
 
        
         
		£  T % xM.  R A  m kÊ } 
 on jpaftHa Romanche fur ce pont de bois , Sr-on monte  en  une demi-  
 heure à  la  Grave, einpaffont.auprès .de ;ce;village.toi^ÉifFcaus-fur.-un  
 front de .pierre :  le chemin depuis le Dauphin  à  la Grave,  va toujours  
 en montant,  8c en.cré on y  paireriftëz facilement ; mais en hiver il eft  
 '  fouvent bouché par les neiges, tcc qui’Je rendmauyajsifurrtoat’jufqu’a’i^   
 '^.yorit-long  :  au- dejTus^ ^ l ^ ^ ^ ^ l p ^ ^ o plx&^^^ch^s^de' :naf t  &  
 d'autre, font fehifte dupîdans-Iè bas,  8c  graniteux  dans le baue,  il en  
 _  eft.de mçme jufqu à la Grave. Aupiès  du (glacier déi0 iiaÇè-'il y a une  
 abdndantc ^Âe 
 ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ I g i ^ g ^ t e u x a u - d e f l t i s  de l,ard;0ilè,/&il continue  
 P d ’êtté de meme jufqu’au  col de l’Echauda, autant qu’on peutfe jUgcl »  
 parce que-les glaciers  em^edhenrqu^on'ne puiiTe monter i  ces glaciets  
 ■ fe  joigiVent par  les  montagnes  avec  ceux  de  la Grave ,  là iêrarde.  
 ï  VallouilFc  &c.'lesrocliersTut la rive gauche delà Guifanne , font  un  
 .peu  e a l | | j ^   f o  'la jdve  gauche, du  v a lfe  in   
 1 Dauzei il cy 'a une  mine de charbon qui eft par filon & qu’on exploire. 
 On commence  à trouvei  une foret  de méleze fur  la rive droite ,de  la  
 [  Guifanne, entre les!hameaux de Fontamei & de Bputard ,  à hautem de  
 I  ia Maifon-Blànche :  là  técolte  eft  oïdinaiiement hnnne rlap»? la  vallée 
 I ^u^dSne^ r^ ^^^^ersJmqu^^Brmç^H^^i^^calfigTr-p^) MM 
 font totalement auprès de cette vill'e-;'jTur la  rive gauche de la Guifanne  
 P'jf^^^lprqtteft^'foii^ m ^ ^ ^ ^ graniteux en certaines,parties.  ‘ 
 nhfilcm‘de mine de plomb non 'exploitée : il y a du  tuf dans tousgles ÿ  
 \ ffui^amci'^^isdMgT^ffiaùx roalenèjjea:^^^deî(aillb,us: qui'fönt un  
 peu graniteux 'fefchifteux';qgelques-uns en poudingue^&'quaxcz-; 
 ^ tu lo à d âM ^ ^ 
 -  p^itvÿ  a quantité äVn%e,j:ÜS.:föiii; 
 ■  gagn^d'efe^gndi|^yer le u ^ .t ^ l ^ iô n ^ m lb g e  ^ 
 du pain cuit d'une année. 
 De Briançon pour aller à N cùvàche, ©n'ipçend la droite en •fei-ca-Ht de  
 la ville, &  on îemonre la  rivière  de  Durance jufqu’à  la Vachette  fur  
 I  ^   p ^ a i ^ û ^ ^ ^ ^ u jh à m e a u 
 1  le village*de la M i e t t e ,  laiflànr dans  le milieu à droite le chemin qui  
 De  'la  Grave on  va au Lautaiet  en deux  heures,  on  continue  de I  
 _ xemonter-Ja Romanche fpr. {à fjyè1 droite' pendant  ünéïheuCe^ paflànt I  
 ■-  -en  d’^eüîe^un m ^ a u -ç^^pjm^de^a^montagncvah-dèflu^.l 
 /,desvHiers,-aqprès.d uqüel jl y a  un 01 atone à  gauche,  d\6ü on monte  
 '  ^   011  defeenid -A  un  tu|||e|u iquJQii palïè  fur  un  pont de pierre,  on  I  
 ■continue'de^mpnci|c  en,. une’ dèmi^heufe-.1 
 .pàflànt auprès du village un peàr,%.uilTeau j  ©n^-va  enfuice  en montées.I  
 ;d'0U'G.es •■eji, • une denu-heurë au..hameauid*Aiïltinéi,- .daiflànc àtgauche fjurSI 
 jnanche &• on  prend la^g-mche  enVianônriuïiÜe, ruifleau du Laurarct -,  I  
 ■föt''la rive droite,  on arrive en trois>quarrs-d'heureför la montagne 
 '©u'il yt a un hôpital de'.railfèan .des Hières roule dès cailloux fehifteux,  I  
 quaitzeux, fpathçux &  grameenx^  cependant les rochêLs'sfont de fchiflre  I  
 reßdte , & , on(  y  tire  d e - lï a ^ S ^ j  ainfî  que  dans  le  vallon  qui eft  I  
 l | 8 ^ 7W £ ur la rive'gauche'de la Romanche : le chemin eft fur Je’ichifte J  
 tendre  qui fe brife facilement & fe ïcduiriçn terre ; -au-delà diTruiïTeau  I 
 , Ë g | | | | ! 9   moiqéJ, d ^ f ^ ^ ^ ^ g f c j ^ | ^ a j 
 gauche  du  chemin, jufqu'au  -Lauraret ,  fönt  de föhifte dur mêlé’ de  
 ;. fpath',,;  .Lautarçtç ?$|för l^^^eStfichemin'ilè | 
 font’fclnfte, dans le bas & graniteux ||afîs£lê haur.  Le Yillàid-d'Alêne a I v  I ’  mec des percés de bois^pour indiquer- le chemin en hiver lorfqu’il y a  
 de Ja neige qui  eft abon^rite* dans  ce pays-là- : la montagne deiautarec  
 eft aès-belle, il  fàüt<un quart-d’heure'enplaine  pour la traverfer, $|P| 
 .  la montagne du Lautaiet on va au col> dù Gahbipr len lune heure', ïl eft 1  
 üîtué fur la gauche & on va en Savoie par  ce col.  
 v  De l’Hôpital  & col du Lauraret,  on  defeerid  pendant trois  quarts-  I  
 .  4'heure  ,  en - p a^^^ |-'xuiâlaur“^ ^ 
 vient  dui  ||§ # j i t e ^   I 
 ^   Poufoiyiier.,, & une petite ravine  auprès  ded'Bopi-  I 
 tal ; on continue à defeendre la rivière de Gmfann&jufqu’à Briançon fön [ 
 ‘ û  rive-gauche, &^.®îîois q^EK-dheure'dèd’Mopit^jote pâfTe le yallo'n  
 du'Làuzet  fur  un-,pont de bois  auprès -du  village-de  ce  nom, &  on 
 • ^ J£QC%e > ^ntte^l^irdeux  premiers vallons, la Maifon-Blariche,  8c  à  
 e ^ lur, la  rive  droite.de la -rivière  ,  les Hameaux  de Boutard & ‘j   
 Fontanier.  Du Çaffey on va en une demi-heure au Moneftier,  enpaf- 
 5  auprès, de ce village un- vallomdu Moneftier, on va-en une dem:- *  
 hgure à ^utetîr/d#Hrhl^en, laiflànt-çfur k^droit^déîfesiŸ ^ y ^ ^   
 hameau des Gilbertes,- & en u g  demi-heure on traverfe le hamèau de  
 Villeneuve, p à f t a n t g a u c h & i   à côté  du  moulin’'1   
 Tarrabilier, qui eft à  droite visjà^isiqBe^qui eft une Succur’fale fur  
 la droite de la rivière ; on paffe enfuice au-delTous dè la  fille  qui  e'ft à'  ! 
 lî6uÇe^4eS^^â^ftve‘|  7& ‘un  quart-d’heure plus/1  
 loin on palïè au-dejTous du liameau des Pana’ches pour arriver à Chan- Ÿl  
 ■ temerle,?  lailïant  à  gauche crois  de Chanteimcrle  
 ; en vingt rainures à Saint-Chaffrey, en palTant- une petite, raviné'  I 
 6   dans  le village on  paftè un ruifleau  fur umpôîit'de bois,  d’où  011 
 pgr- 
 ^P^f^-Laûiarec eft<très^oV^u^ënc #-éft gâté' 
 , par les neiges & les^lhies abondances, il eft prefque'toujours en plaine  |   
 ou pente douce,  les rochers fur la droit&jhfqu'à laMagdelaine font de  
 fdihle, dur  &  gLamreux^dans. Je  haut ,  ou  efpèce  de grès ,  & föi  k   
 gauche ils font d’un fc|iifte quartzeux dur & un  peu calcaire ; 'les'fûif-  
 ,fea>gx  qu'on  pafTe jufqu’à  la Magdelaine roulent du  quartz blanc,  de-  
 manèie calcaue &^du H«®'dur - au-defl~ous dàl’Hopifal &fut k l lve 
 d r c û t e d e l a ^ ^ P ^  a jetçc;cariièÉ^ÿafdoifes^&'üh(peu^fôf-■ |  
 fière>& 110 f°.ur à c^a“X f ^ l a  riy>e gauche auprès de la Magdelaine;; le 
 &t de^fà en'Pièmont,’ 
 remonté- la Qlar^ f e f a  r i ^  droite en crois .quàm-djieuire, en-pafta*rit  
 I  aux hameaux  du  Rozier,  des Piés, du  SeH,e. &  de  laDiaye,  où  '011  
 palTe la datée fur un pont déchois, &  on la remonte' fur fa nve gau-  
 ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ .Q ^ em io ^W q û |à M a n ^ ^ ^ a^pr^|du'queÉ'Q'ln*î^fei  
 #.r.ès lequel 
 I  d>£eiue  lut  faMvp- dioite,  cnfiute  on  la îepafle  fui un;ponc-de  bois  
 aupiès  du  hameau du Roubion  qui  eft  à  droite,  d’où  en  fuivanr  la 
 demi-heurçV( ehjsâflàùèà 
 I  aupiès de Ncuvache : cous les îocheis de paît &  d a u tre ju tqM  Ncuvac 
 h e,  font  calcaires,  &  les  LuijTea^x-qu’on  pafTe  ne  îoulent que  desI  
 C£U?1° “? ÿ alcaUeS 5  continuent  ainfi  jufquà  la  fiontiète  de ■ 
 Piémont. 11'y  a aine mine^de culyi-e au-Je_ffus, du'hanieau des  .A’aîjfaftqirî.  
 ete exploitée anciennement.^qu^n a abandonné?,ud y,a»une  grande  I  forer auprès 
 nilon de Briançon j cette vallée de Neuvache eft très-relTerrée. 
 De Neuvache pour aller au Moneftier de Briançon , on  continue de 
 remonterdaClaréefHtfarive  gauche en trois  q u a r r s - dW e ,&   étant  I  
 [  ^r “ v<:  aux  gtanges  de Cans  à iun  oiatoire,  on  piend  la  gauche  par  I  
 I  laquelle ori ‘defeerid à la  rivière qu’on  p a lT e ,,'d ^ feS   monte  en  une J  
 demi-heure aux giàdges de Buffere, 'd C u ^ V P n  va  en montant  par I   
 - en  heiue «fe d’emie  au col de BufTere, où on lariTc à gauche  
 la redoute d’Arnaud, d’où  on defeend endeuxheuies au Moneftier  en 
 S p ^ g ^ S i t s ÿ o m a r i , Ü èc: 
 caire de Neuvache aux granges dé Gans dans la  hauteur ,  
 jufqu’à  la  frontière,  m a iso n s  le  bas.prè^du  chemimèn montant aux  
 gtànges,  il y a un  petit  noyau  de  granits  au-deÎTous-.du  .calcaire }■*<ce  I  
 k  n °yau  être  accidentel,  ne  fe  continuant guèLes  au-delfus  des  ! 
 g r â h g 'e s ^ C a iM ^ ^ ^ e g i ^ ^ ^ m ^ a p j ^ u ^ i ^ g ^ d e -B t i f f ^ f i -   I 
 eftmaiivaispar  de^lit -Élarèe' 
 , on monte dans des bois jûfquaux granges ,  ces tochcis  font mêlés d’un  
 fclpfte un peu  calcane  &  d’un  fehifte dm  la  tedoute d’Arnaud exifte J 
 paffe eritÉe le-pairs Je F è f « | ^ f e i i ê i t t m i ,   n r i : S l  ^ à e s .   I  
 |;/r5 M s  iciiiftêtrx 
 [  Jo“ an  & le  Moneftier,  entraîne  des  ‘caillçûx  &  parties  de  rocheis  I  
 quartzeux %   rochers  I 
 de  cette-efpèce. Le  l^Ioneftier  de  Briançon,eft  un  gros  village/frue  I  
 l  auprès &  fur la rive gauche de la Guifanne, il eft renommé par (es eaux-  I  
 & fes bains, ce font des eaux qui font feuugineufes & qui depofentune > I  
 matière ferrugineufe ;  les'eaux^pour  lfcs'bîiins Htuèes au-delTous  du village  
 fur  le  bord  de la rivière  depofent;mie matière ocreufe qui forme  I  
 un-tuf dont on fe fert pour la bâtiiFeau Moneftier, il y en a une carrière  
 W g f 5  des bains i on allant des, bains  au  mpulinven  remontant  la  Gui-  
 fanne , îl y  ;a  u n e ÿ e® ^ q q i,n ’eft aut^'pHoiïjqii’tine mâflèrjde  ce  tu f  
 au-delTous d’un pied  où  deux de  terre, plus ou moins.  Kl y  a une aïiirie  
 de charbon de terre-fur la montagne de Cruzeron fur le penchant^fùr  ■  
 la vallée de Neuvache à trois! heures du Moneftier, &  un e  autre àiurie  
 heûre &  demie fu r la montagçtpje, JalfcL,  am -d e fed u  puits Cheva-  
 Jier  qiâ; éft-môiris bonne; ■  *' 
 Du Moneftier pour  aller  à:ville  Vallouife,  on  pafTe au-delTous  du  
 -yillkge la'Gftifann’e fur ,ua pont de bpis- auprès, d’q h l^ u jf e i^ n i  eft ,à  I 
 E r l   | B - l a r i v f c ; o „ mo„tb en trois, „ '  M B   
 'nefticr.cri  pafli, 1 k  rnilÆan  U gué, & on  continue  
 de monter une iheuie & de  jufqu>hcolc -W ^ / j gW jT g ! 
 " r S Â " ” '   ‘  ,-rnpidemer  
 4 el«çhand  M-ncnfeccndcfccntcs  
 douces en une JemHicurc aux Chonlter«, hameaux ciidc-fcen  
 f "   *C ''^nde'l-Echaudaßrfari.vn'e.nc ,e  c  ninue d’aller en 
 H  - Î E Ï y f c  ' “  traverfa une heure  «   iS qmro , jtl(  W l l  
 f e i , .   | H 9 H  1  "  m  nngcs du Sara  au Ponei: ifc à l'am&c pont 
 ?   “ n“'1" , . 1  j ,X ï ï a > l ï   T ^ Ê Ê Ê S Ê : 
 f C ,|“ ïlUe- '  T“«  a droite »uprèS&: fnr  ivc  s,„chc  de'la'riviie 
 cs haraea^  & Faups ;  depuis la Gmfannc 
 1   '■ V J   ,  '  ifuivaiic ÎÉjrùxflèau  Y  ic„c  |e  ce col; on  V S K   
 droite c ,  mc  ne des  trous  o i  il  femb e qa-il' y  ; it  en des mines  
 I  '   ^   anc;  le chemin  rfeft 
 H P 1  là b “ " c<1l   P Â ,n n   pcncccpei1(la:  palTcr  dcS'ranlenrdn 
 p:lySi  11  n  des endroits. ,a   e .chemin  . ,  1  roide &  les contons fi  
 comts  qQ,l  eft  très-i  ,  ,t d’ail, s  ■  c  i  WlV'ics roches-s  fur  la  
 gauche  du  vallon font calç  à'ÿsiM  le 1 ans &-fehifteux dans  le bas  ! 
 P   <i“ vitlinn , 8r ils fon: 
 i  .CCV T   '   llo” i  <•“ “ 1 =  < s.ileftfdiiac^d'uc&gran  sui ■ S H  ;  "   ns le bss il eft d'un fehifte tendre, U y a un filon de  
 5 °™   > 7 “  B S   ‘  ■ la.rnoh&gde , cMintbriroh, an-,  3 
 ■ H   ’Æl 101' “ E''<=*  liPilli à Rdroicc du col de l’Echnn M 
 Il y a  une  camcre  de ipirires. diris  la  piesre à chaux, mais  en  p,  ite 
 a s ^Æ 'O â jS S JG LÆ  j n B *   , l ü T O f f i  * \ ' h* f S i f ! r ^ . Ic  e(l 
 ■  -L-  ;i  ■ ■  -  ■**  ïMbi&fnrla rivc  .il  he de h  Gironde 
 .anhamcan dn yilldKl^àu  :demi-hcurçdel i villè; bn m  vie,k chercher  
 de B. rançon, & an-dcll ras du m. me hariican, fur h  droite de la 
 ^ i k S B L S S : ,   !.. 
 dame qu on ^exploite point à la moflnignè: ^'.Bonvolfin: ïîans la val-  
 •  ^   Vallouife les  habiesns  fortcnc  en Hiver,  ifc  ont  bc;ulcoup  dc 
 n" .J * .  0,1 te “c 'L<1 1 ?c“‘ es comme: dans.les vülages de Ncuva-  
 ehe,.Moneftier, &c. 
 î.  ? ^ vm^ Vf P re>w'aIlfef  à Briançon, <Sn  pafli la.l  S i   ' 
 ■: * ^  lequel  I p d t ^ ^ ç i o n j l ^ ^ 
 '  ,  filage des Vignaux, en  paOànt  aupiès  d’une chapelle qui eft à gauche  '  
 & lailïant'auffi  à gauche  un  hameau  à  uri quau-d’heure de diftance;  ï 
 j j 4  ; -il y  a  unïiiouhn 
 à-dedite auprès dn ponc, enlle  c  h, :inir  & la' i  pière. On traver.i le. 
 il'lagp Ld  -  i  r  Sî  :'ôn":mbnce’£ 11 montées douces ..dt c. i  i  tve  esj  
 trois qu:  s-d’hci ré, &:on  trouve,!lir la- hanreur mie crois à droite,  
 I S   ‘°” ™ en tciyctfes cil dcfcmdanc nné hcuie,.au  illagd de Prellcs^ 
 ™  1  *  :à'dràioe,;m-dcrrons,  le  village Idc, Vii n  L-Mcyct  paiîànt 
 on mtr "  jr an  pont de bois^  a  prèi de 1  , 3   
 confluent.dans la Dacancc, &: od on joint le'chemin du Mont-Dauphin  
 o  Brionçoit i  qu’on fuit jufqa;à ccni  ville en mvcrûnt le  village  de J   
 Prc  '  heBlaife  .St cel ti de  Cha nandrin, 
  un va  11 &  ai rt-t ëdeC îtti îtnne fitc ,ùri pont .de :bois ,■ d’où on  
 monte  Brian  on, il tint un  Item  le  de  e Prcnes -,  1  r   :hcr  I  
 c  loutre ji  qu’au premier vallon qu’on pàHh1 après lé yill  rd-Mcycr  le  
 long de ce vallon bn croiive du  fehifte, K aui environs du fécond du  
 marbre blanc  veiné  en  rougit , ^râe-lit ;à Briançon lés hanteurs font  
 ±1 cidcmrcs.îSr-lbJbaSifçlnftcus. 
 Briançon eft une ville de i-uerre «c une pl'iiéfa force W e  très-avanta-  
 &r Jai.iriYe'drbiiè  d’é la Dnranec,  fin la gauche de la Gui-,  
 ianne, au-d'elTus de  Ion  confluent dans hé jcemièrç  elle eft .très-bien  
 v  ir»rri(téc.& enviroiince dequatre for  deiis'tèd'ohces ;:ïti-vo  l-.‘ 
 I  des Telles, celui du Raiidouillet,  le fore Daupliin],fric  fore d’Anjou,  
 la redoute' des1 Sall'cttes. de la tedoute à^Iachiriihjis'î'tous ces forts &  
 la redoute à 
 Mii&rncCj fur la riyc-gàuche dé?lic Dnnihcc Bt là  droite du ruillcju de  
 Ceçvièrcs-,  cette place pa 'c-- Ornera imprenable,  fo ir ^ S f e  â é  ■. bs  
 fbrrificatioiis  I  icà'canrcdcl  p  fition,  Il  t a   à  Ë^iieia faifi  iC  '1   
 cstfümemcnt  rude en ’Kitjcr; 1&  qti’ih   n e '^m ’.citi prolonger le  fidge’  .  
 .dans-ccitt faifon, 
 «n 'trois ou  quarte mois1 qu’on .peur  tenir la  .camtKtgnejî parce  que,  
 ftncnj *™ ?  On auroit pris la ville, il'è’ndroir hiïïcgcr, 'ßpabdment les  
 forts'&rcdontcs ; il y  .un ,pot c ftir la Dorait  l-,pour commuait  ct  e  |   
 ■!'la.ville  auilbrc.idcs  Tcftcss & 'dit  fost"^^ Tcftcs'.'au .Rand'ouillec - la  
 ■ communication; eft’’.bien  flanquée. Briàttçôn eft ficué  ati conflncnr de  I 
 qunn-e •1  lee  ,  c  e qni vitMt  du  Lautarec,  celle qui vient i  ^ ^ 5   
 &.dn  MoucGenevte;  fa pofition eft alfa  aSiÉthle en  Eté, domin H 
 r  m 1  f e ’t  W 
 '  “ f “ ' ' lljfo n r c   lca ■ c s.m élésd ep am   * il tifteofes : au deirott:  de h   
 ^  P  ^ “rdcSainted  .cri,te,  itr la ri  e'dïphèiat’la Dora, . ;,   
 c robhereftfc  t,  r J f  ^   (r’  ,r  . 
 r -   ‘- Â i i   g   l a î r   i1   <H r*  * 4   '   'r 'T ’t W ’ 
 o.\ on aperce le  rocher pont  „„ can’» ;   il  y  a une carrière  de pier.es , 
 KV , 4 -e ; Mn&lf  'fiEP 
 i 
 UI  a  mance, & tl-y a u;  .  ,<  .{t’W ® 7 * 'i l  c(, m  
 du Ponc-de-.Gervtèfes,  qui eft dé  cailloux roulés en granits, fehiftes le   ' 
 - * y ?   * 
 vuee arec des rates en blanc S: Èleu , de fcrpcnriitc variolhc, de quartz 
 V?i# ,?'#B.W*’l 
 i  i 
 e f tÄ r ? r r 8 v 
 M i 
 ■   temPS de vent du midi,  -  “ S W S 
 que le vent du nord bouffie  ils fe fervent de  ntélezi 
 ■ w o t w i b w i m 1  t ü “\ '  S B 9 W M H i   
 cay icri:  s   f l y -  » v   u 
 rôle ou cuivre vert, 5c  un autre au-deiî 
 le 
 Je  rjj-jÇllrt1 1 jUpylSMBMIi 
 V S l y r > ? i i r î "  T ^ V '   ^   ‘  1   “ 4  ; 
 Ijinte-Cathcnnc, i -  m fuit la. rive  droite de la Dmatice en  pia[ra,irait 
 •"i'-v1 ■  :  rj,  , n Ä P - 
 >  '  î ^ 1  ~  J  ' ' c‘ E  H 
 t a i t ’y  ~ 
 obfervanr  q„ on  o t  for-dit:'  he de la Dttranee  e WÊÊSÊ 
 B H f l K É E   -■■"  : 
 '>< - r \  l,  l’t . ’.  U?,  « f . - l - f 
 iV Î 'n en un  -<i  i 
 i  V ^ r   "  .'-'ï-ïM   a *-  ' 
 s  /   -  H   V ï p 'â1  tegue  te,  àdr,  tel  rïI^Âc  ! 
 SB S S  i 
 ï   ‘'ip -   ‘  U1  1  -7 3 ESîw  lil,,  *  ' 
 .  1  ’   f   * *   i 
 i r f f î v ’! * 1  c J M   J d * ! '  - j S a T *   * ^ 8 
 i 1  i ’ -c 
 §'-'r -.  '’i  '^”ut,N. l5.ni. ’’-..l Ûfn.-C   i.C.’..L’)w.'fiaî*  i i i   i , f 
 C  VÄS  ‘  ‘  VU,r  B   N sn f'o a 'tlV e   e ' t g a o iie ÿ ^ em t 
 S ä r ® ^ s ^ '| f , ''lri/  ■  0 ' ,  î  ’à * ;  W Ë S B route  &: on  r -   t  ^ 
 '•  '   '   ' L*  * 
 qui le gâtent; les. rochers de Briançon au pont de pierre fut  la Dttranee  
 ai* i-l'  11  ^  ' c**'W'4<’*“  -  , 
 i raiireatts ne: ri t lenc. que caill imcde  e ré el  teytiprè  ‘ 
 le pontils fotit quartzeux jufqtt’à Saint-Maitin-de-Queyrières, & rede- 
 *   t  ,   H H B H M   c 
 | | i j i | S S 9 H B   S j 
 t-dclhis  du ehe  S1“  min|j|j||çharbon:  le  
 Briançon & .qu’on y  brûle, on’-etf trouvécOic sûrement'phdîeur  dans  B   
 ce Yallonj à Sainte-Marguerite on  trouve  des. pierres de porphyre en . ;