
IRIS PSEUDACORÜS.
F a m. des I r i d é e s . J u s s . — T r i a n d r i e m o n o g y n i e . L u v .
Iris Pseudacorus. I. imberbis, foliis ensiformibus, petalis altérais stigmate
minoribus. Thunb. diss. n. 18. JVilld. i. 23a. Pers. enchir. p. 52.
Iris Pseudacorus. I. imberbis, foliis ensiformibus, petalis interioribus stigmate
minoribus. Lam. Diel. t. 3. p. 299.
Iris Pseudacorus. I. corollis imberbibus, petalis interioribus stigmate minoribus,
foliis ensiformibus. Hort. Cliff. 19. F l. suec. 33-37. Mat. med. 44. Lin.
spec. pl. 56. Gmel. Fl. sib. 1. p. 3 i. Mill. Diel. n. 1. Fl. dan. t. 494. Pollich. Pal*
n. 35. Roth. germ. 1. p. 17; s l. p. 43. A ll. Ped. n. 3 12. Smith. F l. brit. t. 1. p. 41.
Fl. fr . éd. 3. n. 1993.
Iris caule inflexo, foliis ensiformibus, petalis erectis minimis, reflexis imberbibus.
Hall. lieh. 1260.
Iris palustris lutea seu Acorus adulterinus. J. Bauh. hist. 2. p. 732. Morís, hist. 2.
p. 353. sec. 4. /. 6. f . 11.
Acorus adulterinus. Bauh. pin. 34. theatr. 634. Blackiv. 261.
Pseudo-Iris. Dod. pempt. 248.
Iris palustris lutea. Tabern. ic. 643. Raji hist. 1 186. Syn. p. 374. Tourn. inst. 36o.
Acorus nostras palustris. Lob. ic. 58.
Acorum falsum. Camer. epit. p. 6.
Acorus officinarum. Fuchs, hist. p. 12.
IR I S F A U X A CORE .
D E S C R I P T I O N .
On reconnaît facilement cet Iris, le plus commun de tous ceux de l’Europe,
à ses fleurs entièrement jaunes et sans barbe, dont les segments intérieurs n’atteignent
pas la longueur du stigmate. Sa racine est oblongue, charnue, horizontale.
Sa tige, qui naît au milieu d’un faisceau de feuilles radicales presque
aussi longues qu’e lle , est droite, feuillée, élancée, haute de 8 à 15 décimètres,
un peu flexueuse vers son sommet, Ses feuilles sont engaînées, en forme de
glaive, d’autant plus courtes, qu’elles se rapprochent davantage de la partie
supérieure de la plante, vers le haut de laquelle elles se transforment en bractées
oblongues, concaves, à demi-membraneuses, qui entourent lespédicelles
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