PLANGHE CINQUIÈME.
PORTEURS DE ROUANAI,
SOUVENT APPELÉS PAR LES EUROPÉENS PORTES PATNA.
L a chaise ou fauteuil, ou comme on l ’appelle dans- l’Iridè, ife pàlan-
quin, ressemble à la chaise à-porteur de ce pays:ci ; mais'aUdiBu dé
bâton's latéraux, elle a en avant et en arriéré un bâmboirêpaisjespecë
de roseau creux, d’environ quatre pieds de4ong,”assûrépar des verges
de fer. Il y a. encore- d’autres palanquins ou litières; dans lesquels Otî|
est assis, les jambes étendues, le dos soutenu*pji aine plûnc lie et (les goü«“|
sins. Ces porteurs -sont Indonsy et on-eKloUè'six^hÙi^ïdix-jitiii^louVe';
il y en a toujours quatre sous le bambou ; les autres courent waftûdïr
palanquin, afin de relever lcuis cainaiades quand iis sontufjiigi'iés.j
De cette maniéré, ils vous portent à une distàn^eonsirférable? en
faisant de quatre à'cinq miles par heure. Dans qt^hqües^ parties
de l’Inde, le porteur en chef prend soin- des effets dersop mâitre;
les clefs qui pendent devant lui, désignent cette partie dë'sonremjjl'dit-
Sés camarades sont employés 'dans-l’intérieur de J a- rijaisorçs 6 ü< w
cultiver lès champs et les jardins; Us sont extrêmement honnêtes,' et
l’on a la plus grande confiance en eux.