
 
        
         
		j à j   :  D ifc a iïrs  jw i,  ÎH ïjlo ir t 
 jufques  dans' un  autre  HémiilpMrÿ./les  droits  de  l’humanité  blfelîee  8c  la  liberté  
 du Commercé desMers, foulageoitfesSujets aux dépens  dés reveuus. de fesDomaines,  
 &  êffaçoiïjufqu?aux traces  de l’efclavage j dont la plupart des Coummes font infeâées }  
 i l  n’y   a  plus- qu’un J§|%à  faire pour  l’affranchErémênt général. Raffeniblez toutes les  
 Loix publiées-fi>us?fon Règne  [ i ] ,  &  voyez  fi  ce n’elt pas  le  langage de là Divinité  
 même,  prefcrivant  des 1 ordres-, pour;  le  bonheur  &   le  falut  de  tous.  Citez-mous  
 tme  fêüle  de  ces  Loix,  dont-  le  Philofophe  &   le  Roi  Bienfaifant  raTpuïitnj:'! 
 Telles  foht  les  fuites  heureufes  de  l’exemple,  de l’inftruâion,  &  de  ce  germe de  
 bienfaifance &  d’humanité inculqué aux Princes dès  l’enfance  pour porter de fi beaux  
 fruits  dans la maturité  de l’âge.  AulTï là  rècompëBfe  la  plus  flatteufe  des Rois  bien-  
 faîfans,  eft fardent  defir  de  tous leurs Sujets, de voir  naître des  Rejettons d’une au Pi.  
 belle  Tige.  Nous  avons  vu  lmpeiial  plana  long  tans  fur^JnoV- b  tes-, io*p 
 qu’attiré  tout  à-coup  pat  la  beauté  des  L ys,  il  nous’  apporta  le  plus  beau  préfent  
 de  ces Contrées  lointaines.  R  s’éleva  enfuite  au-defliis  des  nues,  pour  y  porter  aux  
 pieds  de l ’Eternel  le  tribut  de  notre  f  econnoiflànce, &  l’hommage dé nos  voeux  qui  
 viennent  d’être  exaucés.  Après  plus  de  cinquante-deux ans  d’intervalle,  1 1 1 naillànce 
 &   Marchande  ,  1 Hiftoire  Naturelle  de  tous  les  
 végétaux  fucçédunés  propres  à  remplacer  le  pain  
 en  cas  de - difë tté ^ '& c .  &c.  | • ‘  * 
 [ j ]  L e   Recueil des  Loix  de L p u is  X V I  offriroit  
 tableau., jntéreflànt^  de.’  to u t  a-Moiir^ 
 de.  les  Sujets -peut  ^fpjrei-dîériérgie-  
 Prince  élevé  dans  la  bienfaifance  par  un  Père  vér-  
 • tueux.  Les  Loix  en  faveur  des x pauvres &   des  
 Môpmupcj  le  rétablifîement  des!*Éri/oh$  J h p g j f   
 Capitale ;  l’adoucilfement  des  Loix  Criminelles  &  
 Ifa S A pM   de  1 z  Question  préparatoire 
 ^ u m ^ n ^ o i ’n ^ ^ p r ^ a r e a u f r e t o p ^ ^ ^ ^ p ^ ^ ^ ^   
 Parmi  tous • lès,  fages',:Réglemi|ns  -de  Louis  X V I ,  
 qè/n’en  d#tingjierai  ^ ^ . d ^ 'a u m y g l ^ - è p  É § |J |jj|§ |  
 être  p as.fait  allez  d’a tte n tio n .^ 
 P ar  YOrdonmnc6;<d&4$  Vecembr,e  r f  77,  j |  R o i  
 fonde  m  :pri£-annuel zçn-/fkveüiy^jes  Hommes  
 génie  ou  des  Artift<^qùi:>  en- frayant  de  nouvelles'  
 joutes  à. l’m d ü te ë .'N a tio n a le ,  o u e n ' l a   perfectionnant  
 effentiellément,  auront  fervi  l’E ta t  8c m é rité  
 .une*  marque  publique,  de  l'approbation  ’du  
 -iSoitveiàin.liCe^te L o i  fera  un  monunient  é ^ -p e l  
 p our  attefter  à  tous  les  fièclea, fuîurs, ;le   bon  fens  
 d’un  Monarque,  qui  préféré' les  travaux, utiles.à  
 to u t  le  luxe  des  -bèaux  Arts ,  &  qui  e ^  fe ;rë fe |î 
 j^ ^ ^ ^ ^ lE # ife d éM é c e rn e f lui-mêm'èM^p^ m u ^ lu s ^   
 veut 
 par  des 
 ■ été  Joupç?5nne^ïpus TK \R èg i^ e^ ^ ^ ffi^4 0’dffans^  
 ....  t|n ^ ;^ ù É i:||L® i  | | I |  i f  t ê t e _  
 République  des  L e ttre s ,  c’eft  Y Arrêt  du  Çonfeil 
 '.pÈoDnÆdé^Oui/rO^s^ààcd r i ^ ^ ^ i A uteurs. L f§ s p # ||  
 du&ions du génie font fans doute  la  plus  refpeftable  
 |d d ^ u t e s   ê f f ii;* p ^ p ^ n u | 
 dire  identifiée  avec  l’homme  lui-même  tellement  
 , d^’H ^ |f t ^ ;auvc.ijne-  iforiaè -Aumaine ;  l’en 
 •^dé|ÿoui'ü^r^TO^^e^[mir!fr  n ’é n ^ | | l / | s ^ ^   
 d'e's  fruits  de cette propriété.  Les Auteurs  en_étoiemt  
 . privés -danmè'^ ^ ^ '  paréd’exclûfifl de  «la  vente  ré-  
 ’clamée  par  l'es  lib ra ire s .  Louis  X V I  eft  le  premier  
 des Monarques;, -Francols ^iilipai't  reconnu ^>ar 
 u n ê  L o i  f t f f l j r t ÿ   p u P 
 ; qu’elle,  émane  naturel^;  propriété  des 
 Auteurs ,  .■&; quif leur-' a i t . affuré  à  e u x /A c à  - 'leur  
 •fâ'milil'e'Lla  jouiffance  durable  des  fruits  de. leurs  
 travaux,  en  leur accordant  la  permiflion. de vendre  
 eux-mêmes  leurs - quvrages.  Vd^ez-  notre- Dfcqÿrs-  
 fur  L  établiffement  (Lune  Société:  L'atriotique . eh fa~  
 vçur\des gfhs 'de  Lettres ^pqur ^ij0feffioîi  gratditfrÀ  
 '^ è ü ^ ^ È Amgès^Mau Mufée de Paris,  &;;dm;primé..  
 chez  Grangé.  . 
 ^ m s ’^ m Û e s '-^ à u 0 im Ê ^  ^   xïij 
 Æuü  NOWEÀ0. D auphin,  précurfeur  de  là Paix  univerfeiïè  [ i ] ,  répand  pat-tout  
 ïes  " 3e  FaTIégrelTê^BHque.  ' - 
 ^ ’e:^  polir  rappeller  un jour  à la   mémoire  de  cet < Augufte Ënfâiït,  quelle  fut  la  
 joie  des  Peuples  a  fa  naillànce,  de  quels  bienfaits  elle  fut  àccompa^.jée:,  &   que!  
 e % 01r  ™  Nation.  conç<i n   de  fou  éducition  future  * que  nous  avons  confia C  ce  
 Difcours  qui.  en  eft  1 objet ;■  c’eft  d ms la -vué. d’éle\ er un MONUMENT, encôré plus  
 durable & .plus., utile a l’Héritier du Tr.iôMé, que nous, publions l’Hijloire  dis Dauphins,  
 fo   Ancêtres:, &   la  De/c77pçop  der  qui leur  ont  appartenu.  On,fendta mieux.  
 l|^^ppWb8,® v a i l  ,|p&   yjifont' contetiuesi  j 
 I  m 
 ' y ï t -A   B, t   R ^ A v l S o   N   N  ,'è M 
 L’Ouvrage eft divifé en quatre parties , dont  la  première' contient  YHiJIoire  
 du  Dauphiné &  des Princes Dauphins,  partagée  en ■ quatre Epoques  La  SECONDÉ  
 comprend  les  Mémoires  fiu?  la  AGnéraZogid  du  Daüphhié}  par M .  Guettard. T a   
 ’[ RiOi’SMHÿfnçnferme  fa  Notice  de  tousa,  3SCL/lôfâes ‘ i  d  tc 'l  du  LJaupRuicl'  
 les Afen/eiffix  qui  l’ont  rendu fameux,  fes  prpduiâioïls  dans  les  trois Règnes ,  enfin  
 fon Hijhire ffdkirelle & Êcôiiomque, fbn Admhiiftration intérieure Sec. La QUATRIÈME  
 partie  contiéndra  la  Defcripdon  particulière  de  tous  les  .Pays  qui .çompofent  le 
 îTOpi.ÇJnement du' Dauphiné. 
 [ i ]   O n  fait  fei  allufîon  au  beau  quatrain  publié  
 fur  la  naiffance  de  Monfeigtieur  le  ^ JDàùphiri^o^  
 l’on, luppofe îès^auphlnsujouant^Xu^les eaux  après  
 .la tempête.  C e t ^ ’M^gOrie/fuBlimé eft  d’autant plus'  
 v ra ie ,  que  c’eft le  préfage^ordinaire  du  calme  des  
 .'mers'1  eourrqii^éès’; 
 Ærarw  &  vindioe fiilminis  iâ d j  [  
 QuxÉéfedat L odôix oequota^ tpacîs  amans 11  
 Mis. oritur pàcis 'proemùnti& pignôrà D e l p h in  e  .  
 ÆqÛjkè. nani placidoh luderè^I)E]^HlJf amat.  
 Ètf ^ci^là ^iduQlon.  : . 
 ( .  U n   'pp-. J^:Vù^|U3C'caÈl;sg[éSÿ 
 I:,.;lj.0!üis  tiendra  les mers  dans  une  paix  profonde; 
 ’ ■  G ^ i|'I)a u p n in ^ ip la ît. fefe  joûer. fur  fonde 3  
 ■-T Tt<âuand,4i^flb^^^ffl^câlmés. 
 ^yén em en t^  par M. l’Abbé dé Lille ,  dans le  fecOn^l  
 :'Clan;t  de.lon LoemedesJardijii. ^ a   Poélie ,‘n’a  pas  
 .manqué  de  dire que la naiffance  de  ce Priricë étoit  
 ù n  b i e n jd ï i&  c’en  eft  prèfque toujbuèsJ' ^ , ’;qûê-la.  
 ndiffg.rLce.^ d’un ^Dauphin.  L ’Hiftpire appuie cette vérité  
 ,  puifque  cet  événement  forme  prefque  toü-  
 jours  dans  nos  Annales,  une  époque  précieufe  ôc  
 rare.  E n   effet,,A^ppjs  là  ceflion  du  .Dauphiné,  en  
 ' 1549ïy  ’o ;^ ^ ^M p d à n s :2 e lp a c e ,d e 
 43.2 -.ans, 
 "Mjtâpfàns f  &l  èm j ^ ^ o r ^ r c ^ ^ ^ i ^ n c h e  R oyale des/  
 ® î& î)o n s ,  celui-ci  n’eft  ,quê,: |^ ÿ |in q u î |m e   dans  
 l’efpace  de  deux  fiècles. 'L a   nailfance d un ^Duc'de  
 Bourgogne,  c’eft-à-dire  du fils  aîné  d’un ;3^apphirt,   
 ^® e n c b re * 'p lu s   ra re ,  pulfqu’en  402,a n s |d e p u is   
 134P à  175:1 ) ,  rHiftoife^nè' nous  en  pféfèntè  q'uë  
 ‘quaire.  Voyez  V'Almàûach  Hijlpriqu^dès  Ddeà*de  
 Wmtïgogne > &  celui  des  Dauphins, 
 »Voyez  fur-tout  la * m a ^ ® u e  delcrip.tidn .de  cet