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 traverse la pïairie duffl^ù%ilïoi^‘ibaign'È!|les muiciillcA.de llejpraiiviirCsktt vase-jêter.dails la  
 me to l f t  iSniiÉèÙQiclm e ik  ville.:?('M^fiaiyelM wÿt^ ^M*arie.  .> 
 ftuc!»- ijgm V c jp rc ,^ ^B lâ «d  T joui 
 dun-ilî  haut Vallespit,  au\ 
 q u e t t f r a p ^ iK  partie du Roussillon  et se jette dans ||a«e.r. entre E l *   
 jet(>ÀïMlps,r derrière ÿàSljàôA'i-i 
 7  'lùviiis A qu ilin its-, prend.sa source  dans  les montagnes du dioieit  
 dï^t-du.' n’LtUigiji rlo<  . c'irliCjéri’JJ^/SKjÆpiiSi_,t]îl  -LUfi<-1 ^ patçfyOT&üne pânieBMjfeplaine  
 ^deipe.tte^ prpvirrc.e,  jïas’ap à’Espira ,  àjPg*e,$akes,  pres(j[dpüij§,U?t Lauij&Ædedja “Sa'lj^pca, -ej  
 sê jette dans la  mer près  de To rre lles,  au  dessô'ùsdlè  Saint-Laurent. ■  ■■ 
 L ’Aü-DE-, A la x  ,  prend sa  sÿatee.' dans le Capsip^d’un étang du même  nom  d’un  quart  
 de-lieue : de  tour,  près du village deàAngles,  àdèu xlie  lie s*© u §s t*  oj,an s j f f l l 
 Pu sr| 111 e i r ç e - i r - e  'lj^&'&ijisa.ù ^udijfHuiuWd sjs^jÆlfajûEfl^nsaCêteipS^] ÆAfciÆHfaSai^i  
 canet dansle■ IJri'rms^n ftafi^ ^ ^ ^ g w iM iy cVal.adiirr  eijelSjlÿqa^i^^mSî^IiierigAe.il'oe.par  
 d e L e j^ f'v  yd’A lut! fctjSfi 
 L a  SÈltR'E prend sa source et son nom de  là fontaine de iSqgrg^.dans la [ aitie’ sujie rieure  
 de ld v  illée  de  Llou dans 11 Cerdagne  ,  î  quatre  lieue s ^ U ^ d u ^ & j^ y ^ ^ n ^ e ÿ i r t jç e U p   
 f|| JeÇ 3tp  iscc_ à  Sallagosa,  f t  t i î f t  r-e  toute  la S'* i d jgne  Françoise  jusqu aiMfe-.  ou«,  des.  
 Guinguettes près  de  Puÿcefda,  où; d ie  entre  (e n Espagne. 
 ;   Nous ne parlôns-poin.tSéi des LacS-el  des Étangs qu'on  trouve  en Roussillon ;  noiK nous  
 en occuperons ..en parlant- de lliistôirepllij'siqiue et naturelle  de cette province.  ■ 
 Le s  montagnes  de  lu  province  de Roussillon  sont couvertes die Tours  très^ancie nnes,  
 dont on ignore  les  v niisyii... 
 défendre  contre  les Sâi rasjns j  lès autre s  croiént  ave c  plus  deTéndement quelles  ont été  
 destinées  à' plaqer.des  signaux  et  à  de fendre  ren tre:è  des-passages ;  cêÉif-opinion  paroit  
 ■ la  plus  vraisemblable ^ plusieurs de-cesT-’ours  sont Situe es  de  manie re  à  ê.lre .ap perçue s  
 des  l'ours-  voisliics ,  çêlles-ci des  autres ,  et  ain  i  successivement,  et- a  se  correspond re h  
 pal je ftjjut eqeiijajaks jm i s  ai Sfeautn s .-._e WlOjtSfejt/Ji,1 ’ S-'î?;<al7.lfel ns  a. l^ ^ t eueJv -.^riilli'fistr  
 des  gorgés',  ou  sur  des  montagnes  qui  les  domine nt.  Celles  qui  existent  encore  sont,  
 en ©Mfléni ,  le château de R kpidera  au dessus  de  Rho.êez,  I  1 our ele PamçoHs  près  de  
 Mollis  ,  ce lie  de  Mosset dans  un  \  dion  au dessus du village de ce nom ,  celle  ele Mets--  
 carda  au  dessus  de Mosset,  celle  d e ii/ôr dans  la vallée  du même nom ,  les châteaux de  
 1 1  luùt  ile .( ^ J f a n ^ w rT là '^ ^ ^ g n i ,d ^ r J t e f i ï ! ® ! !M ^ ^ S |^ ^ ^ K g j^   
 dé  Creu  e t de s  À ngk s 5dans les de us  v filages de sjfiême s noms 1  diuis Ta Cerdagne,  c e lle .  
 de Gaetdans le  village  de  ce  nom ;  dans  la'vallée  de  Carol,  la  Tou r Cerdane  à  l’entrée  
 de  la  vallée ;  dans  le  Vallespir|rle  iSrislêllasi sur  la montagne  de  Gêrèit:  le s .-Ifours.-deîlà   
 Massane sur  la montagne de  Sureda  etv ia  DiciMt  sur ce lie d Argelès.  Quelques-unes de  ■  
 ces Tours sont dès  res tes  d’anciens châteaux, fo rl ifiés.  fe 
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 H B   A  P m l   R   E  S  E  C ' O 
 t 140 n  d e s  « S i  l l e  s to  îiii> RMtbfS's 1 lu  ojNfflj 
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 Bcf ni huitp n oismtmrconunim niUsd1Jan-lil e1 .umjÆ1  enyy>i3f } ^ ® S 'M ™ ,’ onneâl 
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 dorfemssés  (le  '.J1 
 ’   dles?dùi(fprhtcidMRülû^il'[ori 
 ~côllü)t  tanùi^tJ’fj'e i s >  rup  11  n  I 
 tude  et au 4:  degr. 4 r min.  S sec  de  longitude,  à deux lieues 
 111.  t^-tei’t im M a m ^ . 1^  s dT(l,'ii|l t j s  t  t i,de'l 1  Iftnquibaigtfhnt, I 
 1 npnmjeie U ',inm r d i j c s ^ ^ ^ J L I * ,  la'di  iUitJacel^^d^^wi\T^iljl>il,lÇ)1'l^J^?P},)^ J ,^m''  j ] 
 j fl'irinîij1 ‘[«P1 ’ "  ' ' u  l - f ^ 1 
 a 1111 è  l’admirationdesconnoisseurs.etladernièresurunbeaupontdeplusieursarches. 
 L ’origine  de cette ville  ne remonte qu’au  commencem t : nt du onziè me ‘ siècle  :  il  en  est  
 fait mention pour la  première fois, dans l’acte de consécration de l’église d<  S . Jean, qu|^s|9 
 inlr^i~-l'RatC4?up jjt îd S . 1 ^ D f  11  |l '■  j u j , | [ ,‘^ 1   ) l l 
 paroisse  de  S. Je:  n  :  ses  lin ités  au N  était nt  les mêmes  que  celles  qui  exi  t  nt  lujour- |  
 d’hui ;  à  1 E ., à l’O.  et au S .,  elles  e toient iMarquées  par  un  fossé  qu’on  a couvert dans  la I  
 suite pour en Faire  uin  égoût  qui subsiste  encore, e t  qu’on  1  voulu mal-à [  ropos  présenter  
 comme ù#©uvrage des. Romains. On a été.induit en e rieur par 1 abeautt: de  ce tégoût, assez 
 à  la  fois ,  pavé  en  pierre  de  taill^, I  
 couvert iffîm e  voûté  assez haute pour pouvoir s’y  tenir de bout, bordé  des  deux côtés par I  
 une banquette,  sur laque! le on  peut  le  parcourir; mais la c onslruction paroit en être  asse /A  
 moderne  et  ne pas  re monter  au-delà dn'quâtorzième ou du  (piinziènie  siècle :  on  n y  voit  |   
 rien  qui annonce la magnificence: des ïlfetmaiins, .et la ville de  l^erpignan n exill^it,point en- ? 
 1 o) i^lorequ^||" îüuf'^loiiltictail S ^ ïre iU i elomiÿduflçTS*P 
 'î  pdinô  le  Krju-'-îîllonTntuîqjinse^ji  101  cf \i-agpri,  quc~3 ^s|ne,c»j  
 rtiution  Pr omt j j j t qi ^e . de ut i , 
 P u ig ; mais on se contenta, vers'l’an  1 a 5o ,  de  peupler cette partie, qui demeura séparée  
 de P e rp :gn an ,  et eut  ses  officiers  particuliers.:  el|||Mt  réunie peu  de  tems  après  à  cette I  
 ^j.ll c”i é ’e-lt.'deralii  IrjEme e utôiJtrWUJxj4ipggftJii''1  ii^ 9 K |U (  • .^ e ju la . i j ® # )  mei î e ^ M i j l   
 [V ^ e  al  t|U occupeWaaufiÜfcmejInfo^CTijv s 'l^ S p d -a l 
 tant de  ipiÉomptiitude ,  q u e , vers  le milieu  du  siècle  suivant  ces quatre paroisses  reunies  
 firent une ville considérable! 
 M g S I   ville a deuxlàubourgs,  celui de Notre - Dame,  qui  fait, par une  grande  et belle I  
 ru^l'a'-aQntmudïtobîdkjp j ’i  payodtfPon ,ll‘r'T C ^ B l|1' 1 (l'jc^ g à ilù jnl S l S lJ^Pflj^fflba I  
 bm  sun^ ^ àteds  d e S a im e ro ^ e 1 ilàEàs«e ,1 1 1  tirrojlîiW f c i j^ ^ e n m   
 bords de..çèk'e rivière dans toute la-longueur de  ee faubourg  :  elle  1 quatre  portes |^felj&ï I  
 (^.Notre-DàmèMuSM.^teS.aint-;Martinffit?de  elle,  d'Elne,