  épiscopaux,  et  un  revenu d’environ  Bjyo.oo  livrés.*  et  de six  
 Religieux,  dont-les  offices  claustraux-  rendofeiit  depuis  70 0 .jusqu’à  ij:8p;o  livres  tous  les  
 an»; mais ils viennent  d'être sécularisés,  dispersés,  et'le Monastère  supprimé,  en  17 8 8 .  . ■ 
 L’édifice de ce Monastère  est  absolliaient dans  le goût gothique.;  I  h-  » j i   est H y e.  
 mal bâtie ;  il  y   a-une's'êèfrârde église ,  souterraine,  remarquabléien. ce qiùi’elle  est creusée  
 dans le  roc-. La" position  du Monastère  est pittoresque ;  il est environné.de  rochers, u^pré;  
 c ip ic e sm a iL o r rÿ  vbit avec:étonnement  les' belles terrasses-,  les  jardins  en  amphithéâtre,  
 que- Fart  y  a  ooBStrttits  en  tirant  le  plus  grand parti  du  ler;raiii. le  plus ingrat ; o»  les  pfêra«  
 droit  pour-  des  ouvrages  au  dessus  du  pouvoir  humain., Ou'tfdmire  sur tout  tm  chemin  
 superbe,  qui conduit  du village de Cas te IL jusqu’au Monastère ; il  est construit en terrasse1,  
 ayant  la montagne d’un côté, des  précipices  très-profonds de  l’autre, et souiketnii par uni mur  
 construit  avec  a r t,  assez-large  et  d’iiue' pente  assez  douce ,  pour qu’une,:voijure  puisse: 
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 f1  \  |»-s-rtrpfn-d.ihgèi  c lip   1.Jti''iÆ[ii''Mny.l<i'i  xtofo''iK5{.| T duîemJtCjiW't'feF'-ei|J[| 
 |   bois  épais,  qui  en  augmente  l’agrément ;  c’est  un  ouvrage  digne  de  11 'tii.%jfaiL>..'-|'ior Sifta  
 Rouir irtVJlrli riiM 1  MTaBKBfo- rl®rtS5%ÆM^&qiri i\RM  àsf il  l’a 
 [^ i]  -tCiV t itiifflfvfflif 'i »Tu1 1 '   1 mS frrTOjWProt  1  u^ I S mw t J1  n  1  t 
 de  la  reconnoissance  des  peuples  des  environs, 
 ff lr \B  IM  1 s 1 sfcnfcîPÇîjLIlh  <'Mnd  »t«l^4lr 
 la m  r,  et  à  deu  1  ues-S.ït]I$  lue  ,  daiiS.I#  villag  de  Suint-G enis-des-F'é/U ti}7  * . 
 t  yjivj dpi g i Iigjgremtl 1 1.'  tu  ’"oui *-fhu]tOTii; j .  jijaTl *i’,-tSu,h\ u,  .m».  *(  Mjfdl y i i-lj i^ 9  
 fut  fondé  paiil,tbbc'r,i«^'ji,&;'au  cuttl 11  1 . 0 t  jj&jÿffijpl 
 "  Sair'e  luv\'iyAVMs%nfSfaiiviJl(«4st »Lrji’nq t'uSl!  1 n  1 ^KlSiV  11 
 Fo lun t  dvtT  othr neîlfi n/'9>i  t  l lu   |ii\jl  ÿ M ÿ ® 
 m -teiridî'f ilt^lüt)n9 ijSx de.'- ujeufrn  I o n  hrti  el3li^mw î S P ? f t '’rî  l^ ',r 
 épiscopaux ;  il  passa  ensuite  la  Congrégation  de  Valladolid,  et  lut  mis  solts  la  dépendance  
 de  l’Abbé  dé-Monrii ri<it|i,nï<« d'il Vsiij^ui  n ! ®  i  u1 '’ !'! 
 Couronne de  France,  on y   a établi  un Abbé triennal,  à  la nomination  de  l’Abbé de Montserrat  
 ,  qui  ne  porte  la crois  <}i  -loilquiltolln n  1 <’t  qijuéj  ( 1‘ ifVut 
 pfreti-bi'àm 1 .   Il  r   t  l'hbib(Jttnh^sept'KàlÆiu lîv  l i   juIÎ-u  
 ri venu.  Il  y  avoil autrefois,  à  < ôté de  ce Mon  1 
 subsiste  plus. 
 • Aiuiivi-  ni 
 d itfeiiri(’-'lé*qi^MmÙrtî'î-1.*«fth  mtf*W>«Iil?  q i u f S ^ f l i   ÿ ip   3 3 & P > <X fq ,  9,*s K K t 
 (JttTiyitufi 
 Altii Vi  \ Vti 4  htAcfALu^liVlnÿi^f.roe U'j[ieliu  , iMÆjjlli- i*'  k-r.ttu  ■' -*• 
 ■  iotc*  c]t--ïâ®Ja®TiBwro^^i®S*ïvESIîrlwTrS5’'tlo  C|  t’1? 
 ,  t tt - h*  liu'uldc  l.i ■ .l'ptdluu’  (mffyf'çà 1 T i 11Sr.ru^j 
 j.qu e   fie-1.suffié-iffitEtli.-t(Un1;ribB atîal:,  qui^estjpu  , «yji  TOtTdtAl*j S J J Ï   1 
 PrieuriS:  du Monestir-del-(  amp.  C’étoit  un  célèbre Mpjaasl  re  dé -Cl  toii  1  
 l u n d i ' ' ’  ^nguMm  iliuuliri-  I f  p uiif'  un  riflit  11 il % Mi^hÿj4|iWÿlmdî/fii  
 IteA'é#' Êthaêihîe  S.  dÊVPerfftgnan,  il' aVourobtentï-, 'é'i  l 'pfiwtiHiu p ’ pff.\il«j^Sidfal II-,  la  
 confirmation  de  plusieurs  donations  que  les  évêques  d’Elu  lui  ivoi< ut  lait.  Cé::Çha[.tMift  
 »(utrSQ'oiîI' 11 lYylffisflffiMi 1 ' t  II n’én u -n  j^lÆii^jjYflffS^hg lJUJriL^BBii  1  v   f  1  t  «1  «  im-  
 nmidejtet  lîapp’ irlt vnmuoir8  efor  lijpf s , «ty-clur d un  f  ui<„f{fi  \  i(,a  1  g S fewÀl 1 :4  •  M  
 titre die Ghanoifiie, qui jouit d’environ  j,a o   livres  Lt glise subsistf  Ut#«yijl)&l6ijJ®tty9'yj  
 sj^rajoTT’  di "*ii ittrnenscpii‘Serventpux Fèrrïirérs. ^ 
 l l y   a^ent  tiu nri’ dittrslon  tir  Kouu'.iWffi ’tlêwx  l'itf  nn,s‘ 1 f-tlifflSE/TtTHti’ tf  
 Bm H k s   l’i 1 n 'a P l ’hmlH^ra^æA-ugiyhl?F%i  ^erfrmrpf ’ d h   im*-Vrilif ^ n n ^ l ; '.R J Î 3 B   
 iJl^feywSainf-Sépiufchotte d'AJérusalem,  à Mar&evo!  1 11  w ü ÿ W r f p 'Y ' j ' f l i 1  1^ 
 né  reste  que  lemsîégl'ises  Les'titrésri&ÈJ.ès  revenus  ont.été réunis,  ceux  de  Serrabooe,  au  
 Prieuré  de1  Sofeone  en  Espagne:,  et  cmax^^Maite,Vf5kkr^ r|fM ra^m !i’iitt^?<wwoî,l>. !»idieir  
 ^fiiiça  en  Ç ^ » e » t.11 
 Il  y   s,  enfin,  .r  Perpignan .  un  Mtoua  n i<;,(l®®bSfl^if(7t  /r-tJi/i*iC \  de  jT B E f c jS v y   
 dont  le  iCoQvettt* est  sous  lé  titre  rie.tSdinl^Suü^eu^yQe  n’étoit  que  de  simples Religieuses  !  
 idS?i’©itdre dè  8, AügCB|ltt,  qtn  furent  tra$$féfé$s  dÉ spita^ r-l'ïgk v   • ürhiAnîaSEîSniÔtMK  
 H am m e n t  > du mhïaème  sièclèi  Elles  ont  la  quaJitb de 
 (rr é g t a ® é S ’,  ‘çft  suihK  lbrsqu 1  ilr^gfriMèi  < lr;t  jî?i«.~îP’ tnm©|AtÆMyi\-?i’ . 
 p.ucuî^titrè\âul  » *  y-  jîb i  -f1'*'JîNLsnV-''\gulènt  [ J t K S ® S n î f ; î ® i ' i ,i  /Htyli  
 BexfrâGTOlBi^M'te. puiÆfe  qR ^ l w  ' egSr^'dp nl‘ tuTOWg C la f^W '^My r  ulitu  uratiffT,  fl 1 \ 
 139 ƒ i  e V-^^araSf/.V  -  ‘ 
 d’u&'é'famtlle  noUlë  rtal|RWnYl,^' 
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