PLANCHE VINGT-TROISIÈME.
NATUREL, GOGHER D’UN EUROPÉEN.
I i’emploi de Sarati, ou cocher et postillon, chez les- anciens Indous,
parait avoir-été' lin emploi de confiance et hohorable; èt'juStpï'a ç'è
jour le Sarati est encore regardé parmi les gens tomme il faut du pays;
comme un domestique de confiance, et au dessus des autres.
Les voitùres des naturels du pays ont deux ’roues, elle1Pfbrri|ent
communément un quarréde quatre pieds, haut de cinq, et sStérMffiîënt
en forme de' coupole.—Elles'sont tirées par cfês'-'boeüfs qîron élSve S
Surate et. à Guzzarat, et qui sonHes plus grands e t lé's'1' plus" beau*
animaux de leur especp qu’il j ait auàrïonde. Le'cofeSef^uri'naturel
du pays est assis sur le devant de la voiture, qui est ouverte-*de tous
les côtés. La corde de son fouet est de cuir nbri "apprête ; -de manche
èn estjCOurt,et il ëst garni d’un aiguillon de fer au bout, dont^yctÆher.
pique de temps en temps ses boeufs. Il lés dirige àÿtftpdes fênéS qtg
leur passent dans les naseaux. Quelques-unes de ces vôitürès fi'Ônt
point de couvertures, et ressemblent à une plateforme.