D I S C O U R S
a &r TH iJla ire u èsiP r i.\ e-c s- J^ ir 'm ir ^ ^ t u r Alucâ'tïqft); q&cifjhrîlci DefcnptixM
des P a ÿ s de *leu r ancien, appanage, SCc. <3i§f|||||
'■ ‘Par M . B i. L Ê^IN
L ’ e n t r e f r i'Së ',à'ane Defcript r * é particulière de* h W j î f r * j
COnten mt l’Hiftoire Civile, Naturelle & Économique du Royaume,' & celle dè
toutes oTmtes \ oit'liïccéder
à ÉoTO*lÜfeaa 11J ^ m t m n i r o . tei a dam im^jESnyie VèümiiÔTÏi
Le Duc de Bourgogne élevé par filluftre Fénelon, & devenu par fes foins un Héros1
'j'fraçà lui-même le>plan d^çëtte'Defcriptio4,;^roji4fe' Lavante
înftruûion qui nous a été confervée. Ce Prince appliqué- dès fa plus tendre jeuneflé à
l’émde des devoirs dé la Royauté, avoit pour principe que les États font de grandes
familles ; que la même Economie qui foutient les petites familles des particuliers, fut
-iWqlpuJér .IS^ f e fnTc -ramillc ~dè l’E tat. qulllffi uli'U'cunÏJ \,ei tO^i^lns-milque l?în' l&
oefaüiaiirànue des5ÈevlnW^del^dé;^We &icju?â3ïifi le fêul moye&®®iblir|ü^.ufte
Gouvernement, de faire prolpérer. les Rois & les
des Em pires, qu’un Prince n effc pas moins obligé de pi endre, qu’un père de iüindl’è
^ '^ u i \ Sm y i i r t in ^ j^ ^ jd t il'i^ ê u îiKm 1 QcV^mrePuiffiîrfeé'^n'^ant’pas^éînpS
fes vues, leurs immenfes Mémoires font reliés manufcrits. Un Auteur s’eft contenté
d’en publier une médiocre réduflion, fous le titi e à 'E tac de la F ra i ce, en fix petits
vol. in - 1 x , dont Piganiol a farci là compilation, fous le titre de Defci ution de la
France. U ne autre Compilation aulli inéxatbe que < elle de Piganiol, mais infiniment
plus volùraineufe, fous le nom de grand Didionnaire des GàuL r S de la France,
dor t il y a déjà fix ou fept .volumes g r n i in-folio } n ell qü’une nomet c lature 1 çlie
& aride des lieux, u r. , çônt i 1 fable > & des Defcriptions
imparfaites làns choix de fans liaifon, telles que des matériaux râllèmblés de toutes
mains ont pu les fournir, pour en former un vafte Diffiorinaire • rudisind gefiagut
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