'Au M e r lan . Part. I I . pag. 144. & au C o lin .pàg, i#j.
En Sardaigne, on nomme le premier Merlano, & le dernier, Morthy g ).
Au T A u. Part. I I . pag. 140.
Selon Mr. le dofteur Schoepf, ce poilTon fe trouve dans la baie de Hudfon
& dans les eaux voifines. Les Indiens de ces contrées le nomment Marthy.
A la L o t t e. Part. I I . pag. 160.
Suivant lé témoignage du docteur Schoepf, ce poilTon habite aüfii la
baie de Hudfon & les eaux voifînes. Les Indiens l’appellent auflî Marthy.
Mr. Falck affure qu’on trouve la lotte dans toutes les eaux de la Rufiie
& delà Sibérie, excepté dans celles qui font falées. En plufieurs endroits,
on en fait de la colle de poilTon, dont la livre fe vend cinq à dix copecs;
mais cette colle eft bien plus mauvaife que celle des efiurgeons. En Sibérie
& en plufieurs endroits de la Rufiie, fur-tout chez les gens de campagne
& les nations anciennes, on fe feft de la peau de ce poiffon, au lieu de
vitres. Elle eft aufli claire qu’un papier huilé. Les Oftiaques & les Tartares-
Tfchulymfches fe font de la peau de ce poilTon, ainfi que de celle de bien
d’autres de ces animaux, des habits d’Été, & des façs pour y garder les
pelleteries. Les habitans des environs de l’Oka nomment ce poilTon Mantus;
les Tartares, les Barabes & les Teleutes, Korte-Balik,; les Tartares lui
donnent encore le nom de Schamle. Les Bafchkires & les'Kirgifes lappellent
Schamba^Balik; lesWogules, Tfchi; les Wotjaques, Nalim; les Oltiaques,
Niukol; les Tfcheremifles, Lanba; les habitans des contrées de l’Ukraine,
Meniok, & les .Calmouques, Chotubre h f
Aux P e r c e - P i e r r e s ea-gM-eL Part. I I . ¿¡fag. 103.
Mr. Moor en décrit une nouvelle efpèce de l’Islande z ) ; & le doéleur
Schoepf parle d’une autre de la Nouvelle-York, où on l’appelle Kingfifih.
Aux A n g u i l l e s en général. Part. I I I . pàg. 2.
Ruyfch fait mention d’une nouvelle efpèce anguille, qu’il'prétend
avoir des piquants à la tête F ), & encore d’une> autre pourvue de deux
barbillons /). Boddaert en décrit une fous le nom de Colubrina m).
A /’ A n g u i l l e .: Part. I I I . pàg.,
Près, de Gibraltar l’anguille parvient à une longueur de quatre pieds
fept pouces, & pèfe dix-fept livres n). Sur la côte de Norfolk, on a pris
g ) Sard. III. pi 10#. 109.. '< v,~ V , C,\ MfyfJZeepaling. p. a g. -
/i) Faîcks Reif-Tom. III. p. 421s /ra|; ■Neue Nord. Beytrag. II. p* 55.
i ) Islaridi p. 83- • ‘ • - #.) Hannôver. Magaz. Ann. 1785. p. 459.
k ) Bilan g. Theatx. Anim. p. 27»
une anguille qui avoit cinq pieds dix pouces de longueur, fur neuf pouces
d’épaiffeur & deux pieds de circonférence, & qui pefoit 50 à 60 livres o).
A ux L o u p s ma r i n s . Part. III. pag. zq. ’
Mr. Bafile Zouviack fait mention d’une nouvelle efpèce qu’on trouve
dans la mer du nord & la mer blanche, qu’il appelle Anarhichas Pantherinus
Kykaka & Cica p). J’en ai reçu une femblable de la Norwège.
Aux P o i s s o n s c a r t i l a g i n e u x . Part. III. pag. z j.
Arijlote afiure que les femelles des poiffons cartilagineux font plus
grofies que les mâles y).
Aux . L amp r o i e s. Part. III. pag. 30.
Mr. Hartfmk fait mention d’une efpèce de lamproie , qui poffède la
propriété de T anguille tremblante. Il la met au nombre des poiffons de
rivière de la Guiane r).
Aux R a ï e S. Part. III. pag. 48.
Mr. Duhamel en décrit une nouvelle efpèce s). Cet auteur fe trompe
quand il prend les appendices qu’on obferve aux rayes mâles, pour des
membres de générationir).
. Aux R e q u i n s . Pari. n i. pag. S j.
Mr. l’abbé Molinà décrit une nouvelle efpèce qu’on trouve dans le
Chili zz); & moi j’en poffède deux dans mon cabinet, dont Tune m’a été
envoyée de la mer du nord, & l’autre de Tranquebar.
A P A g u i l l a t . Part. I I I . pag. 68. ■
En faifant des recherches anatomiques fur les appendices qu’on obferve
aux mâles, j’ai découvert que ce ne font point des membres de génération,
comme le croient les naturaliftes : ce font plutôt des pieds ou des mains
qui leur fervent probablement à tenir la femelle ferme pendant l’accouplement;
car ils font compofés de petits os, de mufcles & de cartilages x).
A i P o r c . Part. IV . pag. 22.
Rondelet fe trompe quand il dit que ce poiffon eft ovipare j ) , & non
pas vivipare, comme les autres poiffons de ce genre.
©) Berliner Zeit. Ann. 17,86. 34ftes Stiicle. u) SqualiisFernandinus. Naturg. v. Chili, p. 306.
p ) h&'. 'Petropol. Pars I. p. 271. x ) On trouvé un détaihexaa dé ces parties dans
q) H. N. iib. V. cap. j . - ma DiiTertation anatomique, que j’ai fait inférer
r) Guiana. Tom. I. p.144. dans l’ouvrage intitulé c Schrifien der Berliner Ges)
Moebular des Caraïbes. Traité des Pêches, fellfch. Naturforfch. Freunde. Tom. VIII. p. 9. pl. 2,
Tom'. III. Part. II. Seâ. 4. p. 119.3. y)- Hilh des PoiiT. Part. I. p. 30a,
/) Au livre cité. Part'. II. Seéh .4. p. 277.