PLANCHE CINQUANTE: QUATRIEME.
U N M A R I N.
NoWl avon§ çideyant observé que la maii&e Turque, qudiqû’ assez
nombreuse n’eât pai très fornadable.Les. Turcs eux mêmes n’aiment
pas la mer, et la plus part de leur meilleur marins sent des
Grées, qui n’entendent pas 'grand chose à l’art de la navigation,
quoiqu’ils commissent parfaitement'bien les mérs aux qu’elles ils
sont accoutumés. Le trente-premièr Odah des janissaires* g®!; à
un ancre pour signe distinctif, est emploié dans le service de mer,
mais il ne forme qu’une très petite partie de la marine, et son.
principal emploi est de se battre. §£
Lorsque le service de l’etat le demande, le Sultan ordonne une
levée dans toutes les islegnGrécques, lesquelles sont obligées -de
fournir un certain nombre de marins. . ne^sont employés qu®
pour manoeuvrier, les vaisseaux, et les musulmans sont ebargés do
l’attaque ou de la défence.