xïj P R E F A C E.
quelquefois dans des couches de terre ôu de
pierre, de divers endroits de l’Europe. Mais
ces fortes de difeuffions appartiennent à k>
théorie même de la Terre..
A MONSI E U R
XÏîj
DE REAUMUR,
t)e l’Académie Royale des Sciences, delà. Société
Royale de Londres, & des Académies de Peterf-
bourg & de l’Inftitut de Bologne ; Commandeur'
& Intendant de l’Ordre Royal & Militaire do'
S. L o u i s , &c.
] V 1 Ô N S I E U R
C E n’efï que depuis le feiziéme flécle, que
les Philolophes ont recherché, d’une façons
plus particulière , à-connoître la Nature ; c’eft-à-
dire , qu’ils ont taché de pénétrer tous les fecrets
que les ouvrages de la création nous prélèntent
dans le Ipeclacle de l ’Univers. Les globes céleA
tes, le globe de la terre, les météores,, les foïïA-
les, les plantes, les inleéles, les poiilons, les
reptiles , les oifeaux , les bêtes à quatre pieds
l’homme j rien n’a été oublié. A mefure que l ’on
