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SECOND VOYAGE EN DAUPHINÉ;
•;k _ 'Parti de Grenoble È premier Août 1 7 7 5 . ' ■ •
JE N foi tant par la poitc Tiès-Cloifties , on fuit la grande route & on
va à Ëybens en une heu re , en fuite ©hmonte, en fuivanc la rive gauche
'du yaljôn d Eybens -jufqu’à Tavernol'les en une demi-heure 3 ou On
quitte la grande route qu’on laifle à droite, & on prend la gauche par
laquelle on palTe i|edp^jt$fbm?: ^ :. n^nteg©)*; !Hngvd#aI%eïU:é; a fp Au-
gonnes j enmpptahtA à.,Tayernollèsil^i^t .desITcH ^ ^ ^ lfeyde^ a rues"
argilleufes,, & près de ce village1 oh trouve des çailCous.'rdül'eSS-- aux
Augonnes il ' y a du fehifte; desAugonnes aux 'Herbeys dix minutes j
fehifte ; d’Herbeys aux Alberges crois auarts^d*heüre .*fchij^^br^^[e'jM
•ïnaifon dcM.DuvIllard^Yur'la hauceui on’mâtæVe^ur'lc fehifte., dans
jM^qH^mce^m^ ^ ^ g ^ e '|g D esdAlbergéis^&^ ôn!a^^^^crQuynësj
3 e' Prémpl J'^ ^ p u I^ t^M m e r a ^ e ^ (^ eH ^ t unÇ^MC^d!heure , îjsmftë#
on voit du fehifte par-tout fur le penchant de la montagne où eft
iîtuée laGhartreufe de Prémgd 3 & Ykillle même eft bâti fur lefchifter
•Ï1 y, de Ëèâg^eÿes: j ^0 m. |^|p|Cra^eÿp
%/hdurg oh lâiÆvàTdroit^leigrand^cheixiin. de tiGa^ ^ 6 3 oMn^5 uM5S
gauche en fuivant le p'atc & enhemontant la Romanche fur fa uyç£j
•droite; à un quart-d’heure de Vizîlle on pâlie auprès d’une papeterie à
•droite3 un quart-d’heure plus loin on^traverfe le village .du^Péagc ' où
il faut payer fix deniers par perfonne^aSm^^^^-vis^hir la\jrive ;gau-
'êhe de la Romanche,'le village de'Mefage, fcliifte dut, du Péage a.
"Sechilierine une heure; de Sechilienne au pont de Gaver un quart-
d heiue ; on traverfe la Romanche fur le pont de bbis , doù ©n>va à
■Gaver en un quart-d’heurè ; de Gaver aux Clavots 'un quart-d’ heure,
païïant avant les Clavots un ruifleau fur un pont de bois ; * des :QlavptS»
iàvjHvet n^Keufèipa^mA^^obert 8c la .»pont ae%
bois auprès de Livet. '■■.
fDe ldvfet:SgglB^pi|l enldgux^iQurès^' ©aÆmtàà nn e^denû Jieure .le
vallon de la petite Vaudene qtu a fon confluent Hans la Romanche3 du
côté oppofé à celui de l’Infernec ; ces deux valLons formoient ancienne-
'm^^ ^c.co^ a'èraDie^q ui^mi^à'emt^n:^<Gren^re:;^!^-Jdetfël^
danr^^laifle’à dioite le pont de Vaudene avec "un (foengrT. qtmcpifi:
^ttid-àn^Bdurg-^oifM^uh^q u ^ ^d^hepré^pi^p^m^dlifl^Æganche-.i
pente^cHap^fe,&v\la. cafcade de Baron, dont ong
pMegPeêorneEÉmdft^^^^i^^&^emohmrd^Roma^ ^ ^ ^ mi^M'ye
l^^iWmfq^ ^^^h^ e ^ pOnlt^^i^d^^ite&r^îer&ig
on.remonte’hirïaifiv^MÆt^la.'É^B ^ ^ E a ^ ^ m e siufq^ ^ ^ ^ '
mond, en palLmt aux petits hameaux du^Famiei. & 'de laTernieie, il y
a du fehifte dur Tur les deux_xrfe de la Romanche3l'avec^u^^.es
pairies de cailloux mules près dejfcivet & Gaver.
D Allcmond au Bomg-d’oifans om vient paflèr la rivière de Roman-
• clie ÏIil un pqrît debdLs cpnftFuît fur ladite rivière , au-defïous du
c6]iHuentid»rellés3i@ni^ ^ me^^mi-heii^-;Æ^ ^ ^ g'a au.bour-gsert
une heure3 làiffant. les hameaux-de''Farfayer ,'Boirou, la-9|©fê à droifô
’ contre le rocheLJ'& pafTant la riviy:^dbLignard/ui un pont de bois ,
l e -au hameau dê'Mdrïiès^;&^^ ^ÇÆhrts^u^oh^^fe^dj^^^es
rfcmlfâ^ drdir^rfô.de11
partie de dur ; il 7 a au fommet de la montagne ^àeCÇhalanche, une
''^ rn ^ ^^ enc^cploitëe‘ & au-delïbus une hune^âé fer fpathiqüe': il
'y-a.crois .carrières d’ardoiles'ëxp'liytées'aux 'environs d’Allemond 3 &
ûimirsÉmpeÿ#d cuivre gq qe plomb ?difpérle^^Sà^&: -là. :3 l ^ p u fi;^
mine d'e plonib au-dèflTüs, d'e V'aujany ; lè\rp‘éher dans cètte,'vallé'e
^ grârfit itzr^3:a.
hauteur ; adpK^^'^cimm^u^es^>axûongea.z, vis-à- vis Allemond- '&
f ir:td/wv^gMftRe delà rivière d’Ôllejphy a’une canièie de tuf &'une
d’aLdoifes auprès du village^ de la'Yo'ute,'le rocher èfl fehifte ordinaire
, & depuis la Romanche droite il efl.fehifte jufqu’àBmron-
& acdoife auprès du hameau de la Pote , 1k depuis le hameau de ‘la
Voure jufqu’au rajlTeau de la Garde , le roçhér efl: d’uh fdhiîfce tal-
7qüeux; à la montagne d’Armeutières,, vis-à'-vis le-Bourg-d’oifans, eft
unejm^^de, çoup^qpÿ>U' cuiy r&iyeM £j,v- i
La plaine'du* Bpurg-d'oilâns étoic autrefois le grand lac de Saint'
Laurent, qui faillit à emportCT^^fmblfe^lorfque les,eaux perdirent
•leur cquiïiîîEei/il'y a à prefènr «beaucoup de terrein incuîrce & qui ne
fert, que.pouiÿle ^pâturage des beftiau-x au près 3 c la^pnaahch'e &‘4 'es
marais au-deflus du^pm-g^'
" 1 Du B©urg-dsaifans à-Vêiapè, trois heuics dfe chemiri-; on prfffè ân^ir-
rent auhameau'deSainr-Clau'de à droite', à celui delà Fare^.gauclie^&
celui du Verc; on païïe deux fois l’écoulement des grandes fontaines
auprès de la Croix-du-Plan, à gauche à une heure du Bourg,, & 011
maiche flu jVgEawei. de la nvièie de Veran, en la lemoncanrfuL fà
ri^e gauche j en pallànt ^lÈrfîlF^jld’e Yil'làrd-Aimont, auprès d'e la
grange de la-PifS, &lenfuite auprès du hameau du GolTon qui efl: à
droite, à-une heiue de diflance de la Cioix-du-Plan, &■ fflup'i^ duquel!
■.©îi.; bois ^ièér-
^ ^ u^ j ^ ^ ^ ^ ^ ^jiyièfétâ’e^ ^ ^ ^ ^ ^mlpont-de piefr^M îM n g f^ .’
la hauteur le hameau d’Ançhère& un, peu. plus loin celui de l’Ar-
gennèie^fur la i<ive gauche du Veian, apiès le pailàgc çlu pont on
:dîneurea'‘qiri- paftànt deux petites Æùvlnesj l® .r0^heî depuis le P è ^ g r-.
il élaSEÉmfefe,-hMfe hOz ,ÿis^àrvis- .l’Aa;-
gentièfe: il -du
ardoifes ; il.y a pluneurs'mines^de charbon aux environs de Venoz, le
>fî|qn^péuEavoir unspi^d d’épaifleur, il ne>s’enfonce ,pas..du-delà de nj
pieds, il eftm^^le fehifte granireux-
-, «Le
■f^^éSc ^ |^ dm|e.s^^fOTmefd^^ ^ i^K
La -. âl y ;eh a
d’^ m ^ ^ ^ yhrts S^*hiannsS^^ ^ ^ ^ ^ ^ b lancS^n^K ^ a p ^ ^ |r '
-blahc^ge,dh?feums couleurs} il y a auffi dmquartz 5 des fehiftes dins
V eran fu ru ^ ^ i p d ^ ^ f f ^ ^ w ^m ^ ^ ^ f u rT a *
TO^^^TOm&^B^cnarra. hameau de-SàinKGlniftp.Plie^en ui|;
.-, ompy£fe^^^^tët^wrUeuic
en plaine pendant trois ^ UMfôMl^ i r ^ & l^mie^pCTrenerEe^o^on
; monte pendant -Sine ‘heure , on defeend enfuice jufqu%u ruutleau d 11
î4 oulin qu’on pafTeifur le pont d’e pierre du Diîible 3 laiflànt le moulin
à' gauché:^dl^mimn^t^rapidemeht auprès .de*RegliFe dfejSâiht-jGhrif-
tophe en mae.-dèmi^hêure : le chemin depuis'Bourg’derû jufqu'au pont
^d^oS-'lÿeft%(ippâfsSlhf|l^ l^ ^ mfôlâ^ivièrê ^ u tur- roohe^^ fln's>a'es
Jj^ciprqës^fFreux '^j^ ^ ^ i ^ j l i èrSvrOT^w^Mg^^iMtieîM^/peiiie'
peut-on y faire pafTei ’des'mulfcts cnJes.mqiiant parla bude, fans ciain-
idred^eur feue c^ftèi une jaml5e»-ou les fane piécipiter 3 le rocher eft
de granit mêlé de rchifte^mnTOf e ^ g p ^ tf ^ ^ -aupre de la rivière ,'èle
roule des‘granits, quartz, fehifte, &c. elle paioît êlte 'bouchée Tous lé
• -pohtipa^dèsquârtiërs de^^i^K\qùi ^fohtstoinb^^Ee /tüifIèâû;û^lMn$
cliatra foi me une'belle cafcade & ,v<ient mêler fes eaux avec celleSMe la
du th f ^ ^ ^ ^ ^ l^?queiqÛK'^qnàrtiers^‘’ÎS
, rocher qui- ento'uçe ce vaîllon.eft7tbrit graniteux, nrêlé^çn^'quelquès'*par-
ties d’un fehifte dur. En hiver il y tombe beaucoup de neige, & fou-
vent ils font obligés de'ré^ér.aahslcùrscahut^ pour w^oiKfortiiî
on y feulé des brouflailles^dg ,<pùémuÿ^^.di/q^pdîs>.':< dtPfufdiMpbhr
^mfli^au'JP^it^dujQjàpfe conftruit.furle ruilfeati d^^mim^^àu-dârous
de Saint-Chriftophe^ le'rocher eft graniteux 3 & ’à la MÔnîée ©n temps
de pluie, à l’endioit appelle les'Giandes-fontaines, il s’en décache des
^UMtiers qui ro u la n t^ d aM ^ ^ ^ è rg ^ ^ ^ ^ ^ ^ e 1 chemin, icé.qini':;^
'rend crèsfdangpreux dans ce fems-là : le pont de,pierre çeîÿftraic fur le,
■ruifteati du î&oülin' è|l en tuf affez élpy4Kç®i^'41ft'cau eft! encaifte^tre
des rochers qui pacoiffent fe toucher', ’& laiïïen.t à peiné entrèvo^|[’eau;
on l’appelle Pont-du-Diable, pas oplilidire
depuis quel temps il a éte conftruit; les rochets entourant ce vallon
‘font graniteux"^ d'upfchifte' ^ r . f 11
'Cette petite vallée de Saint-Chriftophc bft envirpnnée des,glaciers de
I ^ B c
| l S | r r \ * r y n m / • / » ? !
h y a dfejjtrcs^Saint-Chriftophe &c de la Beratde, feules montagnes
ce qui fait tout'l'eiu îevenu., '
Vis-à-vis l’églifelcs glacieis au-delTus de l’Adlp-du-Fin 3 donnent de
beau qui fe: ghffe paiyles rochers & q u p i f f e s ou eÉpèces'
de cafcades agi tables à vonpoiu une fois fèuilement. De l’égl
) (S^ded^^Ede Wlaeuc^ l S )^ ^ ^ ^
^UMtagne^, au Yillard-d'Arênfe ,-• a'feet^gKmuei.pciîre, ■ en j^ ^w h éu ^ ^
^w P ^ ^ ^ ^^^ ^s;^klGarde,é^ im ^ .^^re?Ct [ en
un pont de bois auprès du. Boufgrd^^^^^^^etgpi^ l^B Ill^ ^ g jn a
|léhe auffi{i^ ^ gp|^dê«bfflMauM^ ^ ^ïaquelle^o^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ J , à J
■ ^U t^ d ^ ^ '^ ^ n l? (S ^ n y fm ^Mg^fflrapaiÿla ^ell^^ l ^ eM piai^a
^afgi| ^ i nomm' 'dë'Semliè •QuifS^^noite
^Garde,;ÿ.en',!^ontanttà|dag^^^^l^OTiner eft fchifteùx :devruiffean>HeJ
SerenKformelùnè jolie cafcade & donne du tuf.
De la Garde on va à Huez en une heure 8c enjonohtanti pafTant au
lhatneau du^ b am^^^ ^^^rSl^VaSB£ès de. Ta^ie^^fehféSmHjiez à
gauche, un petit ruiffeau'fur un pecit^nçe^uaüHrè ^ ^ uez'^l^ocnea
au‘de(ïus du Ribaut où le
rocher eft calcaire, 8c il y a une efpèce de monta^^jQ^ ^ ^ i l f ^ B|
unelcafrièrë dei pierr ^ llaj^ f ur .iagenchant d’Hiiez'•to^^aeftu^deual
i ^ ^ H ^ ^ p l ^ eî^^p^alIiercs^^mnhées^d ^ pl^ ^ ^ ^ é tQ it'd 'e i^
cryftal eft du quartz, mais
^^roMueièft en ■ rocher .fchifte^ d u ^ on^ l^ ^ e ^ ^ poi^ u p r ^tjré^del
^sYill^ ^Recula parje^pas-dèMaf Gmueffion^nnp^.bxû l^^^desyfi éri^
Ntt^ - |^ ^ v^pn^»fech^Màù(nQ leil^ f^ ^ ^ ^ ^ è ^M ^M lro n fl^M n a
.,ht uéps /Sisïi^is H u e aS ^Mflall^^ft-. beai^ilref^ ^ ^roluWechemh’^ j
yal'lo^ a e
'?/-fcp5vHuéz,©n va aux gr-anges d’Huez -en unej
|B^mnmrÆ.eà~
jufqu’à un endioit où il y a des mazutes, qu?oi
^ ^ Kmnesi.dçtrfe^ .^,* i^ ^ ^ ^ îp B ^ ^ ^ e 1,qîMques.p^mfil^^ qùi
annoncent du plomb & qui font peu de chofe;.il y a un trou qui s’eft
es, ypififaes., *où un.;prfÿj(àn> n®u*dîrs
avoir vu ’les galeries faites poui les mineuis, les cailloux qu*pn y'voit
' qù’pn.a^ford^qeMà;terr&V^r ^ efquartz.,td'mbamW^qùêlQu^.-
granits 8c fehifte dur ; un peu au-delfus eft une chapelle dédiée à Saint-
Nicolas , où le curé d’Huez vient dir^ ^ w e^pT^^ fl^feaujdfefl^
de là chapelle eft une anciennç tout défunte dont les murs ; ont cinq
pied® d’épaiffeut avec mi folfé taillé dans le roc, cette toui me paroîç
avoir été conftruite-quipour y mettre une gar,dc pour veiller à k;fûret&
des mineurs'crainte qu’ils tue fu^nt.enlevés par les ennemis, oupoui^
fervu d’entiepôc à ce qu’on tuoir de la ipin^^ro„c^erM(^è|t§pàfrie
^^^ ^m^mn^pahiteuxÿ mêlé'dè'qüelquesSp^rtitofdp^u^S^^didM!
‘^ ^ l ^ ^ ^ ^ ^ l ^ Æ t t ^ ^ ^ ^ a n ^ M a ^ ^ hiî^ie^oisUii^^effctu-e
?M^ ^ reffiî ^ M'^m^mpneimh^venantfdtQErsg)^^uh%biip^ër>àn^
montagne.
H^^^ ^na^^^ ^^mngnTphtefafla ^ ^ ^ Herbi^ où ilyaunecryftal-
~ lierey abandonnéeAerfei^^ ^ ^m M^
iÆ ^K-jd.’he ure^par.;dès tprdriK^àmn^raR^en^pall^ ^ ^ ^ gn^ ^
CharbonnièLes environné de fehifte tendre, &: en qudqjiea. endroits
de dur, il y a!fur fa- nve droite, à la fommicé, une mine de chaibon de
• pierre ;>'bn monte les autres^trois, quarts-d’heure à pied à tiaveis des
rocheis & un penchant crès-roidc pour arriver à • la peüte^erpia ; ^
ciyftal en, eft beau, le eft fehifte tendic & dur en^quelques
- E>e-la petite Herpia on monte à la grande Herpia en deux heures par
. ,m^hegun\ tr’ès-écmit , ^ ^ ^ t ^ pas1 pofljble^àllèr â dièval, # la
, -tp^teeî'eft-très-rgpjde/ ^ m |^ . ’g'^ÿiers\^ç^ ^ ^ ^ rom& ;des roch'efS)
fupérieurs, & pour arriver à la grande cryftal'l'ièrc, il faut monter par
'■• ; les rochcis prefquè d'roics, en fc tenant à quelques petits boucs qui
^avancenpK^'i^^^^^ftrolMftp^ci^itey^üls.yepdiènt^^’ehvdétsîch^^
on y tLavaiffi'l^lwer, &: elle eft, dit-on, la mère'de coûtes les autres
^^^ftallières.: il quartz 8c le cryftal
.^eftxdi'Vifc eh poclacs qn‘|pm^WcnV'^es-étroiccs &'qùi s’élargiffcnt à fu^,
&r mefure qu’on avance; les mères desccivfl^Ùsfô^^ttachées au
, quaétzqé chaqueçôte^am^^^^^lesyîgûillçsvfôn^^®hëesM||-ühes
cpîatre lçsvaucres.;, 8c cet d^^imHæ^ëréu^^ù11
''ly^quelqubfois dés aiguilles de cryflm^aefacheès 51 ore^^^phér/là mine
dans le quartz ppur^dccaGhcç l^w n e r, par quartiçm^ /& enfui te on
iépare âfec':dés marteaux les cryftaux d e 'c e |q ^ ||^ ^ n cK e f iéft d’f â
1 1 ^ ^ ■ 1 I
&^Mfte5t e n d & ^m ^ é r o î^ ^ ^ ^ ^ 6toenti4Le,vall'qn ^de^erenê^^^d
a'M^meimdnta^^de \£ grâ'nde Hejrpia'& daps les glaciers
afe'fchifte. de
gqùaffe^de ,f
^ ID ^Mnêcife'Merpih'oi^^me^ÿpaB des prairfësi^M^Mn.t' le iÇujfTeau
| ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ n T^iethéuxeîf^w ^ ^ ^ ^ B ^ (QxrleAn.affeXur un ,
^^^a^bpl^.igupr^s^duqh^h'e ^ ^ ^ aaDe^a^pfrr^ ^ ^ ^ ^ ^ Q e t, on
hamearndu Guà’.quine font”qùpSe'ssgran-
.igé^haDitees»emctg ^ ^K ^ ^ ^ y ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ m ^ ù f i ^;^q” llaiïïe à
|^ m ^ |^ ^ ^ ia ^ ^K M fi^p o ^ ^ ^ ^d';rapidemerit lulqU’à^Autis, enfv
R ^ ^ l l ^ d h ^ intSpirâuOE'^Te^ifFe^vd^^ëréne.'continueûe'roulerlwy'
fgcip.es jnacièr^^^ ^Myie^.t^jm^^pa^ës»prairiesTl^qu|,a^ ^ .m |MB
Cluy , le rocher fur la gauche eft fehifte^dur ; en defeendant le col de
y*,a urie y
pecite^Kaute'url^flif aù-d'elToùs
dur. Auris eft ' un t^m ^ ltp ^ insMoc^il^ y a des particuliers riches ; à
* peu de diftance d’Auris il y a .tmMtreçiçpgitô^
B al me de Mitaudcne , fîtuée à la fommité d’un rocher efearpe au-def-
fus de la Romanche, il eft dangereux de fe précipiter en y allant, le
a tra n ^
B>iÿhan''dSîrbc^ra
: le cryftal
^ r o j^ ^ ^ p n |m o tu ^ )g £ va de pair avec c^^eÿMaro'nes;,. lMrôcner lényirpimSu
BplSnc,Kt^e™emip^m:^^,'^eft^dWquart» nôm mange dans;toûislçes;.;hameàûx-, dÜi-paim‘
i-prere®^5ir^été3pviUe \ année.
^ f f i^ ^ ^ v e f tig e ^ d ’un^^Bû©u®Èeydet|qjM 1 deux heures, en ftnyâr
^y^^pierresr^bravep^lfl^~» v'iun pfetitXenp&l^■ un penchant tri^pMe^/^paflànù1 appïès <
^Î l^^ g^v irpm f6ixmt&/ '|-' du Puy un ruifleau. qui a fa fource :au pré Pourchan, & qui ;. fon confluant
dans la Romanche un peu au-deflus de l’églife du Freynet : on .
“ tourne la montagne , & dans le tournant il y a à gauche un oratoire
r gaucn^dm|ruiireau^de^u^t^g^m^I^^:oimt?q^^g^Sÿp^ie ; on
. .qohdnue ^dqlrpçfônter * ^ imjftmu^de^am ^m rau^ ^Eim&Gl^arim-p
y ^ ^ ^ ^ q an^[^^^^^uy;djj|Bas-Clavant bù^eft.'.ngee^Pegl^ à uii-
, demi-quart-d’heure avant d’arriver au haut ; le rocher de la montagno *ï
fur le penchant de laquelle eft ce petit fentier, eft de fehifte dur dans
pf^^ u ^fe|tOndrètaân^f&b l ^ |m ^ mapged ^ ^ ^ ^ ^ ^ p^^gnhefoj^
'‘mgnëm^^fînfqq’à'Jat'ftonfièr&ifvya^^^tei^^^rreir^^^p^^neRel»,
beaucoup de montagnes ën^pramëst^Qnm^é'tirënc un’ r^ ^m |c0mme||||
en hiver
Dourgdgnëriqùélq^@cro^ |M S |
De Clavant on va à Mizoin en une demi-heure y en
gau ch e
'jufqu’à)'.Mizoin ; il'y. a aupcès ^droite .©^ ^ l it^îi*
part & d’autre.
c^ÆBMM^’oiyqmvÿ à- l’aùber^amî^pWnl ^ æmpEeim^^^tpie'j!y 1
^jiw ^ i t eàii uldu ù un» petit ’
m auprès de ladite auberge a l ^ ^ che^f^G h jft^dai^^ e n dmn^elé fim^j
^^'dcol^^e^^Rdmanchh^VilC^ ^ ^ ^'eOx^d&haulfergfi^ ^ ^ ^ jàaj!
gauche .plufîëurs\carri^es.<^t^diïês^éxdoitëésv 1V
'fP^^^erg^ttleSïDauphins îo ^ ^ à jlà ;' G r a v e ^ e ^ ^ ^ p ^ u ^ ^ rô i^
l^ jg ^ ^ l ^ reyd^fi^ ^ ^ ^ ^ d ro itë ^ ^ ^ ^ ^ 6w d ^ r^ flë a .u :...'fflïn‘anqf
- pariap’S p pW d ë îB h o p f t^ ^ li^ ^m p ^ u c ^ ïS e l^ ^ ^ ^ ^ ^ ^m -
'{lbhgZMfc^^^Mdn.' la'' fepafte^'h^ourj ^ p ^ ^mr^mnuajjive;; gauche,
fh:oJ^^eRe®tf|I|«rfembnte) pendant^trôisiq^ÏK^^eu^ji^gn’afun
:,d k ^ ^M i^ ;^ # ^ ^^paTdroice^dTunay^on^ui|àv ^W '^^^%aupï;es
dulp'oryr-^Ptâlànt dans difbn cè doeiBon wong^, ^
'"^^^^mMux;ft>rmés.pàr|l^glaciers H
ô&^âmWènt béiucp|ùp;de^rayiers^^^^^^nd^mauvais à jJafTer:
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