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^Üan dirmoiiSe'
letifememt pendant ^ g t :%)t,;ans | & apprit aux -Germains
la Poëûe & la Mufique* dont il tenoit l ’invention de fou
ay,£î& Il
T oul, dont les^Habitans furen’Ètappel’lés.de fon nom Lucen-
' JÈs^ On prétend auflà quil donna fonmom aux Lucotétiens }
, marqués .far' P.tolomée M -Ü£s bords de la-Seine, & qui
ne peuvent être que lès 'Paiifigns , dont la capitale efl:
appelée jar-Straboa, & L u c e d a ^ i l3Em.pereur
, ‘ H t
, Après la mort- de Lucusy Celtes -monta *fur le T rôn e ,]
quHui-appar,tenort par & hai-ffa-ncé. C’efi de ce neiwieme
, QaulâÉjfcqui^pôfctôiMg^UM
le nom de
im;' de leurs
<en eî?'Odt',
q^h^riiqien0
.Samothéens i, '& de Gomariens (i p | du -Ji
• • JFondateurs rirent celirivd'è Celtes. Si Tq
faux B é ro fe , le mot lignifie en lang:
- Emhrafement 5 „parce que fous ce régné, les vaftes* 1 forêts
des-monragnes qui féparent les Gaules*de 1-Efpagne-furent
' \ embrafées , ce qui'fit donner ‘à cette^ chaîne le nom de
■Pyrenees jj 5 ) , c’eft-à ^ dire' montagnes d£Ïèiïï Oekes
n'eut qu’une fille nommée Galathée , qui fuc-mariée au
grand Hercule >-amfi que le -rapportent-Bérofe ^D jo d o rë
de Sicile ,M v . V . '
■ • H ercu-ee le Lybien, ou plutôt l’Égyptien, fifcdpfyris,
& qui fug îpomme lui pîagé au rang des D ie u x lo n g -
, .temps avant-la naiffance deTHereulèdes Grecs menteurs,
fon mariage, avec'Gâlàtliée, l’an, du monde 2248 Ôc du ;
[ MàrQèlîm'vj l iv ÿ rX K , ~
Héios parcourant la terre pour la purger des’monftres ôc ^
^dèâtyrans',' sHprêta-’dans l|si@aul^'|æ\^^^^^r|q.qjî^ ü
Géryon, 'époufa la fille de Celtes , dont il eut un fils *
appel'lé Galathès^ du nom de fa mere. Hercules régna
trence^îroisjans furies Gaulois, ôc fonda. la faineufe ’Ville
J ( â i | ^ 8 r f e r o n t - ^ s A o u r ^
égaleient fes exploits guerriers il eut plufieuLS enfàrîs,
là | j j |
?flls nommé T^^^^^pcaqliL/ e^
paffage de Tacite, piétend qu’Heicule TEgyptien tranf-
poïta le culte d’Ifis dans des Gaules : il n’en a pas fallu
“ davantage pour lu i attribuerdà fondation du Temple d Msïyj *
^^^ l^ P 'aiifôn ^fo^ ^ ^ ^ e^ ^ n om | •& ^ elle^dé'l^^j^^
de Melun, -appellée en Latin ~JJîa. Cet Hercule efl celui
giiîë -les Gaulois appelloient Ogtnius da®fs »leur, Idiome.
Herculem Galfli lingua. gentis vernaculâ. Ogtnium vacant s
ydi't^Iiu'eièri |
lui une multitude
d’hommes , dont les oreilles étoient attachées p l ÿ
de fon éloquence (y,).
^ ^ ^ ALAthès
aux Gaulois , qui s’appéîlqient 'avant lui Samothéens ,,
<Ï) « U n>a pas d’apparence »-tüt-Dup;««, ®xe ce mot-de Bitéce-vienne du .
» ‘Latin .Lywro., à caufe. déia
: fàlet^ rSa. fu^é^que PMle-q^çn i y parloir'pas Latin Je fi long-^
temps en Gaule Qn -ferra .plus bas les aiyerfcs étymologies c
.i.utto.& dë iPflÇâi, 7 %_
^ Apumen Malëllm , Iw. XV.'t prétend fur-d’anciennes traditions -re-*
quelles premiers Habitans des Gaules étoient les.
^ôorigenef j ;aùi.,éhàngerent ce nom pour celui de Ce&ff &de GaZfzter, à caufe de
celui de leur Roi Celtes & de fa mere Galatée. Aborigioes-?rimos 'in his -^egioni- ,
' lus quitkm vifos ejfefirmarunt, Cvkaspmine Regis amabdis ù-.nmîs ÿusvocabulo
Galatqs 'ditios ; Ua-enim Gallos ferma-Grazus appellat, B. Martin fe fert de.ce"
paffegê, pou^ prouver que les ^borigenes'/d^Ii^é^^o^ônï defçendus les
Romains, fontVoriginaîres des Gaules;, & quainfi les l»*R,omains
^ ,.x - - ' ” ' /' ’ J '
c ®?é rfeu. Voytl fur'ce yafie^ïncendie, & les fuites qù’Æ, eut,
' Diodore de Sicile, ZiV-Fa, C/i. IX. ID’autires difenr- que le nomde Pyrénées fut
donne à ces montagnes par Hg^eiile, à caufe de fa maîtreflè Pyrene, fille du Roi
des -.Bébryces, qui demeurbit-au pied de ces monts, & qui y périt mfeçalilèinep^
après avoir accouché d’un fei-pent. ''F’oye^Partheni. amor. & Sili|^|^]. Z»V. Jîf.
- Diodore afTure que^l^B^^^fe^fyrèn'écs Æt fî confidérable qu?il en
^o'uioit dés-ruiffeaux d’argent &dé mètàl'fondu^j qùe cet événement engagea
fôr! à fe5re exPloiter ies
«liriez 7If lT1fnfes‘ \ \ -
> ~ (4) Quoique j’aye: prévenu les Ledeurs, que toute la fuite des Rois Gaulois ,
jïrée du faux'Bérofe &"dd SuRplémens^de Manéthon, foit fabuleufe & fuppofée:
on doit\cependant être furpris de l’ancienneté de quelques-unes de ces traditions,
puifqu’Asnmien IVbrcellin liv. X F , îes;rappo|te d’après Timagene , ilifiorien
I des Gaiiies ÿ qui vivoit'fous Augufte. Par là méme-raifon, je vais rapporter .une
’ parde du texte de Diodore.'«Hercule, dit-il, In». JF", de retour d’Efpagne où
» iiavoit terraITé Gé'rion, parcourut les Gaules , & établit par-tout une exade
» difcipline : en particulier il1 abolit r.ufagqf&s Vidimes humaines. Etant fur le
jb» point de partir ^îfckâtitmne grande 8C-/beilë/ peupla, de- cet^r
y „"multitude de Gaulois qui ma'rchoient fous fes étendards, & qu’il, appella en
» conféquençé Alefm , mot qui ^^Réunion, ajfemilage : cette Ville pafTa
• » toujours pourimprénàiJle, & elfe le fut en effet jufqua l’an 701 de Rome, que
- “ Céfar l’emporta apres un long & pénible fiege............Ce fut pendant
« qu’Hercule' étoit occupé à élever fes murs, qu’il reçut:1a' vifite de Galatée ;
a» fille’ de Cèltès, Roi des Gaules. C étoit, dit Diodore'de Sicile, liv. Vt une
^jeune Princeflefqui réuniffoit une -beau^Tjtëjfaitje; une taille ayantageufe & des
M-fôrêès extraordinaires. Tant de dons de la nature lui donnoicnt un dégoût pour
• » les Princes qui la-recherchoient;.mais la hautetmine & IaTçput'ation «l’Hercule ,•
a» lui - fiî-ent’defirer d’avoir un fils-de ce Héros, ^onj^pere qu] foiïhaitpu ’deguis
' long»temsîque là fille lui donnât,un luccelfeur digne d’elle & de lui^ entrafianj, 1
^ ^ è ^w e ^ f^ lu ^ e r am tyd’admetfré‘ Hercule
, x fils, qui répondit aux defirs de la -mere & du grand pere . . . Ses exploit?
w'firi»n>. de Galàtes , que ce Prince leur aygic
» donné, &c. >. Parthemus in*ErotW^^Ù>-«XXX, change les noms, il dit que
. le" Roi'-des Gaules-.s’appelloit Bretannur, Jâ\fille'Ce2nne , & le fils qutelle eut
d’Hercuie'eut le nom* d'eî&/çdrqù’iîiâdnha à-fes;lùjbts.vll fèmble que les â^ëns
lures d’Hercule n’aient été imaginées par lès anciens, que pour donner l’origine
■ dês^p'msdeiGeZcex&'de^aiJflter^qu’ont portéles'Gaülois..
S ^ ^ E ’C’êft de Xucien qu’Alciat a tiré ^ette belle Defcription de l'Hercule
Gaulois.
Arcum lava tenet, rigidam fert dtxitra clavamï W;:
^ -Comegic &■ Nemees corpora mida Léo:
‘Herculis h ^ c ^ ^ f ^ s ^ ^ ^ comemillud,
Quoivems -
Qmd, ’mâdjlwguajlli levibus tnjéEl'a caeenîs f '
. - ■Quels ffld faciles allich aure viras ?
Anne juod Alciités UnguânoirrmorbGalli -,
: , , Trxjlantem -populii :j^a ided0:feruta ‘
. (kduntwma^gë^p gumvis duritfma'corMï
Eloqw follauj aifwtvou'Vahicr'ÈMeM. G ^ 'p X ^ t,
ç-Çréel Jou aJIcgonqij®|
Colonies Gauloifes en
11 efl: incertain' fi Ogrÿius ou l’Hercule Gaulois ’emj
D. Martin en fait un Conquérant vqui mène l'es pren
Efpagne, en Italie , en Allemagne : c’eft à l’exemple de
lOg/nififi que, lés
r^Gjecs ont fait leur Hercule Mufagete. -
” On parle d’un autre Hercule Tyrien, qui a conduTfdans les Gaules une
'Ccoloniç de Phéniciens de la'-Ville de Dora; les Grecs, l’ap.pcll'oient Macem, St
les i^auloiS Macufan : ainli voilà déjà deux Hercules Gaulois. Orfjpnécendique
ces Hercules Gaulois, qui^palTerencies Alpes, Sc qui font le prototype des autres
Hercules, n’étoient que les anciens Preux des Celtes âppellés Carié ou ^er/e‘ dans
leur langue, ^ dont les exploits étdiéht lé^jét'des chants héroïques des/Bardesg
Voyez fur les Hercules Gaulois la douzième 'Diflërtation de D.• Martin à la
tête de YH/pire des Gaules, où il fait voir que l’Hercule Ma’cufan, dont '
. -Habitans des Gaules tirent leur, origine,,, eft
«Phénicie
devant les armes de1 Jofiié, T ’i •
H I S T O I R E D E P W J /jty fS ’. ■
^ pM vééiéüS^& Celtes : }qïCd^S,amom0 $s^ t m .
dicti , dit B e ro fe , liv . F '. C e R o i pafla en S ic ile } que
^ ^ ^pîfôi.Tufcùsvlüi» a v ô i t i |^ q ^ pM É a ç l^
où i l fournit toute cette contrée , qui fut ap pe 1 iée de fo n
nom GAipktâ&jfmS' ! - -
G re ce , aujourd’ hui la Na to lie : on peut&yÆÜUJiEJôgéfde^
Galathes dans Diodo re de Sicile , liv , V .
O n prétend qu’Mf,}ét-ta l'es premiers fondemens de la ’ « ' l e
des Gau le s 1 appellee AWÆo/z/zoi/d. D upleix dit
malgré l ’autorité de Bérofe.
L u g d u s , fils de N a rb o n , régna quarante-fix ans. I l fut
le pre^nier ^fondateur de la Ville de Ly©'®-, qui de fon nom
fut appellée Lugdunum , comme qui diroit la Montagne
ou la Ville de Lugdus f i ). Dupleix prétend même que
, vient de Lugdus , ,ôt il a- la
b©nnè-foi naïve de s’appuy^j; d'é'SëKjfé , qui dit qu une
!(Ekô^inleMW (^ ^ p i fM wj^ ^^ 'Q^ ^P^Mune,urs, guextifer^
leeiarent leuo: n^Êà; de ce Roi Lugdus : c’eft fous fon pegne
qu on^'p’lace la naiffance de Moife.
Beligius ou Belgius , fils ôc fuccefieur de L u g d u s , donna
pqn^j^m*I^ ^ ^P^^Ôc.vrafjlàvP-TÔyinGe‘:B e lg id ^m ^ em ^ u t .
c e que l’on fçait de c e R o i , mo r c fans p o fté ri té. Les G au lo
is voulant avoir un Monarque du fang d’Hercule ,
ghoifirent Jasius , R o i d’Ie a lie , doàt^le'pere ,,'tfuînoTni®é''
Ju p ite r , étoit fils de Turctis & petic-fils d’Hercule (2 ^
Ja fius , après un r e g .^ d e 1 cinquante-ans , fuE tué ’d|ihs#e
de?làoejrtf PhRygie^fiù^ilriejtta le^ffon^d^ens,,^®#damé.
depuis appeilée- de T ro s , fon petit-fils : ainfi les
Tro y en s étoient d’origine Gauloife 5 & la BrancRe
réunit a>u T ro n c après le fac de cette raa-lheureufe V jP e ‘.
j,';i^Aprés' >
ferva le Roy aume d’Italie ; mais les Gaulois élurent
ALLQflWy>W tr è ;- defleMatft^ q'djSb'i^inoit
dans le Dauphiné & la S a v o ie , dont les Habitans furent
• le 'dernier'
R o i des Gaules dont Bérofe aie fait mention.
reprendre la fu ite , il faut avoir recours aux Supplémens de
Man é thon, qui fe fert des^^années des R o is d’E g y p t e ,
;-fé^ à^ ^ ^ |B È a h;|3 ^ ^ ^ B É dé IRameffè^j dM E g yptfls id
ITgypç^^mrèsJ ep; aY'ûi?.|^afl^;,fon-)
frere Danaus : R omus commença à regner fur les Gaulois
après Mloferok-’-Ge Romus eft le fondateur de Tancieme
l^m & r^ d es -^e^ Ind q iS i^ ^^ ^M B elg iq h ef'a'p p ell^ e-i? !? -
' Romans
i$$alence\
, & leur
capitale appellée auparavant Lutéce L u c ed a , prirent leur
^ nou-vgap LÉmaj<I'üiS , fils & hérit:ier de Paris ^©ipÉ,
'p e 'n^ ^tfotx -ante-T e^^ E^fél^M^ ^^ II^ n^ T.OTfe|,cèkque
fctejfo'gjüé ce R o i établie une
[ '© M^é /fùr^ 'le^ dMs Jw-ilEac
nom le L a c Léman. L e Jupiter Crétois fleurifloic alors.
O lbius , fils & fucceffeur de Lémanus , régna quinze
' ' ans
en Grece
le»--caraélfre5,. G ^ o ^ ^ f^ p ô h ^ p a 'sW ^ ^ ô ié i^ ^ l^ M
fic|Saxo^ prel»
rhp eM ^cn||<§ |m l^
j ^ LATHÈs II
te r r e , qu’il appella OlbLon ou A lbion , du nom de fon
? 11 r e g r ip em ^ m t^ n s ' s f&H âiffl
(1) Je n’ai pas' béfoin-ïç répéter^qu’ayarit'Vû'de|Téîn^dè^fàîre connoître dans.
l'ai/ej’qui ont eu tant de vogue chez nos ehr'b'riiqueurs , il
troiïveradans ^j^oqub'îâÉ^tfé^l^iuts
•qui- d'étruifent toutes .ces; prétendues fondations;.feuilles par^^s Rois Imagi-
^i^pjf|o'nj||es nomsjlèmbl^ ^ ^ <?fbtgés;aprè^ coup y exprès pour rendte.râifons
de ce que l’on ignoroit.
Aut,relie, il eft bien certain que la Ville de Lyon ; dont oif a't^^mS» ordinïlife^y
mefet là-fondation ;,|eft‘ bien antérieure à ce Gén^^Romain. Lgsl;
Ségufîens'àvoicnt déjà au confluent de la Sône & du Rhône une Ville confidé-
rable appellée Lugdunum, qui en Celtique veut dire jonftion de Riviere, ou
félon d’autres Montagne aux Corbeaux, long-temps devant quévRlancus yïnt
fonder fil riôuvellei^yille , pour fervir de retraite à ceux-qÜ^^TOent.été chafies
de Vienne par la fiiftion contraire^ aux Romains ; comme on<le verra dans la
'•Dèjbription du lÿohhois &du Maufliïnéî’ " i.o
fi) On place finis le . régné de Jaiius le fameux Déluge de Dettcalion dans
l’Atiique, St une p/uie de^/èit-fcn Etlnopie, fuiwiè.d’un embr.'ilcment univerfel en
'Afrique, qui a donné lieu à'Ii'Fable Ae Shaiton ; fils dé 'Titàni,,S,il'étoit-'goffible
d’ajouter la moindre créance au fauxSpfè^^^SupplémensJdeManéthoii, ,on y
trouveroit une explication aflez naturelle de la Mythologie ancienne, qui a fa
pHhdpale fourcè d,ans lesfaits hifioriqueS j défigurés par lesV^oétes & lwîtra'di-
tions populaires. Voy'. l’Explication des Fables par tHipire'i ^^^'.ÎAy’tAoïegie de
M. rÀbbi.Bdnier.
éà-ïÇw On peut voir les diverfes opinions fur l’étimologie du,mawÂlloJirpge
dans la belle Hifloiredu Dauphiné, par Clioner, hV. II, pag. 113.' Cejii'ot\qui,
a pafFiç en proverbe^ pour défigner un homme fans urbanité, un montagnard
groflïer qui ignore'la langue & les maniérés , même du temps de Cieer'o'n;fûi|y!ant
lo fens de ce vers de Juvénal ;
|f^$gnor, dis-je, a donné Itemà^bjê^de^^ih^n^^^uïe^fuivanè^S 'ftns
j^^^yné des Racines Grecques, Latines 8cHéb^î^®^ffîî^^^i,yVrouyér; 'Le
Sclioliafte de Juvénal fur le verk cité ,-^nous àppYéria:qifôâamHa»Éangff^G^laqù5e^
All6brog^ÿè^qiroBtrangér§^fl^Fgnîfi^AÙire<^SrbgbifBrïg, P<jyj>Gànfpji. Le
Gé^grapSe Etp&iwdè quèl^^^SBfogesi’étoient unetColMuè’ de’
t'Ç«lpr|)lqui,'vint 's’éfabliii'dàhs' lès'^ ^ ^fdt^lMenditll^lon^'dm Rhône & d«
®lpAi!?: Ils fermèrent dans i l w f i i y ^ d o n t on
léf’ Cités/ ààhsA^DejaiptfplaSÇr^^’,
qùifigriifie>'ÿ^eOjii ‘Fwc^
^ ^mlélinêmeMens yd'è' lâ~vient,
la fq’paatio^a^yalence^l-Emperpur Valentinien '
même fimrce^que^quel^^^^ ^ u^^^^^^^^ . le nom E\tïnfye^jaf'Wn^g;
Rome, Quondam eàam'^d^Jàmignôràtumf ^ioit Faknda à’viriius^. à'caùjCê du
courage de' cès/,Peuples. m êméUo fe
s’ênmî^itf^^^Suy^M^^alg^^^^^^^felaTohdàrfon ddRome), étmà
une chimere ; què 1 e'saeum^^'ôg^çe.tffecapitale dît
étoient‘dûs à la%le6¥dyfatHabitans &e. Voy'^&tm^^giron' à^Djùphii^l'
^Ælifabcell^dela'France.' ^ (
(j) Annius de Viterbe qui feit cette remarque t> s’appuie de l’autorité de
î^i^phôn;!,,'in aquiyè. m^isjees <’dgffij^i^<.a
^^liiîs par' Ann^Sfont.auffi Wpefis q u ^ ^ ^ ^ ^fcManè^^r^iJénVmrf
. Àuteur. Si les PWnmièn,s|n’|Ont .pasiipyéntejes^caraderes deT’écrlt'u'r^iice' fonc
, æux ds moios; qui ont le plus contribué à répandre dans leurs courfês
&
1Allobroge