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CANNA INDICA.
Fam. des B a l i s i e r s . J u s s .— M o n a n d r i e m o n o g y n i e . L i n .
Canna indica. C. foliis ovatis utrinquè acuminatis nervosis. Lin. Spec. 1. Roy.
Lugd-b. 1 1 . F l. Zeyl. i . horl. Ups. 1. Mill. Dict. n. 1. illustr. ic. Thunb. Jap. 14.
Goertn. fruct. 1. p. 3y. t. 12. f . 3. Lam. Dict. 1. p. 357. illustr. n. 1. t. 1. Desf.
ail. 1. p. 1. Balsch. anal. Fl. 2. p. 86. t. 18.
Canna indica. C. foliis ovatis utrinquè acuminatis costatis. JVilld. Spec. 1. p. 3.
Pers. ench. 1. p. 1.
Canna indica rubra. C. flore toto rubescente, foliis elliptico-ovatis. Ait.
Kew. 1. p. 1.
Canna indica. C/us. hist. si. p. 81. ic. Rio. mon. 1. t. 112.
Canna indica rubra. Besl. hort. Eynst. aul. si. p. 1. f . 1.
Canna indica flore rubro punctato. DeBry. F l. noo. t. 18. Swert. Jlor. t. 32.
Canna spathulis bifloris. Lin. hort. Cliff. 1.
Cannacorus. Rumph. amb. 5. p. 177. t. 72. j . si.
Cannacorus latifolius vulgaris. Tourn. inst. 367. t. 192.
Cannacorus ovatus. C. foliis vaginantibus ovatis acuminatis utrinquè nervosis,
caule tereti sub floribus triquetro, bracteis bifloris, floribus pedunculatis.
Moench. méth. 526.
Gladiolus indicus. Cam. epit. 731. ic.
Arundo indica latifolia. C. Bauh. pin. 19. Theatr. 322. ic. Math. comm. 701. ic.
J. Bauh. hist. 2. p. 489.
Arundo seu Canna indica Clusii. Dalech.hist. 1001. ic.
Arundo indica florida. Lob. ic. 56. Ger. hist. 39. ic.
Arundo indica latifolia sive florida. Tabern ic. 256.
Arundo indica florida latifolia sive Canna indica. Moris. oxon. 3. p. 25o. n. 1.
s. S. t. 14. f . 1.
Katu Bala. Rheed. mal. 11. p. 85. t. 43.
B A L I S I E R DE S INDES .
d e s c r i p t i o n .
La racine de cette plante est épaisse, tortueuse, horizontale, rampante,
garnie de fibres. Elle pousse plusieurs tiges droites , herbacées, simples,
noueuses, légèrement comprimées dans le bas et anguleuses près des fleurs,
de l’épaisseur du doigt} et d un metre environ de hauteur. Les feuilles sont
alternes, engainantes à leur base, ovales, pointues, rétrecies aux deux extrémités,
glabres sur les deux surfaces, roulées en cornet dans leur jeunesse,
entières sur les bords, munies d’une côte longitudinale qui diminue à mesure
qu’elle approche du sommet, et qui émet de coté et d autre des fibres régulières
et parallèles entre elles.