PLANCHE CINQUANTE HUITIÈME.
U N B O S T A N D J I B A C III.
.Cet officier est le chéf du corp nombreux des Bostandjis,' dont l’emploi
est beauçoup plus-étendù e t'-v a riéq a é fleur nom ne paroit
Findiq»er> car à la léttre il signifie ° JaâfÉIniers." j&£É£t plusieurs
milliers,' et c’est d’entr’eux que les gardes du‘Sultan sont choisies,-
Ils -ont la snrlntèndançç de tous ses palais et- ses jardins, et -ils
dfsoeiimpegnent. toujours dans se§lr|gf||(§sions màritiijieg, Ils soni
d’eieéUeryts rameurs, et sont toujoi^^^Moyés comme tels à la barge
ou laïque du Sultan, qui est d itigééijlr le Bostandji Baéhi; - <
Independement du grand nombre de personnes qu’il a sous ses
ordres, cet. officier-possède an pouvoir fort étendu; son autorité
aetend sûr la police de la capitale, et'snr-les eaux jusques à l’entrée
de là mèr aoire. La jurisdiction civile du sérail fait aussi partie de
sa charge. Les Bostandjîs sont tous 'Sfàhométans, ils reçoivent une
fortepaye, et santprésquetous mariés, -