2 1 0 M I Wi É R s A L x O G i L E ,«
e au x c h a n g e r d é lit : il n o u s 'femble q u e M. B o v lcs e ft obligée
■d’o p te r l’un’ ou! l ’a u tre f e n tim e n t ; p o u r n o u s n o u s p e n fo n s ,
dVfcc Te tû'mifiUn dés naturafiftes,.;, q u e l.eViMiïjd dès;/ivièresi
s’élève in fen fîb lem e n t j & q u e les îiv iè ie s & ,le s fleuves tran f- .
ipoÉtéûiti, $ëi#|és c a illo u x q'ûï^a&iÇentT l e iirT ït, u n ^
p a rtie d u m o in s ju fq u ’à la m e r.
Après une ahfli longue digrelEon ô ù .n ô ^S ^ p n ^ é té obMg^î
d’entrer / après ce qui a été d’it des^cailtouxi'oulés fi fréquents
en Dauphiné, révélions à ee.qui regarde la dégradation des -
montagnes de -'cette .province. L es pluies., les fontes ïfçs^neiges,
fo n t les caufes principales &£ journalières'^^ {
B A U, Pa H R,Ni É .
],£qrâ&t dép.bfé^s'ifous fes arches,;, il.emreftai à p e u p rè s douze
qdîiôn l'quelquefois des dégo'rgertrens, dé.l ^ ^ S contribuent |
aufll : celui qui fc fit en 12.19, do n t il efl: m entioiï dans l’h&f-
to n en G h o n c r, §6 d o n t ok a parlé dans le fécond' mémoire
d e là tro ifièm elattre |f p | egalëment.pu quefairé éj^ ceg en re ,
bèàutbup de ravagé r que ià’a dû également prodmrçvl’iïïOm;,
dation de 1651 , dont Chorier jàarlë en .ces termes.- » Nous
» avbtis vu la ’dernière année 16y 1. à la fin du mois de No-
,5 vembre, l’Ifère s’élever par le moyen, d’une pluie de queh
« qiàés jb u rs, a plus de vingt pieds d e s ^ i ^ ü r i afideffus, de
» fa eohfiftance ordiMïr’e . O n p eu t, à 'çé.-que .je c ro is,
pènfèr qu’une telle inondation^ qùoique CkqriËr^ie dife pen
de fes effets fur les montagnes , qu’ils n’o n t .pu. qu’être d e s .
plus grands , puifqu’une pluie de quelques; heures en a pro duit
d’affez funeftes 'dansées enviions de Voreppe , comme
nous îious en fournies affurés par,n o u s^ ê în e s./V o rep p e .
bourg Jm é 'fur la rive gau’ché;du torrent de Roize „ a penfé,
être emporté par k s;e au ^ ;d^ q ^ n:en tïe z i Mai 1776 : les
eaux de ce torrent furent;tellement augmentées feventramè-
refit aÿee elles fine Ifî grande quantité de pierres |JquMl y »eut -
tofit à craindre po u r 'cet endroit : cè fut-, nohame l’o n .di|3
ordinairement, un foudre d ’eau ;a q u i ‘ces eaux furent dues ; -
il :|®MKénça à tomber1 à la gauche '& au-deffus du domaine
d’Hâütefare -, q ui appartient aux ’Chartreux..d'e la -Graffdë4-,
Cliaftreufe : il ^couvrit un champ voifinMe pierres de diffé-
rèhtesfgrroflfeurs;^.&memene Quartiers de rochers.-; -’lesprairies
^^^fofitCfiûidefl^US en -furent également couvertes •; l'eau
.‘S’dtaht;diVifée & répandue JMfeie coteau 'OÙ elle commença
à tom ber, y 'forrna autant de petits raiffeaux , qui gâtèrent
les chàinps cnfefiie|rêâï, ’epfifidérablés'au
chemin de Pommiers 'a Saint-Laurent, & i'1 en fu t pref- :
que impraticable : ‘ce’s rUiffcaux, en f e réuniffdht ^‘rendirent
ic tu ifle a u le Panchier fi impétueux & l’augmentaiàtup point
qu’il emporta une foieue & un moulin qui étoient fur fes
bords ; :il' roulaides^ quartiers énormes d ^ o c h e r s ^ i^ ÿ â f it
d’arriver a l’endroit appellé la Plancher de^Faifchèr, il em-
porta'un -chemin“entier & environ quinze toifçs?.de p'rpfq|r-^
deur de'téfrés', de cailloux 'o uncfiochers ,-'ce q u i barra le
chemin de Voreppeà Pommiers &: à Saint-Laurent, qui fu t
\fa?ui|t.'gâté; dans-.plufieurs autres endroits.
. Qe même iùifieafi rëhfir a u torrent de !Roife , ¥qui?aug-
menta confidéràblcment l e Volume fi?é a u , emporta fefhtiir
,'d’ii^eûiâifqh^&Tè b attqifjquTe^^ulih àbroyer^le chancre«,
dépendant de*cette rnaifon; il renverfa une partie'de la digufe
qui eft au-deflus du-pojit, & fans‘ün}r®het’'C^i eftpéuavant
•cep o n t, il auroit été emporte , de même que’les! ouvrages
.'faîts^§©U^ , & une.par rie même du bourg
auroient été culbutés : ils n ’auroient malgré cela, pu réfifter
fi le po n t eût entièrement etc bouché'ipar les pierres qui
pont., une-gffirfd&
| portion de la réparation ou^-es^uj^-co^û^itspp,di^ç,o.Dtphir
. cé torrent furent emportes dansp|ufieuK.endroits û .plus, bas
^ u ’ântké de ehamps< plantési de hautins furent couverts de
graviers, beaucoup de vce's hautins. renverfés ; & quantité de
ces champs en ont été'rendus impraticables.-Il faut avoir vu
^es^affe§énpfmes, idei'rp‘ehèrsrlê^ lavquantité immenfe que
ce torrent a châtiés pdui: lè croi-rc & avoir un exemple de
•fié ifme .petit une mafle d’eau confidérable qui coule avec
..^rapidité&: ,avce violence.
( Les pierres qui-fuicnt entraînées étoient principalement
; ^ èqiature calcaire, 011 voyoit-parmi des pierres, à fufü?,des
cailloux de Gra/zireZ/o j de fehiüè graniteux & de fehite ordi-
V nâiire. 'Eft-ce au frottement que ccs différentes pierres, o nt
^ < ^ u ^ rtle s unes contre les autreswqu^|àdqit at^ribuerTpdisur
fulfure ufe qui fe répandit É au dï®eldes;. gens du pays, dans lo
temps que le .'torrent rouloit- fes pierres, &; faifoit .tant de
dégâts, qui :ont été tels qu’on J>es faiTçit.monter à plus; de
eènqfiiille.francs.,,.
■;,?> ^ u ’p 4 îfe ra§pellfcj^M^q^t>,les effets du torrent, ;qp
»paffe près de la Chartreufe de No tre-D am e de Bouvante,
& dont on a parlé dans le cours de cet ouvrage ; l’éboulement
.énorme de pierres; ;§jpi$ at'\o,ccafi'ohnif.réthng^dq.Jiüc-# ceux
- quellJp^tpTvèïf^^jàllghjt^dansadifféfêfi^ &: plnfienrs
aùt-r<s effets feniblahles jdpnt< ,on a encore fait men-
-, tion ,,--:©fi, npvpourrâ;^iC^bpyefiir .des ^ehafigeniensv^nfîdé-^
fiab le s que .les jmpfitàgnçS Tdu| J^i^phip^dbfy;entf, jfo'Uiflrir
dans leur'/6jcmp,]&:5l^un ^afitefir ;/ce §^^e- m’é tp |s-ÿipgffé
j de prouver par tout ce qui vient d-’être dit ; c’eft ce que peut
encoLe appuyer(rjnôfidatiônfarriy.é^qp^e, ann^ 1778 à 'Gre-
' nohle,.u&: domtylé »détaiL fuivann.jiîiC5US .a <été ,paç M.
, Villar i dans une le ttre , où fi s’oxprinaok ainfi |
-î-,. ‘Grenoble »a -èfi^Marâh a^^^ce>m^sr{d^Cy(^h^e|^iwp vî non.
^ dation terrible, occafionnée <pa>r 'le débordement de l’Ifère :
! | ^ !1 'CipqHnença fle j Lundi au jfortir jtÿfivrd i -
nâire, &: elle augmenta iîjprodigicufement fufqu’à trois;oli
- quatre“ heures .’du m a tin , que les bateaux couroient dans
~prefque toutes -les>rucs. Il y avoir fix,dieuf, jufqulà-dixpieds
d’eau fui le pavé en certains endroits/,’’de foite qu’il n’efl:ri.cflé
que ;l^etite^plàceidhJEMÉ^f^l^qu^ètf^ppfcÂe.la?giace aux
Herbes,, & .un^rang de -i^arfons q u i.ffoA t-à iM S jB ^ ^ s ^®
n’ayent pas été,fuhm^gées ; rezeu-entrok dans les caves, cul-
ibutoit .les
portçs : veUé Jpénétroit dans les allées., les .magafins-j fe.-dans
tôusdès rez-de-chauffée où æüc a dépofé“un limon fi'tenace
par-tout ; on ne peutjpius.îëvd'eta-
-'■cher.J'e^montai’fur les rochers-de la -Baftille ^pâi^oMerfer
l ’effet de l’eau àiix dn^féns »de la viMe.; la rivière en faifoit
-^■fe'fèiîr Mes u n ^ ^ ^ ^ ^ jrg ra rîg d ^ iso 'u te s le/^e'iatelffâtaques
‘eh bois éto'i eut dans fléau'jufqu^à moitié ; tout fiîëjoji't qu’une
-metparfefiiéed’arbres, &: les chemins foimoieht des courans
V^|rchari6iènt les' tas de ^oiîp^^Â^s^M]îesi^îës-fpputres. de
^remp%des- baraques même, enfin des tonneaux ,.desïboeufs,
^?&:''tbi|tesilbt|ês*dJeffcts. L ’on n’<a cependant pas appris - d’une
^ânièrç-fl^^<^ii!fésfolG;n^4 ^ ^ fMn^ > ^ ^ ^ u Pa<Û*Çr p h s
»de cinquante courges en ihpips d’un^^a^ t-d’heure quilffotç
•ioient &c rouloient fu r Teau^-;.
.. Nos. adminiftra-tcurs. 11’ont rien oublié. p è û r' fecourir §c
M i N É ' R A L &, %rn Ü H R >N> S . z i l
’ peuple.;';'la. p o lic c t ©rd p n n a a- tonsflcs. ho u ia n g e rs d e c-tprë d u
p a in : o n c ra ig n o it l ’in o n d a tio n dès la v e ille , p a rc e q u ’o n e n
a v u d e p a re illç a çfi. & 1 ^ 4 0 , o u tr e plufieurs auqresVqui '
fi’on t-p as é té fi- forces. L'c j.ouj; defla^'ggande e au ,• des, bajr^au^
a llo ic n t dans*les ru es changés, de. p a in ^ , & l ’o n en te n d o it
' p a r les fen ê tres a u b o u t d’u n e p e rc h e à c eux q u i en deman -
d o ie n t: c’é to itu n te n ib le fp e é ta c le p o u r u n MontagnaLd q u i
a l’am e fenfî'M'c. G re n o b le a f a it dans cecte o h e a fio n 'u n e
p e rte très-co n fid érab le f o u t r e les ravages c om m u n s fur- l'es,
te rre s e n fem e n c é e s, fu r l’es ja rd in s c o u v erts' d'e Timo n ' &:
r a f é a , l a d é g ra d a tio nw m s ^ ^ m ins , des g©irièsr;désï hiaif#jns '
cd e plù fîeu rs p e t i t s p â r i ^ n e i s , 'HcpcabarètiSrs ,'des m a rc h an d s
d -h u ite É: an tre s ©nt perdUvieMs d e n r ë e s ^ ^ p f é fq u e '1 t o u t '
le u r m o b ilier.
^^^^Men^^m^^pplatiWh^lwpeut avoir cu'5pVu‘E‘ cafife
'que des pluies abondantes, vqui“/ë n fondant lès ^ g |s ||§ m - r ..
^ e s /d ^O T ^j^bfformé'ilesjror^ns^dânsyiïûllel
'^ 'n ^ ^ ^ n q ^ i^ d ^ 'c e s'jn ^m ^ fi'e s. q fi^ ^ fo n t rendus dans
lTfëre : ces pluies ont' d’autant-plus aifénient fondu les neiges,
que le temps étoit doux & aiaïff très-proprè^à^ohhoudr avec
îles pliiiés ^ u ^ ^ ^^cpromp^^^b.^nante^Qés^tOrrens fi,
^^ ^ ^ ^^p^êgfdçfceh’âan t^d^ ^ ^ tesnjon'^gnes ), jnc pêu^èrït;?
gâf leur.. ràpidiité & même; ’
^[p p ï^ ^ f ^ ^ ^G^fi^ueM^Q^fader^^^dl.oït^des'inbn-
tagnes -TT
3rT S ^ ^ ^ » n ;em f io /M hm e s ; inotitagSes que des ferres , '
^ p ^ ^ m T l^’’elfês-'yMepdfer'oiéM-ibn.^^^^^^^fi'pârm^eS^
terres, &: qui étant divifées &: fines amélrorfcroicnt le ichamp
fui lequel fc feiont le dépôt, mais bes eaux cntiaîncnt avec
les terres une puodigieufe quantité de pierres plus où moins
i^memtes : e’eft ce qui k'.-to'ûjôû-rs fait périfer a ceux que le bien”
public anime, qu’id fcioit^de^Mplus glande utilité de con-;
Ténifles fiV'ièrés^lesfibuvés
il efl: vrai, ne peuvent;s’exé©Wèr qu’à grafids frais , mais ce
qui;ne peut peut-être s’exécuter en giand, ne le-peut-rl
être eh' partie? par exemple,'tfn habitant des environs-de
Cicft, animé par 1 le bien public , a propofé d’encaiffei; la
Diome depuis le ‘pbfitWeaCfeffl'jufqV^
veut quion donne à cette rivièie un ht de 60 toifres de largeur ;
il y auroit â gagner 403 j fepterées dc^oo'toifcs quarr.écs de
fuperficie; qui' feroient divifées dans l’ordre fiiivânt.
‘l> ' Ame , I
J a v p ir : | | j
L -^97 fep te rée s.
m êm
K 8 i i l -
■ 1
i J iS
K | p : .
483 y fepterées.
Crefi. . ,
H H
Chabrillan.
' ‘1 C e tte é v a lu a tio n , p o u r c h aq u e e n d ro it, efl: fa ite en iaffôiîy
d u tc rr c in ÿ u ' c o îirÿ â c 'la D rom C j q u i d é p e n d 'd e l ’iin e o u de
L’autre, dé bfis; c om m u h a iJ^M q fii j felqmjeTélèW Aquraen;ai'
éué fa i t , l ’ordre'Ihivanf'; f fv o i r :
Çû^muHfiutî^ ' JR^yç dmite.
• . Hgj^ g j p j te lle s.
.... ,v W g .
L iy /q p . . ■ -. j
7 69s
)fammufiautés, Rive gdtfçhf,
Crcft. , . . . iy00 toiles*
"ÇhabMMah. • 1700
1 \sM>
Ë B h
w p o h r è ^K f â n s . ^ ï i t c
^gagnera P ^ ^ ^ ^ ^ E S W I ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ rorois'ném anquent
exemples
dans le corps de ce t ou vrage : on peut encore s’é ^ ç o n -
^ ^ e rP a ln sS la
‘oh y ^malgré
paffées l^ ^m lK c e , '
•il faut f a v ^ k r f,v ÿ .a /diminu^preJ^Kl'qpîmbitté <;. ç:e qu’o©
^ ^® a ^ |ô n s ^ j^ ^ ^ p f e ’dejKéigmenMtiQmq.ü’o n-.â1 miîêyfur^
teefife/denEee ; | i ^ ^ ^ f i ^ m e n t dés^teiTcsxttltiyëes i
aans l a \(alléè,«de Sa letre s^ '^^ ^^ p^ ^ouMq e/p fa irié s';,'il en
^M î’d l^ e m m ^ ^ ^ ^ l c ^ f d ^ ^ à î n r e ^ u c e ^ ^ ^ ^ ^ i ^ ’^ râ in s s
la vallée de Valbonay a beaucoup de noyers & des vignes ;
d a h s^ c '^ ^ É e ^ |lt 7qffrey ; vles
^ ; d u
ji^ ^Qn^hea tmQ'upfQ g n o y e fs t ,
, le ‘c h an v re ^ l ^ o im ^ i e s . '
^ e ih a u x : c e ll^ ^ e lS f i r ^ fQ h . '% ïe '.'W j^ o fs ^
qiio î-
' que '
^ ^ ^ O p ^ e p é m a n t ^ 'r a ^ M i è z ^ ^ ü r ^ ^ K ^ ^ o ^ m a r i d f f i J f c l é s
^ P b f p t n ^ ^ a i s
%lè n b y e r s ^ ^ ^ ^ ^ ^ a i f de
^Bèdfiv.ôir ^ ^ æ M ^ ^ ^ l u ' c ’Q V m ^ ew d iy .T O n u ^ iT .^eff'fitné
l^ ^ h o n tf^ n e ipQ j^ ^ a lë 'on y
“y oT O ^ a u fr e fo is u n 'c h â x é a d a p p a r te n a n t ^ M ^ a ^ m h , s 'î; il
n ’e n ", reffe ^ ^ l^M M u e ^ v è flig é 's ':'j •c’éflr'dfiis ’ c e''Gh âfeâ i|;q u é ■
H um b e rt'II l a i f f a f t o m ^ ^ f o m ^ r i i j i e r ^ ^ ^ p r è s ç ec ‘ï ^ ^ e n t ';
i l fit la rf ém iJ f iom ^ ^D ^ a f ip h in e lâM ^ ^ r^ c e 'r 'c ’ê f f .'a uOE '^
c ê ^ e n a r d i t q u i^ ^ ^ ^ ^ Q Ï i j des A r d r é t ^ m f o ^ ^ u f é ^ - l e s Ga-
le fa ifo it au fli à l ^ 1
ü è Vam âh i^
^fo if trè^-çeflerrée, êe'qufe».ces-montagnes’ ^ y e n t 'd ^ p e n te s 1
t i ^ ; f b i a ç s , ^
laîn®èu0 yer^Wn y ferne c épehaant^ùfaht'j^^ j ^ p ^Q ^ ^ c .y f
du1 î^ iè ',^ T o ^ g e '& 'd ü '’ chânvre.j & moyen nan
répandus J ^ 7^ ;m b n t% n e s o n 'y f a it b e au c o u p d è v fr p v