PLANCHE TRENTE-HUITIEME
FEMME D’UNE CLASSE INFERIEURE.
L orsque des femmes de cette-classe .deviennent veuves, elles ne
peüvent pas porter des bordures de couleur à-fours .habillements ; il
leur est' également' interdit’ de porter1 aucun autre oruîfïfiefft^q 0’un'
collier dont les perles sont'de bois, U pom mieux détiuiie toute îdCé
de' vanité chez elles, dn leur rase Ia-Eêtejetjrlj|!> deviennent dés espece?
de servantes dans la maison. Suivant les lois de-t lndjiusj-une-seuve
ne peut pas se remarier, et c ’est pour réprimer scs passions, et la pm c i
,de.toute attraction'personnelle,' qu’on la dépouille de tout Ornement-ét
qu elle est réduite à l’état do sers itude. Heui eusemeii t cette interdiction
odieuse’ est inconnue à nos aimables Européennes, qui n t'prous errt
aucune contrariété dans lé développement de; leurs graceSj et peuvent
toujours accorder librement les faveurs qui font le bonheur c|pJdmm,me.