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TROISIÈME VOYAGE EN DAUPHINÉ ,
-<CqrkmeMŸ
E n for tant de Grenoble parïaigorÆG dé Franeei-yO® |i|||î |k grande
coûtej-pac laquelle,on fuie l’Isère fur fa rive droite jufqu’au ponç^de*
^ Mquêgiètfefàif&iiE 4Idi^ïte le yilkgei/d^&int^MartiffîaMa^^^S
de FÈànçë,, & .partant rè^xtu^àu^deiRi^tkpieijre >fur iin- pont de
pierçg^ .dfàù ©if ^a à la Buifferate , éloigrféeld’une demi-heure de Gre-
-no'ble, laiffant-à droite fui 'la hauteur l’hermicage des Augulhns de
Grenoble , qui eft âdpffé à la montagne de lïferon ; à un* quart-d>heure
■de laBuiflèiate on parte la rivière de Venoe fur un pont de pierre' auprèst
de Saiiac-R'obertj qù.oia ..traverfe, laiffant à gauche le Prieuré de Saint-.
^Robertj apparrenâht .aux\Béüédi(rtàns ■: a.; fin.£qj&r-d^nèurWde^aim^
Robert on palïè un écoulement de marais fur un ponceau de pierre
auprès d’une maifon qui^ f t|^ |M ^ . d’où on va au Fontanil , & delà
par-unKiÇnemi^^fefdrQi^bg^%^^^^^e?e^mieheme^rlaîflîmtrfà.V
droite à un quart-d’heure du Fontanil ,V1 églife dçr Saint-Vincent-Da-
plâtre & le hameau du Ghevalon : le îocher depuis'Grcno'fle pifqu’à
Voreppe ,i eft en général' tout calcaire , ôc par bancs inclinés du nord
au midi. La rivière de Vence n’entraîne que des caiUoux-calGairwi; lesj
villages de Quaix & de Saint-Egrêve font £itués fur là,rive droite, Sc
le château à M. de Marcieux fur fa riye -gauche contre le rocher.: le-
cerrein, dam^ç‘éitè'partje^|pi^^^g^^®fl-%en' a. une partie -a gauche^
, aupi ès du pont qui n’efl: que.gravier & cailloux .roulés, il eft à'piéfu-
xner qu elle ,y avoit-paflç avant¥du|aIe^M contenue dans fon lit par
ÿ ^ ^ o n ^ ^ il^^.^fedés^bas-CQteaux^ae molaflèsi' auprès; me Vbieppe, à
droite du chemin, lefquels fe continuent le4ông du-torrent de Roife ,
’ enviionné de rochers calcaxies : de Voreppe on fuit la grande]
rdure pendant environ cinq minutes , où on la.laifle à gauche, & on
prend la droite à une -Croix , par laquelle on'fuit. les balaies de>Vo-
” r-eppe , qui diîient enviionfuine demi-heure, & peu après oh arrive à
' la#uiFe3'éloignééde'Voreppe'<^‘pçôis quarts-d’heure: on parte ayant,
d’arriver,à ce village 1 écoulement d une fontaine, formant cafcade 8c
du -mf; de laBuiffè ©n mon te un quart- d’heure , & on laifle a droite
1 le chemin de Sain t-Erienne, & on fuit celui de la gauche , par laquelle.
On ÿàréii .unçtderra-heurè à Voyion ; les rochers/ur 'là'^droiiej les plus"
près dé. Voreppe. ijbnt ■ bancs ïiïcliiïés d'il-fiord au
midi j & ceux', des balmes. , font des. ma'lfes de rochers qui ne font
point par bancs ; ils font aufli calcaires.' Les coteaux ,qu]on monte de
la Builïe ne font autre chofe que des’, cailloux roulés calcaires : Voyron'
*11 ain gros bourg , cenrre du Voironnois, très-commerçant entoile,
‘dont .-il le lait un débit cqnfîdérable;-,il y a auflidesfabriques de doux,
d’acier .j de papeteries , tanneries;, &c; : il eft à cheval fur la rivière '
de Morgcs ÿ.fjui-Viënt-dès marais de .SâinB^pi^l^'i.^
De Voyron on va -en -une heure à Saint-Etienne de Groftey en for-
tant du bourg on monte très-rapidement ,'Sc on va enfuite- en traverfes
juf(^’au hameaude$la<^Pivoliere, dans lequel on parte, d’où on defeend
jufqu’au Gua qui e(t .à gauche .^kilïànt du même côté les martinets dçf
M. Ducrec où on fait l’aciei; après-le Gua on parte l’écoulement des
^^gs]©aüplnî^fur'^uri ponceau 'dè'piérTe%'où on laifle à droite le
chemin qui conduit à l’étajig Dauphin ,- d’où onlmonte hn. peu de
temps & on'.va en plèine^jufq^ laiflant à gauche le
cheimn d^'la'irâE^AupEe ; tout le rerrein de Voy-fon ai $aintMçnne.n%Æ;
que cailloux roulés-mêles de quartiers<dé„^ranits.On fait dans tous ces
cantons beaucoup de toiles , ,& il y a plihîëh fô bl^chê ri^^:^
Dè Saint-Etienne on va à 'Saint-Eaurent-du-Pont en une heure
demie, on defoend un quar-t-d’heuie jufqu’etfCiolfé^laiÏMm à gauche,
nnè crbjx aVècdé chemm du petit ÇrolTey par -la boideue pour allbr-à
Saint-rLaurent, & à droite au-delrbus 'de Saint-Etienne, les deux étangs
Dauphins; ontraverfêlegrand'Gbo'lley en vingt-cinq minutes, & on
entre dans la plaine de 'Saint-Laurent, d’où au bourg en unc'hêûfe^“-
lailïànt à droite en enrrafu dans-là plaine, le chemin1, de Grenoble
palfant le-ruifleaurde^Merdaric, & un quart^d’heure plus .loin celui
d’I-ïeibettaait, à droite-eft le hameau des Nefmes, & à gauche celui
de Rivière, &,auffi-tot le palïàge du ruilTeau H y a à droite une croix*
avec ‘le chemin de Rivière, & on le chemin de Voyron à Samt-Laurenc
par lepetit CroCTey, vient fe joindre à l’autre ; de-là on fuit le chemin ÔC
on^pperçm^fur>le bord des marais le hameau des Lards à hauteur d’hh
, après lequel on pafTe le ruifleaü
des Charbonnières , -on laiffe à gauche le hameau de la Guillotière, on
phTe le ruiffeàu du temple , ontaavérfe le hameau du Cocergt, on paflè
-;%Miïîêaude laiffantà.dfôire’Pglife doSainç-Lautent,d’o^
en peu de temsau bourg de ce nom, en pafTant au bofs / appellé la
^âçtbr'ôlMe ,■ ■qui ÊÉ4 :dlE©ite : tous les, rochers 4e GtolTey font calcaires
part ill y .a dans ce ràekër"dÿu|ç|p0Cfees qu’on dit penéy.
' |^erf : ^ hhèmiin’. n’y eft' pasï dfes; ihè|ifetirs , il :.ei dans'
des précipices, c’eft un vrai coiipe-gofge ;ôfes xoehers’ de CrofTey ju f
qu’à Saint-Lauient à droite du chemin, font calcaires dans le*haut, &
il y a un> coteau* eny niolafTes au-delTous des rochers calcaires , qui fp
continue jufqa’au Rif d’Herbettant, qui roule des parties calcaires &
des pairies de poudingue ; & il y a au-defliis du hameau des Nefmes ,
fitué au boid de cc Rif fur fà iwe gauche, une mine de charbon de
à vingt toifes-dè profondeur entre bancs d’Ar-
gile-noire &* fur lativ e* gauche de>ce Rif; à côté 'le rocher eft par bancs
d argille Sr de cailloux roulés , & vis-â-visau-deffus il y a du pou-
dingue. Le ruiflèau de M'erdari'c qui" vient du col de la Piécette, eni;
6é^fpoTés]par: ^âhcyfida^ ^ ^ ^
formant mi^fp|^g||jam"pnithéâu:e;?-^^ ^ hH ' un coup d’oeil agréable ,
& il eft garni de petits bois ,' biouftàiles cwî gazons , & apiès ces îochers
^ ^M^dfekcÙK^ g . en- njolalTes ^ ^Ema^oiield uès.' parHés4 rgüeufes^^(
JSairit?Lâvàép^î^Pgnp eftliine grande p a ^ ^ ^ ^m fé e ^ rp liifî>e'ip:|
liameaux dont le chef-lieu eft fitué fur le bord & la live gauche du
GuleÉs-Mort ; il fè;^ i f dans cette ptfroiflfe un commerce conlîdérabW
en laoccesvans, toiles , chaibons & bois. Le fi ornent ne produit,
année commune , que de tiers ou le-quart pou-r syi 5 tout pafle poiit la
dixme qui eft à la douzième ,.les tailles & rentes', de forte qu’il ne
refte prefquc rien pour le cultivateur, & fans le commerce on y mour-
De Saint-Laurent on va à la paroiffe de Chartreufc, en remontant
le %iers-Mbrt fur fa rive gauche jufqu’au pont de Pompeian, pen-
dânt une heure ; en pafTant deux petites ravines , IaâfTâiït les moulins &
k fcieiie de Fourvonfe'à gauche , la maifon dfe Fourvoiiie , hofpice
des’tf G ^ rg e ^ ^m |p e i plus haut à dr^^^un»'q^uart-d’heare de Saint^
Laurent, on pafTe-à là pprte de la iarjàcte, & entre cette porte &
FourVoirie fur la rive droire du Guiers, eft un fourneau & -un' mai:.
aiiêr à fer avec un beau pont de pierres pour y communiquer ; à un
. quart-d’heuie delà porte on laiffe à droite le chemin de la Ohartreufe
dé Curière,' &• on pafte trois ruiffeaux fur ponts dé -pièrrés, avant
d’arriver à Pompèran ; fur leque^pn' pafTé'.aéiGùiéfs,,, qu’on icmonte
fur fa rive droite jùfqù’â. lâ,pbrK:ràeMGHkfVreoes ; du côté dte Cliaf-.
< tueiife, montant afrezrapideinent-^u’à ïa porte de l’<Eillcttc, où il
y a une porté non-fermée, en un quau-d’heure;paffélaquelle , on
monte très -rapidemeiïc jufqu’aû-deffus de la Cabanne des Urfms ,
qui eft à droite ( avant la Cabanne -eft le ruiftèau delà PlBTeroce.)
:,!'&:.^é^ch;éroih' :eift|jfi%g^'jfe.
rocher , foufenu par pièces de bois , .& quand ggjpl parvenu à- la
Croix-verte, on laiffe à gauche le chemin de Charcreufe', & onpjend
- celui de' la'droicë, par'letjtîél^oiï ^èfeend, on païfe un ruifTcaü, & ©n
xemonte dans des bois, on.pâfTe au-deffus de 1a tanerie qui eft à droite ,
«Ç on arrive à la porte du. pont , où'onpaïfe)l!é>'G.u.iersr.fnlr un pont de
pieries, a p ^ ^ ^ ^ ^M |a i^ ^ d ro jteJ ë-1 chemin de Gienoble avec^le
Grand-logis, & onToit la gauche par laquelle on repafTe le Guiers fur
un pont de .pierres, ainfî que le rûifïeau de Miolans , auprès^ d%n|f-
feierîe qui eft à droite., d’où on monte rapidement ,par la montée de
.d’Ariguier à 1 églife de Charcreufe, éloignée d'une heure & demie >de
!Pomperan :;'le éhemin eft|prïf^^tbülbuts;' mrlé ;bôrd du Guiers, où,,
.foutemi par des arceaux en'pierres 0lqj54£des bpis, mis en trayéEs ,&
appuyés contîè îe Xocher ^ il y^a des-parties oùr.il .s’ébquloif, les Pères
Chartreux qui rcnk'ecieionent:, ont feir miô^.lé'xôclierj-pouf y,'en
faire un folide ; mais aufli- s’ils rentretiennént, il n’y a prefqtie qt^eux,,
.1 T I ' X J M
OU 1 ^ S. Sens qui 'en tprofi ce|nt J‘ils ÿ^ôlir ‘deux?D^Æ^favoir': la porte
S |B P-Ogt fe%botté^dé]MvîaÉjkcte ^il^e.l^îfw^àfîffiqub les h o ^ 1
: ^^ÇS'lffdÙ^pjéigsm^ ^ f en^ils^l que les; femines^^amy^tpbinV^ ré-1
. Apex, dans- rihtejleàE H.^^^l^djM'Moinés'^^aiWÙ-â^’oni'jàfn^^^S
, que^desjJ@ig@^fRmuent étendre^, ce a uamp^ llêht ‘leurs^em o ^ i
hé-Èïés â l^ironde hbus'méWtApïfe^âfmi’nt plus^dfêtré‘pépnj^&
yeefes au k nt Jcan-Lioild , qui eft à di-oitc, & on prend la gauche
pour aller en un quarc-d’hcm c n Moulin-i leaf ; d’où pour 1 1er à Mi-
ribéi on monte , & on defeend à I vi d Morgcs ci i iartw
r ~rni l l w T ^ i w r i P ■ * ■ Ï mI
n (T ~’ 1 ” ;B 8 £ us ie L> "» ‘fon ' le 1 1. Ravier d'HerbeIlon . & on
monrc r; piilrnirnreii-unedeni^Kcnrc àl-égUfe^c Miibcl; il y a de - si
ViUmejufqa-aaMouliin-neu : rmcôtcaii en molalTcs fuel» rive gao 1 e
de l’Ereung, & il y en a une màuraifc carnire , m-de(rns du gran I.
Villette, maifon aux Peres Chartreux;, tout le terrein, depuis le Moulin
que par ce moyen le commerce eft totalemeht;.interrompu , arrêtant
. 'pu | b ç u f r ^ ' iü tiè s
'-clïbfes-. l^gëns^ili -là ibàréi^laSf e n m ^ fe' ^appôrtênrA'ffan^
’Laurent où à Voyron ', .& Je tout a'&iV de vendie mieux,les,- planches
~&i>d‘-à,|{^ p ^ t^^^^^meilleur marché ; cés paii-v-res,
-neuf jufqu'à Miribel, n'cft qu’en cailloux roi
hiteux & c uarrzcn-c, on trouve der pomlingue cr
■ à rendrait appelle le'Càâtcan, on u-ouve une carrière de bonnes roo-
'gens qui feroient à même de fiiuc unf'fcommerce. cônfidérable pair
moyen de ’l'cuis bois ; font confinés par la faciété d!e ces Moines dans
- l'eurs^poïkagries ,']qÆshk'xei3lehç üre^uapti ït e |^ |g f ig |i
' ffe? RSS^ïeiirs.planc^^^ ^ nohle^quafre liéüés dâhsgi,^j|lac^^j
iieiges ; où a1' 'peiiae'i 1 ce . qa’ilflejà# 'lécû:
- ‘ journée;, c^gm^ ^ ^ ^ ^M q h é lK fâélbués parti c m ^ ^ ^MÔieni: à
H ^ ^ ^ ^ ^ a i ^ c e t ^ ^ ^ ^ q n à l î t é ; ‘l ^ p ot'eàux'^à ^ ^ S p l ^ ^ ^ ^ T ^ I
^ '^ c^ ament ^FôuLypiiiè font aigilleux dans ceitainesiparries, & les
rocheis dans le haut font calcaues , 6c ils connnucnc de l'êtie d 'ép ar^
& d autre du chemin jiufqu’en Chaineufe ; au fourneau de Fouivoiriè J
on emploie la mine qu’on tue d’AMevaid^lh^^lï^onî-mêle avec celle
‘deyBouyihàt'j4 ê§ .rochers-* f o ir f^ ^ f é ^ .p ^ h a ^ ^ in c n u w s id'^TOu te ^
■ ,^|®ns : lés fàns font i ^ l i n é s ^ ^ g ^ f f i t
eft ou fud-eftÿ & on'l*trouvei avant d an iv er à l ’CEillette , unîendioft;
où ils font, langés alTez finguliér'einent, c’eft une mafTe d’aïgillè cal-
caire & d’aigill’e oïdinane ; les bancs font alceinatifs j & fembleht^
«PEe ^ito tmoncèai^^^^ M ^ ’-ehvï^^estfl&^^^-î^^l;^!]||§|||l| * cés
efcitgots '&„efpèces d’huicies ipctiifiés.
tiemont en temontant le miffeau du Cuchcroii fui fairive gauche &
* fu^lu'âUx®0jl en ciois>qü'aits-d>heure, en piffant au hameau de Baffar-1
I là V > ÿ ç h ^ n J cfe
rein argil leux.'
K p ^ ^ ^ r ib e k p ffi^^ ^ ^ ^M |iV ç sA .M e jla s , Æxf^qùtant uiiàd'eim^
heure jufqù’eh Malfey qu’on traverfe en un quart-d’heure, d’où on
■ t-eau d’Encrempnt, en pafTant aux hameaux des Arragpa||É des'Kèys“* ]
des meilleuis , toujoius pai des-pieues &: même en quelque forte dan-
gerèuî fur 'des, penchatîtsjfjfo ^ ^ ^ en hyvei il frcS*’^ouche ,pai les* !
i neiges au Cucheron, mais l'es Peres
^^efâhâqoes^payfàù^LeS'rocheK ;^de parc fe^d’aucte y font caleaires
a'iia£i>que dans toute la vallée d’Entrèmont, qui eft la dernière paroifle
de France de ce côté, & il y a plufieurs hameaux en Savoie à la mont
a g i t é M é - l î t ' f o 'Mpniüers il y a. I
cette -îiifcniption : ’Aac a/y«eJz u//or«/7n "On ne fait ce qu’elle hgnifie.
LèJch^ai ^ ^ p M ^ ^ ^ éft.jîtué^run ^ ^ g ^ p ^ ^ ^ ^ ^ y avons I
logé'chez les -a reçu avec I
ces moines pour tous les écran- I
S e r s ' d é f r i c h e , Sd%êàu^u||-
de truffes ou pommes de terre; -
Du château d'Entremont nous vinmes à là grande Ghartreufe, en I
.^E^^ro^un^^ure'ùh-^iiart^^la^montagne^de^ B.o^ifâè^^uëî
. traversâmes & (îpafsâmes auprès de-la Cabanne, d’où'nous defçêiïdâraës I
rapidement en une heure à la grande Charcreufe , en pafTant auprès d'e*
ÿafc^ P.ell^^ ^ lh^Bruno’ |i|^ 'n ë j^ d ^ p D. cfe GafâibW: le" IhernjW-. I
par xètpe mohtagne eft très-mauvs^;' il'faut mener prefque toujours I
fp.iï cheval par là Bride.^üp'yJAphte:^ demines'de fer I
queu^Ghàrç'reux,ont fai^explôitër', on ÿ-ffqùvjëÂüfS^eiquesfèoxqesyJ
d’Ammon & des urfîns ; on peut en trouvprauffi, en defeendant du i
château d’EncicmonEÙ l’ég'hfe, & fui le chemin d'e'Saint-Piene &' Coi-
bel en Savoie : on peut,aller du château d’Encieraonc i Samc-LaîiLent^|
yk p o n t^S i pafTant par le c^ém^appelléi/e chemin']I
fui le bôid d un précipice ^e ^plus de 6oo piedsidehauceur , qui eft
.par, efealiers ; 'c’ê^ i^ ^ ^m le s^ fëm m e s de' GhatrEeu-Çë^ayénÈ pour
alkçÆ&ünt-Laurenc ^ ^ (qui leur fait fôirè\fix lieues tandis^utellès.n’ePM
auroient. que deux'à faire , fi les Peres Chartreux les laiffoicnt pafleri‘.l
parleprs^èmlos.
(• Pe Saint-MLliurent du;pont<on va à Villete en'un quarc-d’hcuie, ei| J
travërfappla^fej;roù on p p en d ffl^ ^ ^ g -^ n Va^ntim ^ ^ t^’hêure I
au haméavf d.UjGrenat, avant lequel on|pa^e la rivière fffe l’Érctang arx' I
gué ; ce- hameau refeiâ' &p(^e^6çPa%.va^eou un qù^’t-d?l^ÈèVeni1cra-"-
| Tarife î . | '
"de
I Merlieçte M ni
d e Feglifè de Merlas, à un coteau , des fofîîlles & coquilles pétri fiées,
'eftîjüné' peto^pa^ome^omy
ôc uivautre chemin à droite,. après'avoirpaffélevallon;onmoriteën-
‘ .^ jr ç ^ è 'lîfe , laquelle on'f^Méîâc^^pH
leffê à gauche; d où on defeend une demi-heuie ;’on prend enfuiie la
un^hemin*'1 ‘qwj\
conduit àrChireux ; on va enfuite dans la vallée une demi heure juf-
- • qp’^Haûcefôrtt],, JhanieauïdeM ii^ ^ ^ E s ^ f e i l ,ty ^ îd e ^ p ^ fe q « ,^
celui de la gauche defeend., & conduit à Vpyion p ar T]oiy,bn*, &' celui
la. droite Ipâfîè en un quart-d’heure aux hameaux deaM'|iîççjji&-
auprès d’Hautefort à gauclifle château à M. deCezàÉgéSj
& un étang entre le village & le châceau , & pafTant iin petit nulfeau
auprès de Màflerin. Au
" & à gauche celui de Sainc-E'cipnne., & on prend celui du milieu , par
lequel on monte , & on va en un quait-d’W r t f à 1 étang d’Aigue-
r a o i r e ^ îs 0 ^ fe |^ |^ ^ | iÿ É?feh^ïe0.^kë::|eure’
à V oyion, en pafTant à moitié èhemm 'làuhameaude la MaireJljcie ,
laiffant à dcpire^lc château à M. de la Rochette; le chemin n’eft pas
L â lj fo l^ e p ] ^ à ^ ^ ^ ^ .:^ ^ ^ ^ ë q ^ ^ ^ B n ^ f ; ; i ë 5terreiàiàe|t6iiir
P ^Æ ^ a ^ ^ ^ m u iè u r s d^m€mfei^^^^re|,,c
^ a .^ irc s 'v granits* ôè. qu^^^is|.ferff
I * ^droite , au-deffus du' château de M. de eft u^M|hec>;;
I ten-- 'molaffps.; î <. - j
De Voyron on monte, pendant trois quarts ^ ’heure]’ au RoufTet,
en pafTant à Sermsrens, églife'de Voy-rôiÿ ] qiü eft à droite, & arrivés
; f u r < l ^ ^ ^ ^ ^ m :'Jg£fe deux cuileries,
d où on va en un quaipd’heuie a Chnens, en laifTmt^'dioire'
.ië château de M. à'^Gharcohne, '& à
^ P ^ jP B ^ m emsslfeiéiSme ;
',y'â\dur fable; les environs des tuileries & poterie font tous argilleux;
ou dé :
: grande route un quart-d'heure jufqu'eàl’ Arfehal vbù ^ ?MàiïTe-agauch'e^
■ p om |^ è n |r e 'la ' *
mouhn%gui cfl à vàroité, auprès d’un hameau de Maffieux à gauche ~
% iiTdPiïÉÔtïlin .à d;r®he .,i apçès: l e q u 'j a a a - iû u i ï f f e â t i - ., à pèu-'d'e ‘
diftance de Maflîeux , éloigné d’une demi heure de l’Aifenal ; |»X'?iîït
lanviere-d’Eygnanc fur là uve gauche, pafTant’à une demi-heure auprès '
dü hameau de la côte d’Eynant, ficué fur la rive droite & fur le bord'
d e 'la .i^ ^ le ^ b ^ .o irv à - é h u n è ^ eM rh ’éü n è^ f a ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ fta 'n r'r
p n y a 'M o i^ pierres: on traverfe ce bourg',-fimçen.pêrite*,
au-deffiis duquel on’paffeiUùiûiffëàu., & peu; après, jiuVàutre. ruifïèau , '
W m m È Ê