PLANCHE VINGTIÈME.
BAULBER.
G ê mot dérive par corruption. du- motdiarfriëî^ ^ar <éômpi,ê les Maho-
métans»èt-les naturels de l'Indb n’emplo^ènt ^ fia is derfcôëfifeur;rils
n-’ont pas-dans leur langue de terme-pour'érpriffle^ce mgLler. Le
eoëffeur Indien est,;cômme -ses confrères «TEdrope, le^rapd-pfopagaW
teur dés nouvelles-et cfèà menspnges.d^jOTir,. et-sou vent il y mêle, des
embellissements qui approchentrde la fable.
-O n voit dans sanOTabit,.oufamma,:qü'il convertit-ç-fiUtablierrIes
ustensiles de sa profession, savoir le peigne, friser, e f auprès
de lui la boëtfe à poudre e t à pomade; habillemenyot- àî spn
extérieur, on voit que c’est un Mahométan. -a
Le métier de bkrbier est un métier à part. Celui qui rase ne peut
pas-coëflsr, et celui quixoëfie ne peut pas raser. -