PLANCHE QUARANTE-SIXIEME.
« D E R W I S C H . |
JLiss ÎDetwischs, (voyez Planche Vingt-quatrième) spot divisés en
trente-deux sOeléttfe #T ^ iê^^M |^tïfa e9desI> erw ise lisMe 'W ’»
lewys peâïètre sont la pluspart des sectes. Ré
fondatéiif de ceW6 société eteïfc apeltë Djelaî-ud-dinn Mewlana. Let
Méwlewys 'se ® fifS|pSâ$ par la.singularité de leur danse,' qU ilS -
jàen de commun avec celîe des autres sociétés. Ces Derwiscbs ont
aussi dess prières fit de pratiques qui leur sont particulières. Chez eux
les exercises publics n esé font ordinairement que par neuC onze, ou
treize individus. Ils commencent par former - um e e rè lee t chantent
'avec leur çhef lé premier chapitré du Koran. Us récitent alors
deux prières, aux quels succédé la danse des Rerwischs. Quittant
leur iplace tons 4 lafois, Es se rangent 41a gauehedu supérieur et
s’avancent vers lui à pas lent?. Le premier des Defwiséhs, arrivé
presque én facei'du Scheifc, fait une salutationet-lui passant, 00»*
mence là danse: elle consiste à tourner rapidement sur le pied droit-
avéc. les-bras ouVérta. |