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qu’on'paflè âu gué 'à une dcmi-beilre de, Davièrè , obièr^atit; qû’âvânc
de defccqdrc on laiflè à gaücnë-’là; cn&pèlk dç-Sanït-Maixinie, > on va*
tn fiute en Ml quau-d’heuic à Sâint-Hipolyre de Boiron, ou en pte-
iiarac k droite , on va à Villette d,’Ifhns, & à lflins, Liiflànt à gauche
ie châtèau'd’rflini, SI en fui vint o'ù -va- à L-üzinay éii ,ù'nè h'èürfe',re‘Ùr'.
oh ptond -la droite j & oh pàffi: ife'Yaû&.ÿ arrive en une‘demi-,
hëùre à une gràn'g’g ^ili ' êâ'- ykiflànt à droite le chemin de
Vîènnfe&Téglifê dé Mons fui la haureur , -après cerre grange oh prend
; la ldioice pour montei dans un bois, & palier auprès de la maifon ,
dite Bramàffoû ; d où on defeend rapidement da^s la plaine au Molard,
1 appartenant à M. Cécillion en une demi heure, & où on joint laToute
■de Bbur|qih à Vienne qu’on 'fuir en paflànt à la maifon du Clôt qui
oft à gauche, & à- la Perrière à droite eh ufte heures d’où'on vajqindre
la roü’te dîê Saint-Jeaji.d'e Bourney à Vienne , auprès du- po'nt Evêque,
■üii trïvéffëTë foüXbOurg de ce nom , pour Arriver à la ra'ble ronde,
il faut ume heure de là Perrrèré j'lè iK ^ ^ ,'‘,dë|iUi^^^nt^imph0^tn
-jufqu’à la Jufhce à haureur de Chuzelles\ & depuis Chuzeldes ju'f-
qu’à la iPerriète il e'ft tout fàbleuxmelé de'quelques cailloux: A la
i Pertière' il y a une carrière dë bonnes mblaflès. f-
La ville de Vienne eft iîruée.'fur. la rivé 'gauche .dü Rhône J&lur les;
ydeùx rives de la 'Gere , ’auprès de Ton confluent dans le Rhône ; c’eft’
Une des plus anciennes tfilfôs di^Rbyaumej il y a un Aiche\ êché ,
dont l’Archevêque prend Iè„*«ïe 'de\Primat de’sPncôatsjj^
Cathédrale eft dédiée à Saint-Maurice , & il y a un Chapitre ou on
ftè reçoit que des‘^ïoJ^éSjl’l^lïfe en eft belle & dans un goût godi>i=
■qüè : le poitaikfur-tout en eft beau t trente-deux marches pour
y monter; on trouve, daïis cçtrë ville beaucoup de monumëns d’antiquités
romaines ; il ri’y en a plus qrie %ielquês~ morceaux détachés ;
""«yir vôïtydêà traces d“ilh amphithéâtre au-d'efloùs de l’ancien fort de
Piper ; &/daUs)la^ll^^, fe a ^ ^ f^ ^m 'de inaifons, «^fut-tout Celles
' aqx, -énvftpfô/phc'pàlàis, ârchiepïfcOpal ^ . qtn^f^^'Braes ^la des rèftes
dé-Mtiihehc tôthaîn’V^àla raj^fon de vîfle 'cm vêtir des rè'ftês dë oblofibéS
magnifiques, des morceaux de 'couronnement' en marbre , & il'ÿ a .
aûffi detii tombeaux , dèiir 'Un à l’épiraplïe.fuiÿancê : S canal JJia ti-
ciani quind in eodem coiporè'fânt Vnvi fîbi fecerunt 5 il ~y 'aAnfe a^rty
ïh'fcriptidn 0 uflé én allant à^Saint-Mauriêe j-qui-eâttès-
bièn cônfen^'^Eglifè -de Nbtre3 3 àïne-âé'Sa Vie eft dans le :gout de
la maifon qnaftré'ë'd'e Ni'fm^j il y 'avoir anciennement -crois forts aux
ëhyirô'hs 'p^f^-défèiïdrë' dé tout cé tjui pbttV'ciir vefaif‘dû Vivaràis
ou'dii Lyonnors : it-gra"plufieurs manufactures jde-.ratine 'de Vienne,
||\UÆOTyÆr&^Snes;î yis-à-yk.V5emië fur le 'bord-& laàavefldrtâtë-dtt
Rhône , on voit ’le Bourg de ‘Sainte-Qolombe, qui eft auflî ancien
que VienneOn y com'muniquoit par im pont en pierre, dont Si nfe 1
\r?ftVqrfe qndlqufes rraces ; un peu au-deffus de ce bourg on a trouvé ,
en creufant une vigne., des pavés A la mofàïque ; on l’a tiré par mor-
CeküX j 'dïi Ta gâte : ’les débris '6c les deffins font-au Cabinet, de_deflm '
Au.Cdllegé'j aux enÿircfns de .plufieurs^ëfp'èèe^îde
maibre ; on y !fârt un dans là
•ville, pour Tendre lé pdflâge des voitures àiféj'on a trouvé .en •creufant-
pour (mrë WTondàtioiis. deS murs de ' cfôttfte'd'un bimét&e^udeïriK
de Thopitâl'p’lufieuts coionnes de granits : il y'alencore -des ratés d’un
aquédhc roriiâin. 'LèS xôc'kers ■ àtâJiàfihûàf &
d’autrb, fo^sgramtête^^'.^^:,aqpve des mines de .plomb qui font
exploitées -‘par M. âèVBùrmehftheirti^enfuite d’un'e'con^dffîon-dû Roi
qu’il a de toutes les mines à dix lieues à læronde : lé -premier trou qui
a été" ouvert eft celui de la voûte de^sMrft-'î/fâtcèl , qui a fçÿi embou- '
chure fur ié%drd "(lûfruilïeau 'de ce nom 'du côté du nord-oueft : !le
•reconu éftsla vdütè'de Sahit-Ularfin bord d é la Gere, tu côté
du levant : Ictroifièmë -eft la'-voûte près la'porte de 'la "wlle -vis-à-vis
la’pla’ce de là TFlutérie ; cettédernière ^ r ir hyoirTâixapte^thx.toifes de
long j'ou'on trouve le filon ; telle eft'étayée eïi&ôisjcnyïnfà trente-
trois toifes pout foutenir des terres rapportées , & à l'entreë-fon a peicé
ü'nTOUr rde kuit pieds'd’épaifléur5 ces terres, fans doute, avôrent été
tranfporréer du temps des'Romams'pom combler quelques foftes, le
rëfte de la voûte'eft'en' rpdhërfçhîftedur ; le ’fîl'on'étoit-en terregraffë,
fe û hl’a foivi : la voûte de Saint-Martin ^ deux cents quarante ■'toiles
de long 3 elle eft étayée en bois environ dix toifes, & il y y,- quatre^
vingt'toifes dé'rocher fêbiftedur', où on a commencé à trouver le filon i
fl fo n d é 'cette voûte une eïudqüidépdfe unte^opre jaune j '& dans
fctettë''vc{ûre > âiniî'quë .dansâtes' autres y il 'fuinte une ‘eau qui dépofe •
One ffiâtièré blaWche én';,forme1de,^aélsite \ à cent dintte-vingt toifèi ,
On trouve'uu puits 'que j’ai m'onré^par une 'é.gh.çl’ltef'*quî a vingt-cincj'ÿ
Toifesde'haiïtéUr j iléft'tOüt'étà|e'en; bois , ^ - ,<hiT’qonte- tout droit}
tÜQL'.qadqiUîs '^îdroftà1 :’nreOje:-:le/ccâ^.,éK h x ^ â 0 : au 'haut de ce puits
, on fc trouve dîtns la voûte de Saint-Marcel, '& en prehant là ,droitë
on peut fortiiSpar, l’cnïvertiire du^cÔté du ruiflèau de ce nom ; j’ai
monte un fedond puits de dix-huit toiles ,-.qui fort âd ‘joüÊ;fur, la montagne
de Pipct : au milieu de jc]e .’mou on trouve à gauche une gallerie
de quatre-vingt-dix toiles.3- où on ^rquve pn spuî.tSidKdi^ coifes^depro-
fondeur , où on travaille actuellement ; & en fuivanc cette dernière
| • gàlforié à gauche eft la.voûte de Sàmte-Blandine.^où ..orr^foit, le: filon >
prefque toutes ces galleries font étayées en.bqis : oii trouve ettcpECüdëS
. .. ^foh§-de,pi6mb a la m^tagne^ dë ^ rjsflih ^for^lei bord du Rlïêne, oh’1
®n a fait un percement de deux cents toifes-, d’où on a titc une grande
quantité de mine de plomb en malle dans une terre -graffe rouge , 1
eiicaifTée entre ün filon'dê quartz blanc, î;le. filqn pàflèdslce^e/mon-
ragne à un coteau plus piès de ytenne , où on a• fait deux peteemens
.. f d ë ; l ’autre , où on 'a riouvé quelques mouches de mine}
. fifon pofirroit etté celui qui s^tend^^^x^ontagne d^-Pipet .du
ëqté dû Rhône, ‘éttft'^temontant^ ^Ghafte], & l^[ô|rc-BafQ^de
, Scyfluel ; ce filon fe dénote par iui quartz blanc de -fix pouces, d’u-n ,
de deux ou de trois pieds, ce qu on appelle aller par ventre ou par
I boutons, où orirtouye fouVent beaucoup de .mine, on trouve, encore
,Hh -filon-dp plomb avec beaucoup de blinde & de quartz à .Poufil,
près -de la(ji^ è ^ |d e ^ 'a u x , -auquel en ne travaille plus,: à &. -m©^
. tagne, dé Nayonx’ÿaûidëlÇjus, ;de iNg^ë^àhje-rde,l’'Ifle, à une heure
de¥iemîe , on trouve unifilon en'plomb,:àMaflîez,on eoeayôit^r^pl?
un qu’on a futvi trente toifes làns rien. trouver : à Saint-Juft, près,,de
Pipét, il y en avoir tinMâ^nj#rf:.reufé ‘ en-virqn ..tr,ent&'toifos, & on
en tire environ dieux quintaux de.-mine : -les^TjDchers/de granit é'orn-
mcnÇen%à ^ a f t e , Notre-Dame- ‘dë;'Seyftu^,^jit^«fqu’au château de
Davilièrc , & delà à laP e triè re , & retournent à Vienne , & du côté
.dé Valence s’érendent environ’upe l|ëiæi^.ldhgueuE,Xû^petpe6ite
lieue-,en largeur, borné -par un tuifTeau qui e(h auprès dus château de -
Maliflolles : auprès -dé la -yilié, à^droite^dfe; lar-oute de. Valence.,>iil*y
a une -pyramide d’environ douze toifes de'-haucqur, laqùel'le ne paroît
pas anciemie : les cailloux roulés fe trouvent entre lesimonMcules.gra-'
mtenfes 8c ;fi^lè,;bcn:|i^ü iR^ne.
Df Vienne on va&,Aubemve en.depxb^é^Kè.iqùaFc.ÿenlfmvMt^.
la grande route de Valence ; on paflè auprès,dè la pyramide.qui-eft
à dLoite, une petite ravine & un autre petit tuiflèau ,iailTaiit Notre-
Dame-de Pille à une demi-heure deia\villdeà-dioite : un quait-d’lîeuie
'P.las loin.qnïpalfo. uh ruifleatis,, lai/|ant; e^tn'il èr.ik ^ droicey,& ' la
^chapelle -de- Sajpt-Okir; ^enm-(iùàrtrd^ietir©( plus loin êii^palïed.^ûifi'»
. foau de Vaujas'fur un^pônt de pierre',jd’.bù;.on monte^un quait-d’lfeure
. pour arrivé^ àu Gàbàret dp R Ï f i r r e - B k n c h é ^ . f o ^ f ô n ; ^ -
la nve droite du 'Rhône Saint->Cyi, le hameau de Veieney , le hameau
de la Contamine &Ampuy : du cabaret d'e fieue-Blanchc-on va en
plaine une heure’un quart jufqu’un peu au-deffus d’Auberave , où on
defeend , lailTànt à gauche Revantin & un château , & droite'le
, y^g^-decGrenon,, àvëç. pn^hâteaû : av-ant <d’êt£eïà^4ubernve <'oïïi
quitte la grande routé", pour prendre à gauche, 5c on va en un quai<t-
d’hreure à Gheffieux} iepJp a ^ ’tjleTUîC^uyde.;<3 | i ^ i d’où en-une
demi-heure à Vergue, & en un quai^ddiÊUiËe après à Saint-Alban de
Varaife ; omcoptiiiue de remonter la rivière de Varaife >fur fa iiv,e
droite jnfqu’à Court, paflànt à une demi-lieure‘.aü hameau de Gontaid '
& un ruiflèau auparavant, Iaiflant 'furda^ivë^âuoBe^dexétté.fisière- .
à hauteur de 'Gontard, l'Eglife & 1a Cure de Montheion.j &: à gîïûche
un château ; Çc(i&noiën^5r:,à ùn *petit^hàmeau de
Coui:^ ^ É t!lite rivière au-deflous du -village, à une heur,èu'n quart de :
i ^hrâidÿ;:, de (ïë^tipgür.ûller, à-. Vienne,?on :repafle; ladite.'-rivièrêi
après kqaeMte gauche le chemin de ^ â ^ h in ^ ^ ô a o h
monte un quart-dîhèure.jKoatràverfe dés,bojs^jonjàiflè.fùr 1a hauteur
à droite,, & on éprend la gàuelie^par .laquelle oh
Jme.4 ça^he^,^pç:o(mtiiitie enfoite daller en petites def-
centes & en 'plaine par un chemin fableux, jufqu’à un vallon à une
heure de Vienne , auprès de lâtuaifonde kklïflpiess, qu’on laiflè à
droite, d’où 'onanonre &onva eir defeeptes’ douces jufqu’à ;la ville ,
qu;fon arrive par la poue^de /Piperou il .fout-defccndie rudement ;
il faut trois-heures pour venir de^Couin. à Vjeune : depuis <le' riùlïcau
Vaujas & sen.-montanc -onù^oùve de -part '& d autre,de poudingue *, lie
terEéin dans-k plaipejeft d<un tcrr«n ^ras 8c .k&]eux/,,raêlé 'feulement
de quelques cailloux , ce -qui rend le chemin mauvais en icempç de
pluie-: à _Auberrive il y aifine, montagne de .fable "blanc, où il y a
deux; cartiètes on Pen tire pppr -k vertewe de Givois ; d’ailleurs le
long'de cette toute ce n efl^que-cailloux reulésTbu dàBlcux jufqu'au
diâteau -de '‘MàliflolS| oùj^ihfî-quë/je Tai^d^idlcy oft' -fecroUve les
granits ^ufqü’à "Vienne. I- j ;
' R P ï N - É R A / R T ?
DcViciïué pour illcr à làjiüicc de SamtAmaK.'.on ctavelfe 1c fcùi-
Ç^ÎÇMs&jsiBatin-o 11/; u '* n e J 'j u’ l '! ? ^ ri
o i on paffc le file,ù»pont J . j ic je i. i 'y a'dcs r rictsàftr
à gauche après aypïripaflS le ponc, après lequel on monte pour y iv e r
■‘4 S îréi'aj
Id®: à droice le chemin qui cor lmt à Pir & 01 «S’A j 'J f t . Ir
- JiJ»tfo{ieS.|,8t«lfttid o-frviten qtf'eft
J-gatich®. «|p«w 4oqud('on'paire%n petÆJrtüfleau, &■ tA m v& ifo a
. arnvâpu l e - t . « I -p.e > M/lie i ® j> ..
lequel on paflè un niill'ean 3 dtjù /n une demi henre à la Decourbe,
>“ en Pa®ànc .un rniffeau,. où on- crouve deux chctnnis ; celm-de lit^audie
conduit à ,Sait T. jc-Bournay^ & pi nd et lui le la dr< ite. jiar
f lequel on traverfe la plaine.en-une demi-lienre, «r à ïèxtrémitc on
■< j p e & p o * « à-« ^ M M |l|Eiliui ‘ k l ê f ÿ p * t ^ n A i î
un quarc-d i ] e- lans I* b ù f î j i gniers j d r on de en d b .
va qtuplane à VdlêïH^yffil^eteii-'heurÿ, aprè lequtBèn4 ^ ê ;
y y ip e d t.'.jp iiy i^ ^ i^ ^ t-ÿ 'd io ite .fu r 1 i V r.1 c -
neuve-, on -j. i - ' l .e L J £f e fur là ivc i , ,ife:,ph.-'ia
j^afle au guc ; apres ce pàdàgc on paflè;aupÉcs 'd’une anciennéyerrerie.
à1 (droite ..iid.i.'t à auche, à un -ffylBr'ùbi
J J" Bç ma :ù vî ce font li 1 an entre da li bois,
on monte, ' d kil "e à roite
un étang! un quart d’heure .plus lbi^ oiji.paflè entre deux autres, S:
;uu..dp(çend en un' q. i I e i 7 à Ar V après la < c çei e on 'aile
-.^uprès.d’tili eraii|và^auchc'-d-r^ftrtaiii[. Ju . ,s
on va à Orna r u qu’ot lkilTe’à-dlroite et l'.i- lenre.obfei 'V < . t ^
milieu de la plaine on trouve'une defeente où il y a deux chemins,
on Prclul H H B B i- i- ! edui . e la droite conduira .r di dfteî
menr àOriiaclcmt) Sÿ. étant ; a^lïx?temitei'Jde là plaide Sïi palTe in
ipenc ■rmireanri...apièsi'lequel on uionce, & t , defee 11 à Bal ins e. un
quarrfheure; on-tilTe l’Eglife àigauchc, & de-là en une demi-heure
a la côte Saint-André: On. trouve du granit depuis Vienne .jufqu’au-
pres d’Eftrablins, nKÜs .U'.n’eft que par petites îiionti ules, le entre-
deux étant en n lia ux-r.lülési , fc 'le rre n eft le tue ne. je [u'à la
- uû '■ I b l ie b lise èBoi .i eyau r tfcli un té'rrein gla ft ux& augilleuXj
wdqui rend le chemin maüvai
Je ' J.g de cette route fonc poiflpnneux.
.itjJJe i l cl d S ntAndré pc llerà etemunay » ‘î f i l r i \
predédente j u i bas d I ni et ' i i,lenti-e i l i i e où
on laitte à f e * t J
fuit un quai 1 c n i St 1 1 on pre 11 la i me i . , j d c induit en un
iaiwiJituDL p,nt j .jV i ’ii'i.l;.co-e
de B j evaul jÿju’on r - l .heure-ju l u ' V? les
ElHirdS, en paflànt dansde.bois* auprès ‘de cin^' alix étangs tdesgtadges .
de^ BÇards t
entré irais étant d i t ij di r Sr deux à t,n & i»-érïr--
■ îriitçjdd la chauffée on prend à gauche ; un peu plus loin on palTe
encore encre d.eux- étmi |,t
n defc t y- n jt 11 un c i in auprè 1 i c maifon j on p fli
^ auprès d un étang à droite, & on defeend à un petit ruiflèau qu’on
pa^c au-dclTous de Charonnay , & anprà duquel en prenant la gauche
Pn.psu . ; r i Sain jfc le 1 u i ay en u ae.hé j.'e , | ^STucie'
# 4 Ifaverfc Ja. vUlgge . ,8 ^® !® i
la'droite conduit jt eliîunpiers , & celui aê-K' jaüchè à Eclofe, en
fuivanrteplâjne'j en .pafliiit à une demi-heure au hameau de Ginêts à
celui des Pelecs laiffimt à gauche le .château .de Micrbois , pafliiit aux
chameaux de Brû
liamcau- de StLomlicicy fôigncl â'und.h'èdre.'dc Ginet j -où nous avons
dîné à ;k Çroix-Blancl - 11 , e o :fuifel|i smdè route de Ly n .
à Grenoble jufqu’i .Ghampier jiyiTanr aiiprS. iÈcfefc l’écoulement
d’étangs fur un ponc de pierre, après lequel on .monte, en palTant
auprès.-detia portùiau 'Roi à gauche, & iailEpt du même cote uu
ié.rang , & à fa fommipé du coteau il y a unè croix à' droite d’oùv’ùù I
y$ e,n dcfccmcs diphfieÿ j.i^u’à'fchampier ^iélor^è’d‘ùéë'heiïrerd fe I
«■“ici Itprès aiwir pafle ce village,on quitte la grande.'route, & on
prend li droite “ 1 11 ^ a i unJ;
heure la plaine cil paflant aurdclTous ,dé Nantpin .qu’on laiflè à droite,
& on nioncc .eiifiiicc aiiprès- dhme maifon à gauchci;i1&, en un quarr-
d'fctlfp on atri :e à un étang S .gauche on continué' de monter &
PU .defeend eu uiic ;deiùi-hcure. à la côte : ^utè’ok ’ .plaine n’cft que
.cailloux j il.^i^Lg:iî^ésjteiffiî|l^^^yapfiPpyyéî^?dih:eft ghts'.&-
d&bl«.dp^qns-.pvdîuies le--ch'emirii(lâiis le bois
Aim es cependant, fans',perdre de temps, aux granges des gflards : tous I
m Ê î m
le ctang font' poilTonnéux: La cÔK'de ;Siunt André eft une petite ville
d . de Dauphiné, firnée fur nn penchant dé coteaux rempli M R M H |
,. Cé qni.fcrmeiun cdup-d'oeil alTex igréable dans le temps de la ver-
^aiiS ce ttfiü e des Religieufès rénqmmé^par les bonnes
liqueurs qu’elles font , ou y fut oïdinanement bonne chère : elle
. f e ü m é toute li plaine ; elle eft alfa 'bien bitie , mais elle e(i très-
mal-propre.
De la côte dç Saint - André on prend lé^c|eiSi r^Glenoble ,
qu’on fuit jufques au bas dune defeente où'on-fe ki'lTe à gauche
. p o u t prendre la dtoite pat laquelle on fuit la plaine, & on la tta-
^ ur , ^ eîV |ê } z in f® S , en prenantla
gauche, çn va à Breffieux en une heure , allant î une demi - heure
en plaine „ &'autant.en montées.Dans la plaine on paflè un ruif-
_ / eau, qnj^^rayerfe/Ùans ^
ordinairement beaucoup d’eau foute d’écoulement. De fBreëùx on
H : P & ^ ^ p | a p | è s 5 l f o ^ en
fta n ?tea“
. à celui de la grande Chameie, delà en petites defeenres en un quatt-
1 ‘l’heure à' Viriville , en paflànt à deux hameaux de Chatenay. De
Viriville on foür la riviere de Pelouze , & on va en travers en un
| demi-quait-d’hëure à Thod'ure où ùn paflè un imflèau , & on prend
ltT jf e e , & en t r i 9 u’on
. laiflè à gauche ; pn fuit le coteau , &: à 'une grange on prend la
.droite par laquelle on va à Saint-Barthélemy, paflènr auparavant les
I gian<ies fontaines auprès d’un moulin .qui eft à gauche à nois quarts^
d’heure de Bèàufort. On piend enfuite la gauche, & on anive en
' k plaine le chemin «eft aflez bon ; mais aux montées il eft mauvais
i | | rems de pluie, fur-touc à caufe de la te rm ^ ^ ^ ^ p o n ■
tire dd"ble^ ^ a ^ ^ondainment •’'ils
ëngLaiflènt par le moyen des pois - loups qu on cnrei^e ^ifobpu-'’
o n ^ ^ ^ ^ S r è a ^ d e s 'R ë l ^ S M ^ ’on fk ÿ e à
’ gauche i , j e .M o rp c î^ ^ S ^
font entre la grange: de la Veine à gauche, & celle de Robeit à dioite ,
à une heure de Beaurepane. 'Un quatt:d’heuie plus loin on.tiouvc
iàii%ïç. àj^Mte j.uîq'ir’aùx^Mdrets
en une demi-heure, d’o-ù on va à Belmomt j & enfuite au petit Mou-
-chçt en trois quarrs-d. heure. On defeend dans ïa plaine, Qc en un
- quart-d;heure oh- va à Epinoufe qu’on traverfe. Gn quitte le coteau,
on prend la gauche, 5c on va en une heure à une maifon appcllée
la Cage, d’où eii'un quarc-d’heureà Çoinou , où on prend la droite
& enfuite la gauche 5ç 01? y a en :t^is:.quart^d%ure à Saint-Rai!n-
u ^ ^ /p ù ’pq jointla g r^ d e y o u tè r^ ^ h ^ « ^% tp ù jp u ^ e io S n e ,‘ ‘
à j’exceptiôn' de là petite dèfçentékû|ïè^:ë f e tfoÿèrfe la
plaine de la V-alloirc qui eft; tXM^'eqtfoe & dun ttès-grand piodtut ;
1^ ^ recueille beaucoup de bled. Beaurepaire eft un gros bourg fitué
fur ^e Ôënphant d’un cô.teau qui eft tout planté de vignes. Saint-
Ramberc eft fitué fur la grande' route 'de Lyon à Valen.ce , & for îè
bord du Rhône.
De Saint-Rambert on fuit cetre gtande route jufqu’à Saint-Yalli^’;
|^ '^ ^ ^ ^ a i i |r è s d’Audanfç autre ^ruiflèau ;
POM -’d e ^ e r ^ à un) ’ ‘
,une ^ grédàK^^b yajl^ i^ pafl^rA-iune 4ërni^h^ür^^^Mès'du ha-
meau d Alaveyron qui eft à gauche /ainfi ,’què ]é chcmiii Àe-Moras'’, ÿ
6c le château .de M- de Valernoz auprès du'roc lier, & une carrière '
^ {,ÿâte^u & le bour|. 'O n ^ u v V ^ ' S |fe ;T o u îé s
qu’à k r^iëre d’Aiïfer.; ^ agprèsÿ;;fei:^pniù^ le Rhône • "
& ihr ‘la^xive 'gauche eft la montagne d’Jzard qui eft ‘de gianit, elle'
eft fituée audeflus d’Audànfette , & vis à-vis Audanfe. O11 riouve
également du granit au dèffous du ponceau de pierres, & à gauche
du cliémin; il commence au coteau? fur lequel iftT'bati le hameau
d’Alaveiron & de ce cô.ré il fe continue jufqu’à. Saint-Vallier. Les
;plaiucs font cepcndarit en cailloux ; mais, les petits mammelonsou
lïaptetus, font graniteux. >Le‘ château de M. Valeinoz eft fitué tbuç-
à foit contre le rocher 5 il efl'aflèz joli-, & n’a vue que fui le giand
chemin. Il y a des jardins enayan,^ù;château qui s’étendent jufqu au |
chemin. Entre lè château & Saint Vallier on trÔ l^ ^ n e carnérejet' ‘ g
.grain tsi •
De^ Saint-Valhei on traveifo le bouig, & à l’extiémité on paflè--'
la Gakuie'fui un pont die bois, & dans le fouxlàouig on lailfe la
grande^ loufe à droite,, $^0®, prend 'k gauche par 'laquelle on re- "
monte la riviere d’eiGalaure fur fa ri'ye gauolie paflànt auprès d’nne " I