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tous les endroits où il pourra' fatis&ire là curiofkéy & faire ' les 'Éolleiftions quï
lui feront néceflàires.
L ’ordre liiivi par l’Auteur de cette Minéralogie,- dans la difftibution de fes Mémoires
, -eft puifé dans la nature- même du local des pays qu’il avoit i décrire &
-à pançouri II a divifé le Dauphiné en troi Parties ou Bandes du Nord àu Sud.
L a première-, eft la .plaine oufafcie Jh blo iicu Ji, qui s’étend le long du Rhône dans
toute la longueur du Dauphiné, depuis Virieu du côté de la Brefle, jufqu’à Coiu>
ïaifon dernier endroit de la Principauté d’Orange du côté du Comtat Cette partie
-eft divifée en huit Mémoires ; chacun defquels comprend la defaiption des différent
baffins le long.du Rhône, formés pat le éontour des chaînes de noncagn.es fabkufes
•qui terminent la plaine.'
La-fecoiide. Parue eft défignée fous lé nom de Calcaire } parce que la matfe des'
montagnes dont elle eft remplie eft de rochers calcaires. Cette partie- intermédiaire
renferme li\ Mémoires’ depuis . la j ige S-.Uituu i l o i , qui comprennent la d h,
"cription delà Vallée de Craifivaudan, du défert de là grande Charoeufe, les ju js ;
flc Gi&iflblc a N\on\, i C r t ll,S T " le Ro\"înnoi , lAc A enfin le*Connu
d ’Av/gitoA C ’eih.Adàns^c&ttéÿpMtie . kéhlu s i ich<f &. IaMQ^'tulmcv, que fc nom eut
les différens corps marins pétrifiés; &c;
' tfoijiemt Partie ou Bande orientale du Dauphiné, renferme fous le nom de
P et t gi'anim ft , tout ce qui relie de cette Province, depuis les montagnes calcaires
jufqu’à la Savoie & le Piémont, dont elle eft fépàrée par les -hautes Alpès grani-
teirfês. Cetté pôtxion du Dauphiné comprend les montagnes les plus élevées dê la
Province; c’eft en même tems celle qui poftedç les mines les plus riches en divers
nutaut, les Crvllufliius , iK^Criannsp lès Suptmines, 1. J L eft îp i imiLC tri
quaire - Mémoires^, dt a J i s L . page îoTjiïïqïïaîtr 6 i et <) Umoire',^
de^is®@^^ S $ ^ r q p^pWs2.’i 2 : u n e 1 edopitmri(m a :
tu. du d ms le coips de fo in iagL, fin J i s ,T.çnc_b,. ,h.s,;PiLiics .jlesjMim-i un y-, hs
Corps mâtins*,I les'■ ‘Foîfiftïs^st^'fes'’Eaux d u *D a i^m n a ^
, ’Oh tromcia.finfîîim, ftv \fùümal‘pÆ<.^ 'v 'jfp î}' .•’que M.1 GucttS§p®|
accompagné d’autres "Naturaliftes, a faits ’dans toiités :les_'parties (lu' Daùplnfil’ ,
pendant le cours ’des années, ] 6’ *ccs uif*.r re au jfobrffti^ d V c uni}
depuis la page > 1 3 qufqu’à 2 4 8 , pourront paraître allez :ftériles à ceux qui fié-
cherchent que- l’agréiiicut* dans leiirs leftin es, en ce'qu’ils • Refirent qu’une nomenclature
des lieux parcourus’, &_dës*’diftances. qui 11 ftparent, Pétait dés routes-,
l’àfpeâ des payfagês. '& des 'vues pittorefqués :'qui frappent le yoyageiir attentif,
mais lés Naturaliftes & lés Géographes nous auraient fu mauvais gré'de les ai oir,
privés de ces itinéraires, pour'ménager‘la délicatelfe dé quelques ; teneurs. Il eût
étd
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* des. Princes - Dauphins. ■ xvij
€tfel|P'efiréjr-fhn^Lottt'éV- daMprolitt' do’nnèt l ^ éc tiejPliïtiiiérâirés, les Cartes qui'
dévoient les àccomp 1 gner , & que M. Guettard a\oit annoncées; mais leS'!‘déffins
B P u ( * icnt is” h u P fS v î t i ui&MKmp «laMbMffu devoir Lis remplacer
par l^dSne générale du Dauphiné, que M. Dupain-Triel fils, habile Ingénieur-
Géographe , a faite fous nos yeux en deux feuilles ; 1 laqudli^ouyn on s joint.,tous
les lignes Minéralogiques des Minéran^j^PRolfiles indiqués ^^»^^M^ftnôurës de
M. Guekh jp K ,1 ift la^hoi t 1 tr fa tî 111 *My ■1 )îtp un h que wjùsunJSfiuiiotL tlio|ÿ‘
'.i^gr'étt^^^urra'rètarder la pubhçjuFn'd,. tv.iUffetriJ’j'Hms laquellefeffera difficile
d tr^ndrcïdLrrc-tjNli;ît,tal()gj^B|
'V-Lnfui^LiphLuioiîsdt-. 'SÎ’i'i’fa ' <juSqnttrt:f»gra\ 1 é flous‘le:, yéux-.
de.lMu.Gûetaan] ■ P°-U%n|mnp'giuiAhs^ lu n ô i 1, 11 fin ,d 1 \olume
^cjiuis '1 à 2vlMà lés
Soufcripteurs, entre la quatorzième & la quinÿèitie L iv i vfo 1, n’étoient qu au tiomhrL'i
de dix-n^^î II *aa en âjputeixune vingtaiiic^iq^æfenVjjVttir &
dmgmiélj'iai 1111 iî. IJ1 un fi J.felEnc^ÛniAp qApdfcl>qil J d'efth'à îmqmiyiiftcniV j
feriteminoî^eau^gLnii^iÿ^ .iu lcapjtüaijure^ni^^yipliinc...-on a cru iipmoS y
jgindr'èlh-, ^ p Lldte.Sa^'uiiques^I^lu. cifiuviI^duitlNM^cri^nu p'udiut h'mann^-tle
^ffii/h-içoinj, dut'ti?oriftpÇilei^p^tfoçjdieiÿlCeuF- de MM. les u
ïcçu^treîmin^i^niL T (\i ufioiitdéyPhnLlies, ksftcjontifi^e^qivtblc toljj^e dii 'tAt>|^
les placer à la fin>dc la Minéralogie.,
lim jm W W ï^1^ 1jWc e\phGitncadeshPJanbMesiî»j'
Nous avons donc cohferyé reHgieufement tout' ce que M. Guettard a bien voulu
ncnàs ^fpuinû -llu ■ f w ^ n t ^ T ^ i g i C i p l j u i . 1 or s./i.etraiKht jmiq
la Préface, qui étoit totalement éti ingère à notre plan, & qui d’ailleurs fe trouvera
dans l’édition in-/Ç d&.l.v6ette -Idiqéiffll<3gie>''
B » i T p r ” f i e : ‘
Bjiï& oro ‘iuquc
Ce n’étoit pas alfez d’avoir donné dans les Mémoires de M. Guettard, tout ce qui
concerné»la-Minéralogiqd’îiçie notr^j|É|jBnpbd^'
de ne pas donner wlSslmêmésd’enfemble de VHifloire Na relie 6 Économique des
Provinces quepions avons à décrire; du moins en parcourant rapidement les produirons
les plus remarquables des trois Régnes , & faifant voir l’utilité qué
l’mduftrie fait en tirer pour l’Agriculture,, le Commerce & les Arts. Ainfi cette
pvijïème Farcie de la Defcription du Dauphiné fera peut-être auffi curieufe que dôi
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