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£ T % xM. R A m kÊ }
on jpaftHa Romanche fur ce pont de bois , Sr-on monte en une demi-
heure à la Grave, einpaffont.auprès .de ;ce;village.toi^ÉifFcaus-fur.-un
front de .pierre : le chemin depuis le Dauphin à la Grave, va toujours
en montant, 8c en.cré on y paireriftëz facilement ; mais en hiver il eft
' fouvent bouché par les neiges, tcc qui’Je rendmauyajsifurrtoat’jufqu’a’i^
'^.yorit-long : au- dejTus^ ^ l ^ ^ ^ ^ l p ^ ^ o plx&^^^ch^s^de' :naf t &
d'autre, font fehifte dupîdans-Iè bas, 8c graniteux dans le baue, il en
_ eft.de mçme jufqu à la Grave. Aupiès du (glacier déi0 iiaÇè-'il y a une
abdndantc ^Âe
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ I g i ^ g ^ t e u x a u - d e f l t i s de l,ard;0ilè,/&il continue
P d ’êtté de meme jufqu’au col de l’Echauda, autant qu’on peutfe jUgcl »
parce que-les glaciers em^edhenrqu^on'ne puiiTe monter i ces glaciets
■ fe joigiVent par les montagnes avec ceux de la Grave , là iêrarde.
ï VallouilFc &c.'lesrocliersTut la rive gauche delà Guifanne , font un
.peu e a l | | j ^ f o 'la jdve gauche, du v a lfe in
1 Dauzei il cy 'a une mine de charbon qui eft par filon & qu’on exploire.
On commence à trouvei une foret de méleze fur la rive droite ,de la
[ Guifanne, entre les!hameaux de Fontamei & de Bputard , à hautem de
I ia Maifon-Blànche : là técolte eft oïdinaiiement hnnne rlap»? la vallée
I ^u^dSne^ r^ ^^^^ersJmqu^^Brmç^H^^i^^calfigTr-p^) MM
font totalement auprès de cette vill'e-;'jTur la rive gauche de la Guifanne
P'jf^^^lprqtteft^'foii^ m ^ ^ ^ ^ graniteux en certaines,parties. ‘
nhfilcm‘de mine de plomb non 'exploitée : il y a du tuf dans tousgles ÿ
\ ffui^amci'^^isdMgT^ffiaùx roalenèjjea:^^^deî(aillb,us: qui'fönt un
peu graniteux 'fefchifteux';qgelques-uns en poudingue^&'quaxcz-;
^ tu lo à d âM ^ ^
- p^itvÿ a quantité äVn%e,j:ÜS.:föiii;
■ gagn^d'efe^gndi|^yer le u ^ .t ^ l ^ iô n ^ m lb g e ^
du pain cuit d'une année.
De Briançon pour aller à N cùvàche, ©n'ipçend la droite en •fei-ca-Ht de
la ville, & on îemonre la rivière de Durance jufqu’à la Vachette fur
I ^ p ^ a i ^ û ^ ^ ^ ^ u jh à m e a u
1 le village*de la M i e t t e , laiflànr dans le milieu à droite le chemin qui
De 'la Grave on va au Lautaiet en deux heures, on continue de I
_ xemonter-Ja Romanche fpr. {à fjyè1 droite' pendant ünéïheuCe^ paflànt I
■- -en d’^eüîe^un m ^ a u -ç^^pjm^de^a^montagncvah-dèflu^.l
/,desvHiers,-aqprès.d uqüel jl y a un 01 atone à gauche, d\6ü on monte
' ^ 011 defeenid -A un tu|||e|u iquJQii palïè fur un pont de pierre, on I
■continue'de^mpnci|c en,. une’ dèmi^heufe-.1
.pàflànt auprès du village un peàr,%.uilTeau j ©n^-va enfuice en montées.I
;d'0U'G.es •■eji, • une denu-heurë au..hameauid*Aiïltinéi,- .daiflànc àtgauche fjurSI
jnanche &• on prend la^g-mche enVianônriuïiÜe, ruifleau du Laurarct -, I
■föt''la rive droite, on arrive en trois>quarrs-d'heureför la montagne
'©u'il yt a un hôpital de'.railfèan .des Hières roule dès cailloux fehifteux, I
quaitzeux, fpathçux & grameenx^ cependant les rochêLs'sfont de fchiflre I
reßdte , & , on( y tire d e - lï a ^ S ^ j ainfî que dans le vallon qui eft I
l | 8 ^ 7W £ ur la rive'gauche'de la Romanche : le chemin eft fur Je’ichifte J
tendre qui fe brife facilement & fe ïcduiriçn terre ; -au-delà diTruiïTeau I
, Ë g | | | | ! 9 moiqéJ, d ^ f ^ ^ ^ ^ g f c j ^ | ^ a j
gauche du chemin, jufqu'au -Lauraret , fönt de föhifte dur mêlé’ de
;. fpath',,; .Lautarçtç ?$|för l^^^eStfichemin'ilè |
font’fclnfte, dans le bas & graniteux ||afîs£lê haur. Le Yillàid-d'Alêne a I v I ’ mec des percés de bois^pour indiquer- le chemin en hiver lorfqu’il y a
de Ja neige qui eft abon^rite* dans ce pays-là- : la montagne deiautarec
eft aès-belle, il fàüt<un quart-d’heure'enplaine pour la traverfer, $|P|
. la montagne du Lautaiet on va au col> dù Gahbipr len lune heure', ïl eft 1
üîtué fur la gauche & on va en Savoie par ce col.
v De l’Hôpital & col du Lauraret, on defeerid pendant trois quarts- I
. 4'heure , en - p a^^^ |-'xuiâlaur“^ ^
vient dui ||§ # j i t e ^ I
^ Poufoiyiier.,, & une petite ravine auprès ded'Bopi- I
tal ; on continue à defeendre la rivière de Gmfann&jufqu’à Briançon fön [
‘ û rive-gauche, &^.®îîois q^EK-dheure'dèd’Mopit^jote pâfTe le yallo'n
du'Làuzet fur un-,pont de bois auprès -du village-de ce nom, & on
• ^ J£QC%e > ^ntte^l^irdeux premiers vallons, la Maifon-Blariche, 8c à
e ^ lur, la rive droite.de la -rivière , les Hameaux de Boutard & ‘j
Fontanier. Du Çaffey on va en une demi-heure au Moneftier, enpaf-
5 auprès, de ce village un- vallomdu Moneftier, on va-en une dem:- *
hgure à ^utetîr/d#Hrhl^en, laiflànt-çfur k^droit^déîfesiŸ ^ y ^ ^
hameau des Gilbertes,- & en u g demi-heure on traverfe le hamèau de
Villeneuve, p à f t a n t g a u c h & i à côté du moulin’'1
Tarrabilier, qui eft à droite visjà^isiqBe^qui eft une Succur’fale fur
la droite de la rivière ; on paffe enfuice au-delTous dè la fille qui e'ft à' !
lî6uÇe^4eS^^â^ftve‘| 7& ‘un quart-d’heure plus/1
loin on palïè au-dejTous du liameau des Pana’ches pour arriver à Chan- Ÿl
■ temerle,? lailïant à gauche crois de Chanteimcrle
; en vingt rainures à Saint-Chaffrey, en palTant- une petite, raviné' I
6 dans le village on paftè un ruifleau fur umpôîit'de bois, d’où 011
pgr-
^P^f^-Laûiarec eft<très^oV^u^ënc #-éft gâté'
, par les neiges & les^lhies abondances, il eft prefque'toujours en plaine |
ou pente douce, les rochers fur la droit&jhfqu'à laMagdelaine font de
fdihle, dur & gLamreux^dans. Je haut , ou efpèce de grès , & föi k
gauche ils font d’un fc|iifte quartzeux dur & un peu calcaire ; 'les'fûif-
,fea>gx qu'on pafTe jufqu’à la Magdelaine roulent du quartz blanc, de-
manèie calcaue &^du H«®'dur - au-defl~ous dàl’Hopifal &fut k l lve
d r c û t e d e l a ^ ^ P ^ a jetçc;cariièÉ^ÿafdoifes^&'üh(peu^fôf-■ |
fière>& 110 f°.ur à c^a“X f ^ l a riy>e gauche auprès de la Magdelaine;; le
&t de^fà en'Pièmont,’
remonté- la Qlar^ f e f a r i ^ droite en crois .quàm-djieuire, en-pafta*rit
I aux hameaux du Rozier, des Piés, du SeH,e. & de laDiaye, où '011
palTe la datée fur un pont déchois, & on la remonte' fur fa nve gau-
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ .Q ^ em io ^W q û |à M a n ^ ^ ^ a^pr^|du'queÉ'Q'ln*î^fei
#.r.ès lequel
I d>£eiue lut faMvp- dioite, cnfiute on la îepafle fui un;ponc-de bois
aupiès du hameau du Roubion qui eft à droite, d’où en fuivanr la
demi-heurçV( ehjsâflàùèà
I aupiès de Ncuvache : cous les îocheis de paît & d a u tre ju tqM Ncuvac
h e, font calcaires, & les LuijTea^x-qu’on pafTe ne îoulent que desI
C£U?1° “? ÿ alcaUeS 5 continuent ainfi jufquà la fiontiète de ■
Piémont. 11'y a aine mine^de culyi-e au-Je_ffus, du'hanieau des .A’aîjfaftqirî.
ete exploitée anciennement.^qu^n a abandonné?,ud y,a»une grande I forer auprès
nilon de Briançon j cette vallée de Neuvache eft très-relTerrée.
De Neuvache pour aller au Moneftier de Briançon , on continue de
remonterdaClaréefHtfarive gauche en trois q u a r r s - dW e ,& étant I
[ ^r “ v<: aux gtanges de Cans à iun oiatoire, on piend la gauche par I
I laquelle ori ‘defeerid à la rivière qu’on p a lT e ,,'d ^ feS monte en une J
demi-heure aux giàdges de Buffere, 'd C u ^ V P n va en montant par I
- en heiue «fe d’emie au col de BufTere, où on lariTc à gauche
la redoute d’Arnaud, d’où on defeend endeuxheuies au Moneftier en
S p ^ g ^ S i t s ÿ o m a r i , Ü èc:
caire de Neuvache aux granges dé Gans dans la hauteur ,
jufqu’à la frontière, m a iso n s le bas.prè^du chemimèn montant aux
gtànges, il y a un petit noyau de granits au-deÎTous-.du .calcaire }■*<ce I
k n °yau être accidentel, ne fe continuant guèLes au-delfus des !
g r â h g 'e s ^ C a iM ^ ^ ^ e g i ^ ^ ^ m ^ a p j ^ u ^ i ^ g ^ d e -B t i f f ^ f i - I
eftmaiivaispar de^lit -Élarèe'
, on monte dans des bois jûfquaux granges , ces tochcis font mêlés d’un
fclpfte un peu calcane & d’un fehifte dm la tedoute d’Arnaud exifte J
paffe eritÉe le-pairs Je F è f « | ^ f e i i ê i t t m i , n r i : S l ^ à e s . I
|;/r5 M s iciiiftêtrx
[ Jo“ an & le Moneftier, entraîne des ‘caillçûx & parties de rocheis I
quartzeux % rochers I
de cette-efpèce. Le l^Ioneftier de Briançon,eft un gros village/frue I
l auprès & fur la rive gauche de la Guifanne, il eft renommé par (es eaux- I
& fes bains, ce font des eaux qui font feuugineufes & qui depofentune > I
matière ferrugineufe ; les'eaux^pour lfcs'bîiins Htuèes au-delTous du village
fur le bord de la rivière depofent;mie matière ocreufe qui forme I
un-tuf dont on fe fert pour la bâtiiFeau Moneftier, il y en a une carrière
W g f 5 des bains i on allant des, bains au mpulinven remontant la Gui-
fanne , îl y ;a u n e ÿ e® ^ q q i,n ’eft aut^'pHoiïjqii’tine mâflèrjde ce tu f
au-delTous d’un pied où deux de terre, plus ou moins. Kl y a une aïiirie
de charbon de terre-fur la montagne de Cruzeron fur le penchant^fùr ■
la vallée de Neuvache à trois! heures du Moneftier, & un e autre àiurie
heûre & demie fu r la montagçtpje, JalfcL, am -d e fed u puits Cheva-
Jier qiâ; éft-môiris bonne; ■ *'
Du Moneftier pour aller à:ville Vallouife, on pafTe au-delTous du
-yillkge la'Gftifann’e fur ,ua pont de bpis- auprès, d’q h l^ u jf e i^ n i eft ,à I
E r l | B - l a r i v f c ; o „ mo„tb en trois, „ ' M B
'nefticr.cri pafli, 1 k rnilÆan U gué, & on continue
de monter une iheuie & de jufqu>hcolc -W ^ / j gW jT g !
" r S Â " ” ' ‘ ,-rnpidemer
4 el«çhand M-ncnfeccndcfccntcs
douces en une JemHicurc aux Chonlter«, hameaux ciidc-fcen
f " *C ''^nde'l-Echaudaßrfari.vn'e.nc ,e c ninue d’aller en
H - Î E Ï y f c ' “ traverfa une heure « iS qmro , jtl( W l l
f e i , . | H 9 H 1 " m nngcs du Sara au Ponei: ifc à l'am&c pont
? “ n“'1" , . 1 j ,X ï ï a > l ï T ^ Ê Ê Ê S Ê :
f C ,|“ ïlUe- ' T“« a droite »uprèS&: fnr ivc s,„chc de'la'riviie
cs haraea^ & Faups ; depuis la Gmfannc
1 '■ V J , ' ifuivaiic ÎÉjrùxflèau Y ic„c |e ce col; on V S K
droite c , mc ne des trous o i il femb e qa-il' y ; it en des mines
I ' ^ anc; le chemin rfeft
H P 1 là b “ " c<1l P Â ,n n pcncccpei1(la: palTcr dcS'ranlenrdn
p:lySi 11 n des endroits. ,a e .chemin . , 1 roide & les contons fi
comts qQ,l eft très-i , ,t d’ail, s ■ c i WlV'ics roches-s fur la
gauche du vallon font calç à'ÿsiM le 1 ans &-fehifteux dans le bas !
P <i“ vitlinn , 8r ils fon:
i .CCV T ' llo” i <•“ “ 1 = < s.ileftfdiiac^d'uc&gran sui ■ S H ; " ns le bss il eft d'un fehifte tendre, U y a un filon de
5 °™ > 7 “ B S ‘ ■ la.rnoh&gde , cMintbriroh, an-, 3
■ H ’Æl 101' “ E''<=* liPilli à Rdroicc du col de l’Echnn M
Il y a une camcre de ipirires. diris la piesre à chaux, mais en p, ite
a s ^Æ 'O â jS S JG LÆ j n B * , l ü T O f f i * \ ' h* f S i f ! r ^ . Ic e(l
■ -L- ;i ■ ■ - ■** ïMbi&fnrla rivc .il he de h Gironde
.anhamcan dn yilldKl^àu :demi-hcurçdel i villè; bn m vie,k chercher
de B. rançon, & an-dcll ras du m. me hariican, fur h droite de la
^ i k S B L S S : , !..
dame qu on ^exploite point à la moflnignè: ^'.Bonvolfin: ïîans la val-
• ^ Vallouife les habiesns fortcnc en Hiver, ifc ont bc;ulcoup dc
n" .J * . 0,1 te “c 'L<1 1 ?c“‘ es comme: dans.les vülages de Ncuva-
ehe,.Moneftier, &c.
î. ? ^ vm^ Vf P re>w'aIlfef à Briançon, <Sn pafli la.l S i '
■: * ^ lequel I p d t ^ ^ ç i o n j l ^ ^
' , filage des Vignaux, en paOànt aupiès d’une chapelle qui eft à gauche '
& lailïant'auffi à gauche un hameau à uri quau-d’heure de diftance; ï
j j 4 ; -il y a unïiiouhn
à-dedite auprès dn ponc, enlle c h, :inir & la' i pière. On traver.i le.
il'lagp Ld - i r Sî :'ôn":mbnce’£ 11 montées douces ..dt c. i i tve esj
trois qu: s-d’hci ré, &:on trouve,!lir la- hanreur mie crois à droite,
I S ‘°” ™ en tciyctfes cil dcfcmdanc nné hcuie,.au illagd de Prellcs^
™ 1 * :à'dràioe,;m-dcrrons, le village Idc, Vii n L-Mcyct paiîànt
on mtr " jr an pont de bois^ a prèi de 1 , 3
confluent.dans la Dacancc, &: od on joint le'chemin du Mont-Dauphin
o Brionçoit i qu’on fuit jufqa;à ccni ville en mvcrûnt le village de J
Prc ' heBlaife .St cel ti de Cha nandrin,
un va 11 & ai rt-t ëdeC îtti îtnne fitc ,ùri pont .de :bois ,■ d’où on
monte Brian on, il tint un Item le de e Prcnes -, 1 r :hcr I
c loutre ji qu’au premier vallon qu’on pàHh1 après lé yill rd-Mcycr le
long de ce vallon bn croiive du fehifte, K aui environs du fécond du
marbre blanc veiné en rougit , ^râe-lit ;à Briançon lés hanteurs font
±1 cidcmrcs.îSr-lbJbaSifçlnftcus.
Briançon eft une ville de i-uerre «c une pl'iiéfa force W e très-avanta-
&r Jai.iriYe'drbiiè d’é la Dnranec, fin la gauche de la Gui-,
ianne, au-d'elTus de Ion confluent dans hé jcemièrç elle eft .très-bien
v ir»rri(téc.& enviroiince dequatre for deiis'tèd'ohces ;:ïti-vo l-.‘
I des Telles, celui du Raiidouillet, le fore Daupliin],fric fore d’Anjou,
la redoute' des1 Sall'cttes. de la tedoute à^Iachiriihjis'î'tous ces forts &
la redoute à
Mii&rncCj fur la riyc-gàuche dé?lic Dnnihcc Bt là droite du ruillcju de
Ceçvièrcs-, cette place pa 'c-- Ornera imprenable, fo ir ^ S f e â é ■. bs
fbrrificatioiis I icà'canrcdcl p fition, Il t a à Ë^iieia faifi iC '1
cstfümemcnt rude en ’Kitjcr; 1& qti’ih n e '^m ’.citi prolonger le fidge’ .
.dans-ccitt faifon,
«n 'trois ou quarte mois1 qu’on .peur tenir la .camtKtgnejî parce que,
ftncnj *™ ? On auroit pris la ville, il'è’ndroir hiïïcgcr, 'ßpabdment les
forts'&rcdontcs ; il y .un ,pot c ftir la Dorait l-,pour commuait ct e |
■!'la.ville auilbrc.idcs Tcftcss & 'dit fost"^^ Tcftcs'.'au .Rand'ouillec - la
■ communication; eft’’.bien flanquée. Briàttçôn eft ficué ati conflncnr de I
qunn-e •1 lee , c e qni vitMt du Lautarec, celle qui vient i ^ ^ 5
&.dn MoucGenevte; fa pofition eft alfa aSiÉthle en Eté, domin H
r m 1 f e ’t W
' “ f “ ' ' lljfo n r c lca ■ c s.m élésd ep am * il tifteofes : au deirott: de h
^ P ^ “rdcSainted .cri,te, itr la ri e'dïphèiat’la Dora, . ;,
c robhereftfc t, r J f ^ (r’ ,r .
r - ‘- Â i i g l a î r i1 <H r* * 4 ' 'r 'T ’t W ’
o.\ on aperce le rocher pont „„ can’» ; il y a une carrière de pier.es ,
KV , 4 -e ; Mn&lf 'fiEP
i
UI a mance, & tl-y a u; . ,< .{t’W ® 7 * 'i l c(, m
du Ponc-de-.Gervtèfes, qui eft dé cailloux roulés en granits, fehiftes le '
- * y ? *
vuee arec des rates en blanc S: Èleu , de fcrpcnriitc variolhc, de quartz
V?i# ,?'#B.W*’l
i i
e f tÄ r ? r r 8 v
M i
■ temPS de vent du midi, - “ S W S
que le vent du nord bouffie ils fe fervent de ntélezi
■ w o t w i b w i m 1 t ü “\ ' S B 9 W M H i
cay icri: s f l y - » v u
rôle ou cuivre vert, 5c un autre au-deiî
le
Je rjj-jÇllrt1 1 jUpylSMBMIi
V S l y r > ? i i r î " T ^ V ' ^ ‘ 1 “ 4 ;
Ijinte-Cathcnnc, i - m fuit la. rive droite de la Dmatice en pia[ra,irait
•"i'-v1 ■ : rj, , n Ä P -
> ' î ^ 1 ~ J ' ' c‘ E H
t a i t ’y ~
obfervanr q„ on o t for-dit:' he de la Dttranee e WÊÊSÊ
B H f l K É E -■■" :
'>< - r \ l, l’t . ’. U?, « f . - l - f
iV Î 'n en un -<i i
i V ^ r " .'-'ï-ïM a *- '
s / - H V ï p 'â1 tegue te, àdr, tel rïI^Âc !
SB S S i
ï ‘'ip - ‘ U1 1 -7 3 ESîw lil,, * '
. 1 ’ f * * i
i r f f î v ’! * 1 c J M J d * ! ' - j S a T * * ^ 8
i 1 i ’ -c
§'-'r -. '’i '^”ut,N. l5.ni. ’’-..l Ûfn.-C i.C.’..L’)w.'fiaî* i i i i , f
C VÄS ‘ ‘ VU,r B N sn f'o a 'tlV e e ' t g a o iie ÿ ^ em t
S ä r ® ^ s ^ '| f , ''lri/ ■ 0 ' , î ’à * ; W Ë S B route &: on r - t ^
'• ' ' ' L* *
qui le gâtent; les. rochers de Briançon au pont de pierre fut la Dttranee
ai* i-l' 11 ^ ' c**'W'4<’*“ - ,
i raiireatts ne: ri t lenc. que caill imcde e ré el teytiprè ‘
le pontils fotit quartzeux jufqtt’à Saint-Maitin-de-Queyrières, & rede-
* t , H H B H M c
| | i j i | S S 9 H B S j
t-dclhis du ehe S1“ min|j|j||çharbon: le
Briançon & .qu’on y brûle, on’-etf trouvécOic sûrement'phdîeur dans B
ce Yallonj à Sainte-Marguerite on trouve des. pierres de porphyre en . ;