a ? 4 I T J N E R J I R W
iplufieurs baflîns attachés , .formant dans l'e-bas-des efpccesde grilles:
- de ces',Blj3nis qùijîqnc 'horifonraux , peùÇl^ês^&jgcerc^^ëh^
tiques j - d?âjuu;és >en rohaM^^ i ^ ^ fi^fpiWas ?dea^bfënd'éàr?;-aürdeIà •
■d,e ce noyau on .croire •uxfruiflçau. qui3- ,en .paflànc foüs les rochers ,
vient fortir au-deflous de l’hermicage de k-Baluee; &.en pouflànt plqÿ
d'oiri^ptf- crouj'^u^^^^iÿt^fâmplei'paflâgé,, .dc-^bü ne j^^^^lér^p^üs
avant: au' Jac la grotte peut avoir environ vingt pieds de -hauteur 8c '
.autant .de' higeur ; il y a 'des pedres -fourcès qui fuintenc à travets les
", aocliers , & forment des ftalaéhtes environnées d une terre ocreufe : à
-l’encrée elle peut avoir cent «vingt a cent 'trente pieds •de-bauteur^.'ÔC4-
/on •^^ii>fesvrm p ^ l^m?BeriMtaggrailly a encore -ûrïe ‘chapelle"'/^
- Jaquelle-ton.a d.ëv otion ‘Jéc un !peu .plus'avant il y a-ufi?Ærëux au hâut de
«la voûte , formant-.un 'dôme alTez élevé Sc'qui perce prefquede rocher :
on -Trouve des ftala&itês prefque pUr-touti & i£ nj^|m^^;pyjarfiidè^
•ni autre chofe facile à emporter : Ciemieux eft une petite villes formant
un «fer à cheval, environnée de rpchers , elle rîe paroît que lorf-
qu’on y é£t ; il y a une mauvaife enceinte -, on tkJuvfe dans un i«ochèr
■au-deflhs de .SaintHipolyrè -dés fungires marins -, des bélemnices des
_ 'mp^cMmr ^è^tige de-'palmiêirsjhafins, fesà-ès^pêtits eorail'lites/-des
-huîtres déeèmpofées'ëii tourbiÜbns , d ^ tr^ ^ d K ^ u y ^ oe ^ ^ in s ’g ^ p - ^
pés, des oofljrhes, des. d-endrites &,des pierres étoilées ; bous n’en
avons trouvé que dans cet endroit, mais il eft à préfumet qu’en clier-
• chant ailleurs on pounoit en nouver ; les rochers font difpofés en
i bancs .de peii .d’épaiCeur^ (^’-eir^cqâv?e?les maifons. > •
| j L>e Cremieux en prenant la droite 3 en ■fôrtâftt par la porte’du côté '
îdé-Sainte-Marie ,,-ô'n;-va en montant en une heure àiS^f-Jüllien?,
daiflàqt à une demi-heure à droite un'chemin qui palTe fur la chauffée
■dp l’étang i par lequel fm va à Trept, 8cc. : 8c en luivant cet étang
qu’on Jaifïè à droite jufqa’au-deflbus de Saint-Jullien, où on monre
-aflèz rapidement , d’où en prenant la gauche & enfuite la droite, on
va en trots quarts-d’heure ,à Ceffieux, en paflànc auprès d’une fontaine
à. gauch^H^^^lailfo auffi^à'gauche un chemin ;'on. traverfe i|):
Village, de:Geififeiix ; après^equèl-on' défcend, & a iw)£demi-heure?qb
,paÏÏe deux éfcoulemens âfiéâ/fig,, le dernier jfîaçïum ■ponceau de pierre,
làxfÈnt les étarigs^ÆpitÇv^^rapfesfl^ponr^ontprendlà:gauche, par
-laquelle on -monte, & on traverfe 'un'bois-, & on va en trois quarts-
-d’héùîe a« GqiiÇÉoimay,, en paffirnt''au-deflous du .village un petit ruiA
feau, d’où on defeend un coteau en fable j & on va en uhë derni^j
heu rta Lanciné qu’on iaflïe-à gauche , en paflàntWTp'elitrSCwm-ij'''
de-rl| démi-'heure^à Arandoh^ en traverlanruh bmsf^«pa^Sç*;
âupïès de Lancin un.écoulement d étang ; & avant d’étre à Arandon
on prend la^drôi^pqn^ ^ loe àù hameau du Pans ,"£)ù on prend la
gauche qui traverfe le marais,{aprèsdequel^qn prerid|la droite^ pàr
daquejle .ôn.pôhte dans un bois, traverfe, & on jéêMgnd; a !§< /
chauffée d’un étang, fur laquelle on pafle un peu au-deflôus'dqPa^Gn,*
éloigned’uhoheure ; d’A|an|'0ïi : de Pâffin^iï revenant. & .prènànhk
gauche, on va en trois quarts-d’heure au moulin de la Roché, auprès'-
' duquel on pafle Un la chauffée, d’un étang qui eft 4 gauçhe & le moulin
eft à droite ; .-aprè.àtle, rnôuhifejon prend là gauche en une?'
demi-heure à Couvaloup, & peu après à Montagnieux ; & après avoir
- monté du moulin de la Rochey on^cmyeieni^fç^d&Êîùnl'chemin,
1 qui traverfe., qui eft: celui de Quirieiï a Sâiné^hêfV.èé' on foie ’tour"
•droit;:, de Montagnieux * en fui van t la gauche ,- on va à-'Catifîeuen une
heure, d’où on defeend par le, vallon de ,ce nom , & à «une certaine_«
dïftance on prend la^droi^^^r^laquelle-' oh monte , Ss on va en une
demi-heuie à la Peaiete , paflànc fur la hauteur auprès d’un Oiatoxr&
à droite ; d où- en prenant la droite on va enmfiédètm-heur'e rejoih- '■
dre le" chemin de Premieux 4 Sainr-Jullien , en pafTant fur la chauffée,
de l’étang ~en defeendarit de-là à Cremieux il y a auprès d’une
maifon à, gauche un chemjn; qtfi^eftlplus^'cW^feÿ & qui-eft tout -fur
rochers : toute aetr^rqucé^eft ,oomprife dgns la chaîne dejrochers «.cal-
’iair.^j3)^n®uyé cependant-f^o^différensxôeeàux-.dans la plaine,
des cailloux .roulés, mêlés avec la matière calcaire ; il y a de ce côte
"beaucoup-d écaiïgs & de-marais, lêfqüels fonc-très-pèiffonneux.- * ’
De^CeemieEX , en ~ prenantpl^;droiie & -en fuivanc la mer d’enceinte',
& dqrtaflt .par -k porte du, Mouhn on va à Saint —Romain-
en trois quarts d’heure, paiïànt fur la chauffée d’un étang-à. ganohey.
&/un moulin à droite j -d’où on arrive en trois quarts-d’heure en'.
plaine à ‘Chai vis,. où on pafTe.-k riviere de Bbtfrbre fur umpont de
pierres, après' lequel on .trouve -Charvieux à un quat^d’heure; aprés^
lequel Village on jmqnté;^^?-fq i^ p e ^ j^ [ ^ ^ en|pki^;& on, m'qiïre--
encore à Janeyriar en une heure , en palïant entre le village, à gauche
& le château à droite. De - là ; en iuivant h. plaine enrtrois quarrs-
d,’hedre à -Pufignàu laiflànc l’églife ■ 8c le châteâujfur la hauteur* à
«■gauche-; fis^-ên une/heuïe à,vyMeizxeûx^ en traverfant le bois des Pan-'
nettes , de-là en une hcùie un quait d heuie â Villuibanne , ob-v
-fervaht qu’à fept quaus-d’heiue de Meizieux'on arrive fur une' petiré
•monticule doù on voit Lyon', & on îedefccnd dans la plaine, laif-
J-fa'ht lui la continuation de ce coteau à gauche Charpioux & Deffines ;■
de Villurbanne à la Feuandiere , '8c de-!là au fouxbouig de la Guillo-
lequel ©n pa'ffe le 'Rhône .fur un pont
-deZpierres ;.'d^ ^illurbï^^®pà ' l’auberge xiu^’â^s-Royâi^uhe heure;
Tous-les coteaux & plaines ne font que fable , en quelques en-
‘^Irbits feulement 'de cailloux roulés. Il' n'ous 'iâllut dix 'minutes pour
1 traverfer_à',ÿhéyàl.'l'ê''kuxbour.g 4 'e Ciïill'ô'tiere,-;''& hn trouve à droite’
, à la hauteur de Saint-Romain quelques locheis calcaires fîtués entic ‘
; Saint-Romain & Saiiïte-Maue-de-Torras , lefquels font une contk
r^n@t|tö^dfe..ceux qui. bordent ià. riye «gâia.ehe diï. Rlïôné> - ■ •’
. "Lyon eft une très-gnmde Ville ^très-commerçàhte-'én toutes fortes
de commerces , de fur-tout en donne & foiciies ; 'elle eft fituée partie
; entre ie fleuve du Rhône & la riviere de ia Saône, au ‘confluent 'de
cette derniere dans le premier, & partie for la rive droite de la 'Sao’ne
. - ^ J ÿ ie |c e c ^ ri1 ^ r^ ^ l^ h i^ ^ g ^ ^® ^ ^ ft^ ^ e n n ^ 7&s%1' ëté^baue
•en prèmier-ïlieu fur.la montagne de Nocre-Dame-d'e-Pourvieie, par'lës
Phocéens t qui, après fapoife bâti Maifeille , s enfoncèient dans des
terres en remontant le fleuve ; ôn travaille' j’oiunel'lement à 'l’em’beîlir
l’aggiandn ; on fait Vn cana'l au Rhône qui recule fa jonétion
avec la Saône de denu-liçuë’, & on fera un quai aligné à ceux qui
y'fontjdéja, qmama«enviion une heue dhlbngueur |c e qui'piéferi?
tera imjol^pup^GèiPèrTarri‘ ant de ’Cauphfhé’Vif y 'â ufijOTc&èyêèlî^
qcVô11' ’Archevêque prend" le iin^^^PnmatP^M^p^l^xath'écirale
■eft la métropole où eft' le chapn r'é-jles1 ComteWe Sr. Jéd,n"dóiït l 'Ar-
' chevêque eft le piemieL’Comte, il -fàutcfane pieuvede feize'qnaitieis
- pour-ctrê' ^ ^ ï ï q ^ ^ ^ ’ï-pik^è^dgfc'hanoiftês^^g'rana'^Baiflan^--
Çéfte égli^;^||;j^ ^^|dànS,ia■ - p a r t ig " f u h d r o i t e de l^Sàohç
éft ijolië, d’un goût gotique ; le vâfe cn'fefttb'cau ; le choeur
,v^ ftgout. en marbre. Il y à un horlogé où à midi un ArËfcfbat j euX
fois des allés , chante deux ’foi», & péndânt» lé caiiMon ■>une ftatue
derlâ 'S ïg Vierge j qui eft "devant mi' prie-=Dièü' ,'îe1 iefotü'ia'e , “tfend là
dâhsrlë< m e t^ re ^T O n P ^ rt^ ’jOu^é'f" 'l’an'gé ’
la klue, le PereEternel, qui eft d'efTus, donne fa bénédidion', & à
la fin du carrillonda Sce. VieLge fè remêt devaût fon puc-Dièù '^’5r la
porte fe<refejcme.^^&tg£^!^eft!^é^itf^^P^6§!lâîs
5 qui eft très-beau, & fur toutvoiné,'en beaux tableaux. De fcc même côté
de^Lyon.'of en rem on^Rl^ ^ ôn^ J^ ^oï^ re fôfî:';d€3?ierrê’en Seize,
qui ilfe
fur. mi rocher ^fearpe-, qui eft de ^îahitV En defeendant la Saône ,
v'pardewde la ville 'paÊ, anqçl‘.phnW^dqnn^ém^du:.^^^re ' eft en
pierres_, &fles-qjia^%^^ ^)iiboil. 'Au^èntre^ dé^ ecië^Ôh^
‘ partie eft l’églife He Sr.,Nizier, qui eft une 'par©ilfè^ un 'beau vafe;
Sur la montagnë en'montant aux Chartreux, on trouve'fur la gauche en
J montant le couvent des Gaimélite^oùily a un beau tableau au maîtie-
antel deLeBmii, repiéfentant laDefcenre de laCioix. La chaltreufe eft
fituée audeffus dans une jolie p'ofîtion, &^d?qù^on voit en pairie la
ville , &■ fut une maffe de granit, ce qu’orfvqit. au< Gi enter «d’à'bon^ |
daqcè.fitué fur le quai aUfdeïfôïïf dëfdits* chaitrèux^ Ils ont une affez
' jolfe^égfife ^à&'b&âx tableauxy 'ehthauiresiJerBa^îêm^d^SBiJêaBi'i
^Affômpâin % kYiçige.. Le palâis^efbim- beau.bâtiiïïènt^JfhopiïV
, une colonne avec;une ftatue , au haucpè'ft*'.un méridien;« À celle dpes'.
JacbKinsil y a iine pyramide avec une grille de fei autour. A'k plaçd'd'ev
Belhjjijùr;il-y ÿ^lüfièù^ âllëè^^qur^fi^^qn^er ; jla-ftatue -équeftre
de- Louis XÎVx^ft au centre à égalé- 'difèncéfdel'lâVfta’éufe^by-a^
deux fontaines en jets d’eau, ce qui', joint aux bâtimens autoùr de la'
place’, forme en arrivaii^ùn'ij'ôli^oup'd^Ei'l'.- JGh trouve-une autre pro^
menadè auprès de Notre Dame dés' Nais , & dans cette é*glife il y a^
des cojonaes^ dè'«g-ralfit-,qu’on mais q^pMöi¥ég|ietre
du même qué-'^hü^giiiW:'t^$V!^e au-deflbus des Chartreux-'; on-y
voic-un pave à.-la mofaïquè auprès -du’«xnàîtô^iiiltél'/’MbùstaVôhÿdô'géî
fàvLiqn'.à hhqfël d à PâlàiSrRô^âl y- chez • 0bris& ch dgfceiïdâht ' di^pqn^;
dek*Saône; on-communique de cette partie au fauxbourg de'k^©uill'qï;'
tière par un pont de pienes , d^au-delTusî eft le ipont Saint-'Cl'au ou*
,-pôn.t'Moîànd' du,nom,de fon archicedte, qui fert à’ communiqu^fdb4
la ville, à là promenade des Benrauds, qui fera dans la fuite une belle,
promenade, les arbres?dans çë moment étahtfehcgïfei&pecitÿ.-y1'- •'
De Lyon pour aller à Bourgoin, on traverfe l’e fauxbôurg,de la'©uiiLlo-î.
t m m m i - ïR a i -r m
; 1 tière^lââflànt. au-.mihealâMfm^^romémg tienne j, &^prefque à l’ex-i-
“.•t^jgMtéyà gàu,çl^cpllé'de^rëmiéhx';t il fauc-uH^em^heurg'pouj-yeMi^
( du j?a7^ É o ^l-4 ';l ^ ^@ n t^ e,-cë-fauxbo.î^^^^^pte extrémité on va
• en une heure un quart à la porte , laiflant' à une ^ofeheure Igahéh©;;
Saint-Denis de Bron, d’où en une heure un-quarfà Mures qu’on traverfe,
‘ ..e^nfmc^miMaheure ^i^qva^^WiVàpiIière,>.qu’on traverfe?aufflS
d’où en deux heures à Bourguoin ; kifïàhc àfune heure à^drôite l^çhfô|
teau
: de Saint-Germain, traverfant -les hameaux des Buifileres, de la Ladrière
& de la Makdière',; laifÈntiMjlf^fes^^pj^^eu^D^ffièrs. Màmeauxy
Same-Alban de Roche , de p^fïànt un luiffeau fui un pont de pieu es
- âupiès dc'Bguigoin : le chemin eft en droite ligne-& en plainequfqu«à.,
une demi-heure au-delà de M u r e s ; : ' l e v a n t , il,yj
a une petite defeence , après laquelle il continue d’êtie en plaine & en
droite ligne jufqu’à laVeipihère , 8c de k'Veipilièieau temple de Vaulx
d’où il 'fuie les cÔLeanx en plaine jufqu à'iBontgoim, il eft environné de
^ ^ re s ^ ^ ^ ^ ^ ^ k6^^@K^hemi^infiàu’â la M^adière; L’<Ifl«diAb^
cfthiwigchei calcaire.'Lggé^â'Bomgoin à la Fleui-de-Lys chcziBuller.
_De Bourgoin on reprend la ioure-de -Lyon, -qu’on fuie jufqu après
avhih-paffé,:^W m ^ a^ ffitmi^Pohhdé->-pierres.\.~'o'j^mlàifle/ à droite.
^l^ nfprefldTâl!^ ^ M ^JKlà^^^^^mc>Kf t ^ ^ ^ 5bec<,eh ùne«demfe{
heuie de ap'iès J ’avon craveifé , on prend la droite, pom aller en une
'demi-heuie à Paleizin, donjon laiflè 1 églife à gauche,- dÿ)ù en f u t ,
vanf on defeend’ en une demi-heuie au hameau de Moule, dans lequel
on pàfTe, & auprès duquel on îepaflc le- même ruifleau, anpiès, d’un
moulin qui eft à gauche^ & en pi:enant k dLOite, on monte en uq
■d uàrt-d heure à'Sainu A’guin, kiflanc- l’éghfe à droite, & on va .en .un
'quart-d’heuie à Bagnieux hameau, d’où „en prenant 1a gauche,,on. va
à Culm en une demi-heuie, & enfuite , prenant 1adroite, on va une
^ e^^ ^ ^ ^ nhlàihétééM^Gente^P^p ^ ^ h d ^ '& l^ ^ ^hâcaikniers.au
hameauide Pàniflière qu’on craveife , dcapiès lequel on prend la droite,
'on defc^iâf&: on paffe l’écoulement de plufieurs peurs étangs à droire,
aupiès, duqiiël^eft^l6 hameau de 1a Rencoule, & on fuir 1a droire 4 e
Pécang-'dè^klRoché^fdnî^ ^ fiam^^Me ce np-m-j. làiflarîr-^^^^fâG^-*
vron fm la gauche de ce même étang, à 1 extrémité de laJEhauffée. d’où
àMeyîieuk qui eft »jour‘^auprès , & à -un - quarr-d’heure de î?anifïïèré,
'on pi-end’ehfuice-1a droite à une croix entrela-Roche & Mafieux, par
>feqirell^ommÔme^p^'de^nâ^grn.er^^^^^^n|plmnes-&-enpfe^Tl
?qèpës7 en 'n ne^h ré^à^Târhezièh&Qu’.o 'w a x ^ ^ ^ i fe f -o ù ,iL ^ ^ ^® J
un bois en montant; apres le'bois:on-va*cn plaine, & on defcend.aq
hameau d’Alliât enutiois quaits-d’heure, d’où en même rems on defeend
à-*Fouis j en pafTant aux hameaux du Mokrd,^: Revehn, avant de
paffei. ce vallon auprès' dfe Fouis , on pLend k gauche & ^on, paffe
fui 1a- cliauflee de 1 étang,de Palu en un quart-d’heure où on prend là
tmM /|^i^ u ite^g au ch e , parkq}Hfev
eft ;à tex^eihite d’une^ajO^e.^par. laquelle on- vàpu qhatéaii''
de Vauk ; on traverfe un bois, «Sc on va en trois quarcs-d’heureà .Vaulx,
pr^d|U^|gauchè^^fen?Un quaftr^l^ur^^fôjpihcjjla^gr^de'
fnn te'à'’U n qu'arr-d’heure.-de la. V'erpilière, laquelle on fîucjj ufqu’à« ce
village où nous avons logé au Chapeau-Rouge: le terrein le lpng .de
cetce Voûte-.eft tout fàbleux à quelques endroits près ;.en .montapc à
Maubec on trbiwe des -iholafTes bu il yî'ias.quelques coips foÛîlles , en
alk n t^ ^ ^ in% Paniflîère^qnltroùve quelques mafTes;de "gra^yfcMfte
:«d|^^îdé^uaïtz ; d’où ; L’érangifll
1a roche peut' avoir un quart de heue^^oiir.; anciennemenc il y avoir :
' de 'Tarhezi'èhX^âk{à-préfent4 l eft 'delféché'; celui
de Palû peut avoir un qùatr de lieue de'tdur ,>ils font,nous poiffonnéux, ,
De 1a Yeipihère on va en une|deînidicuie(à Ville; on prend le
hHënhh^b.ur aller' à Vaulx, & à’ un quart-d heure'on pafTe lerùiflèau
de Vaugelasfur un poiîÇdeÎJierjcès,-après lequel on monte; on voit à •
~gauchc u ne car ri c r e où on a t iré d es pi er res à e haux, & on 'paffe auprès,
dû château de Velaùi, qpi appaitient à M. Deshecbeys qui eft à gauche,
on Luffe auifi à gauche léglifc.dîeWille, &■ aprè's-^le,'château on piend
là droite ju'fqiiîàü^'l’A'ycc,-château de Ma'dame A’Audiffrey-qu’on.làifle
à .d’roi.tey & avaric%pel bhvprehd'la gauche aUpr^M^e grange, 8sX
"on pafTe auprès d un étang à‘droite, pour arriver au< bàxheau de-Giriet'r
à urieidimi-heure d e '^ illè ^ b ù -oiv p^verît^>|leu^yérahgs.,^^#>6
jointMdhemin de Bourgoin à Vienne , qu’on-fuie.en-virofi cent roifes
& on'feqpirte, en prenant 1a gauche Auprès
au hameau de Tliiéyenat, en paflant auprès -du; Ghâceauvq‘e»Moidiere', -
qni p j) |||c h e y a|nfiqué l’églife
on-y a airham^u, du RpufTeà^en kifïànt à^r,qice un étangf" de
ce, hameau ou monte un peu, & on. eiyie 'dans k forêt de Ja Bkclj|^
; au-fornrr
Id^k ^ feph- kifl^plô^M^chetnih d^^hfeGMrgësm^çrànphe,'"
on piendk gauche paL laqueile on va à Chaiantonay <en.Une démi-
heiue, en pafTant un peur minis 6c en montant d'ans des bois de chêne,
laiflànt â droite l'étang de Pafsû , oV npLcs^l’éghfe de Chaiantonay, on
prend k droite, pour aller eirune demi-heure à la grange de Çoeur-dc-
Beuf 0Ù..pn,’ki£fe à gauche le chemin de Vienne , & on prend k droire,.
en montant dans un iinUèau., & on paffe p ^ ^M ^ J ir e y ê r ^ |^ a u - '
^ ^o u hm ^ i^ ^M g n héhye.'à gaüche^y^onricôgtiriue dè/mqiitër^mïsl
Pgsjb q ifq g ^ ^ ^ ^ ^o i^ ^ cro u v e.p h ifi^ s.ffl^ fp ^ ^ fë^ e s ,
^^què|lesÿ)^ ^ ^ l la gauche, &pn defcénd au h a ^ ^ ^ ^R ^ o ire a u
quLeM^àiiÆ^a^ ^^u* vallon^ qu’on
lumeaû d éB ^ la rp S ^ um p ^ u ^ ^
ló ^ ^ ^ avtóeituilk'ie a;vgaüche.'.aüprèsf.duM^ lo ^ffi^TOlpnJ^;’©^
Septême'killâhtd’^hfefe.
le château de^çptem^furtl^n^^ u^iëlde Ja rivière de, Véga fur la
henc manvàisi jufq a’-a^oeuirde
Æçcuf ;^anrès!;ceft^TOàifohw|ëft en tep^^^p^par-çonféa uen t m'ar
;mphté^..Ën^fd
^ ^ e e r ? 1rochers calcain:s', '{&^ui^cbm
jnence^à'-Saint-^|mm-imîpSUfeuK^ |Æ |îllb u |rm ilesjj ù fqb^oe ui
\dfr|Beuf, 8c^prèscehempfon^to^rfaLMhleilqM^* © ^ ^ ^ ^ :^ ^ ^ ^
^ ^ l^gihe^a^ ^ ^ ^ mmftélertaSèâW-yW'àigveOTiroh^lô^Bè'rrliolohtbn
it^ ü y e . auffiXfle^-iS iu j^ 'de.da | -Vefpmgh^efhffljÆ
rehiplâih^fh^^gr^m&^^Pjm a ^ ^MIGFenqffleî^'ifv a beaucoup de^
aMpeIafluelkj^^^^^m^c^^ T O ^ ^ iaw ^ s;\1''dg'om^^mfiiiD^en plaine?
a^ ^g fanW
j,grapge.*quhjeft à droite , .&:^ojt prend
de M. derBdmbht.
^ aM ^ ^ nmn t^ g^un^ emiTa^^^’ifeprg;>M^^^mfiilraen'.Dlaine, &
èon^ ^ c end^en jun^heurp^ à Heyri^x-; devTerrein^ôntihde.■ djetrè fâ-
ibieux|îufqu?^m^ ^ ^ ^ ê ' ' d e u n e * ferre
glaifeufo ,'5^ argiflemetaonè^oha fe fçtxjlQhRk; tuSd^& pour M ® *
pizay -pour ^les^muj;i. des mjijbns., F^yrie^^fEu ^ TO ^ o^gyC^kufref '
jfois k grande route ,de Grenoble a Lyon pafloir, ce qui’le rendort
très - commerçant i’f il^ ftem ^ ^ ^ ^ ^ a â ld e ^ ^ ^ a in ^ ^ l^ r g d fç é fû ^
penchant.
.- D’Heyrieux on fuit en plaine le chemin de Lyon, pendant deux
heures un quart, jufqu’à, «Saint.-Çiiefl., paflant aux trois quartsv
de ce chemin aupiès d’un cabaret & d une Juftice,., qui eft à gauche ,
oii,quitte cetce toute à l’exciéraicé de>l allée de M. de ' Samt<Pneft *
d&^^-,|u^d-da^imHè';^ ©n va en plaine en trois qùartsd’heure
à Vemflîen, d’où , en prenant k gauche à 1a fécondé cioix^
on ^rive^eb^e'dembhepre ^la Bégùde (^^Syqint la ÿr&derpute
^^>te^ ^ Ë^^Bs^ ^ ^eflfàfdroitet on defeend enfuite , onftemom^o^
Pleure':-'
qBSTOTOnrsK
v.mêm&^aÿw^LmphorieMeft^nigrpehth^ille^^Dauphine * à'cheval
fur la îrnçiG d’Ozon , que 1a grande route de Lyon à Vienne craveife,‘
de SaincrSimphouen < on mqhte'pu defeend ’
Ldfemï-heure jufqu’à un pont de-pierres , conftruic fur un écoulement
rde marais, ,d’qù; on condnu&,d’allér. en plaine , &• on monte en iune
demi-heure àNocre-Dame de Limon qui eft à gau’chc, obfèivanp’qu’au-
ptes. du pont on apperçoir à droire le château & le village'd’erCom-f
anemay, on* colicmue cnfùice,de monter , & on defeend prefqueÿ uf-
.•qn*-à^Viëpne.. ffouvaht à, une dem^heuie à' gauche une Juftice aupiès
^dufehemin -,» led’ôu
-en .mie heure à Vienne , ’Mjpafl^^aupreè^^^^iflé la uvière
deVauxNfur um^ont de pierres.
^.De yienne, en'forrairt par k portes de Lyon prenant là "droite
jiupLès de-k ^bV?^îh5paCe?le_,Vaux^àu; gué qu’on remonte fur'fa
.rive'gauehè , qn le repaflè , & on le remWce fur fa'rive' droite, en
la'-^^bq dfêDivièr ^|elpjgnee ’ ^^^ ^^mr^eurg dê
Vienne , .&r,.e,n .continuantonvprend la gauche, par laquelle oh p'àfle
danxUabaflb.co.ûr.E\unWi^^TO^ ^ ibm7vai^^ ^ ^ f ^ ndàn§aM3iare^KA
de Dav,ilière qu’on-laiflè à, droite, &:,de fuite a'u ruifTeau de le Vaux,