M
tas). Dans les baies de Houa-Houa ou Tolaga,
Bream, de l’Abondance, etc., on voit déjà
plusieurs fruits ou plantes comestibles introduites
par les Européens, tels que des Abricots,
des Pastèques et des Pommes de terre. Nous
avons eu soin d’indiquer, dans les observations
placées à la suite des descriptions de plantes,
les usages économiques de celles-ci.
Comme la Flore de la Nouvelle-Zélande
forme un tout homogène et indépendant des
résultats botaniques que les autres relâches de
VAstrolabe ont procurés, nous placerons à
la fin de cette Flore une table alphabétique
des espèces et de leurs synonymes. Quant à
l’explication des figures représentant les détails
analytiques des plantes, nous la donnerons
lorsque toute la partie botanique du Voyage
sera terminée, attendu que plusieurs planches
ne sont pas complètement achevées.
ESSAI
D’UNE FLORE
LA NOUVELLE-ZÉLANDE,
M. A. R IC H A R D .
