PLANCHE DOUZIÈME.
POUQUIMAR, OU PRENEUR D’OISEAUX.
L a manière dontees gens-là prennent d e s ' - o i s e a u x , - d e
la 'gîü -siBr.- la pointe de longues gaule» tft>éessjles unes dans les
âùtïes epinttfë des bâtons de lignes ^»g®WiM.hant do 1ghssçijthc,é}>
gaules au'tia\eis des Jeudles et des braiiehcs <d’un arbie, de (nifUnerg
à ce que Uoiseau ne puisse prendre raLunie, qa^*lôî§qubl5js^tûjp]t,dr(i
pom écliappcr. Pour prendie des oiseaux doqp i enduis' sbijncl^enkuii
grand pot de tone sm la tète, et nagent fort lentement^ jjisqujiw^
qu’ils arrivent au milieu de leurs victimes, qu’ils tiWril: .sojas Hqup'jiajr
les pattes; de eette maniere.il leur arrive soüventM’ep’-aWir
un bon nombre avant quilles autres aient pris l’alarme. - -