
 
        
         
		■ k J ' . I ' R ,È . 
 .  pierres avant  le  '%blân ,>éloigné, d*une.«deini-heure. dujportr ; d’où  on  
 i  iripnçe i,pr|;fqu.e -jufqp^a^ ^i^^leg^ms^qpà^ts.-dîj^u^,  laj0ànt  à  
 gauche auprès de ce village,  un château à gauche , .dr^/tj^yerfevoer  
 village,  après JequeL où uaveife une grande route dont la droite  con-  
 ■. d ^ t  à, tAq^e:'& Bugey i  ^.J^g^qohe à, .Montferrat & ' ^q/|Prisx& -On  
 va emtidis  qpai ts^d heure jufq^auGaz la Bd&d^dq^qp^à^i~q^ -i$i  
 '   pafleda rivière  de Bouèbre au gué ; après le Gaz  onqu-itte  la grande  
 toute, &: on  prend la >çhôll;e j *ÎU1 conduit en iinc demi-heure à Saine-  
 ;  Andié la Palud,  en montant un peu au fôijtir’du Gaz, & allant enfuite  
 <-  en plaine jufqu’à Saint-André , d’où on va en une-heure .à la bâtie Mont-  
 ,  gafe011 » «en defeendant à  la  îivièie de Bièvre quqn_-spa(Te  auprès .d’un  
 moulin'à.,droice ,  auprès, duquel qn remonte , & on'anive à la Bâtie en  
 . pl^^e  da|[d|{|é- on fuit  j.ufqu’à SainCTBarthefemi j ©np.rendrenfuitc ia  
 droite, ôn pafle  dans les b'ois de M- de Faveiges , & devant le  portail  
 du  château,,qu’on lailfe à  gauche à un quart^d heure, de .SaintdBarthe-  
 lèmi.pu châteauson dfefcend rapidement  auhameau.de rayergesoù on  
 ,  prend la gauche ,  & onvatriy.e en un  quai«t-dheuie à -Ivrieux ,*on fuit  
 enfuitC'le coteap, laiflS^E.|Eéis^étangs à,droite, |ç!©n' -ÿaerijunedemi-  
 h e u ç e ; : p î i ^ r i |  aup^a^nt un^écp^em^c diétang^^ssajupres  
 j d^un  étang i  de-là(ç>n defeend, en fuivant^lc vallon',&,tqujouEs de droit  
 chemin , &  à  tiois^qpaits-d’lieure  on  tiaverfè le giand1 chemin des  
 Abiets à  Aofte ,  8c un  quait-d'heuie  plusr,l©nnon paffeî'la «uyièie  de  
 Bit vie,  d’duj on ^va en une  heure un*quait £u pont  en îejoignantdë 
 tion de la defeente. aUrdel^j^de Mndinin  où il y a  de l’eau & beau-  
 -^rcAhp de pierres qui font abondantes jufqji’auigiandicheinin : les coteaux 
 :|e: tgtreiri ^nC^foujours/c^^m^lesiprécéd^brL^^ ^)^1^  ’^"!^'1^ M 
 ,on>Ærouvetquelques màffes de fdhifte  talqnenxdansda.toiEe^idàaà®Afe  
 ..fprt^jpnrda briffe, &. jes.;pjef 'i' B»s*y  < 
 ,.  Du pont de Beauvoifin on monte par .la grande route de Ly.Oïn, & '  
 à la ciorx  au-delfus du pont,  on  la laiftè à dioite & on*ipien,d la gau-  
 che, j a r  iàgjmhé^on-va en  une heure  à Pi-ellïns , aupiès. duquel -on  
 i  Paife k  rivière  de Bièvre au gué,  dont  on monte  une  demi heure à  
 ^Recping,;  un quMt^^e^||B^*lpg^^jpg^^iLham-eaui,duÉ^^tfi'5* 
 '  ^^^ ^^^^^à'ÇeQju^^ghJuhetdémilKeujè'j^Mpm^â^Vô^bn-’  
 ^  joint 1a grande route des A’brets à'Voyion,'qü’0n< fuit  'dans  le village1"  
 de Montferrat, dpnt  on  laiffe le château à-ga'uche--, ’& laquelle route  
 „  &  auprès de Saint-]?<jnç à gauche un quart-d’heüre plus loin * on pafle  
 ladite ;Hyi||| au' «lié,, au p ^ ^ d u ^ n ^ lm,à?aroite,;vOn la fuit un- quart- j  
 dTieurè '’f u ï ^  - d ^ ^ ^ y | d t u ^ ^ ^ ^ ^ à . .gauche  
 ( paffabt fd|np|s qfiart d’hçurq.ün’ruilfe'au  ,■'8ç ^ 
 ■ on pi end la gauche, par laquèlk,on nffome en un quai t-d’heure à^Samt-  
 EuelVaprès'fequp^^TOU^dë^ehéromsT^MehÆ^lnafela-ga'uché;"  
 1  par lequel .'©ri mqnce  un quarc-d’hèure' dans  des- châtaigniers , &  étant  
 f i  .monté mttjroùyé deux' a u t r è s f^ < ^ ^   , ^ 
 par lequel  on va  en tiav eis,  Sc  on  paîTe  auprès  de  deùx\m£ufàris  à  
 gauche:  n i   p e u ^ u T lo ^ ^& ^ ^% çV e . dei^ ^ ^ ^ ^ ^ o nm e n d 1" 
 ^ t ^ ^ TO^F^a^ùhridefcéhd' un güarj-d’ijeùçe jufqffau ii® ^ é ^ |É e |^ u = . 
 ferr|:^_^^ff 'àf^ ^ ^E  on fuit un ~ Mtit^y|fl^ | ^ .'on và.eri' 
 ■>’  heure, aux W fêu es &  poteues  Gmées auprès de la rmèiedeBqffefiéa ,  ■  
 *qui vient .çle Saint-Jean ou on conftiuit un p o n té e  pierres;, & qûe>nqus  i  
 v,avops  - 
 ' - - ^ P ^G^(iers-Xjf 
 ;  qù’aujpjin^Pfi;eauvoifinkp u ^ ^ ^ a TO.,e^^ q ' i l s ^ ^ quart-dJheure :  
 les côtçaux <|e' E^çt'&r  » ■ en  quelques  1 
 parties de ppudingqe :1c terrein eft fable'ux jufqu’à Valferre fur la rive  
 gauche de la rivière dEygnant, &fur larivpdio'ite^y  a une jnafîè  
 ' ’de rochers calcaires, au-deflùs de Voillànt, &qü^*çmtM^jt^qujaii>  
 ^ ^ làh lë sk^ d je^ frn t., 
 ^ e  Sàinc-A}lb in , & il y  a   de  lLrgile  auprès  des  tuileries &  poteries.  
 Le  pont  de  Beauvoifin  eft  une  petite  ville,  moitié s France ,  moitié  " 
 ^ à caufe * de  la facilité  à- p^jèr.. 
 • d^;rOTaum1e a l’autré.;  ’  || 
 L u® 1  A y ^ .P , f r ^ ^ ^ K ^ h e u |é ^ n p te n d  le chemin 
 #   niT'àa&n  ' 
 i'qu’on-remonte  jùfqû’à upë molaffière, qu’o p o n  |e  
 ^ fiu ^ n  p£u en montant s ^ ^ ^ ^ ^ ^ d ë u k ^ em m s 'H om p joe d ^ u i,  
 de la  dioite.,  qui  conduit  à Avaux en une  demi-heure, on  valënfuite-  
 en un. %u^ c^^^^^.^Ç^Ae^BegmegprdL'.&:e4 jm qüartrdîheujce  
 apiès^omamve à l’églife, de Romagnieux,  enfurte  on  defeend un peu ~   
 au hameau (dè.' 
 Chanel, d’qu ©n Hefcend à Aoufte à une heure deRomaenienv; on rra-  
 ;verfe' Ap&fte-- en ~.partie, & on p ren d ^ d ^ te ,^ fentf va par la grande  
 Vrou^'e4.m^^bi^ eu|p  ;g r^ 
 nant’E^gai^ ^ l m  pafle- la riviere de^Bièvre ai^^ ^ ^F^mfuiyant on  
 va en une. demi-heure ; au hameau de Chaflagd.,  ^èn-une  demi-heure  
 f f d e l a . 
 on defeend par  ya ëmhitéXVeyrins  cn&i 
 une demi^heure, en pafïànt la,~rivière des Marais fun.un,,pont de pierres  
 L noh-plo^gpfcdèT^yrins ; après /onjmônoe lê|lp h g ^ ^ Ju n ^^K. làiffimt  
 «Lgauchela mailb'n de^!^dèmpifelle yerpeys;& celle de M.Defcoxnbes,  -  
 fe y d p ^ f ^ ^ ^ riyegauphe,.du, vallon, le cotpau.du’Molard^.dfahpav,  
 ^ g f^ nn^ubas ae^^^feli^eloighe d’uneidMm-heiire^&^vrirtgX Jftr.  
 dont cm laifle  léglife  à droite,fur la hauteur,, & on prend la gauche,  
 -par1^laquelle  ôn, pâflè  le  pn  defeend à Gracieux  
 en  trois quarrs-d’heure ;  on  va  enfuite à Aoufte  en  une- demi-  
 heure -, en paffimt: dëiix je e |i||im fp |5 ï^ foe # ^  feth'dm ^ ë le. Bièvre. 
 ’ la droite par  la grande route , paplhqu^ll'é pnsva_erijtm  qùîut^d’heuré  
 ’^■,^^ePïlHï1 >en payant ladite rivière de Bièvre ,  auprès, d’Aoufte ; onff  
 quitte lâ g fà ^ d é ^ ^ |^ ^ p f l^ s " d B Ç h em iliii, & on prend la.gaüche,  
 par la q u e lle q u '^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ p ^ e^ ^ u n e ' d^i-heureku.mipluï dé/ ;,  
 la xiyièrë.î  de-Ià'^u va  
 ^ S^^int de Bgahyoifip, 5n;'iÉnkhrêhM<ifhquart,  en  pafïànt  uni petit  
 rï“^ e,au j  auprès  dJune  grofTe ferme  rejoi^ànj^î' 
 le chemin, qu’on  a pris à droité' pour aller à ÀvâuxjLlh’onCui^ufqilau -,.  
 'R°^F; Les  environs  de  ce chemin-j  & tout'ce térreii^ô’èftque cmlîoiix  
 roulés |  éhgpelquespârueLfeu^emeht^.eftJ^leux^nn^  de-la mo-, 
 laflè':a.uitfès-^^^^ ^ ^ i r o uye^b^ucbup <^‘hqu‘es dans les'marais de,«.  
 Boihagnieux, &  après avoir palTé  la xiyière  de ‘Bièvre,  eri  allant  de  
 Saint-Difdiei à  Ciers.  On trouve  des|Squilfes;au coteau  du Mollaid 
 i t f S 'T ey,r.ins- 3 & touc:^ ff« 3uPrès  " 
 une'mijTe'id^gL«jp^i il .y a du calcaire.  ..  ' 
 Du PPllt  dé ^Beauvoifin on vajaux' Abfets' en  une heureun quart:  
 kri--fqiVK-grânde  monte, ddhkrLÿdüe, & au forth « 
 » qùi'on, 
 ^ ^ jg ^ ^ ^ S ^ r i^ ^ p r è s.d à^W ü ir ik u e tta  q u i -  
 dants dé-Tteffins |  &  on p^e'k^rmère dé'éièÿre.îur  un .poqcèàjx. de  1 
 à^gauGhe poui,piendie un .petit chemin^à  dtoite  pai lequel  .  
 on  palfe aupiès  d’un étang qu?on. laiITe à droite^ & dont 1 écoulement  
 fc jette  . 
 on paflè cet écoulement  au  gué,  &  on àruve  à Saint-Michel dePa-  
 |  ladru,  à une demi heure  de Montfeirat, larifants'hu rla dioite  de, ce  
 ^yahpXle 
 , # 0^ ^ 0-130 jufqu’au.m0uhnVera, appartenantaux Pères1 Cliarcfeux:  
 fait tourner le moulin«;  d’oùon va en tip«quaicsdheiue  à* laSilve- 
 Bépioe,  iune^demiheuie 
 fur la -montagne ;. ôir va peu de. temps- en,-.travêr«fes ;;;&,'0n./defcên'd. 
 | en  uoe  demi-heure à Virâeu ,  en  paflhnt-auprès. ,du château qui«,eft  à  
 droite; on  praverle^ce'bourg,  fe-^U’extréinité oh.laiffè à droite le che-  
 ’mo1L^a ^onl: ^  on P ^d "  celui<.de4a gauche, qui.fuit le. lit.du'-ruifl'êau-  
 de Vaugelas, jufqu’à fon confluent dans la rivière de.Bouibie,  qu’on  
 palfeauguéj & aprèsl’avoirtpa(fée ori,prend kdroite, qu’,0nfuitxenviron  
 fix minutes , où on prend la gauche , par laquelle ôn-monte,à:Euvelun ,  
 hameau d ç^eli^^^n.rtavetfç-én^ite ,un-hameau de^Montagnieux*  
 éloigné  d’une heure  un quart; de Virieu ;  & on palTc fur la  chaufTée  
 tfun «étang qui  eft  à  droite ^ ^îq^defcendXri-..château'd'eM.  delà  
 ^rtér, q p ^ ^ ^ ^ u c ^ d ’oiîlÇ i v a f n ^ ^ ^ e x i â r f a f e j l r -   
 £ djtPln  Miide»R'achés: 
 _^rX' % tetojours; des^^lk^^^és^long^qéree.routfti'ô&.onîitèôi^e  
 des côteaux^en.fable après  le palfage de la rivière de Bièvie à Pie/Bns, 
 & en'inontant à Recoing une malfe-de (poudingue.à S  droite 'du chemin. 
  Le  lac de Palkdru^peut, avoir  trois mille fix  cents  rbifes de Ion-  ‘ 
 arriy^k-da/GBartreufR; de-, la Silve^Bénite ^hoils-4trquvâm^ïtohs 'lés  
 Religieux à la porte ‘qui acc0mpagnoienDcleux,E>amcs & plufieursGhaf-  
 feursr,^i>pn§.Momes/,,contre;lehrv<OEdiriaire'y nous reGureritücomjWç  
 s&es'igçns; auxquels  ils,«ne dévoient  faire* aucune, attention' f  il eft'-'Ÿfâi  
 plus honnête 8c en même temps  plus^agréable ffur-toutpohr  
 dpr perfonjies; qi^ui^ fqfl.i^poinÉ h4>1^^ ^ S ^ ^4 é s^ eÉ ^ ^M è ? j.iie   
 pas^nter  les-yeux  de^deftus-deux Daniés», .quérle^lesifixéi;,«fütî.tr'dis ■  
 ipauvies  etrangers mis  en vrais, coureurs dejbois<^:'en  voyageurs i oh  
 rhfa^ offrit. cepen<knt ( par. réflexion ) de übbire, un èp^p.’^coimhe'rtô'u’s 
 H 
 "«'JjWioris  I• * ? y jf f c& fê ïï.tjf,  ^fnSCre^''1  l / 'i f - r   * Wi’.if 
 W W i ïW E A 
 *,ft  «  i  J   i  -i  i  . 
 *«* *'  1  uc fur  u  t  I  lu au-d  lu  i  bourg. M -ippb:  *,  i  [  1  [  
 r   de L»"gon-i il' eil agrÉiblii.par  i  liàÉiôn i  on  cri  i  c 
 ‘ "r 1  *1  ,'C.  x  J W» '   fff«p  j  ^ 
 •du enf, &,d  i  icéüK fc'  r  -  ÏUclie do b  i f  ,•  ,  ncipalc- 
 7raoht daiùicèlm qni.palTc à Lci  lzflHli  a' fe'C iélico.  H |   
 C l  JhH  1  u 1  tleni  » u\e à  1 ir e tc le n   l à  i tr  1  .   I ; 
 De  la Tou:  cUiil  j u ,   ^  • -  '   1 '   n envi -ènàt n 
 ccl  ‘  où:°"  P  le  «  liM ® rc  do n  Jins for  mi  pont 
 •.pierre , &  ooe ancré  bcïlicise du  gne. auprès de  laquelle  on laiflè à ,i.  
 “ j « i-jVJïto.  a  *   .  -» n ’flffi iff ƒ vir., '!Vj’ -i1 v '-1  ffaiiti  i 
 -morne à Sairtr-J  en  un- quarr-tf  a   de] i Xi u : : un peu au-deffu  *  
 on trouve deux  heu in  , mie'cfoii ‘ j   uilieo,  , ■  ren  la d   oice,  
 i  & - ƒ   l u i   i 111 mai c«d'hedte‘,ï.ün:.ls  i - u - le ï lo iiin , qiïon IadK:  
 •à droite avec un-vieux châceau ■  i-va enfuite en un quarc-d’heure au  
 hameau de  Reeulcibrc . JailTanc  auparax mr à droi icOun  érang  >r£ 
 * «*■  01  [ « «   f‘  e liimeai  ,  on  laiITe, à  i ? ?  i ;i- :ont  «e  in  TZ,  ]  
 defeend dan  i  .0  is.,aû-fa  luqucfcih  „  ] .   Element d un mara  
 ou peur dcaneigauche; on va enfuite ëu plaine .SL'idH palTé entre deux 
 autre»  étangs 1 écoülei  e  c  lui de.lhd  ,ite,  un  peu au  eil  us lu  
 .  hameau de Montcarra qu’bu ctavéric'i & él  .  t ) & ‘   i®1!.  -d 1  utc  
 de Recuiefor  : ou-laiITe à gaucl e  le c  à  li .délit  tcàrt  & oudet-  
 ,ceud  eh un quart-d-heute  à  la chàpelle. de  la Magdelaine  qui  eft  à  
 tga içhe, d U  en il  .  '  e n  f  f   :e  ]a 
 •gauche  u  u  lie o  :e'à' laTchâp:e I*  J  Saint-( llïef < |u-0n  j j i   
 lu.-  e, d’oî  , '  nrt  ix  i,  —  1  JY»  ^   X 
 on  flhau guet  1  A   J-  ir on m  e  uedei  î-  àDemp  1  
 teficu.  Iaiflim  ï  droite dans .là-plaine le village dèSainfeSavinj après  
 •on dcfçènd'. on  remonce  .  nfed'çfce  i» i*J amcau.de la R  ,oire  
 après lequel on p dlè au  |ué la rivière  d  I  urbre . Iaillint à droite lé J   
 •vlljasc c  f l  1  % ,  iprès  de Bourg,  n  «unetlieiire  de Dempteiïeu  f 
 on  ,re |J «*'  ; à l ourgi  n i   roi te de Gtenoble. qu’on fuir  1  „ 
 “" i  heu e  .  le  i ■  ,  en ,pa I.  i  l*î™H*jaSî, W )e'»'( «  
 tdcnli heure plus loin à  N  , .* ..& ch  ce Rulfi m&Nivolàs  inriii - I  
 1  1 4ÿ0 ÿ   Pc J  " a-pferre jlni  quari /d££ji^ ')^ J*.'S |!*ai ^ iîlil e I  
 ledic ruilTeau fur  un pc i - 1  ]  m t   u  s'sdmhame u de Cutter, qui  
 e®à B uchc.  un ti  rart-d'heurç-.plui. Ipia  on  trouve  deux poftis. de  
 l^l|lire .-au milieu d tfq u ^  èft-un cheniin. à gànché' qu’on fuir , & on  
 abandonne la grande route ; on monte en miè denüdïeure à Château-  
 VUain;  & au-del  is  de PégUfe  n  u  1 Iâ gâu'che ,  par laquelle on I  
 •jdefcendf  hamüàuï’dc I 
 ÿ  lèin  i.  in  une  demi-heti  h'ç J -   ivd ns  un  bois. l  il' .„c  à I  
 gauche le château  de la î 1  ülent . i a l 'i r'deux h i  Te tix.'.&r'aiiprè  I  
 d'un-éuing qui.-eft: à droite .en une deTiii-heure. d’od en ^ale diftimee  I  
 Kiiiïca’u  , &' '-iail^nt à droite 'le 
 '■ cl  e  i-l  '■  I, dé Va  i  a  lié,  c  J  **  r  a  ë;on  i1  ive t  ie  I  
 ' c ,   eh  , &ap csJalchapêllel in  l'ei  ll'echen  n l gauche . paflfequ'el  J  
 on defeendimpidementlà un tuifleau  qu'on  pallè'.iiuprè'  d’un moulin  
 à-droite ..joint..au-.hameau des Êpihêÿs .idioù'on vaén mie demi-heure  I  
 au Bas-Curicu. < ùioflidIcfcend« & on [ il c un ruilTeau. là H uirà dre  "  I  
 le château dë Ciiriçu' à 'M.-'de'BoRaci-dri va1 enfuite cniplain'e 'én une  I  
 demi 1  ne  à  la. Tou -i ii:jPin.i-tous lés’ cotea i  « Sr.i n-ce ns.  y t  u. 
 '  1  ues, c’cftàRirc,  en- cailloux coules jufqu’à Btjîh^iui^où'  I 
 on  trouve!  ' eô:eaüx,.eni  lé,qui  fe  pntijfuêi  , ' k a‘À ! l lB r î l P I   
 ^hafestT'dilami.  où  on  retrouve  rlri':uhjJ^n-«f-  I 
 gros bourg fituc au b.is d;ûu coteau  .  rur-la-Èii-éi'clroite de’ ]a.,iivicre  
 d« Boutbre.il.'éfttravcrrépatllà'.gniiidë i bute du pont  de  Beaiivôilîn J  
 a Lyon. Saint-Chef elt un autre bourg, fituc au bas de' plulîeûrs.'cotcaux ,  J 
 qui  ont etc transférés &-réunis  au Chapitre de Ramt-Andrc-feBas  à  
 Vienne ; ils onctotàTeincnbdhandonné cc’pays', à la réferve desiéireuus ■  
 dont ils jouilTcnt tqujpdr  ,  qui fonc àrèsfconfidémMés  Bourgoin efl:' j  
 :unei^;^^^I]ehlrtuée.a^:bas;«âefèc^K^ ^ >^ ^ - ^ q ^ aucj:c :^ J £ .:l  
 '■■rivière dé- Bourbrèj cllc éfl: .cnivcifée ■par-ila grande, rou'te'ldu ^dhê^Ê J   
 Bcauvoilîn..à'L).on, &  celle de Grenoble à-la mcm^-viHc.';' .f  • ’ 
 De la Toiir.do-Pinç!pour  aller ;à Morctel  ,  oh  prend la  droite au  
 milieu  de ce 'l!puug , àptcs.;ày6ir; palTé .une béalicrc1 dchnouÜiis fdrun  
 pont de pierre, laquelle remonte S: oncoiicinuede monter, & enfuite  :j  
 /9n-;»cnïiplainc  en  trois quarts-d’hcurc à la cbapcllè de' la Tout, d’où  
 : oiVitravcrfc la foret de la Molette,'laiirant au'patavint ù droite auprès  
 dc.la chapelle un  étang-, & un  fccond aullï ù droite un p’énipluscloifi.,  J &eoi£suriv^,iiMbtTokiféehl^'Éné^ï^fh’(hù'i'ef^rcï^^Ê,Hrâitéibni I 
 .■défccridién...itrois'iqoarts-d'bcinc,.à,.,Saiht^diii-pârldéslbpis,cn fiiivantf“I 
 uuaallon;an bas de ce  villag» on  p a lt un:'ndlfeau0iapres lequel  on 
 deux t& ^ ^W d S lf& ^ e îjjld té td : jl y  a  
 trouve  or- 
 11  » L ü l l  Îcs à Vkif   >“   ‘  tel elü  i n gr  i  tué  fur le  
 E 5   id'Un.rocher .calcaire;. U y a-  it  autrefois une  tour, laquelle 
 I  n 
 n | |Æ p r T li' Su  J S d f ’  %  !  I  H  àyoir 
 I  *  ,   i "   ‘ J / r   , b 
 à Mi$fèïïVn 
 une heure,Taillant à di  1  f.  1  Ti  ’ -i f  ; 
 E -   è , 1  i K o i 1,1 » J   ^ 8 I   u 
 L   j„ „   « , v >   m  p;  c - y r , *   s£n, 
 -tiuy1*!- M W B B B 
 '  •  1  l 1 1H H H H 9 
 I-''  ■^ , y à ; fèn 
 i/îdè's  £ i 
 I hièrieux1;'/ ôri  va ^mmi^en^^o^qüp%à’h è h jé |^ ^ n ^üemiehlrcn  
 I pkfl^t^i^ ^^^m^ ^rèfâupres  
 RMêSrfottéipri^^r® t6rimér)mnf^^^Mqvu 
 ,ilàilï&iît a g^p®lë'.vjllagé  
 ^ g i e r ^ M u ÿ ë ’ lwiire ^quàrriqnpafre à4 Letieuj\bahdbnnànc  
 le  Rhône 'î^muteihrMri châteku’dex^ârpày^lL^  à  gaaçhe ;  &  [é% 
 -il y/a’’,; 
 ^uheî chàmer^éj^egrs»ç^ea1ïx/.càl{^^qù ^Q mi ^ ^ e^ | ^   ,»•&  ‘  é’avaricé veMS^^Sv^tê'r^Bfâiigiies : 4&lken^tvwp.ant le  long  du  
 Rhône, vient  finir vers Trepfc, près de Sr.-thèf, & retourne joindre  
 ^l<>ciynm'^cemërit:â MoretelM ^ y^tire èn |p lu rië u re ^® q ^ ^ ià ^ |,J  
 pierre  de  taille, ’-fe^^rqm^ux^raèms^^Mon^lieri'&i de^eena’; , 
 \ ces  rochers  font  par  bancs  h©n|bncaux< 5  ils  en  font  «des  efpèces  
 de iauzes  ,  dont ils  couvrent  les maifons  dans  toute  cette  -partie  ;  
 'ÿés'^i&rÿOTôïïJtire 
 îochers  forment  un  coidon  autour  diu  Rîhône> &  font  couveits  de  
 '• i ^ f l  ^ é h h e  ces petits coteaux les terres qu’on cultive font en cai 1 louxra  
 r.6ulés vêri quhrtz ,  granit'%c  calcairestj & dans,le Bugey  l'esLocl^rs  
 niquy^is pas^' 
 !^^riJ.amW4g ^ o i^ ’’qm^^fè^uïc’4^ïïoM;>c’^u® âhas<â  
 ^ ^ ffi^ ^w ^ ^ eR li^ ’de^ett^iyière ^ u ^ ^ ^ ^ M t ^ l e s  bateaux qui 
 rL,ét^^^^^Z®Rhon^"eft éle^yé, égaleriièrit 
 ^f<y;èfca des- b^ri<^furj-là rive ' gauchç/âut^’avancent prlfque* jufqu’au .  
 ^ h u e ^ ^ ^ a rivière-, fdmscertàipe^fôarriesL I^ ^Oi forme  des dpe’ces  
 - de Japs-dangèrei^: ; on kit  un .po'n^neuf en bois au faille du. Rhône j  ' 
 port de Quiueu, ©ù «nous avons ’couché ; tous les  caillou-x du Rhône \   
 |  ipn|»,eh ^cailïfc^^roùl^ i l f ^ aqmÀ^'ri^^fl^^^^wil'-^ârconr^ ^ ^ i ^ V'  
 fereris  temps •.toute -cëEreVplàmeï. Lè’ yillâgéfde-V'ercrieux 'éft  ficué fùr  
 fqn bord,  St'faù-ive gauche  au- bas de ces coteaux calcaires :1aîïïliar-  
 Jtreùfe cle SaUettes- eft également fituée^fur la rive gauche ,y&  le  bord  
 du Rhône qui vient baigner les murs dé l’enclos 3 nous  y  avons  loupé '  
 •'^^QBèhé'.;- c’e'fl: uri coûÿentMé/^eiapeaf^  p  y e n tiy ^ g ^ ^ ^ ^Ü a tië   '  .  
 ■ p^r es- i tSHâyt t er i ^' l a règfe-sd;è ^ in ^ ^ ^ ^ ^ -au-defliis-dà■ •. | 
 ■'^^a|èpHè.la.Æâluèe',&'->dàhs|le^^^^^OT^'ne«grpTOicume^fe',^a*é%\^. 
 ÿ£il%l£^wn^^^^,èndr<ritLbn^^pàc I  -  
 amphichéâtie'"îoù les baffins font rangés  finguhèrement  les  ups deflus  
 Lwjæ ^ ^ p ^ rm àn^n^ou^ |æil^fl^t'agréablé'. & cgt âma^dé baffins'  
 'femb ^ ^m^CTau^qui- s’.eft/élbm^wnilie'ü te  k   gt0içb;-|feri périérrant  
 plus avant bn  eft obligé de defeendre par dès efcaliers criviton douze  
 pieds'i^iSc'd.e 'cè coté ils-forment >unc malade'rc^hMS!(lK'ÿ^hfil')y  î