■ k J ' . I ' R ,È .
. pierres avant le '%blân ,>éloigné, d*une.«deini-heure. dujportr ; d’où on
i iripnçe i,pr|;fqu.e -jufqp^a^ ^i^^leg^ms^qpà^ts.-dîj^u^, laj0ànt à
gauche auprès de ce village, un château à gauche , .dr^/tj^yerfevoer
village, après JequeL où uaveife une grande route dont la droite con-
■. d ^ t à, tAq^e:'& Bugey i ^.J^g^qohe à, .Montferrat & ' ^q/|Prisx& -On
va emtidis qpai ts^d heure jufq^auGaz la Bd&d^dq^qp^à^i~q^ -i$i
' pafleda rivière de Bouèbre au gué ; après le Gaz onqu-itte la grande
toute, &: on prend la >çhôll;e j *ÎU1 conduit en iinc demi-heure à Saine-
; Andié la Palud, en montant un peu au fôijtir’du Gaz, & allant enfuite
<- en plaine jufqu’à Saint-André , d’où on va en une-heure .à la bâtie Mont-
, gafe011 » «en defeendant à la îivièie de Bièvre quqn_-spa(Te auprès .d’un
moulin'à.,droice , auprès, duquel qn remonte , & on'anive à la Bâtie en
. pl^^e da|[d|{|é- on fuit j.ufqu’à SainCTBarthefemi j ©np.rendrenfuitc ia
droite, ôn pafle dans les b'ois de M- de Faveiges , & devant le portail
du château,,qu’on lailfe à gauche à un quart^d heure, de .SaintdBarthe-
lèmi.pu châteauson dfefcend rapidement auhameau.de rayergesoù on
, prend la gauche , & onvatriy.e en un quai«t-dheuie à -Ivrieux ,*on fuit
enfuitC'le coteap, laiflS^E.|Eéis^étangs à,droite, |ç!©n' -ÿaerijunedemi-
h e u ç e ; : p î i ^ r i | aup^a^nt un^écp^em^c diétang^^ssajupres
j d^un étang i de-là(ç>n defeend, en fuivant^lc vallon',&,tqujouEs de droit
chemin , & à tiois^qpaits-d’lieure on tiaverfè le giand1 chemin des
Abiets à Aofte , 8c un quait-d'heuie plusr,l©nnon paffeî'la «uyièie de
Bit vie, d’duj on ^va en une heure un*quait £u pont en îejoignantdë
tion de la defeente. aUrdel^j^de Mndinin où il y a de l’eau & beau-
-^rcAhp de pierres qui font abondantes jufqji’auigiandicheinin : les coteaux
:|e: tgtreiri ^nC^foujours/c^^m^lesiprécéd^brL^^ ^)^1^ ’^"!^'1^ M
,on>Ærouvetquelques màffes de fdhifte talqnenxdansda.toiEe^idàaà®Afe
..fprt^jpnrda briffe, &. jes.;pjef 'i' B»s*y <
,. Du pont de Beauvoifin on monte par .la grande route de Ly.Oïn, & '
à la ciorx au-delfus du pont, on la laiftè à dioite & on*ipien,d la gau-
che, j a r iàgjmhé^on-va en une heure à Pi-ellïns , aupiès. duquel -on
i Paife k rivière de Bièvre au gué, dont on monte une demi heure à
^Recping,; un quMt^^e^||B^*lpg^^jpg^^iLham-eaui,duÉ^^tfi'5*
' ^^^ ^^^^^à'ÇeQju^^ghJuhetdémilKeujè'j^Mpm^â^Vô^bn-’
^ joint 1a grande route des A’brets à'Voyion,'qü’0n< fuit 'dans le village1"
de Montferrat, dpnt on laiffe le château à-ga'uche--, ’& laquelle route
„ & auprès de Saint-]?<jnç à gauche un quart-d’heüre plus loin * on pafle
ladite ;Hyi||| au' «lié,, au p ^ ^ d u ^ n ^ lm,à?aroite,;vOn la fuit un- quart- j
dTieurè '’f u ï ^ - d ^ ^ ^ y | d t u ^ ^ ^ ^ ^ à . .gauche
( paffabt fd|np|s qfiart d’hçurq.ün’ruilfe'au ,■'8ç ^
■ on pi end la gauche, par laquèlk,on nffome en un quai t-d’heure à^Samt-
EuelVaprès'fequp^^TOU^dë^ehéromsT^MehÆ^lnafela-ga'uché;"
1 par lequel .'©ri mqnce un quarc-d’hèure' dans des- châtaigniers , & étant
f i .monté mttjroùyé deux' a u t r è s f^ < ^ ^ , ^
par lequel on va en tiav eis, Sc on paîTe auprès de deùx\m£ufàris à
gauche: n i p e u ^ u T lo ^ ^& ^ ^% çV e . dei^ ^ ^ ^ ^ ^ o nm e n d 1"
^ t ^ ^ TO^F^a^ùhridefcéhd' un güarj-d’ijeùçe jufqffau ii® ^ é ^ |É e |^ u = .
ferr|:^_^^ff 'àf^ ^ ^E on fuit un ~ Mtit^y|fl^ | ^ .'on và.eri'
■>’ heure, aux W fêu es & poteues Gmées auprès de la rmèiedeBqffefiéa , ■
*qui vient .çle Saint-Jean ou on conftiuit un p o n té e pierres;, & qûe>nqus i
v,avops -
' - - ^ P ^G^(iers-Xjf
; qù’aujpjin^Pfi;eauvoifinkp u ^ ^ ^ a TO.,e^^ q ' i l s ^ ^ quart-dJheure :
les côtçaux <|e' E^çt'&r » ■ en quelques 1
parties de ppudingqe :1c terrein eft fable'ux jufqu’à Valferre fur la rive
gauche de la rivière dEygnant, &fur larivpdio'ite^y a une jnafîè
' ’de rochers calcaires, au-deflùs de Voillànt, &qü^*çmtM^jt^qujaii>
^ ^ làh lë sk^ d je^ frn t.,
^ e Sàinc-A}lb in , & il y a de lLrgile auprès des tuileries & poteries.
Le pont de Beauvoifin eft une petite ville, moitié s France , moitié "
^ à caufe * de la facilité à- p^jèr..
• d^;rOTaum1e a l’autré.; ’ ||
L u® 1 A y ^ .P , f r ^ ^ ^ K ^ h e u |é ^ n p te n d le chemin
# niT'àa&n '
i'qu’on-remonte jùfqû’à upë molaffière, qu’o p o n |e
^ fiu ^ n p£u en montant s ^ ^ ^ ^ ^ ^ d ë u k ^ em m s 'H om p joe d ^ u i,
de la dioite., qui conduit à Avaux en une demi-heure, on valënfuite-
en un. %u^ c^^^^^.^Ç^Ae^BegmegprdL'.&:e4 jm qüartrdîheujce
apiès^omamve à l’églife, de Romagnieux, enfurte on defeend un peu ~
au hameau (dè.'
Chanel, d’qu ©n Hefcend à Aoufte à une heure deRomaenienv; on rra-
;verfe' Ap&fte-- en ~.partie, & on p ren d ^ d ^ te ,^ fentf va par la grande
Vrou^'e4.m^^bi^ eu|p ;g r^
nant’E^gai^ ^ l m pafle- la riviere de^Bièvre ai^^ ^ ^F^mfuiyant on
va en une. demi-heure ; au hameau de Chaflagd., ^èn-une demi-heure
f f d e l a .
on defeend par ya ëmhitéXVeyrins cn&i
une demi^heure, en pafïànt la,~rivière des Marais fun.un,,pont de pierres
L noh-plo^gpfcdèT^yrins ; après /onjmônoe lê|lp h g ^ ^ Ju n ^^K. làiffimt
«Lgauchela mailb'n de^!^dèmpifelle yerpeys;& celle de M.Defcoxnbes, -
fe y d p ^ f ^ ^ ^ riyegauphe,.du, vallon, le cotpau.du’Molard^.dfahpav,
^ g f^ nn^ubas ae^^^feli^eloighe d’uneidMm-heiire^&^vrirtgX Jftr.
dont cm laifle léglife à droite,fur la hauteur,, & on prend la gauche,
-par1^laquelle ôn, pâflè le pn defeend à Gracieux
en trois quarrs-d’heure ; on va enfuite à Aoufte en une- demi-
heure -, en paffimt: dëiix je e |i||im fp |5 ï^ foe # ^ feth'dm ^ ë le. Bièvre.
’ la droite par la grande route , paplhqu^ll'é pnsva_erijtm qùîut^d’heuré
’^■,^^ePïlHï1 >en payant ladite rivière de Bièvre , auprès, d’Aoufte ; onff
quitte lâ g fà ^ d é ^ ^ |^ ^ p f l^ s " d B Ç h em iliii, & on prend la.gaüche,
par la q u e lle q u '^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ p ^ e^ ^ u n e ' d^i-heureku.mipluï dé/ ;,
la xiyièrë.î de-Ià'^u va
^ S^^int de Bgahyoifip, 5n;'iÉnkhrêhM<ifhquart, en pafïànt uni petit
rï“^ e,au j auprès dJune grofTe ferme rejoi^ànj^î'
le chemin, qu’on a pris à droité' pour aller à ÀvâuxjLlh’onCui^ufqilau -,.
'R°^F; Les environs de ce chemin-j & tout'ce térreii^ô’èftque cmlîoiix
roulés | éhgpelquespârueLfeu^emeht^.eftJ^leux^nn^ de-la mo-,
laflè':a.uitfès-^^^^ ^ ^ i r o uye^b^ucbup <^‘hqu‘es dans les'marais de,«.
Boihagnieux, & après avoir palTé la xiyière de ‘Bièvre, eri allant de
Saint-Difdiei à Ciers. On trouve des|Squilfes;au coteau du Mollaid
i t f S 'T ey,r.ins- 3 & touc:^ ff« 3uPrès "
une'mijTe'id^gL«jp^i il .y a du calcaire. .. '
Du PPllt dé ^Beauvoifin on vajaux' Abfets' en une heureun quart:
kri--fqiVK-grânde monte, ddhkrLÿdüe, & au forth «
» qùi'on,
^ ^ jg ^ ^ ^ S ^ r i^ ^ p r è s.d à^W ü ir ik u e tta q u i -
dants dé-Tteffins | & on p^e'k^rmère dé'éièÿre.îur un .poqcèàjx. de 1
à^gauGhe poui,piendie un .petit chemin^à dtoite pai lequel .
on palfe aupiès d’un étang qu?on. laiITe à droite^ & dont 1 écoulement
fc jette .
on paflè cet écoulement au gué, & on àruve à Saint-Michel dePa-
| ladru, à une demi heure de Montfeirat, larifants'hu rla dioite de, ce
^yahpXle
, # 0^ ^ 0-130 jufqu’au.m0uhnVera, appartenantaux Pères1 Cliarcfeux:
fait tourner le moulin«; d’oùon va en tip«quaicsdheiue à* laSilve-
Bépioe, iune^demiheuie
fur la -montagne ;. ôir va peu de. temps- en,-.travêr«fes ;;;&,'0n./defcên'd.
| en uoe demi-heure à Virâeu , en paflhnt-auprès. ,du château qui«,eft à
droite; on praverle^ce'bourg, fe-^U’extréinité oh.laiffè à droite le che-
’mo1L^a ^onl: ^ on P ^d " celui<.de4a gauche, qui.fuit le. lit.du'-ruifl'êau-
de Vaugelas, jufqu’à fon confluent dans la rivière de.Bouibie, qu’on
palfeauguéj & aprèsl’avoirtpa(fée ori,prend kdroite, qu’,0nfuitxenviron
fix minutes , où on prend la gauche , par laquelle ôn-monte,à:Euvelun ,
hameau d ç^eli^^^n.rtavetfç-én^ite ,un-hameau de^Montagnieux*
éloigné d’une heure un quart; de Virieu ; & on palTc fur la chaufTée
tfun «étang qui eft à droite ^ ^îq^defcendXri-..château'd'eM. delà
^rtér, q p ^ ^ ^ ^ u c ^ d ’oiîlÇ i v a f n ^ ^ ^ e x i â r f a f e j l r -
£ djtPln Miide»R'achés:
_^rX' % tetojours; des^^lk^^^és^long^qéree.routfti'ô&.onîitèôi^e
des côteaux^en.fable après le palfage de la rivière de Bièvie à Pie/Bns,
& en'inontant à Recoing une malfe-de (poudingue.à S droite 'du chemin.
Le lac de Palkdru^peut, avoir trois mille fix cents rbifes de Ion- ‘
arriy^k-da/GBartreufR; de-, la Silve^Bénite ^hoils-4trquvâm^ïtohs 'lés
Religieux à la porte ‘qui acc0mpagnoienDcleux,E>amcs & plufieursGhaf-
feursr,^i>pn§.Momes/,,contre;lehrv<OEdiriaire'y nous reGureritücomjWç
s&es'igçns; auxquels ils,«ne dévoient faire* aucune, attention' f il eft'-'Ÿfâi
plus honnête 8c en même temps plus^agréable ffur-toutpohr
dpr perfonjies; qi^ui^ fqfl.i^poinÉ h4>1^^ ^ S ^ ^4 é s^ eÉ ^ ^M è ? j.iie
pas^nter les-yeux de^deftus-deux Daniés», .quérle^lesifixéi;,«fütî.tr'dis ■
ipauvies etrangers mis en vrais, coureurs dejbois<^:'en voyageurs i oh
rhfa^ offrit. cepen<knt ( par. réflexion ) de übbire, un èp^p.’^coimhe'rtô'u’s
H
"«'JjWioris I• * ? y jf f c& fê ïï.tjf, ^fnSCre^''1 l / 'i f - r * Wi’.if
W W i ïW E A
*,ft « i J i -i i .
*«* *' 1 uc fur u t I lu au-d lu i bourg. M -ippb: *, i [ 1 [
r de L»"gon-i il' eil agrÉiblii.par i liàÉiôn i on cri i c
‘ "r 1 *1 ,'C. x J W» ' fff«p j ^
•du enf, &,d i icéüK fc' r - ÏUclie do b i f ,• , ncipalc-
7raoht daiùicèlm qni.palTc à Lci lzflHli a' fe'C iélico. H |
C l JhH 1 u 1 tleni » u\e à 1 ir e tc le n l à i tr 1 . I ;
De la Tou: cUiil j u , ^ • - ' 1 ' n envi -ènàt n
ccl ‘ où:°" P le « liM ® rc do n Jins for mi pont
•.pierre , & ooe ancré bcïlicise du gne. auprès de laquelle on laiflè à ,i.
“ j « i-jVJïto. a * . -» n ’flffi iff ƒ vir., '!Vj’ -i1 v '-1 ffaiiti i
-morne à Sairtr-J en un- quarr-tf a de] i Xi u : : un peu au-deffu *
on trouve deux heu in , mie'cfoii ‘ j uilieo, , ■ ren la d oice,
i & - ƒ l u i i 111 mai c«d'hedte‘,ï.ün:.ls i - u - le ï lo iiin , qiïon IadK:
•à droite avec un-vieux châceau ■ i-va enfuite en un quarc-d’heure au
hameau de Reeulcibrc . JailTanc auparax mr à droi icOun érang >r£
* «*■ 01 [ « « f‘ e liimeai , on laiITe, à i ? ? i ;i- :ont «e in TZ, ]
defeend dan i .0 is.,aû-fa luqucfcih „ ] . Element d un mara
ou peur dcaneigauche; on va enfuite ëu plaine .SL'idH palTé entre deux
autre» étangs 1 écoülei e c lui de.lhd ,ite, un peu au eil us lu
. hameau de Montcarra qu’bu ctavéric'i & él . t ) & ‘ i®1!. -d 1 utc
de Recuiefor : ou-laiITe à gaucl e le c à li .délit tcàrt & oudet-
,ceud eh un quart-d-heute à la chàpelle. de la Magdelaine qui eft à
tga içhe, d U en il . ' e n f f :e ]a
•gauche u u lie o :e'à' laTchâp:e I* J Saint-( llïef < |u-0n j j i
lu.- e, d’oî , ' nrt ix i, — 1 JY» ^ X
on flhau guet 1 A J- ir on m e uedei î- àDemp 1
teficu. Iaiflim ï droite dans .là-plaine le village dèSainfeSavinj après
•on dcfçènd'. on remonce . nfed'çfce i» i*J amcau.de la R ,oire
après lequel on p dlè au |ué la rivière d I urbre . Iaillint à droite lé J
•vlljasc c f l 1 % , iprès de Bourg, n «unetlieiire de Dempteiïeu f
on ,re |J «*' ; à l ourgi n i roi te de Gtenoble. qu’on fuir 1 „
“" i heu e . le i ■ , en ,pa I. i l*î™H*jaSî, W )e'»'( «
tdcnli heure plus loin à N , .* ..& ch ce Rulfi m&Nivolàs inriii - I
1 1 4ÿ0 ÿ Pc J " a-pferre jlni quari /d££ji^ ')^ J*.'S |!*ai ^ iîlil e I
ledic ruilTeau fur un pc i - 1 ] m t u s'sdmhame u de Cutter, qui
e®à B uchc. un ti rart-d'heurç-.plui. Ipia on trouve deux poftis. de
l^l|lire .-au milieu d tfq u ^ èft-un cheniin. à gànché' qu’on fuir , & on
abandonne la grande route ; on monte en miè denüdïeure à Château-
VUain; & au-del is de PégUfe n u 1 Iâ gâu'che , par laquelle on I
•jdefcendf hamüàuï’dc I
ÿ lèin i. in une demi-heti h'ç J - ivd ns un bois. l il' .„c à I
gauche le château de la î 1 ülent . i a l 'i r'deux h i Te tix.'.&r'aiiprè I
d'un-éuing qui.-eft: à droite .en une deTiii-heure. d’od en ^ale diftimee I
Kiiiïca’u , &' '-iail^nt à droite 'le
'■ cl e i-l '■ I, dé Va i a lié, c J ** r a ë;on i1 ive t ie I
' c , eh , &ap csJalchapêllel in l'ei ll'echen n l gauche . paflfequ'el J
on defeendimpidementlà un tuifleau qu'on pallè'.iiuprè' d’un moulin
à-droite ..joint..au-.hameau des Êpihêÿs .idioù'on vaén mie demi-heure I
au Bas-Curicu. < ùioflidIcfcend« & on [ il c un ruilTeau. là H uirà dre " I
le château dë Ciiriçu' à 'M.-'de'BoRaci-dri va1 enfuite cniplain'e 'én une I
demi 1 ne à la. Tou -i ii:jPin.i-tous lés’ cotea i « Sr.i n-ce ns. y t u.
' 1 ues, c’cftàRirc, en- cailloux coules jufqu’à Btjîh^iui^où' I
on trouve! ' eô:eaüx,.eni lé,qui fe pntijfuêi , ' k a‘À ! l lB r î l P I
^hafestT'dilami. où on retrouve rlri':uhjJ^n-«f- I
gros bourg fituc au b.is d;ûu coteau . rur-la-Èii-éi'clroite de’ ]a.,iivicre
d« Boutbre.il.'éfttravcrrépatllà'.gniiidë i bute du pont de Beaiivôilîn J
a Lyon. Saint-Chef elt un autre bourg, fituc au bas de' plulîeûrs.'cotcaux , J
qui ont etc transférés &-réunis au Chapitre de Ramt-Andrc-feBas à
Vienne ; ils onctotàTeincnbdhandonné cc’pays', à la réferve desiéireuus ■
dont ils jouilTcnt tqujpdr , qui fonc àrèsfconfidémMés Bourgoin efl:' j
:unei^;^^^I]ehlrtuée.a^:bas;«âefèc^K^ ^ >^ ^ - ^ q ^ aucj:c :^ J £ .:l
'■■rivière dé- Bourbrèj cllc éfl: .cnivcifée ■par-ila grande, rou'te'ldu ^dhê^Ê J
Bcauvoilîn..à'L).on, & celle de Grenoble à-la mcm^-viHc.';' .f • ’
De la Toiir.do-Pinç!pour aller ;à Morctel , oh prend la droite au
milieu de ce 'l!puug , àptcs.;ày6ir; palTé .une béalicrc1 dchnouÜiis fdrun
pont de pierre, laquelle remonte S: oncoiicinuede monter, & enfuite :j
/9n-;»cnïiplainc en trois quarts-d’hcurc à la cbapcllè de' la Tout, d’où
: oiVitravcrfc la foret de la Molette,'laiirant au'patavint ù droite auprès
dc.la chapelle un étang-, & un fccond aullï ù droite un p’énipluscloifi., J &eoi£suriv^,iiMbtTokiféehl^'Éné^ï^fh’(hù'i'ef^rcï^^Ê,Hrâitéibni I
.■défccridién...itrois'iqoarts-d'bcinc,.à,.,Saiht^diii-pârldéslbpis,cn fiiivantf“I
uuaallon;an bas de ce villag» on p a lt un:'ndlfeau0iapres lequel on
deux t& ^ ^W d S lf& ^ e îjjld té td : jl y a
trouve or-
11 » L ü l l Îcs à Vkif >“ ‘ tel elü i n gr i tué fur le
E 5 id'Un.rocher .calcaire;. U y a- it autrefois une tour, laquelle
I n
n | |Æ p r T li' Su J S d f ’ % ! I H àyoir
I * , i " ‘ J / r , b
à Mi$fèïïVn
une heure,Taillant à di 1 f. 1 Ti ’ -i f ;
E - è , 1 i K o i 1,1 » J ^ 8 I u
L j„ „ « , v > m p; c - y r , * s£n,
-tiuy1*!- M W B B B
' • 1 l 1 1H H H H 9
I-'' ■^ , y à ; fèn
i/îdè's £ i
I hièrieux1;'/ ôri va ^mmi^en^^o^qüp%à’h è h jé |^ ^ n ^üemiehlrcn
I pkfl^t^i^ ^^^m^ ^rèfâupres
RMêSrfottéipri^^r® t6rimér)mnf^^^Mqvu
,ilàilï&iît a g^p®lë'.vjllagé
^ g i e r ^ M u ÿ ë ’ lwiire ^quàrriqnpafre à4 Letieuj\bahdbnnànc
le Rhône 'î^muteihrMri châteku’dex^ârpày^lL^ à gaaçhe ; & [é%
-il y/a’’,;
^uheî chàmer^éj^egrs»ç^ea1ïx/.càl{^^qù ^Q mi ^ ^ e^ | ^ ,»•& ‘ é’avaricé veMS^^Sv^tê'r^Bfâiigiies : 4&lken^tvwp.ant le long du
Rhône, vient finir vers Trepfc, près de Sr.-thèf, & retourne joindre
^l<>ciynm'^cemërit:â MoretelM ^ y^tire èn |p lu rië u re ^® q ^ ^ ià ^ |,J
pierre de taille, ’-fe^^rqm^ux^raèms^^Mon^lieri'&i de^eena’; ,
\ ces rochers font par bancs h©n|bncaux< 5 ils en font «des efpèces
de iauzes , dont ils couvrent les maifons dans toute cette -partie ;
'ÿés'^i&rÿOTôïïJtire
îochers forment un coidon autour diu Rîhône> & font couveits de
'• i ^ f l ^ é h h e ces petits coteaux les terres qu’on cultive font en cai 1 louxra
r.6ulés vêri quhrtz , granit'%c calcairestj & dans,le Bugey l'esLocl^rs
niquy^is pas^'
!^^riJ.amW4g ^ o i^ ’’qm^^fè^uïc’4^ïïoM;>c’^u® âhas<â
^ ^ ffi^ ^w ^ ^ eR li^ ’de^ett^iyière ^ u ^ ^ ^ ^ M t ^ l e s bateaux qui
rL,ét^^^^^Z®Rhon^"eft éle^yé, égaleriièrit
^f<y;èfca des- b^ri<^furj-là rive ' gauchç/âut^’avancent prlfque* jufqu’au .
^ h u e ^ ^ ^ a rivière-, fdmscertàipe^fôarriesL I^ ^Oi forme des dpe’ces
- de Japs-dangèrei^: ; on kit un .po'n^neuf en bois au faille du. Rhône j '
port de Quiueu, ©ù «nous avons ’couché ; tous les caillou-x du Rhône \
| ipn|»,eh ^cailïfc^^roùl^ i l f ^ aqmÀ^'ri^^fl^^^^wil'-^ârconr^ ^ ^ i ^ V'
fereris temps •.toute -cëEreVplàmeï. Lè’ yillâgéfde-V'ercrieux 'éft ficué fùr
fqn bord, St'faù-ive gauche au- bas de ces coteaux calcaires :1aîïïliar-
Jtreùfe cle SaUettes- eft également fituée^fur la rive gauche ,y& le bord
du Rhône qui vient baigner les murs dé l’enclos 3 nous y avons loupé '
•'^^QBèhé'.;- c’e'fl: uri coûÿentMé/^eiapeaf^ p y e n tiy ^ g ^ ^ ^ ^Ü a tië ' .
■ p^r es- i tSHâyt t er i ^' l a règfe-sd;è ^ in ^ ^ ^ ^ ^ -au-defliis-dà■ •. |
■'^^a|èpHè.la.Æâluèe',&'->dàhs|le^^^^^OT^'ne«grpTOicume^fe',^a*é%\^.
ÿ£il%l£^wn^^^^,èndr<ritLbn^^pàc I -
amphichéâtie'"îoù les baffins font rangés finguhèrement les ups deflus
Lwjæ ^ ^ p ^ rm àn^n^ou^ |æil^fl^t'agréablé'. & cgt âma^dé baffins'
'femb ^ ^m^CTau^qui- s’.eft/élbm^wnilie'ü te k gt0içb;-|feri périérrant
plus avant bn eft obligé de defeendre par dès efcaliers criviton douze
pieds'i^iSc'd.e 'cè coté ils-forment >unc malade'rc^hMS!(lK'ÿ^hfil')y î