g | | J | f l / tm m m m Ê Ê £ R m
ïaqiiellevQii ftfit>fur'fa livB.gàûfcbie'tfliê' demL-hëure5jufqu’à Manas'poÙ’,
, fin-' la pafle au guc ; on traverfe ce village , après lequel, on prend la
Quelle on ^âa^a^igi^uai rs-d’heuie amPuy Saint-Martin,
,-en patlàflt rdeuX'kaiffèaiiiX,;ï^^nc^^MMOTeWill^gë:j'i.^c É Moitié on-j
prend la gauche p§til|èn■ forÜE^.^fc'auabaç.id£ylaMe^^oe^^Éprend la
.^droite,pai laqucMèi^va en<-une*demi-heure ài4Rü,yjnac , en paiïànt
au-deflbus. du château de Madame iPourroye?& .deux >ruilTeaux.5 étaut,
mont» au ^village; de, Roynac jqùfonfMfîè^ài gauelîe, vDiiçfc^ntin.ué^cIe
monter , & ,peu (avant dêtievau‘,»foîffuaeE'J|^ n -trouve deux^djeinins^
} celui de la droite conduit à Crell, >Sç pn prend'&clui.de .‘laigàii.elic,
à RocEe-fur^6 jtanefj^el^igi}e4de^ crois . qjiarrs-
d’heure de jjR®yïiac , en^paï^rit»auprès d’un-'hameau à droite i&lun
• rqiflèau on tourne ' ,ce* Syna^p^^ôn .va' à..Granc.pn. une heüte un;
quart ; on defeend un quart-d’heure où on palTe la rivièreîti^Sgar^e;^.'
un quart-d’heure.;pîjis?bass eft< une tuilerie j^gâuehe ayec-la^mailon de
»i^iBj^b^ ^ ^ ^ ^ r^ ^ e r ^ p lu s^ à ‘fur la-'rive gaqche ’deGranette
le W m g a u ï^ f o js o ù il y a plusieurs foulpns,, un quaiE-d'’heure;iSlus
^ l ^ .ddVanég ^ o 6 ré>leÆlaate^^d^jH.Mo?laÀ.Rc^e^d^iS^enlùh quairt-
é$heut;e à vGr#ie len^tu-ave'rknt'dnipetifcBopeâu^dD.er'Grane poùr^alleiÿ
à CiefÊp'on »remonte l^©çôjnedîif) la rive «gauche, & à un quait-
dlheure ôn pafle un ruilïèau, un. quait-d’heuie après un autre ruilïèau,
foepg après on pa£fèiunvapt?|^ruiffeaurj é$e(à--un quart-d’lieure la ri^içré
d’Ambre fur un pont de pierres , d’où en un quart-d’heure à Creft,
•ett(-,paflàjlü, lS!:;Prèihé||ï^ >-a>
. Creft' elKun petite ville lûuéeVfur les bords & 'la rivê>droitfe de 1^
;ifur- lequel
teft^bâtîe^Jsa^t^dë^ra^upfertïdëf^Edbn, delonF onfe|<iejçdifequë$
par lettres de cachet; cette ville a un coup d’oeil allez agréable, étant
’vue du-coté de1 Divagueux, ÿtà’q^igl^pixm^M^^wp^qrr^â&dUéi,>.
5,& fa plus."grahd§-largeur, & elle paraît former un quart-de-cercle,
dont, le cénerë, feroit -à‘la tojir. •
^ • De^^èlUgSu^ller à Die, on fuit-Ta rivière de Drôme jufqu’à Die, I
& on la remonte fur fa | rive droite : çn une demi-heure on arrive au
’ 'vil'lagë* droite , lequel on>-traverfe, ôçkp'rès lequel on ..pafle la rivière^
■ dfepiepes'^ £ ou> en une demi-heureau han^û\d<|lj
rBiaeon, pâflànt, avant d’y a^yeE^ l a |rwjè^Me Gervanne-fur un
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ e ^ g a i|^ ^ f c rS ? a lla g è 4 è r^dkabdi
8c à .'uii 'qîfcrC- d?h e u r e jd ^ l a c d ^ i ^ i r e | n u ruiffeauconlidé-
■'fn? dit?, P;SaMMtÿ- ëh(pàuàn£ trois ruiftèaux, &
qi^àppe^ox^fur^a.gaueEe^de^la î©r Aipê^’,.àîJbLâut^irfdei tyJkabel'S’’lej
village de la Claftre, plus haut celui de Saint-Sauveur & la maifon de
(Gordon : le demiei ruifleau qu i&vpaflè auprès de^aiJb^nr-inr.un pont
de,jpierces4 on traveife ce village , & on va en deux heures à P'Oif||
■ ta i^ ^ ^ ^ ^^^ois^quartSrd%ènre ^ 3foite,iCuiL la rive Manche de la'
jDrôme,lelyiMge_.d,Ëfp6rneil fur la hauteur avec un pont en pierres
fut cette rivière pour y communiquer3 8c un peu au-deflus le village '
d’Aürel, laillànt à gauche du chemin l’auberge du Gar, la maifon
neuve de M Bainave , & au-deflus le village de^eicÊeny le<çhemin>
jqu^furjle bord de la Drôme, qui eft très-reflèrrée au- -«
dëfes de ;SaMiâiït : & à Pontaix, village qii’on traverfe à-moitié, qù
.oh prend la droite , par laquelle on palTe la Dromë 'fur un pont dq
pierres qu’on remonte fur fa rive gauche jufqu’à un autre panade
pierres, au-deflbus*dëj>Di^bùf>n la repafle à un qüart-d’heure~dé' cetre
ryill'e , diftante,,’de^d'êux>'heuies de Pontaix, obferva'nt«qu’à une demi--
%éùÉq;de^?J^ip5p^laair8^gauche un pont de pierre^ poiitSccprri^
xnuniquer'à Sainte-Croix, village de la vallée de Quint, fîtlié'-fur®/
rive droite de la rivière. ,
- La ville l e §l||hg’j n e i ^ ^ ^ | ^ ^ u n g petite él^,.-:
vation , au-deflus de la Drôme, fur la continuité d’nn'côteau qui y
vient aboutir fur fa rive droite & fur la droite auflî de la riyiète de
„Meroffe; elle eft le fiege d’un Évêque, elle a urne mauvaileîenceinté,
& n’a point d'apparence, & elle ne paroît prefque que lorfqu’on y .
- eft arrivé, étant au bas de plufiëurs inontagii#.
| - ‘BeiPiq^pi^^^^aîChiçhimhne, vaLée.deTrièyes, olipafféauprès
de la ville la rivière de Meroffe^für. un- pont de-pierres;, laquelle, 911
• remonte fur.fa rive gauche une demi-heute jjqfqiÿau-paflàge de la Roche ‘
où le iocheL fe îefltuet, & il n’y aide place que poui de -chemin' &:
la riyière, <&/omla^i&>fq»t!n.-ppnttd^bois •pour' la remonter« fur
fa rive droite en un quartd’heure, en laiiïant à gauçbe un chemin qui
v,éiFi^^uj^di^^|<et^ib^^^^^;^e,îl'LÙu&de-Gras ^p^,èjti0 üît le -
lit de cette rivière partie f u ^ ^ p ^ ^ g # : étâS&àtrtèdeuxf heures- $n ;
quart on'moÿejàiKcôiïqfetChaÉbfeftrèsïi^pidç^jeQt, & aux tfois^uarts-
| d’heure d e là m o n té e fo n itrm rv e ,à ^ d ip l^ ii^ ^4?^CIn*nir»î‘I^ r ^®<luel
■ on nel’va que dans des bois & contre le rocher ; on IailTc à gauche ld
AdblsdffisRriiurjSy^fS^r étanGarrivéfiir’lewcol-,^ ^ 4» ^ ^ d vU^n palîànt auprès
fontaine qui pft à droite , traverfànt -iià'ânbnÉagne de
•iautaiet.qur appartient ahx^al^^l^de Cluchihanne , & en une heure
on ya au col de l'Eguille ; à la droite pn voit une cabanne, du col de
^ p ^ ^ ^ ^ d l f d e n d ^ ' une heure îrès-rapi.deïrienf '^une -grarjge/qui
eft à gauche; d'où en fuivant-le ruifleau on va en une demi-heure à
* ,^§hafdièfe®î hamqaywle Ghichiliapnëpqn na^erfe^'çhyillàgè^, op ppepd
•4â.‘rd ^ tP ^ p ^ ^ â ^& M ‘£m^u-,'S38èon monte à une Croix „ d'où en
^^^p.uartsrd’h.eure^ S.;Chiéttliâpn;Ê;;4|s|hq iëft-mâauyafej. Ëcè^roide,
i & par. des b^S{.ifp;,fentiçrsX^ Outré • ne?ü'l^mir^il;'y
én ïa .epçoreideux ‘.pour retourner à Die , il y en a un qui pafle par fe
i eol de,'^pinbçàijî’à .qjji.paftè par.Beiievife, les Nbpiètçs-, ivalléc de Châ-
Mener , ÇhâtilLon & Aix, & un autre qui patte par le col dq
Menet,'.&;fâmti|eipreçédent.aux Nonfèrès.
. -D^^h^ ^ü^ï^pgnp'nlJ er’.'àÎM ;p|:fe',à Châtgau
vieux & à Rutières, hameaux, entre 'lefquels on palTe le ruilïèau
^ ^ y 4gp6du.^TO^mÛèii6nÆtav,erféRua^^Ë^^gpi^^ggaucheT
par.laquelle pn va- en. une demi-heure à )Lreïanne,pep'pa|Tanctquatre
ruiftèaux, qui coulent de la'Pieire-Eguille qu’on p?a/a!-gauche d’oà x
On. monte egljpiè demi-heure rapidement à,la croix de ÔçWaobë', où
Jontpiepd'ifa: gauche?,^p^^mù^^^^E^a^të^^pqnartfdîhèqre^
laifiant. à- droite le.<châiimed^Portes ».•'d’bùSoM^fcend' en uh^^^pmr '
.heure aux-Piala , hameaux des Portes, de-là en un quarc-d’heùïe .à
via:BatietdqiGt|çIhr.en*;p^0àpt un .EuiCfeau ; ■ '& ides Pialavp^ùr-î^llpr, à
'dq l’Maut-»deiGrassqÛ?ox?^
pafte, & en nois qùaLts^heurëjnn.'ariwe à une icioix, en laillànt i.
gauche un chemin-qui conduitàja PierneTEguiMenu Mont-i’nacceffible :
de-ceEtetg^j^p^monte lié une hdure fuçdesçohdeJ’Haut-de-Gras-i en
;j||0ant.jù:^|ipi^là'moiitagne/dui¥éyambnt;: après iqyoh^traverfé.opcolji
iOnl^emdj^^^-hêuçéiii ^a;\Càba^e£d%Exaperet%arMesiprairies ,
d’où eir’trçis heures & demie à.l’églifé'dê<.Roineyèr ,'-en paffànr deux
fois le ruilïèau, laiftànt à droite dans le val'l(Dn-'&-furla riv'e gauche
mne: çabgng.e;s& ute^^fqn^.jun- hameau de^Romëyer îj'pùion-jbiqf lav"
,4 tft^^qQiQ1M^hiohj^m^pàclecold.ejOharpfeJïquJon;f!ntyufqü’ah)^è;'<
dé ^/feilesy'ivièresf de
MeirplFe Se y ^ |^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ p e s i^ 3nt^^^pierres^ apùè#leïd;uells'<- on
prend la gauche ,-par laquelle on va. en une heure à la Salle.,-, mai'lîph-
^(ÇipïPagne d e auplès|d5une
jnaifon-qm eft à d>rpite<, un .aug.e rmÇfearà, au hameau d-Aulïàu^quî
. e l ^ droite, un uufleau & unfauae rùilTeau, & dans cette^pame de
r o u c ^ ^ f e ï f i i r •kstdrpitèfd’é^la^ivièrme^^lag^âè^l^bfièrs,'. ^
D’Aix. De la Salle^en remontant toujours-k »Diomeftu l'aiiye gauche,.
on va en une heuie un quar>t à'Roqiéeb'el', laiflant fut ’la ,di^lte^du
.chemin' à «une demi-heure 'le Cvillage de Montmaur fur la hautcui &
^^^ idësv^ûkc^ntre, le- -
'ǮSanS dioitede laiivicie le-vil'lagedeMenglonj
jGn'palïe auprès d e ^ p ^ eb ^ q u lW lm fle^ ^ ^ it^Ç i^ ^ h au te a r^ 8c
on va en une demivheure à;un rbiftèau - auprès, de. M'ontlaur qu on
^ ^ ^ ^Q itp ^ u n l^ k ^ ^ ^ o ù fq n ^ âV |u% K rd Jl\èurpîaü]l;iâ^^èr'
ï a n t ~ ^ i ^ q ^ a m t a d & *
: non-loin-.dtt-Luc; iQ n , y ^ v £ r f ^ ^ y ^ ^ g ^ ^ o n ^ ^ ^ y S |W r i - -
d’heure :1e long dJun luETeaui jufqu?au ,col- dés Obeians , dsoù on'def-
'cend mr-qùartrd^emèju^ÿaprès.' le%affage';'du.^S^u^db^>yant
gu’au^jnâliendë^ladefceateco^aiiQê^^uqhede .chémiiÿq^ ^^pè
j opjp^dda^àÿch^|pgh«là '
on va en tiois quarts-d’heure à Leiches ouôn^piend la dioite, & on
*V3*en defcçntes en, unelheuçe^ù-'Re.uri P^rit/^ïprè^dq-'cq,
,'villâge ,k !Uy?èce de Maravel, pnile tfarerfe enfuiré, ’& on va en une
heure un, quart au .col des Chèvres, en. pâlTanc-plufieucs ruilfeau-x. '
^.d^Urpqhd^Shù^res^pnj defeend rapidement enundheuie, en fui-
vant la uveiigaudie-deda nvière deiChorane à la bcaunie des Aiqfaruds,
. qn'oh frdyèrfe j. &
, bbia fqàr jguarts=d?lie^}:e rivà i ^ | ^ ' l :ài|ïint
auiprès, dupont à gauche une tuileiie & les hameaux de Chore&rla
Begûde à droite , ,.& palTant/deux ruiïTeaux : .on palTe enftiioe cette
riv.ière j &,ion va^h^qis^uartsd'heuré à Saint-Pierre d^Argenfdn,
en palîant un ruifteau auprès d’une croix à droite, auprès de laquelle eft
|drqitqiUnqfoiitaine miiiéràle-japrès laquelles^djdflp^gauqhqjin ;çhe-
min (^ i^ à t iip ik X ^ p te s ^ p t^ ^ ü 'c â s ruiftèaux ^ori^traycrfeæ^jl-
lagqa&enwoisjqua^dihcùr^oh^’^AfpreinpfitÿenipalïàntdeÙ^/piÇ
quarts-d’heurejQn’atriye .àla Branche du Buech, qüi v^enc de Vcynes
J i 1 i \ ï h l
qu’on paftè fur un pont de pierres, d’où en une demi-heure à Serres, en
- ïîont* ^ Pm M Ë P a-4 om d'e;;Ser#fe
De Serres pour aller à Sifteron , ou palTe, au-deftous de la yille&eb
. Buech fur un pontvde bois , & on le fuit fur fa‘ nve gauche jurqu’â?
d^Ar^igneï ôi-jon dMvep^ùneihèiirei^^^^aEfid, en>p^ti^^m)is;]
ruiftèaux laillànt à gauche à une demi-heuie de^diftance levi 1 lage de
• Baïfac & fui la dioite du Buech, le village de Meruel, & iè lïain'èàù '
/ de la Péroufe -, au-delTus de Montrond eft une tour à gauche ; après ce -
' 'yhlage^q^é^efflanej-heure ,pn ^uai^^idogis’ de k^BaM^dè^flépni'l
en palTant cinq ruiïTeaux , laiiïant à gauche les villages<de SaintlGenis
I &d’Æygudns\leidérhie^lîlB ^ p ^ p miauteur dJa|giüe‘ noirâttq, raêfé,
de fpath , & fur la droite du^udeh' ceux de la Grand & Saléon ; au-
delfous de Saléon eft une barque , dîqù en trois-quarts-d’heure
raigne , en palîànt de petits ruiïTeaux, 8c. celui-de la Combe fur un
pont, de bois, on crayerfe ce village, apièsFjtéWiM^ aipatre au gué la
nvièie de Veiagne, peu au-deflus |dïd>f©n confluent dans le sBuech ,'
dont on fuit les graviers un quart-d’heure jufqu’à un- ruilïèau,'qu,bjiil5»
1 paftè-, d'où pai différents coteaux, en une idemi-hèùce^aux^ïfàftfesi-
hameau de Mizon-i on1' tmvèrféi'rce^Ham^éaun ^ ^m iif^dfffnfiheure a ux
hameaux des Armîfnds, lailïàncq'àfdroine un jcltfejîniî^qui conduit à
Mizon qu’on appelçoit^it la|hauteui avec le hameau de Tiame, on
traverfe celui des Armands, d’où en une demi-heuie ^,&ui. de Chi-
' ilsmbèJleiQilîpm^ëCcefid un *!
■, ! ! | | | | | ' ^
quàSifteion, en paftànt un adiflèau fur un pont 4&pienes, ainlî que
h k Bwech au-deftous de. cette.M'^^f 7.r
* : : De Sifteron pour aller à Gap , on pallè auprès de la ville la rivière1
Dioits à dioite , & on va en une demi-heuie au Logis-neuf, palîànt
MojraYerf«Ia’p la in e j^ ^ ^ fi^ 3u ^
Iaume, qui eft bornée »pai de bas coteaux de cailloux, on monte c i
auprès? duquel.« om-paÎTe
çft à droite; on fuit la g-uande^roiite ,'^&i^©|i’2fe'rend en un dfemi^lîeure
au hameau de Routebeau , dans lequel on'pafle laiffant à un demi-quart ’
d’heure fui la hauteui à gauche le village d’Upaix, & palîànt un îuifV
feau avant d’amvei à Rouiebeau, on va enfuite en une heuie &- demie v
au Jjrand'Guibert, .en palTahuqui'tteîruiireaux, d’où en -une demi-heur&
au Monêtiei , en paftànt aupiès du peut Guibeit,qui eft à gauche,
& trois«ruiftèaux, ônlàilïè le Monccier à^droite, &.on .va,en unedeiui- -
heure au ruilfeau, qui vient’db.^Vîtçolle qmon pafle,fur-uïï'ponr de ?
pierres auprès d'une tuilerie àid(r^ité,fdioù>en uné-''dl'mi-he(ure au village
de' SaulTe , obfeivant qu on appelçoit à',^auche?ceux de-VitiolIe
& LaidieL , on tiaverfe æcIui de Saufle, & en trois heures on ainve i
àt,Gap, en palfanc à un quait-d’heuic aupiès d’un château qui *eft à
gauche , unauilfeau , &• on vilc^^^^^^^^rxyitrqjrde'Rdfirie une -
heuie sjufqu’à un contour d’uiù'çhëmin, d’où en trois quaits-d heuie (?
Ù?la Wpur-Roiidè; (qu^a«. traverfe, & de-là en petites defeenres en 'u n e ‘
heure à Gap , en laillànt à; gauche- l'a maifon •de'MohfieüEfâèÀa Fond,
& pjilfant un îuilTeau qui vient de lautfontagnc ^de QKarance. 1
S f f l à.‘.gauche:les Cazernes, & à droitede^oùiyent-des Cordeliers,
apièsl^h'ÿ o1^ pafle un 'ruilTeau fui an pont de bois, auprès duquel -
^MlaifTe à- gauche la ro,u.t^flèi%ëhqblç:jS&vàVpèù|,dè^diftance -èlbîun :
aptrè/uilTeau , où il y a unvjapnMiiei bois 1 & où. on'rfItufTe à^gauche Ü,2
route idrEmbrun j ayah#^ruméàùpn;prend la droite, par laquelle ori
pafle ce ruilïèau au gue, & la.rrvière de 'Gap^ïùi un1 pont de pierres,
apres, laquelle on vavçn.-petitesmdnté<M^:&viplame à hauteur de'.Ram-
baud qui eft à drbfBesaiune heiureide ülap-,v & en paftànt un ruilfeau j
d’où enMnontanc & paflàut deux îuilTcaux en trois quarts-d’heuie à
laBâtic'vieille, qu’niùtraverfe,-^.^-1» enimîc'dcihi'-lieure auhameau .
de Santon ,:dù'j©n prend-la gauche pour defcendi.c\en une demi-heure
jufqu’au hameau des James 1 1^ ^ ^ p a (ïc un ruiftè^ùCaU-gué3 &■ un ,
|M || plusJpm^^^jMe,1fÙp^h^pônfe,de»bbf^&^oi^mqïrte'’èn une 'dëini^ k
ffléjite à Avanfoniqu’oh tr^ ü e v fS ^ bn^prendiagàùche;^
on palTe ‘.auprès de la fontaine du- village à gauc'heV‘& eu prenant 1^ |
dtoitç on va aux earrières du plâtre d’Avanfon'à-un quart-d’heure du
yillage , d’où en' une demi-heureAau fuiftku,qu’oh^p£dïè"jA&-en^urté ■
demi-heuie on lemonte %N.'|D. Dulaus, en paftànt ui^ruilfeatti 8c i '
dèJù 'ei^dèfcendant on va à'Sain&>Erienhe en rrois?ciuarfs-d-’hcurc ^ en ■
paflàiïç4à'rivière f l r ê m ' e j r i v e gaiièhèièh nnè'demi- • ■
hedtl^P^^j0alferre, lailïàrit • fût-.dçbitesdefnëtteJmêmei
pii ■chémifr de~la Puiferie^î,/.qù^eft}îùn'BÿàhM'tà,ne\êtefiïb^^
> I , ^45i
P ^ l g ^ r & ^ â à ^ ^ e f ^ s » ^ le.dhémin K
ùnjp.ont depierteè-, &
s peut a p r è s j ^ c u i ^ ^ ^ ^ o M m ^ ^ ^ 'unïipèéijt-liarjulau ^ u p rè s'’duqde|ç
yerfes^en- t^ ^ |a r^ d ih e u rë ' auVlianlèà'u? de Megières ^paiEltt^trois
i haMeàuides'iBôrnas- ■
v î î k i lT e ^ d r ^ ^ ^ h lM ^ p M w M ^ ^ 14% ^ ^
^ ^ ^ S # |m é à n > : d è ^ l ^ ^ l ^ o une he'üre;iidf&4fc , © ^ 1 ^
ap'fèi
on arrive à Saint-
Bonnet , en laiffant à' gauche le chemin de Grenoble ,&■ palTant % |
une heure jufqu’à un
r^kn-oïàge qùr jîvieiit, d^^natànce
, ^ k r ^ i ï e | i ^ S a , i 4 ^ d e ;
^.^uovillage y^e'Üonèt»^TO|^teÀWpl^’emi-'He'ùrè
^^^'fo'n|dé JyfàdâîFdndî-- ■.*• i < •
'aller'à ^eVh^ l^ f^m ïogr^ fej^oiït^pdye^W^ c
| M l
unïpetï^ÏKOTi^^qhiï,’cdiidiïir
: pàlTè-aüpïèsfdji^illggë
^ c h Y m i î | ë f t b n > < i e ' ù & W S ^ u r ; ? .
-Roch&V&llJi^fu^ laroute
k ganchù^uneŸgr^ge''i1J ^ É d # ÿ ^W ^ w l f e p É f a g ^
•'{ï ^ W ^ ^ ^ " h e u r ^ V è y i ^ ?^ m a ^ i k ^ f |î e ^ è S § i à ^ ^ ^ ; i (.'
m^^elmmHè;là;'flâj^^|^Môhtmàüî;qti^^lai^
w^p^^é'^él?Fütihèyés.'^' ^
^ hY ^ i“%tfeùUrt^fleai^Sf^ent d©-^mt^arçèlHE^q^6n^lkfl^^^
gauchê à oeirdiflb^^^^^pâflÆ d^i^rèr^iftu) BÙecîf'awguài'^èM
r-d’hïUru k'JétiZe'-'iêp paftànt un-peut ruilïèau, d’où en une heuie à
’'Cvhabedtau%'envTuwant un uulïèau dan* foiï lit ûu ’qu'aic-d’heuie eu
palîànt un ■'fécond , & lailïànt à gauche le château de Laric', ^on rra-1
veife le village de^hafleétau, & on va en u i^âtet-d’heure à - ll^ lïe ;-■
de Mareze qù^oïic paflè au gué , & en continuant“pn^mbiite' le petit ^
,’cof ^ i
|ôfldam^l’^ rm ^ p h ^ l f |^ ^ f ||g i a ï i r è i t e ^ <§g: ©n'vi(: en)piaîhp ^ .
tinue à defeendre, en paftànt auprès du château à gauche, & au bas de la
• defeente il y a-un ©rat_0ir^q»îîô;i prend la gauche , par laquelle on fuit,la
rivière j on pafle ur^iuiffeau 'aupiès^del ofàraite , & plusloin un autre
ruïlïèaû o ù ^ ^ ^ ^ ^ ^ it g a ^ K t ô ^ u fi peunl^foin' un ':
unc'dbmi^lieiire de'!Sà\vôù’i:nôn:,, & à hauteur àe B'eÈfâc-quicft à- droite,
flKOÙ’^o^dfe|ni-heUrë‘,.ei^MlM^l^ ^ ^ p ^M è ,ré\^Mdntrdnft.^iif^V
eft fui leboid du Buech , & qu’on lailfc à droite ; de Montronl on fuit