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■ ‘7 ' . ' ' > ' ' 1 ure rePren i51 Sai>«e-Marguente.&fe
con , uejufqu'i ■ l- 11 .U
fur lcb rd da chci in , u - 'de l'étang de kRoche, & fur l ' • '
de la Durance 1* f n H lilteux dans le-bas iufqulà l'Argenaete &
nn confinent de k-Giconde dins k Durance, & lé-çdcaire. parole In
continue fur cette-rive Kft"ku * 0: Do H Q S H “ R°che
H T ’ role nb quae f •‘ •‘ ■'A c tW c nnons die qu'il n'y avoir point
dc poUfon; on pa5i entre deux roc■ V W don ait ouvett
une porte cxpn&pouc'lb chemin vleqnd jnlTngc eft kcile à garden. „
Mont-Dauphin eft une lace de
inaccellibledans plus dc la i it jft' L-fon pourtour, fnrja-rivc drone
laS'Iuil & i ut la rive, gauche - lj f f i n # [" ! in confluent
de dette première da* cette .dernière, & . i confluenede quatre vallées
éüi fonc çr|h ^
td l e du Guil ; cette place-eft .grande'& -peut contenir en v iro n dix
barn: I ons'i il y règne un vent conlidérablc qui1 s'i-live lotfqnc le ft l-dj»
■rnfllKidê la met. Mont-Dauphin eft (iméfur une malTe de poudingue,
i | &I caillons roules ; il y a plufieurs carrières dc larbre aoetcnvirons j
f l f l j j - . :ongi: S: blanc i les i fiîilMSns;.»®#: arts font tous en
' ’ u . k ve gauche . lit Guil & au. dit I iclc P: le Ft j
k it itc dccet traeifonilyanncfoutcct e ttn i étale, laqueUe on
va rite po:nr fe,pnrgct, & au-delTous de cette première il-y en a une
aut li ferriarbailïs.; il n la.poil debârimei i i pour le rbaîn. , ni
pont ceux qui p u ■ entire 1esttaux, ils relient à-Guilléftre ou à Mont- 1
p 31 iphin.; nous.y vîmes plufienr | it nésjç îien-bu oient,âls etoien . J
au bel air ainfi que ceuitequiTc baignoient ; -ces fources dépofent un
ocre fi: ugineuxqui (b: ne 1 enfrou â i : où on a fa : des canaux -il
y a une can ike de pkircilaie m-deflhs du.Plan de Far);, & les fehiftes
tèg en au-deffiis dc ce fources & vqnr.prcfq te jnfqu'au pont de St.-
C le nent Guilleftre .étoit ancien! élisent un cbâ can où on aurpic pu
fc défendre, mais à.préfént il ■ arien, ffelHitnéfu la gauche du
G dl &- far une made dc [ ldingl e lêmbkble a celle fur laquelle eft
' bâti Mont-E hin: o avoir I une te iMo: Da phin u e belle
dglifc , ni i ' mme -elle .etpiç trop, grande on nè achevé que le
* choeur , & le telle (égale; on tn vaille, coi dnut llement à le fortifier.
De tvIonc-Daliphin ail château de Qneyras, on-defeend. jjjfqtf à la
• rivière d i.'GUil-e i one dem -heure, huilant le quartier du Roi -à gauche,
& on pafle cctrc r vière fur un , invde b is, & on n onte pendant
une heure, lailTant à gauche, *t rcs-dn chcir ni, k petite Viffi 1
H la maifon Mt itgovie, & i droite on vo l t tnt porter l’ean.
à Guilleflxe, & fur! rive.droire du nM I liaureur ,Je-hameau de
t'Provence , celui de Gros & k Chapelle de Sainc-Roch; on defend
enfuiteen trois qnarrs-d'heure jllfqu'au ruilTeau de SeiJKfelailTant à
droite le chemin de ce Mlage, on-pafTe ce ruilTeau fur un pont de
bois, lailtànt 1 igàucbcauprcsdu' chemin, la-maifon dn Ror; ayant j
de pallet le pou !r peu aprs , on paflè le Guil hr un lont de bois
nommé Pont de k Pierre, un.quart-d'heure plus loin le ruilTeau de,1
( hatoni on continu ; de remonter le Guil fur-là rive droitt pendan I
une heure un quart, paHint-danSecr intervalle trois.petits niilTeallx,
lailTai à Iroire, auprès du chemin, mvj -a lire entre -le fécond &.
n L i ; r-t il ca ,& g :h un four à chaux, Sr apres-avoir .pafle j
le al is à drt ite n de bois furlcGuil pour et in il 11er
BrampulTc, hameau de -Yeyer ; on paffe & repalTe prefque tout de
fuite fur deux poiits de bois ladite rivière dniGuil, tSr un qnart-ddienrc
plus loin au village df.Vÿér, laiffimt.fur k hauteur les hameaux du
Charekrd & des'Efcoyitej nn quarc-d*heure plus loin on repafle le, I
Guiil far un pon de bois I res If kC lapelû, & u .JM ^ l ni
■ ■ après on repalTe cette rivière ■%. un autre .pont -de bois, kilTanc fur 11'
hauteur ! i dc \ ird n ; un quar d’hçu ; plus d n on
. ' hpaHefur U11 ponceau deiois le ruilTeau d'Arvieus quion remonte fur-
fa rive gauche une demi-heure jufqu’à un oratoire à droite, d’où on va
en un quarr-d’heure en rraverfes jufqu'au vallon de Saint-Martin qn’on
paffcifur un pont de-bois an-delTous du château de Queÿrns : le terrein
pt '- Vefi le meme qn h Mont-Dauphin jufqu’à la rivière, c’cll-à-dirc que tout
■ c le n i ue Ctblcen tu & t llpux roulés mêlés nfcmble, u
formentlùneefpèce dcmallic.Au-.de!Gis du hameau de Provence eft une
carrière t / ft que par gros quartiers qu'on
' r tire delà terre ou du fable; le terrein cft le même'au-delà .du pour,
' ■ atiprès de k petite Vidé, il y a du marbre blanc veiné en rouge, en
, r, mêlé a el ère calcaire 5: au-d us il du hifte;
un peu plus' Ibin/eft un rocher en quartz blanc , & vis-à-vis Mont-
§ govic k rive te d C 1, au-dçlfous f i a u de C s , eft
un rocher en argille verdâtre qui.fe décompofe aifément, 8c au-dclfus
ltcau-à.Guilleftre, qu'ils prennent dans 1a montagne de Combodiave,
qui eft uniois dc p ns;lechemi i cft mai t ais ir 1a montée auprès du
po ,r , n'étant qu’un petit er fl le bord du'pêéc pic leqn n <
rocher blanc règne en défendant , après ■ oir lmllé le chemin de
Scillac , & un pen plus bas il y a dn fehifte infqu'au jill'cau. de Scili
M i r T T j feî~ i * • 1 > f “
matière calca ce & de fcliiffmâle,de fpath; auprès du ponc dc lr Pierre
il y a du fclii le.m é fpa i,& icr 1 fuivant jhfqn'au yallhn de Chaton
dans le bas. & 't ans le liaut le rocher cil calcaire : le mil - n dc !
Chaton coule dans des. roi 1 ei calcaires , iinfi qu'il pi :o pal lcs.cail-
loux qu'il roule ; : x le rni üaui de Chatonç : une j nie de (chiite
. Êvonncufè cnveloj pce dans lcrocher calcaire.quirèsne jufqu'à Veycr s
avec'des grcsanê s de fpath ; après on tronve-l'c qnartr blanc en rocher
jnfqn'à Chapclû, il y en u n ont des couleurs vei 5 avec de points
rouges, ils font par bancs du levant au c îchant d'oirpied d c tailleur :
-depuis le por te c laPi etrcjùf pi'à Cha lelû,-fur. là rive gauche lu Guil,
le rocher'eft. calcaire^ il rè 1 ic .une .'terre ocreufe au-dcftoi is de.Bra-
moulle , &.Ie quaria fnc-k droite du,Guil ..depuis le pont au-delfns de
C nap.eluJufqniaiV.vallon-d Airificmt, au-delà duquel il y a dn tuf;av c ,
de! a matière calcaire, & dans la rravctfe il y a fur k gauche une malTe
dc poudingue asecdu icnf, & on àp; e ', > tdan s le G lil des malfes dc
r.oeher en ferpentine^ Le ruifteaü.dh.Saint-lV&rrin., vallée de Souliers, .
qui prend £ n nom dn h mca te Souliers dépendant de Qneyras.,
entraîne de gros quartiers de lcrpentine dé'fçhiftes calcaires , de .marbre
blanc Sr r igc, de i ‘ > blanc & bleu : les àttcrilfepicnsi font
confidérables départ Sr Pautrei il f un ble qq'ili.n'y ait dus de rheher
far la hauteur, il n' pa oit ic terré bknchc St argilleufe; àurdèk du
rai 1 . n & de k baftidc de elot-de-R fçffi un coteau en fable qujn'c r :
an ch c que du fpath qui fcsdécoi io(r jonrncllcn cm i le fehifte
m, lédel Mthrè iç.furila rive droite de ce vallon.
Le cl teaud Qâeyras eft fltué fut m çôtean ifolé fur la rive dre te
de-1 ri e.du Guil 5c,fti <ktgaucl : .du vallon dc-SainCvMart le
vilkge de .Qucyras cft-fitué au bas dn côtcan, c't lun petit ch te uqui
bar e toute 1a villéci de ce nom, & (i l'enn'eihi vSuloit ■i c tir i- M me?
Dauphin t ar cette vallée j il .feudroit, s'emparer di ; e château où on
.pou roit e t éfendre encore quelque ten is ce de croupes & des
muritiom e net c fcr de bouche; un biiaîljbn fnffitoir : le rocher
fur lequel il e I bâti cft calcaire. Les* h. bitànsf de ce vilkge quitcént
leurs pays en hiver.
I -funia nve droite, tantôt ftir la gauche de la rivière du 'Guil, 4 eft'
érroic qu’à.peine les rauleçs trôuvenc àsriieMé le p ied, ©iîi a taî^ours- I d^-ua côcé-la-moncagne & de l’autre le précipiçè; on pourvoie l’inter-
I ’ d^oijçS:
où la vallée eft très-étroite & oA^>'EO<â1Gls Semblent fe joindre ; &
I pour tour d ire e n un m o t, c’eft un chemin trcs-dangereux en tous
'temps,
_ qui font fréquentes dans ëc pays.
I De Queyras on va à Eyguilles en une heiue & demie 3 on îemonte le
4§;ml fui fa uve droire >une heure., pendant lequel interjcaMe on .pafle .
auprès du village de Villé-(vieille qui eft fîcué fur la gauche 'du G uil,
. auprès du hameau du Pied de la 'Gaffe.-à gauche , un* petit -îuifTeau
_ ' auprès d’un oratoire à dtoxte, 8c un îuifTeau fur mi pont dc bois ; \
enfuite le Guil fut îe-j^^dfe bois de MalafofTe, 8c on le repalTe à peu
I ' de jâi’ftance, d'Èygmlles ;de chèmûrfe'ft affez' bon étant piefque toujours
en plaine^depuis^uey.ra§,jsufqu''à‘Eyguilles : le rocher efl fchifle
IC téiMrçdafedej^s ,||'u%oin^p|ant aifémeph'a-&pk^^Mp^ ^ ^M té:
dur/qùi éw-yri?peu '(.c^lc^ré; , y ayant du fpath mêlé'für-tout'îàupfès
I . d'%gn!lîq(r ■il
les rrochers< fe fgfe^ llHâ fe ./(3'e è|-cdrifîdérà6lp>’& |le s
habitans paroiflent être à leur aife^ il y a de belles praiiies, ils ont une
grande industrie .pour les -canaux d’arrofage, ils eh -font «de plus-’ d’une
lieue dc d'ongueur'pour amener l'eau.
| ^vjDjHygpdles, pour monter au'laç. de Matrif, dërri^re ■ la jpohtâghp ; de
Roche^çuhe,emttM8-0 w&s „pâffant aupr^ d’Eyguilles Je ruiffean de
. Lombard fur-un,pcmtide,bois,'«on. monte rapidemenç au.0 meaa^d|dàt
Pofe,. de-là à celui de Caramane 8t à celui de Lombard en une, Heure j
ces trois hameaux ne foht que des granges habitées en Eté polir reo relia
récolte : le long du ruifTeau' de Lombaid, de droite & de gauche,
il n’y a que dit fehifte tendre dans le bas, &: il efl. un peu calcaire
auprès des granges de Lombard, f l | continuefam'filuïqûÇ^jf^la
fommité
fommité,de la montagne de Pdefe, où ikefe,totalement calcaire, cette
montagne dqjveife fut Peas, vallée de Cetviètes, qiu vaaboutn auprès
jouis le précipice à gauche & la montagne à droite, mais cela4it|Apas
tous les chemins de la vallée de Qneyras font ainfl, à
des gtanges de Lombard on raonrepai-des ptanies lapidemcnt pendant]
- ufques fu r la fommité de
la montagne de Rocher brune ,& il durcit tant foi t peu à la fommité, .&
» le fehifte cft mêlé avec quelques parties de nnka qui fe difTolvent aux
? ’ acidcs mais c’eft bien p e u , &■ il eft mêlé auflï avec quelques pâmes 1
de ce lac on defeend^tès^iapidemeut pat des ptaut,es'~&- tocheis pen-
<£ l ^ ^ i p h h c i y e j u ^ ù îà u ^ ^ è a u dtf lfffe ff (c è f r
TtfK*ÇM3â;0.h defeend .enfu'ité.en pentes douces une dfemi-hente jufqu’au ^
.hameau
côreau en.tu f qui eft à la
un pguiGglfegire;- ii y a beau- I
coup de prairies le long du rudfjèaufde Matrif, on va enfuite en une
^e à Abues pat des defeentes ties-iotdes j on-ctouvevdu tu f en deux J
endLOtcs âï^np'n' à moiné, de la defeenre i?latîfànt à'gauche le chemin
b qui condmt au hameau du V au n , on paffe le tuifTcau de Bouchet fut [
un pont de bois, ce ruifïeau di'vifc ee viflage^en- deux, tl a fon con-
. fluent dans le Guil, un peu au-deifaüs d’Abtiés, & il toule des fehiftes |
mcles de fpath & des, uif,peu cal can es, ce quChuD ptéfumet
cette psûttte G(ft tiçsjbeftènéepat les coteaux, de foire,qutilsn’ont^guctes |
de terrein i cultiver :1c grain leur manque, ils en tirent de la vallée
déhjlolines.
^ entiainent ^es caddoux «de feipentine ;.de fchifte d,tu & quelques cail- |
louucalcaltes. Riftolas eft un vÿih^e ficuc fut h nve gauche du Guil ,
divifé en< deux hameaux pai un ;vallpn ou rouent affez confidéiïble q ui1
,efl>afr^»^^9 ^ j^ ^ ^ pW a ^ ^ ^ gH S - jfrV)rrT1phr • I
pont de bois aupiès de Riftolas, on îemonte cette îmète^fiui f i uve
,.droite jufqu’à la bergerie , en pafTant une petite ravine & ui:
■ . ■maOÎp:G>iSjfe:<dte-:iboæs>: de la
- ‘de efl: le I
heuré^i&'^dmiie' ;
Mbdta~: on 1
■ paffe au-deffous du hameau de la Chalp en palfant deux petits
heures par des ' traveifes , pences plaines & montées toujours! p ar I
des ptairies, de cette beigene on monte par des lochets & rude- j
’ ment^aa ^ J
• la '.M'onta parties ^p['ckires^tàe I
fpath , de quai.cz de de fehifte, ainfl* qufe, cpIiM i| efl avant’ la
lp , néanmoins* le locher eïl, fehifte tendie , & en a quelques |
endroits feujemehc ,'dür .’d i ^ ^ ^ e ' i j
mêlé ^d ^ fé r f d e cl^ l5‘érgeriev '|
4e1 Qh'àyadaray 'il y a quelques parties' de ..quartz, jfpath & mika' |
mêfeesilygcidè. f c ln l^ ^ ^ mhtiiiev;- c e 'îq u iM ^ ^ ^ ^ ^ p ^ r e ^ e ^ p aM e ’;'!
vtam.;,q^to^méjange^fjujrentî il y a- même quelques morceaux de
^quAtt^ ^ paX'QifTepc; W M ont-Vifô^l
.i'fpnt de rnemp natufeŸqu^cguxm^ wnyhffl^ ^ ^ ^ o h d e v ^ ^ v ffnfprr^.^
on^peuc alîfci à Ciuffol cli Piémont, vSlJtégMc Po cn-lquattéheures, le s ^ l
rochers dans la partie
rde Ecance ; | 1
on nàraèstpafTer. qu’A p ied, à dipièe^de' celui dé Yalap t^ e f t cel'ui de i
Sou.fl.ie, pau}lequel on ,va à h Chenal en trois hetues ,“on ne peut y I
^p a ^g dm it^ ê d 'j,eh-tteihQ ^ ^^ l^M ^ru j^ fh rive droite , il y a deux
f o u r s ^ c i ^ ^ j f u n ^ .peu, ^ ^ ^ ^ m iMeffus I
,du hui Q i v ie h tÿ d e.,G p h y ieu 'x y ^ qoe ^ ^ p ^ cM t^ ^ ^ Iw cailloux I
<calca\ies qn on uouve aux'envnoKs en fouilant. \ ’
r i ■ ■ ;:
hameau delà Chalp,
ou on la laifle à gauche, & on prend la droire , paç laquelle on pafle
^ qui roulet oduess-
^V rfn 'i
eft une marre d’eau à gauche, & on continue de monter une heure
jufqu’au lac Angélus qu’on laiffe à gauche, & enfuite rapidement
du chemin5 il y a des parties àrgilleufes dans le bas du ruifTeau qui eft
cline du midi au nord. A la gauche du Col-Vieux il y a un paffage en
ries jufqu’au Cofte-Roux , & en paffant trois ruifTeaux qui fe jettent
la droite dudic vallon ils le font pendant une heure , après ils ne le font
Du Serre de Molines on va à Saint-Veram , en laiflanc à gauche le
celui du centre ; on defceiid ph on: va en rraverfes un quart-d’heure
monte en une demi-heure jufqu’à un oratoire qui eft à gauche; de-là
t^V e f^ g ^ j ^a^iarhea^^esBdî-aue ?
'^efeiTFeûÉ&^dèd’éghfê^i^ OE lj^ m ^ ^
S g a ifte® m ê ip e ^ ru ih c a S ^ ^ P ^ ^ ^ fflh 'fl^ ^ 4 iig ra |^m ^ fe è fift
‘te ux.m^jd^^^ld^ues: jApartiés - dËé^pètnoine.-c t 'étfffl
Du hameau de la Raus on à la^ Giialp^en defeendant ledong du
ruilTeau d Aiguc-b.Ianche pendant une demi-heuie. A ce hameau on $
■ m n