g 4 P E S C R I P T I O N
■ Les querelles î é t o i e n T a l o r s ' f x é q u e f t t ë s . p e u de;?jdi|Férençà
poui Lu m leflj do> -traurs p^\ enuit^^l^'S'olc^tsfijliflsK/tpÆnt*-é^ikmine
téméraires , Lj* écoliers
de TUmvcrfité «k.-V.’lLnu.’', à 11 ^toE? oL 1 quclL’ étoit lois e ïjÎikuv. ^psy'mî^limcnt'
toujours:armés, felrépaadoïent hors.dcsi&yjlkVJméi^ u ^ ^ ma^raMi.i] , oeffjm&uÆ*Lutin
de ,‘totii,'Maugiion oppol Ton . utônré ^iwtlMôidi , ‘& l’ai i cu|c.tt4f ûfiint üu-.ÏS^commè
voleurs, «uxii^^contreverioient aux defirifes qu’il a w ^ J i - ’puËliÆ^m
r D a n s|^ tem s Eefdi^iérM.^Si<lpîfi à Gap, ne dépendant amolumet^ ctoe duj^efis^lii
■Navârré'.- ’‘qimMHpjpBKM K omme 'Chef1 dulrara IIu” henôr?|j|®,§ La^mne-Mcrc qui
s’étoit- reiîdueui ferai obi o, fit de ÿàinL efforts poi.ipllenga^éi à défitruu &î«a venir traiter
’irliiSfeménî?avec elle^-’mai?il’Vcn excufi.'Un^ltdiLKii^oçpbomiéi,d JisBlaBEUp i^Æn
JÏ^8|i'au^fiijet tLs impôts & dus charges dont lu peuple étonaceabLj fit piundreÆsîrlSes
aux■ Eayîàîis qWrégo'^eoiépit lus Nobles ou ils „pouvoiunt-H~Suquv-r fiSpltl^uiurus les
'fèv^iîoiïalftüs, main pour profiter de.s‘ troubles; mais -Mi.ùgiion gourliuyiLTles fudiu.ui p i]
& les tailla en pièces.
'' Gharles^de Lorraine Duc de Mayenne, ayant obtenu,l^^^mycrn^mcnL (du Dauphiné, à
la .‘demande des !<3atlioliquus iqur eroj oient pT là éçrafi-r leurs Emaiits’ : .feiirunditvdana
^êtte Pto^in^ à s la a te te de huit mÜlë.ten^^ap^èssquel'queSy e&JàUs^igfli^géa la Mure
ilune 'îlui muucures'îl tes ’de^EUdigméres, qui i^gEfflaiS^gBJ^kjjatirs i.ds-fangl nteï
preuves dedon^pounge, &. d,„f> vjpl^ipcé'^Smmmû^dSalEepc^iifi^mtoÆpnclmns
sdê'ftildlts -avec ’leurs' maris ,. & mire nt ollesHiiùnics'letQuA lSXyj^^lodi|U'’Jlesrri^ purent
fe défendre davantage. Ea jprerfl| fût poüflee~a|e ^ 4 g^ u r . Æ u ÿ^ ^ jfem S n t jjaj?finir-, ‘fit
rafer les „fortifications da tqutesjjles Villes & -ÇEgteaux. Jjes Places. fôrtesfne ilbnt„fàyprables
qu’au parti lejjfhis foible réelles foni munies, & T (£ é ^ t J it'Ls „ij.^lyirqULipait. tenir
là i împagüe comme le plus foft^cn nombr^>vrg^queü^s^divill^devjKiicai LiTdiguiérts-
reprit-habilement lejs .^gociküMS. imerrompuc^te cgtiV^tll^s^v'flLs^a’es'N^ns^ a d u i
Serres pour étages; rendit Je Gapenjoüs^^vjm^lolapgellement la paix; f â lW lo a r lj l
Sans l’Egfife S. Paul. On s’imagina depuis que les 'chif-
üxes du Collier de l’Ordre du Saint-Efprit, que le R o i
inftitua peu-apcès, étoient les chif&es de Maugirbn & de
.ïîailùs. Voye z n < ^p ^^? /^iiq n ’2<î Paris in-8°.
J r J pfdiguiéres en reconnoiflant ^enrijÊfpi'dc Navarre
pour Che f, fe ménageoit adroitement par-là une
juftification pour fâ pirife darmes., & une folide efpérance
pour fe fortune, par la confiance dont l e Prince Henri
l ’honoroit. Ils avoient partagé entr*eux un écu dfqr , .parce-
miief Penvçji ides lettres distant alors ni commode, ni alluré,
v& y ayant du. péril à s’expliquer par écrit en certaines
occafions ) il avôit «été convenuque'lof fqu’i l recevroit Pautre
moitié rompue de Te cu , ce feroit pour ‘lui un ordre exprès
de courir aux armes, *& de fur prendre quelque placé
qui Cgnalât fqn foulévemeilt.iâtmfî la *paix n’étoit qxfap-i
parente,, :■ &. le mal de l’Etat n’étoit qu’endormi p ar ce ;
palliatif. 1
‘J 2J La tàîU e dont ‘ les deux p remier @tftechargeoient
I fe tro iiième ,^étoît la çaufe de cette réyojte^çontre; le -Clergé
/« ^ ^ ^ b l !e ïïe .T o u f W poïÜS tiDinhoit-fuf-l^jdêr-nier^^ l^r
& c e fut enfin la perte des Beats du Dauphiné. Cette qfue-*:
relie fe renouvella fo u v en t, & nui des CoiÉps in’ayan^^ voulu?
c é d e r, ils fe détrùîCrent les uns JèS autres:, fu t
commun, L ’Apologue .de Ménénius Agrippa eût é té ~p„ouïf
eu x une leçon u tile , -l'la- paflxon pe rme tto it de raifô'nner.
Les deux premiers Ord rlsf prëtendoient no n -feu lemen t
leu rs/fo n d s exempts d e to u te s iÊ a ^ f e o n s - j : àîaiS même
l’exemption po u r le s hérifâges par eux acquis des perfonneS
dé ,condj|fen7 tàillal)le)-:. lé, Tiers^-Etat fu t enfin forc é d e
fe pourvoir ‘au R o i &3^ ^ ^ ^ 0 ônféih L e Réglement dür
iy Avril ié ù '2 , fdfpendit quelque ‘tenft ces divilïons fuï;
la péréquation de la t a iie , que l’A rrê t du Oétobrq
r é ^ p a enfin terminées. -•
■Jlj] L e EiîcrHc Mayenne rendît Vifite à L ’efdiguiém^
qui :le-rè$ut fplendidement dans fon Château s il l'invita,
à Ton tour 'à venir paffer -l’hiver à Grenoble) où le défis
-Pioyincq
D E L A F E.
f c î O ^
kufeme Edits de.pacification, principalement pour le porc d’armes, unique moyen ■
a ù '. '
Ligueurs,- les
Royaliftes-Catholiques & les Proteftans. Le fage Maugiron ne fut plus affez fort pouc
la révocation des Edits faits en faveur de la Religion Prétendue-Réformée. L’Edit de Juillet
malheurs dont il fut enfin la viélime. Les Ligueurs de Provence fe jettèrent en Dauphiné,
K&Éb ;1 H ^
f^ cT 'h
de 'v é ït u # iaommë % attira
Nobleflè. Ses envieux avoient formé l’horrible projet de
l’aflkffiner au milieu des fêtes que lui donnoit le D u c de
e n spm ^ fe ^ h i S ^ e^rentreroit'Janiais^à Grenoble q u il ne
/ a t / o r t , & ilf tint"-parole.
\ ’,r P I Le f uit p èk eip a t des iij'tfc à r^ .c ^ itftd e .forcer,, Ue..;
. ^ P Ï 0 ê # i M I à aliéner lè coeur de fes Sujets, en le con-
^ ra ig n a u t malgré lui à |M ^ p v | ë les Huguenots. L e Ro i ’
plongé dans les délices & la m o le tte ., n e to it pas afTez
politique P^Ê!(fqndèr les précipices qu’on femoit fous fes
pas. I l iî’âV Ô |t^m it d ’en:fans;,.::& On cherchoitM ^ ^ ^ ^ :
S lé f avec le p i fâ t â ^ n ç o n fôn frè re , pour les détruire l’un
pP ^ r i’âgtre. ;;pîteV^d’^ ^ l qn^.arrivée'- l'e ^ o ,
Liin i y 8 4 , p a ïu t fe délivier des inquiétudds qüp lui
donnoit ce Prince
fon danger. Le Roi qui refboit feul de fa race, fut en-
Veloppé d’ërmemjs de tous côtés. Les peuples aufli aveugles
que leur Prince, furent aufli’ emportés hprs de leur devoir
, & de leur intérêt par l‘es, ^ztfe«r.y. cfe /« f o u s 'le
prétexte de défendre la Religion contre les Galviniftes.
W ^ l^fC e ttieW e ^ eF a /in e e pjiw ’fyàijieumfâ-.
^pr^digieùfe^ m M p ^ p
p a r 'a roW ffl^B fe ’
' .Vicaire ,
& les,çéO|î'dâ^t comme co^^^ffi|,ÿuidiêr p^$fdhé&
ce tems-là* if ^ l Éîeni-.
nëjlex^e^^^l^é^déii-procédmi^q^^^i. p r
la-;.f|«5;de cess:p^étiüffes^^^ ^ f é|èht,Vdroitè^^^
-©f^^^péaire, de ^prill-éi ' 6ç'}
&!i^^^yo'tiôri^^ànt- dureriquèfâii^mnois, ori-îfeur afc<
triltu^almerveiii^ .d^ lés, avoir -exterminés.,
Y