
Axospeì'ììices,
HANCNCIÎLACUES.
DILLKNIACÉES.
RIAGNOLIACÉES.
XXNNONACKES.
JMYRISTICÉKS.
SCHIZANDIÏACÉES
BKIUUÌHIDÉRS,
LAUDIZABALÉES.
MI-NI&PERMACÉES
CoRUniÉES.
OCIINACÉIÌS.
SlMAUUlìACÈES.
ZANTHOXYLÉES.
DIOSMÉF.S.
RUTACÉES.
ZYGOPHYLLÉES.
OXALIDÉES.
VlVIANlACÉESLINAGÉES.
LIMNANTHÉES.
T R O P ^ O L É E S .
BALSAMINKES.
GEIÌANIACEES.
MALYACÉES.
BOMBACÉES.
STEIICULIACÉES.
IÎUTTNER1ACÉES,
TILIACÉES.
ÏÏUMIRIACÉES.
CIN.JÌNACÉES.
TERNSTROEMIACÉES
DIPTEROCARPÉES.
RHIZOBOLÉES.
GUTTIFERES.
MAUCGRAVIACÉES
HYPERICACÉES.
VOCHISIACÉES.
U U T I N É E S .
G É R A N I N É E S ,
M A L V I N É K S .
TREMANDRACÉES
POLVGALACÉES.
SAPÌNDACÉES,
HIPPOCASTANÉES.
ACERINÉES.
]\!ALPIGHIACÉES.
Ì''RYTHROXYLÉES.
MELIACÉES.
(^EDRELACÉES.
AURANTIACÉES.
BL'HSERACFRS.
Les fleurs sont diclines dans les Myrisiicées, les Schizandracées,
les Lardizabalées ei la plupart des Menispermacées.
Elles sont de plus rnonochiarnydées dans quelques unes de
ces mêmes plantes, dans un petit nombre de Rannnculacées,
etc. Les graines sont fixées aux parois des carpelles ,
d'ailleurs distincts, dans les Lardizabalées. Mais néanmoins
l'affinité de toutes ces plantes est tellement manifeste qu'on
les trouve rapprochées dans presque tous les systèmes. Le
nombre ternaire des parties s'y observe très fréquemment.
Ce groupe des Rutinées, qui se lie au précédent par la
séparation fréquente des carpelles, touche, d'autre part, à
celui des Terebinthinees, auxquelles on passe également par
les Burseracées : de telle sorte que la série forme une ligne
plutôt repliée sur elle-même que droite.
Les JJa/pmcctcees oiïrent, dans beaucoup d'espèces, la
placentation pariétale. Seraient-elles mieux placées auprès
des Cislinées ? EWes se lient mal avec les familles suivantes.
Les Vochîsiacées, dont la fleur, extrêmement irrégulière,
présentant l'insertion périgynique dans les uDes , hypogyniquedans
les autres, ont pu ainsi être classées très diversement,
mais jamais d'une manière certaine. Périgynes ,
on les rapproche des CombretÛcées, à cause de la structure
semblable de la graine, et des Lythrariées , dont un genre
montre quelque analogie par son calice éperonné et la tendance
à l 'avortement de plusieurs de ses pétales etétamines.
Les Polygalacées ont Gmbarrassé la plupart des classificaleurs,
quoique la symétrie de leurs fleurs les rapproche des
Sapindacées plutôt que de toute autre famille, surtout par
le Trigonia, rapporté tantôt à l'une, tantôt à l'autre.
iin-RlGYiVES.
Axospermées aperispermées.
(IONNARACÉES.
SpONDlACÉES,
ANACARDIACÉES.
PAPILIONACÊICS.
('JÎSALPINIÉES.
MIMOSÉES.
(JIRYSOBALANÉES
AMYGDALITES.
S P I R ^ A C É E S .
D R Y A D É E S . RO S L N K E S .
NKURADÉES.
UOSAGÉES.
POMACÉES,
OALYGANTHÉES.
GRANATÉES.
MYRTACÉES. MY R T Ï N É E S .
LEGYTHIDÉES.
LYTHRARIÉES.
M ELASTOMAGÉES.
MEMECYLÉES.
NAPOLEONÉES.
UtUZOPHORJÎES.
CoMBRETAGÉES.
1!ALORAGÉES.
ONAGRARIÉES.
T E R E B I N T H INEE.S.
L E G U M I N B U S K S .
Pleurosper'mées.
LOASÉES.
llOMALlNÉES.
TURNERSACÉES.
SAMYDAGÉES,
RIORINGAGÉES.
MALKSHERBIACÉES*
PASSIFLORACÉES.
RIIÎESIACÉES.
CAGTÉES.
MESEMBRYANTHEMÉES.
Axospermées perispermces.
CRASSULAGÉES.
CEPHALOTÉES.
FRANGOAGÉES.
SAX FRAGAGÉES.
HYDRANGEAGÉES.
(^GNONIAGÉES.
liSGALLONIACÉES.
PIMI.ADELPHACKES
ÎIAMAMELÎDÉES.
Les Napoleonées présentent plusieurs enveloppes concentriques,
dont la plus développée, qui est d'une seule pièce,
considérée comme la corolle, les a fait classer aussi parlili
les monopétales auprès des Sapotacées , où Ton remarque
souvent cette même tendance à la multiplication des verticilles
corollaires.
Les Haloragées, famille aquat ique, font ici exception par
l'existence fréquente d'un périsperme dans la graine.
On s'accorde assez généralement à placer ici les Samydacées,
malgré leur défaut de pétales.
La place des Moringacées est plus douteuse et a été assignée
par plusieurs auteurs auprès des Légumineuses, à cau-e
de leur tube staminal fendu d'un côté et déjeLé de l'autre,
ainsi que de leur fruit léguminiforme, malgré ses trois placentaires
pariétaux.
Dans les Passifloracées et Malesherbiacées, c'est l'insertiori
des pétales qui est périgynique; celle des étamines exhaussées
sur une colonne centrale paraît diiîérer, à moins (^u'on
ne la suppose se prolongeant jusque sur les parois du calice.
Les Mesembryanthemées, à cause de leur embryon courbe
embrassant à demi un périsperme farineux, seraient également
bien placées parmi lés Cyclospermées avant les Partaiacacées,
et elles y ent raîneraient peut-être avec elles les
Cactées dont l'embryon est souvent aussi plus ou moins
recourbé, quoique sans périsperme.
Les Crassulacées font exception par leurs graines dépourvues
de périsperme; les Saxifraginées par leurs cloisons à
bord libre ovulifère, et tendant le plus souvent à s'écarter
plus ou moins de l'axe, de telle sorte que la placentation y
devient pariétale.
S A X I F R A G I N É K S .