tio liun a tten u a tis , in te g e r r im ii, g laucescen tibus; racemis m u ltiflo r is , pend u lis; calycibu s
8-phy llis ; s ty lo ovario angustiore.
F u im x ; ramis suhflexuosis, bas i su b te re t ib u s , apic e s e km g n lo s is , n i t id is , su bc inereis. Spi»«
t r ip a r ti te 5 -8 1 longæ , p a t u t a , a i t id æ , ex luteo fuscæ ; d iv isu r is acutis , subtiis caualiculatis ,
su prà te r e tib u s , inte rmed iS -lou g io re . Bum v ald è a b b r e v ia t i , ex «x illis spiuarum e n a t , , squa -
mrà is im b rica tis latè ‘ovatis acutis ca rinatis bas i ob tec ti , apice fas cicu lum folio rum gerentes.
F o l,a subse ss ffia , c i r c ite r 9 - 1 8 1. lo n g a , 4-7 1. >«■», ob ovato-ob long a, o b tu sa , m u c roni.la ta , c i r -
c ite r à medio usnuè ad b asin gradatim attenuata subcune ataque , in te g e r r im a , nervo pallidiore
c in c ta , ç la b e r r im a , glancescentia -, n e rvo medio utrinqu è prominulo ; latera libu s p a u c i s , paralle
li ! in fra fo lt i ma rginem su bre ticu latìm b is confluentibus. S t ip u l i m em branace a,, su b ì,la te .
acutissima,. K i c lu i in quovis fascicnlo s a lita r ii , s im p lic e s , p ed u n cu la t i, cu ,,, peduncolo c ir c ite r
Ü „„1. b u g i , p en d u ti, g lab e r r im i : p edunculus cu r v a tu s , subangulosus : a n s p eduncolo cont
in u a , an go lo s a , s triata 1 p ed ice lli c i r c ite r 5 1. lo n g i, b racte à stipa ti cmc.ter H long* lin e a r,
acuta canaliculatà. F lo s globosus, c ir c ite r magnitudine Berberìdi, mlgaru , orai,, p a r te g la b c r -
rim u s. C a ly x 8 -ph yU u s, vald è inæ q u a lis , submemb ranac eus, g lab e r r im u s , lu tei,s : folio lis subt
r ip lic i ordin e d isp o s iti!! cx tc rio iib u s 3 min o r ibu s , ob lo n g is , a n g u s t e , a c u t is , co n c a v i !, i - v e
sub 5 - n e r v i iS i in termediis 4 , ob long is, o b tu sis, 5 -n e r v i is ; duolins sn b su p cn o n b n s , cmteris m a -
io r ib u s , ov ato-ob long is, v e l o rb ieu la r i-o v a t is , olilns’is s imls , 3-n e r v i is . F a ta la o b o v a ta , o b e s is s im a ,
3 -n e r v ia , bas i u-g landulosa, lu te a ; g ian d u ii! petalo S Ïn a tis , ob long o -lin ea rib u s , haud v ald e p ro e -
minentibus, nervis lateralibus continnis. Sranina petalis basi sulcoolita 1 Alimenta brevia : antheræ
subcordato-orbiculate, apice trnncate. SnLus brevis, ovario multò, angustioiv subcurvatus. S t i c «
late peltatum, umbilicatum. Oviaumovateobbugum, i-locuiare, n-3-spermum. Ovula ottenga, obtusa;
funiculo crassinscuio, brevi. Fructum non vidi.
Frequens in sylvulis provinciæ Cisplatinæ, à finibus antiqui« Lusitanicis nsque ad urbern Mttl-
• dona dii. Fiorai Septembre,-Octobre.
E n i irà X Follai" OH" stipuli. , a stipula, - a . Flos.- 3. Palalo," slaiuauqu. antaoppo s ilo .o . — 4- H. 1 .
piandola; basi pelali iutarioris adoala. oo,vol«ioa lalaralibos cooliooia. - 5. Slama,, dcldaaaotid locpio. la. _ C. PuliUo," ■
0ds. Oo trouve dan, la Pndrcmm 5 « - li. 00 Pari«* laurina iodiqoi .amine croisu.nl >0Br&il et oommi par Bill-
barn. Quelque «noria qua sull ti pianse qai c.iucliris. «alle pianta, il ma parali fivideul qa alla doit tarmar ana aapìae
entièrement dilKrnnla da ti mlaaaa. En affai, les bulli« da «alla dernière ne pantani eira rompa,*, à ralla, da Inane,,
O b s e r v a t io n s g é n é r a le s su r l a f am i l l e des B e r b è r id é e s . — S I . Affinités. Le plus souvent
il arrive que le style des Berberis est parfaitement continu avec l’ovaire, et alors le stigmate
paraît absolument sessile. Mais dans le Berberis glaucescms, où le style s’allonge un peu
et se rétrécit sensiblement, nous avons un pistil qui, parfaitement semblable pour l'intérieur
et presque semblable pour l’extérieur, à celui des DanUa., nous ramène aux rapports les
plus réels des Berbéridées, ceux qu’elles ont avec les premières familles du règne végétal.
Il était facile de sentir combien la découverte du Bocagea rapprochait des Animées, les
Berbéridées et les Ménispermées ; mais j ’ai hésité "pour savoir laquelle de ces deux dernières
devait suivre le nouveau genre et par conséquent les Animées. D’un côté, le Lar~
a des ovaires égaux en nombre à ceux du Bocagea, et absolument semblables à
eux; d’un autre côté, toutes les Ménispermées ont des fleurs umsexueües, tandis que
celles des Animées sont bisexuelles. Mais le nombre des ovaires n’a pas une très-haute importance
dans les familles élevées qui nous occupent, car souvent un même geqre y admet
des espèces à un ou plusieurs pistils ; et au contraire, la réunion ou la séparation des sexes
doit être d’une très-grande valeur dans les mêmes groupes, puisque ce caractère n offre,
depuis les Renonculacées.jusqu’aux Ménispermées inclusivement, qu’un petit nombre
d’exceptions éparse,, et une seule, entre autres, parmi les Anonées. Je me sms donc décidé
à placer à côté du Bocagea le Berberis, hermaphrodite comme lui, et qui d ailleurs a des
fleurs d’une forme absolument semblable aux siennes. —r- Outre les rapports intimes qu’ont
les Berbéridées avec les Anonées et les Ménispermées, elles en présentent encore d’assez
sensibles avec les Vignes, puisque celles-ci ont également des étamines opposées aux pétales,
un fruit succulent, des semences en nombre indéfini, et un ovaire qui, quoiqu’à deux
loges, renferme des ovules dressés.
§ n. Etamines. On a attribué aux Berbéridées des anthères qui s’ouvrent par un
opercule ou une valvule ; mais, dans la réalité, il n’y a pas plus ici d’organe particulier que
dans toutes les autres anthères connues. Celle des Berbéridées est immobile et tournée en
dehors, et, avant l’émission du pollen, elle ne diffère point sensiblement des autres anthères
immobiles. On sait qu’en général chaque loge d’une anthère est formée de deux membranes
qui naissent du connectif et qui, en s’écartant l’une de l’autre, laissent échapper le pollen ;
mais ordinairement les deux membranes restent attachées au noeud commun ; dans les Berbéridées
au contraire, la membrane qui regarde les pétales, ou, pour mieux dire, celle de la
face se sépare du connectif avec élasticité et elle laisse à découvert la surface intérieure de
la membrane dorsale et persistante. Il n’existe donc ici, comme je l’ai dit plus haut, aucun
organe particulier, mais seulement la déhiscence des loges éprouve une modification légère.
Quoi qu’il en soit, la position de l’anthère, dans les Berbéridées, et son immobilité viennent
confirmer encore les affinités de cette famille avec les Anonées.