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 C o n c èm a ilV  la   P r i n c i p a u t é   d .'O r a n g e .  -  ' 
 I j A ville d’Orange eft fuuée fur. la rive gauche de la rivière d’Eyg-nes , 
 ' &: à  une demi-heure de diftance au bas' d’un rocher. C’eft la capi^le' de<  
 laf piincipauté , qiu appauenoit anciennement à . des  Pnnces-Particu-  
 liers ,  qui régnent rnamtenSnt en Dannemark :  cette .principauté a été  
 cédée à  la T rance parle traité d’Utrechc, & lè^'oi de Dannemaik s’e ||  
 .défifté  8c aiaTparfdonhé^lÆM^rm^fcl^ ^ ai ^ oigEmMj^Æ^pmmui^^  
 de France^ans Ta’’ ilcm^ielif  3 è; l’Bft- à  l-Qaeff-^gu^ ^ t^ ^^epjî^§  
 Suzefcéïjnfqu’au Rhône  an-deflus- d’Orange , 8c  deux lieues 8c demie  
 èh largeur moyenne du nprd auroidi : il y avoir anciennement à ©range  
 ,un aniiphitéâtre, un cirque..,-des arènes, &c. ouvrages des Romains , &  
 î^^^^pi^ii(^J<tes*ve|Üg^'âfl&;Jconfidérables; le mùr^ d’enceinte  
 du cirque exifte en entier ,  &  on voit des reftes des arêiies el^^i^iérè--'.  
 nfi^foccifipatÎQn#,&''-dh ehliGâù?;  onun  
 arc  de  triomphe , dédié à Caïus-Maïus , repréfentant  dës-. 'haraifes; -  
 en trophée , il croie prêt à toïiibei ,'on„a fàitreiàiie un piliei. du centre ,  
 c^nfQiver- e.ç  précieux relie d’antiquité,  
 qui  attire un grand  nombre  d{étrângers dans cette ville, qui d’ailleurs  
 eft  très-mai bâtiemal-percée  &  très-mal propre ;  c’eft'le féjour d’un  
 Evêque : il y; a~ plufieuf^ gjàn'ufajpM^^ ^ p bn.toiles.p^tès'veffÆQffe^^  
 p t   .têinsurifersy^chapehers;,  dg^^^^qui 'rend: cette.ville un petfj  
 cpi^mêf^nté;  | . 
 _.I}e  Pauberge du  Pîdaàs-Rovat' hocsr4^v ille d’©iauge  ^prèsàvoîr  
 palp:  un canal  fur  un  pont  de pierres,  onfîprehd la  gauche, &  on1!  
 .tourne la ville,  &'à un demi-quart-d’heure on laide à droite l’ancienne  
 grande route, par laquelle on pafToit à Château-neuf, & on fuit celle de  
 la gau'ehe , g |p ||f  di-vife  un  peu  plus loin1;  celle de la gauche ppndmt'  
 à-Garpentras, 5c  on  luit  celle  de  la droite, qui conduit en*uneheure-  
 %  demie’  èreÉiff^^'villagé:Y>‘gauche^' 8e   un quart-. 
 dheure |p è s  à; une phâgéifepri laifle  a gauche la. vÈoütè .B’Av^den-,  
 &  on  fuit  la droite, par  laquelle  on  monte Tuf des' rochers , & en  
 unquart-d ^ ^ ^ ^ ^ ^ a^aT|Etahgm.eGourteyzonW‘ôh^ffe-iCaroi|te^  
 un- mauvais {entier ,- &-pn va en^'oi^uartSHl’hèitee  
 à  GMteau-neirf,t en padant au-dedous duxhâteau  de Moilieu , qui efl:  
 à  droite, avec plufîeurs madfons d'e dcbite<& de gauche :  de Çhâteau-  
 neuf, pour aller à ©range,3 on fuit l’ancienne gMtiâë route, par laquelle  
 . p ^ i a ^ ^ ’l^ ^ ^ a q ^ i,/  cond uit à la  ville en une heure & demie  
 3&,pqd$alleiSà eettft-v31ê ,  en  pàdànt par Maucoy, onTuit la gauche,-  
 pat laquelle on—ya  en Plaine , lailïànt à gauche, fur le bord du Rhône*1,*  
 IH içliatieàg-dîë:- .È;.ërs M |e-bôjurg de'Robué^areSlr^la^Iv’^ i ^ ^ ^ l e  
 .  èhêrkT&^on  va en  traverfes  
 &  petites defeentes jufqu’à hauteur de Maucoy, qtfi éft àedroite  
 enf, uné- heure ;  on  laide  enfmtéfsle_chât^j!k..des Lauyalu  à gauche-,1,,  
 mhd.q^île^village de <3 â^t.oidïÇ, d’où on va à Orange par la Plaine en  
 ano^neuîjffi en jaiariyanV on- tourne ,J^vi^éi<^^^^^d®|e^ÿ?'&^bnrpade  
 le  car|d?2ïu| le pont çLe pieires pour aniver au Ba'lais-Royal. En allant à  
 CouLtlyj'bh: on paffè u'ne heure dans des petits bois : le terrein dans cette  
 partie n’eft- qüë graviers-  du eot^Ôm^èÿ'cé'.n’eÉ’.qu^'t|rr^già^'Ô^  
 {âble idu^'té) .d'e  Cqurreyfon,  ce village eft  1er dernier  de  la prinoi-r  
 pauté, il eftj entouré de murs,  & conftruit fur une petite monticule de,  
 {àble: ef^nçatGuit^apt^ dvô^-âtdp^l^^n^rbrftë ÿ qfr trouve des  
 .rgçhets dê grès  à gros  grains,  qui  Te  diüFqlÿenn/,  tant  ,  auxacides. 
  L’étang de Courteyfon peut  a^^ncp^^darts-d’heüréde^qqrs^  
 - il  eft falé A   environné-de1 coteaux lableux , mêlés de quelques grès jï  
 l’eau ;dfe peu éràiiig  mêlée Wéëi æpitie^^U'. 
 ^^^^^anSteU'àyoir l’amertume; ûHe' ^jMj:?diufK^§H|s fe|éMs deT  
 ’Té^éfèdeT^^^^ 5 ?Q^^thMs*fe5emplbva^df^ femŸes!vont le mêler1  
 “âvepllatejtre^/dmiiçeqûe les Habitants  n’en  aillent piendrc pour  lèùrV  
 ufage ,  ce  qui eft Leellement  mdjgne,  de  feue 'rentrer &r*ipeidre  un  
 tréfoi quj e(l'ehrqui.^an^ la terre fans  qu on en profite, mais ces gens-  
 Jà ne r^garafent^^Pê;Wï4pëut^^<^M^ al>hum^xte>.^^xâiTiiri?int>  
 feulement ce qui peut leur piocurei d a^fôfice.. tant ‘leur ambition pH-  
 .grande; il  me fera  du moins  permis  dè  {aire ici une queftion , & je  
 dirai, pourquoi le’Roi ne fait-il pas extraire ,à Tes frais  ce  fel qui eft 
 '■ ^aüs  Pays, ««  üeu de lefkitevenit  à grands fiais de fi loin ? Le ter-  
 iein continue d’être lableux-jufqu^à Château-neûiPdiu^ape , qurpil,un  
 villagg1 d u ^ n jta t, &  depuis Château-neuf jufqu’à la  Plaine  on pafle  
 d e s -^ e h e r^ ^ lta i^ r , Jqui §§ p om m u n iq ^ r tavte c ^ u x tl t o â l ^ l ^ ^ |^ ^   
 gauche d^Miôhte, 8c. ceux 
 RoquemaureTurTa rive  dÿo'ite.  Les  torrents  qu’on  traverfe  dans  la  
 ^PHine t,  lÆ p ç o rten ^ y ec   e u ^ ^ ^ ^ b ^ É ^ le j^ p ô te a n x ^ p  {pnt^gd^. -j  
 ■ ihenfcj^m^Dle  mele-eh  quelques. p.%ties  ~ 
 D’o ran g e ,  en partant du PaJais-Ro,yal : ©n<;fiMt le fauxbourg jufqu’à  
 . poht 
 des eaux pour  les artifices,   on prend la gauche qui eft la grande route ,  
 leeacà^Éi :f e  unpoH&de.pierres, après  
 lequel  <M  l^i/ïè  tearaÉd p ^ ^ ^ j ^ .^fliiprend ht gauphejjjipa^:' 
 laquelle_on‘p£dîfe  aupç|$ d'u couyent des Capncins , qui èfl^à' d^diteT& ;  
 | ^ ^ ,à*Camaret;^^^phéure^f£TOâ^err^le^fauxbohrg'rd&;ce’vilM&^  
 en prenant la  droite  &  en  étant  foui  ,  on  piend  la  gauche,  &  on  
 va  en  une heure &’ demie à  Saint-André de  Ramières  ,  paflant auparavant  
 la  rivière  de  Louveze  au  gu é , • 8c 
 iejpaffage de  la  rivière  on va àla Begude en une demi-heuie, laquelle  
 on  laide, à g4u|h.e-^^&gpe  ' 
 appercoit le viHlige de  la Beaume  fur  la  rive  gauche  de la  uvieje. De:; 
 enluite' |y   ,;ctiârèau l e 
 Maligay, Qm^eft-yà^droitey.oh~l&Tè&‘gauche^ çeltu ^H e ^G ^ f^ ^ S ^ ^ oii1,^ 
 Orange, qu on fuit jufqu’à cette' yàïle. Le^chemin d ©îa-nge à Camarer,  
 qui' eft_dïi G omrat,  eft  crès-mauvais-d'ans  des boues continuelles ; c’eft 
 graveleux, & on tiaveile unefoiêt  de petits  chênes veics , en s’appio-  
 Tivièïe il4 d é v ^ ^M g ille ^Ç e r ^ ^ l y ^ ^ eM f^m au iv à ife   
 . en'Stems  de pluie  rgillp ^ '.rà . 
 &,t0u?4es -'coteaux. qui--k bordent ’fui .fa rive gauche, font fablciix dans  
 & en s’élevant  ce^font des  rochers  calcaires,  qui  forment  des  
 pdintes|hor^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ g â'e,RmSières,eftà prefewir  n i 
 à la  manfe  épifcopale d’Oiange, c’écoit  anciennement une  abbaye de  
 Bénédiain's :_Viotez  eft  un pet-it  village,  ITnl^Ju^fé^bQrd  &:  là rive  
 f ^ p ^ ^M ^ i ^ e z e -j-J^iigaÿ:eflrun  h e f,   portant avec Toijlè  titre de  
 Mafquifat ainfî  :fe^i,iiiè;rp.o- -./»iiîi;. un 
 gros bourg  de la principauté ,  environné de m ais ; il  dépend encore dè 
 Süz'ette &  le château de Montmirais &• le viMage de Tarabayon, fitués  
 fur la  rive gauche de  Eodyeze ■&  celui  de" Crouchan ; jlk’qliat.ean 'l'e 
 l?F~ygn'^o V  , 
 "^e< Jonquièr;es ,à Orafige’  t^c^à'';peii- p rès|. 
 ^ è ^ èM d ïe d 'û e  .* ^ ^ ^ ^ f t e nt^êii^  y ;ay©it 
 anciennement  un  lac’à  la gauche  du  coteau.,  à  l ’extrémité duquel  eft  7  
 :M tï|^m ^ te * ^ ^ ^Æ d - e ft~ 
 pour  le feire,  ona.percé'la monragne, &  fai^u-n'canal* pour  don'nerv  
 l’écoulement aux eanx  de  cet  étang,  qui  voiat.^couler  du-côté du-cou-  ,  
 ^ ^ ^ j j c ^ a n a l  e l ^ y d ^ a ’^ s  touted^lonau ^ o u '  
 y a un baffin, qui eft formé parles coteaux, qui commencent à Orange, 
 & qui en toümant au fud-eft, vont fi> 
 i,éc  -{ê 'teïm b ier‘aà  château  d e ^ l 'a u ^ e ^ ^ ^ ^ ^ K à n x ; 
 d’Orange  forment ün autre  baffin,  qui-eft tel miné pat  ceux de Château  
 n eu f, qui s'cfcenaerft ju fq u ^ p ^ n r^ y jo ^ ^ rte ^ om rn a n c   du  côté!  
 aù -b # 
 de Gigondas, &^vohtTe terminer  à Vayfoii /dp-du côté du noïçfil y a-  
 une chaîne qui commence au Rhône,  pafle  à Piolene,  à  Uchaux,  aù-  
 defliis  de pérignàu ,;& àti.)toutnântà;gaucnë y rva  fe  terminct  à Suze,  -  
 ,‘qui eft un* village. d dM a iÿ h in éÆ a 'ri^ p ^ ^ lly g u J ^M ^ e ^m é ^ ^Ü i  
 en ‘tcms de pluie, entraîne ‘beaucoup 'de' fables  &  des  cailloux  ,  donc  
 'plufîcurs font calcaiies ;  on* en trouve même d’aftéz^fthliuUérs, dddont  
 on  peut  faire p a rla   gravure des  jolis.ouvrages:  
 y  D'PraijgcT o n iru i^ l% g tâ h ^ ^ ^ ^ jg ^ ^ ^ ja |H ^ iè r e  d'Eygues, qu’on 
 ï T r i t y r i * 
 vg^ ^ ^ oim  ligne  jufqù^^ ^ ^   
 ^ ^ ^ ^ ^ î ^ ^ ^ P j E m ^ ^offlrm o n te ^m ^ ^ ^G E a te lar  8c Éâncien’nèa  
 d u ^ p o riK ^ ^ ^ n tin u  e  de^mbntef ^ ^ H   
 .  .on  derç^i(ffejîf u ^ ^ e în i-h e iire  irndmaQ^^^an 
 on ;.\ie f^ ^M a n s  ro^ls  d e. D  er  
 ^an§' 
 E n ,  dépend  de  la  principauté  d’Orange ; &  après  avoir  traverfe  la 
 v # é d j |^ ë |b b d x : ,  ce  qu’ôft.’ trôü 
 après laquelle on p r e n ||é  cheihi|i|l g p ,che#^âdif^ù^L^i>a àfBtjîèife^ 
 '^ p ^ M i r - d é C o u ^ ^ ^ ^ ^ p n ê '& . s U Ê ^ E y ÿ ^ E M S S S S 
 |m&^Stloh ril-faji): imd?heuVd'®Qqtfâèf p o u r ^ ^ f f iiî J ;B W ^ ^ ^ ^ r |f i  
 J-eJ/fu r  u n \ p W ^ ^ ^ ^ ^ ,^f4 ptès'  
 'lequdl  on’  pren d 'la  î^hefire,  Spaif^ik^UelIe  ofi’< va'■â'Tdï^Kdlr{'‘ 'ê& ^iikë ■ 
 * heütei| ‘-ertfiphl^t - a ^ r^ \d ’ün^;chât&-''à 
 ■fiÿ|ÜEL^ènt de  pierres ]m   eit'j^igâshc la  g ran d ^ !ô u ^ au |fèY d ë ' W   
 ce  b'^ M j j lbft  d d M S ^ ^ é h a iW ] ^   
 cëntinii'e’ J é  TüivfeVlÉité^gatf d ^ ^ f e jùfdû’it Ü rre lâ te  en u n l ï t e ’. 
 ^ ^ m ^ l l a q u è l l e ^ r a { r d e . r o ü ^ W é E f& û h i ^ e ^ ^ ^ 3s*vertsr¥|^ 
 ■’rôch'ers  'qu^bm Èro'ttve en  f n ô ^ ^ ^ a it)  G(l^ PW ® W f h ^ ^&  ^ - | e ) ^ 
 fi tué à lâ{| 
 c^Ghafôfa^&^qùx ^ ^ ^ ^^fla^chaux ^ ^ ^ ^ r t  'da^.c'hé^É  
 ^CrC -fÊÊIÊÈ3™  '•premmér^u’enjjp^^m lj^ ^ 
 i®Wf£fduVeijoir des corps rïtetfiî^f4<sè& ^iérrégpW^ ^ ^ r^tp.foTic 'poiËê1  
 ’/P^'  ■  ^  ^ V i rÔ m é F d \u n ^ 't™ f ^ ^ ^ ^ ^ |S lS l^ § j 
 ^ q u ’à f.la ^ ô n fâ g ^ ^ c é ^ ffé ff^ ^ ^& ^ lh a u ^ x S u ^ e a c f^ ^ f^ g a u b lïè 1' 
 p l ^ ^ ^ ^ ï |3sn u |/iiïS V T ^ i^ f d ^ ^ ^ é à u i^ d ^ c a h ie s  fk'es<h]ÈË^s!j  I 
 -iâu-^evdnt d ^ ^ ^ ^ ^ p p f c h âoe a 'ü ' de M.  de'Sdê^anV'à  c l^^M ÉI.o îiS  
 ayons dîné ,,utrtro^^fl^'confîdérablê, iricrufté 
 ' fièf dfe  - 
 Avhn^êffièT^B'qlêiîê' ^ mivàhrM^ 'Eaajas j^ ^ r o u V e l ^ l lü d h e 'd t f   
 ^ ^ ^ ^ IgHgpcrë' mm^kHleiïfe y 8t   âdp'fès1 de’-llà’ maifon- fe rh i^ e n e ^ 
 I*ï- d ^ m ^ E b ÿ n  ë ô ièW ^ ^^ ^^ o iSü y^^ ^^ ^^ pc^iW c liem m 
 7ri^ou(pUK®  :’ ée n^our^emmie 
 fefpèç^qe^m^a^p^^^re^^^mé'évde^^ifs1 Têiiée faKdtôbord  8c  
 ^ ^ p ë /g a u c h e \d e^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ o& ^ l* a n ç ié n h e lgM h ^ ^ ^ â t f  
 ! Mqntelimdrt.' à" ^Orângé.m/iFpif^ ^rom^i^ndoi^héBo^Mgdmmerçahf:  
 ^s^feminfdfe Eolêhe ^ljdE.|ld^e{t’c o tf jm ^ ^ ^ j ^m ï ^ ^ ^ x > iM * e îb 
 ^ ^m ^ ^ ^ ^ ^ P 'p w d la g e ^ d e 'l a  P'âfd 1e'ft^Ie|< ië|mèr^a',’<Sp  ï e ^ ’ 
 ; B m î t ^ l ^ ^ ^ ^ ^ ^ P f f^ l^ 'R iM ÿ e ta n f  iF p ^ |o y T a *  q ^ t - d ’heure  
 5de laTalu y 
 dan’^ ld*- 
 '’camer^mçéadhtî'  î 1 
 Palais--  ’ 
 don^Wi'-^ ^ pffraiffeatt fuV^in pont  
 dé  p ie r^ ;.,ô n   if em P ü tp ^ ^ d e ia fo i ^ ^ ^ n  ''ÿ ^ u i f  endroit  appellé  
 îsarrelomendùe dlttû5n ^ ^ |ô ^ ^ G g n d  énvifôn^é^^^TèSy ôt’mya. 
 .  .  ^ z y 
 ^ ^ ^ w ÿ W im ^ ^ S i e u y é ^ ^ ^ S i ê d d 'p c h e * ' ,   paffant  au^bî^de  
 ^d^hafflWC^d'e  Ik '.G'HMâ i^I^ r^ ^^ èsIf^t^p ï^ é  Tèche ort  
 un" pont 
 I  d,e-pierr&.;  -pegt-îkipeau  8c 
 t   ce pont où 
 ¥ miîrffiflea(u l|r ù ^ ^ ^ * | â i ^ ^ ‘aprl-ès:^ ^ ^ ^ B ,^ eJ^ E o ite   
 un* qùa^M’n ^ ^ ^ ^ t o e -   
 ’' ^ g f è S ^ ^ g ^ i ^ ^ i ^ ^ ^ ^ mfmejÀ^tanpV-^Mlpenc ,  amgs  lëquèl on'.l 
 Ai-va  b n k d^ ^h«®^|o|ài)TaliiiT ®d 
 vil^ i^m p l^ eü rè 
 à ^ p ^ ^W h ê u t e 
 i^de’^ilTe^  1 - 
 d li^ ^ l&in ^ cfelSd é /^^ ^^y ^ lifflffitià: ^a'gSiiè^’  
 de M  'd e ^  în ^ d r s l^ ê c 1 auprès'^e Moyl* 
 eft -Æël^^ûb 
 y o l f î n o n  TpipM&UE^d^â^^jVîwanë 
 r ’A a 
 "* '^ietrej  â a  pfest 
 l^ ^ ^ ^ ^ î lo m q™  eft à g^110!16  ligijê 
 &'droitp,'aùp^^ ^ Mloh^ ^p s|m *  'lé^herhin tourne'à gatfene  pôuspaffer  
 ^® n s   ce village à^tr o ls ^ iarts-d’lieUEe^e^VoÆpbe.3. daijs 'leqtfêi^o^^^eÇ  
 ^ n  r u ^ a ^ ^ ^ ^ l p ( t o >M ^ ^ ie tre^ s,&',(l’o ^ ^ ^ ^ .  eq  une 4‘em^-^uï  
 ffl^ ^ ^ n ^ o n e rg ^ p i^ n ÉM m q î ^ ^ lfemiff^j^^pôncekm'dfe 'pierre un   
 ruilféau, qiii  n’e f t -M ^ ^ ^ ^ j ^ ’édpmeiftën^dé  
 •ir^ ifo if tM  'eft* à 'g a u 'ç it^ a p r^ ^ ^m g ^M ^ ^ iB t^ ltW ^È "  ônv  
 •.’d fo ifé -lé p ^ em ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ip ia ^ Ig lrM I^ P e 'iV e n ç é '-fu i*  htv  
 eif?iif èe-’ dioi re e n ; n ri quart-d’heun 
 : n o b î ^ ^ ^ P ^ r |Ù n  ; 
 fauché; l'héfmita'ge .des 
 ( de N ércm^^^^üla^eye^amt^Màrtin dp la ^& ê . ^ FVaM^fiM ^ ^ f h '  
 ■ye^beau.,' étant la ^andyrp^^îaeFeôFèàüx^ibnc^Blëdx jiifqii*à,Tnlm< ,  
 ‘coteaux>ënr^iérsfcamairgs\   fitu«  à ’Jàï'drcSrc?  
 fl^ ^W em mÆ u ^ frd u s ;  'C ^ s ^ m /® ^ ^ f f â 'c a î l l ô ^ - 
 i^ ^ P ^ ^ f d ^ ^ h n s .ÿ ^ o ir ^ p ^& 'm ÀddflM'aègés^Çaj i i ^ ^ l^ ^ Wfbchërs  
 oalcâirés  qni'fêcqmint»dnt4u{^à^<srenppIe^“^ ^ ^ ® ïé^ro cn 'eK'rali  
 ‘■>o d ] ^ ^ y (/^^^-Bas-çéteaux erifmolâiïèsf‘ q^comme^Knt'-afiprès -de  
 Vprej)gô.i  lé long dij^ ^ p j ^ ^ ^ b i f ë ^ 
 EaurenfëA^inay e lc^ffio&woarg{îtu^'aïcfi evàl  
 '  .e^fitui^ lè MâteaS 'db ^ in ay ,;  on  ylèiFun* 
 ■ commence 'ën-  imùb^es^Â^*îâ^«i§è^!3h^-'â9' l’I^ëü&ab dm cà ir  
 ^ ^ ^ ^ ^ lu lm f b e a d ç o ù p  de tannëürs fà: Fhre'ipufieuYs m a rtin l^mwr^   
 le ferJ S c T a t i^ A q ^ ^ ^ ^ ^ ^ l e s 1 eàuxjde là rM ® e  d e 'lÿ tp ^ ^  MÎoÿrahs'  
 'aumiplufîeurs martinets  dé k p^î^gë, 
 ' iSans^co^ "lps; W T& g ^& 'sy illà ^ ^  M \-^ % > u ^ d ^ ^ ^ ^ ^ i l s Ÿ q n r   
 K ^ ^ & avCTfes^îaB lès g '^ 3ë S ''m ^ ^ ^ ^ am ^ p ^ ^ -b b ^ c ô a p ,fw m d h a ^   
 &pr'ôpurè ,le;'^m f \d é ^ :e n lp ® ^ p ^ ^m ! ’y ê f tT r e ^ ^ a ^ ^ ^ f P I '' 
 copie du mémoire fur la ^ ^® p cd e d ,p i® m5r ^ 3M-'  
 ‘^Toupoureii,  qui naît  au  p i e d ^ ^ ^ ^ ^ ^ ænfoux^ m^no'té^i'h hdrd'4  
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