
 
		. 4 o   g g l j  l ï ï ;i |   T   I 0 f . 
 ’ mandoit  à  Paiis’ pour  le  Gouverneur  de  la Province ,   reçut  
 là-palme  du’Martyre ,  ôc  avec  fes 
 D   M   L   A   F   R   A - 'N   C   E .   . 
 deùîx-'Gom|^gn^||^^ufti(jue  &   Eleutheré.  
 ^EimQn/^esvperféou'tôUrs ordonnèrent  q u o n   je ttâ t lés  trois;;  
 corps  dans  la Seine-';  mais  une  Bame -P-aye'nnë ,   qui  avôit  
 de  l ’attrait  'pour  le   Chriftianifme,  eut  l ’adreffe  de  les enr  
 le v e r , &   de  les-faire  enterrer  fecrettement  dans  ün  champ  
 ^^^^üi-^gpar^enokj^^^p^jîâu^QÙ^d^^piènt  é té   déchi 
 r é s  j '&   ior-fque  la : perfécution  fut  c e lfé e ,   elle y   fit  élever 
  „un 7tômbeaii‘và;'da  -maniéré  dés  Ghrëtiëns  ,   en  
 g.nànt  ûn  Oratoire-ou  lieu  de Prières.  L'A u teu r   de ‘la-  V i ê   
 âe  Sainte  G'enevieve,   éciûre,-dix-toit ' ans  après  là  mort  ;  
 de  la  S ainte ,   affure-pofidVem,ént  que  Saint  Dénis  &   fes  
 Compagnons  ‘furent  enterrés  dans  'le; lieu  Même- de  leur  1  
 m a r ty re ,  .qu’ü   a-ppetle■ F'içzis  Gatptèçenfis 3  .&  quemm u ^ i  
 teur  d e s . ;& ié s   7/ appelle  F i c u s   Cà- 
 M t ià ë û i .   M .  d0 'T i l ê m O u ü {H iji.  EccLéJiaJi.,   tom.  I l  y  
 patr.  713 ') 3  obferve  à  ce  fujet  que  les'  exécutions-^fe  fai-  
 foient-alors  hors,  des  Y i l'le s / fu r  le s   grands  chemins  qui  
 ëtoienr  bordés  de  fépulcres  &^le't:0^f%aux^,,  &   que  les -  
 mots  'F icu s  Oatolocenfis-  défignent  le   chemin  q u fc o n -   
 - d u i t à  Catalocus,   qu’i l   croit' êt#è1pfâ|l;©t //d-autres  pen-*  
 fent  que  c e f t  Chatou ou Chantilly )  ;  ce  qui .détruit  l ’opinion  
 commun e,  fuivant  laquelle  les  t ro is   Saints  furent  
 exécutés fur-la Montagne de Montmartre^,   &   enterrés  dans  
 le   lieu   où  -eft  a%|ourd-Mui  ;F Abba ye  - de  S aint - D e n is ’ -eri, -  
 France)  quoique  c e   fèntiment p aroifle appuyéfür  les  a£tes-  
 le s   moins  défectueux'que  nous ayons^de-ces  M a r ty r s ,  &   
 q u i  apres- tou t  -ne  font  que  du  neuvième  fifecle  ( 1 ) .   L e s   
 premiers EvêquesfuccelTeurs de Saint Denis-, furent (fui-  
 v-ant  les  Auteurs  du -G-alLià ^Chrijk  tom.  F i l ,   pag.  13',  
 fondés  uniquement  fur  d’anciens  Catalogues  )  Malïon ,  
 MaJJics, Marc & A v e n tin  , dont on ne fçait rien 3 & dont il  
 n eft pas  même pbÎTible cde  fixer les  dates. 
 Après  la-perfécution S A u r è lie n , les'Gaûles  refpirererit  
 un peu  fous  l’Empereur Probüs,  dont  le'régné fut  trop  
 court.pour-ley bqh'Kêür de l’humanité. Après  avoir' .chaffé  
 les  Francs  ô t les Bourguignons,  qui  commençoient'leurs  
 ineurdb'àsfdlÿ  ce beau^pays  &  avoir  reçu la foumiffion  
 de neuf Rois des Nations, Germaniques.,  il donna  la  paix 
 m   2 7 7  i  . j 
 rendre fês fujets heureux, & relever  ou bâtir  forxante-dix  
 Villes. B  permit  aux Gaulois 'de planter la vigne que Donatien. 
  avok  fait  arracher,  & dont il  avoi't défendu la culture  
 dans  les Gaules,  crainte  d’y  attirer  les Barbares  par  
 ramotrf  du  p n i  j’a*  dit- a MM fuiet  dans 
 r (Etiologie, &  dans les dèux premièrs  volumes de la D e f-  
 cription "de la   France. ). JL.es  Parifiens profitèrent de  cette  
 I p e S S ^ M ®   fqn v | r f | l e ;   coté:' du  
 Midi où  eft aujourd’hui fUniverfité étoit planté de vignes  
 &  de  figuiers.  Sous  l'Empire  de D ioclétien , ïoldat  de  
 fortune  & de M aximien -H ercule  quil  s’étoit  affocié ,  
 les  Gaules  furent  ravagées  par  les Bagaitdes ,   Pâtres 'ÖC  
 , Payfans  Gaulois',  raflemblés  par la  mifere,  révoltés  par  
 la  dureté  des  exaâions,  &  commandés 'par Amandus  &  
 Elianus.  'Maximien  appàifa  tï.©ÉMç jp.ar  îa dé-, 
 'iÉifé des féditieux, &  queï^. 
 ques Auteurs,  cés Bagaudes  ont -une  origine  bien  différente: 
  Ils viennent.de cette Légion Gauloife des A  laudes ,  
 formée par Céfar,  dont ©ri a parlé dans  la premiere Partie  
 de cette Epoque >,pag.  29 ,  &  qui .portoit le  titre  diftin'c-  
 tiCde  Legio A laudarum, foit à caufe de l’aigrette, qui  or-  
 noit  le  cafque  des  Soldats ÿ foit  que  ce  cafque  fût 'fur-  
 njf©H,td"'de  la=-ftgure'd’une Alouette.  Lé  Commiffaire  Lamarre  
 rapporte  quev,ëétte Légion  des  Alaudes  fut  placée  
 en  garnifon fur la Marne  au-deffus  de Paris  , dans .'le fort  
 I ÇX^qfirum '^Sicctj$Wi )  dans  de 
 Sairit-Maur-les-FoJfds ;  que le  i\o>m<ke'Legio Alaudarum ;  
 &  dans ' l:â  -^auët lMnité  'B d g i i u d a r u m ^ i d é v ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^   
 Soldats: iintmes.  qui  furent  ‘Bagaudes  que  lés 
 E^gicinj a y a ff^m |^ ^ ^ ^ l^ r^ ^% a y s ^V   
 F l^ ^m ^ ^ ^ e n ^ u  p'ohit ;d^âufe^mé^atiôn:p"a*rii’G^  
 Ffq ^ d e  ^ n'om » de  Bagaudes 
 deux ; d e^ u ^ ^M f s^ fê f f f ié ^ ^ ^ lam ^ j^m p ^ e u æ s^ P q ^   
 Max-imien  les  défit  entièrement vers l’an 28 5 ,  & fit  rafer  
 leur fo r t ,   dont  il  ne  refta  que  les Folié s  ;  ce qui n’empêcha  
 pas  que  ce  pays n'e-fût nommé le Qiiattier des Bagaudes  ,   
 dont* la porte  d^ Paris  qui  y  conduifoit  a pris  le  nom  de  
 Porta  Bagauda  ou  Ba n d a ,  &  que  l’On^ appelle  encore  
 aujourd’hui  Porte Baudet^  ou B'audqyer  ( 2).,  ~ 
 (1) B'. Lirott i:i|ëâÏÏepg  en faveur de  cette  opinion  dans  fes  Singularités  
 Hifior. , rom. Ujagï 174»  & ùy- W » P«g-  13?» ^   Ma«  n’cn-  
 eft paëstn^ins >faufle , 8c  des ad.es^its^u neuvième  fiecle,ne. fonfpas  des _  
 (preuves propres'a détruire les faits avance's par l’Auteur-contemporain de, la  
 Vi^ie'ëànee Genevieve.  Inutilement objeaê/ôit-on,que MonoHartre a été  ainfi '  
 appellé en François', aufli bien  que  'Êohs Manyrum  en  Latin ,  par  honneur  
 pourries' Saitf#Mahyrs^ 1VK.  de'Tille^iït^-loc^^^a remarqué  que Ton  
 voÿôit  fur  cette mêmêî'monlâgnej. dès‘tIe  temps; de -iouisflé -^ros,  deux  
 Eglifes de Saint -Denis;  &   on avoue  fans  peine  que* ces  deux  Eglifes,  3e  
 même que lempm. de' Mons Martyrum-, n’o n t " o r i g i n e  que la vénération  
 du Peuple de Paris pour  eette montagne ,  fondée  fur.cé^quï^^  
 Htl temps  où l’on a çru.'-qûe Saint Denis &  fes Compagnons' y avoient -cOM  
 fommé leur martyre. - Mais  il  faut remonter plus haut ;  car I® yetife' d%n;e:'  
 ^opinion n'e'fe prouve pas par  le  crédit  quelle a: pu  trouver  dans, l’efprif^dà ’  
 peuple,  pendant  quelques  fiecles  poftérieurs  de  beaucoup  aux évéhemensi  
 I,e -fameux Hilduin,  Abbé de Saint-Denis,  qu’on  doit  regarder comme  le  
 premier  Auteur de V:Aréopaptifme de; fou Saint Patron-,  eft  aufli  Ie-premier  
 que  l’on fçache'qui ait fait delà montagne  de  Montmartre  le. tbéâtre- ifari-  
 •glam  de  fon Martyre.  Mais s’il  à'.ignoré'que^long-temps  après.là mort' de  
 Saint Denis ,-fe-pén3ant'.que  la Villè de Paris  étoit  toute (chrétienne,  que  
 -cett'e.Montagneporfq^Te^iom' de Mwr Mrrcuriifuivant Frédegaire, ou;fil?on  
 veut Mons Cori,  les Défenfeurs des frétions  de cet Abbé de  Saint-Denis ont  
 dû  fçavoir que de  fon  temps,  6c  plus  de oinquante ans-aprèsylui,v-lorsidu -  
 fiege  dessNormands, onappelloitlèncorecetféCôlIiné'Befbn propre  nom, 
 Mons Munis,  d’un  ancien Temple de  cette  fauile Divinité,  d’où le nom de  
 Mons. Màr:tjrum:.  -  '' 
 (z)  Lamarre cite'pour  garants  de s fon  opinion , Oro/è,  K.  FI/, C. XXF.  
 Eutrope, U.  IX, Salvieri, &*c. Un fçavant Antiquaire de^nôtre temps^ l’Abbé  
 Lebeuf, Dijfert.,  tom.  I;  pag. 28 ) ,   ne  fçàurôr^MÛt&^ceïte\'étymplogié'ï  
 qui  eft cependant  admife-par D/'Dupreffis dans fes nouvelles Jfnniïles dëïi&arfoï-  
 . Voiçi ce qifiL dit, -iw$Arh, fâ0 jwgitytZ « Au refte" Importe Baudets1,  8c  le  
 >»:%©.în qu’elle porte' dôive!nt5êre©ifOTRanéieâsaiicâEfçe^n&m!?eft‘fans ,doute  
 ;a> ?célûi- des Bagaudes ,  qui fui;4%léjclinfde  IaV"dominati'on Ro^ ^Jo kn^«  
 ;^G&ules f s ’étoiènt  fortifiés dans'léliéwi^w^ït^iàtfjbûxdAuï 'Iè',iïorti,8ë  
 »  Saint-Maur-des-FoJfés; 8c la  Porte'Baudets, Porta Bagaudahmi, étoit-célle’;  
 * 7qukau îortir-de Paris, fe*trpuvdt|pféci^ftnè®ljènfrée'3u  chemin1qui  
 » y  conduifoit.  Cette  étymologie,  explique  fort naturellementJe; nom’ de  
 », Baiîflud, quétl^n- donne familierement j 'mais par ùnérîcfpccc  de  dc'rifion  
 ». au peuple d’cT-aris.  Ce font,  ài'^f^ p n^éiit,crdiî'e'i  ceux dé la’'Öifér’qüi|.'  
 » -auront- cômmé'qcé;.pa^-appeller -Biidfluif, >-c’eft-àpdiref Bigoudis  
 »  l'a  Ville  du  côté  du  Nord ,  parce  qu’ils‘Habitoient  le  quartier' ÓÜ 'cette  
 *,Portc étoit  fituée ».  ■  g; 
 *  J’ai fait voir-dans  l’Intro'duélion , que le mot ®à^^iaîune9:oïigine  Gèltii  
 que,-&oqu’il fignifie  felonvM4BülletvHômme;'de riviereypktce que  lès‘Pari-,  
 fiéns ont etc g^iômevtopttemps à  la navigation :  ainfi on poüriS#clroifirÿdè  
 ces diifërfêj-éèÿtodfogies celle pgutuaquelléôn àurà;le'plusrde petafcHknê.'Unq  
 -'fuite de- cetteiopinion,>'c’-eft que la'partieAl'eÿParis  au Nord  'q.u’ön-'nQimme  
 proprement la Fille, pour *la diftingucr d‘c Ia'C/fé,: a etc <conftruite'& fermée  
 ' Mdximien.' FJetèuïe, 
 H g s É  ?   r  m 
 vainqueiir  des  Bagaudes 
 à  Aisttun  ua Monument  de  fa  viftoire,,  en  l’honneur  cleir 
 cours  de c e t t e ,  
 ’^commandée' pAar^J^^i^^,’ ayanWefijf^tdecluiyre’f’M a x ^ 
 part^u&'fâ^ifîoe^'d^ 
 revivre  les Edits  contre îes Chrétiens.  La- perfécution  fe  
 fit>‘féntir  à  Barisr.'\?^^^^ ^ g spE criV ain sj,^ 6mm è ^ flpM^ 
 eftiment. que' ce  ne  fut qu alors  que  Saint Denis',  .premier.  
 Evêque de Pads, fou-ffrit le Martyre en 287.  Les i><z/zcj,  
 dont -on  -à déjà fait  mention fous i’Empereur  P ro ^ ^ q u i 
 peuples,   commencèrent 
 de  l ’Océan-Germàm^t^^ ffi^Lp ^ ^  des Vdéfcenres''1 eW t ^ i   
 Quelles fur les .Côtes Armoriques & les  Iflgs Britanniques. 
 \Maximien  envoya  contr’eux  une flotte,  dont i-l.çonfla l'e  
 commandement  à  un  Belge  de  Nation  nommé  Crz7rzw/£ ^  * 
 j J d f a n e g j ; 
 qu’il  avoit  avec  les  Saliens  &  autres  principales  Tribus; 
 , des  Francs  fe fit proclamer Empereur dans la Grande-Bre- 
 |p^s^dés -Morins  (  feut fe 
 terirr contre les  efforts  de Maximien-HerculeP  ' | 
 •  Divers mouvemens qui s’élevèrent alors en différens lieux  
 'de  l’Empire, déterminèrent  2)ioctó^/z  & fon Collègue â*  
 fe M Q n ^ é r^ p p ^ ^ p l^ ^ ^ rp l ju r^ ^ è ^ c e ^ iÆ B a ^ à r e s r^ 
 rent  leurs  ftl'les  a  6b7z/?rz/zce-CA/o/-e & à (?rz/ere-Jfrz^i77ze ,  
 en, les  nommant Cc/irj'; il^étoit difficile de mieux  choifîr  
 entre les Généraux Romains ; mais  il étoic. peut-être dan-  
 gér-eux  de  faire tout d’umÇoup  tant de prétendans à l’irn-* 
 les 
 différens  fervices  qu’il  en attendoit  fans  divifer l’Empire.  
 L e  -Géfâr  les' G tu lë ^ ^ n fâ R ^ d ^ ^ 
 «d’une^premiere enceintë^r les Romains. iÊeifènÏÏ^èft'qpè j’examinerai plus:  
 bas, contredit formellement celui des .modernes,qui fout-iennerît.que Paris n’a  
 commencé à s’étendre hors m'yk"Çai^^1feW’lé£>Rois de la  troifieme Race; 
 (1)  Sumpi ,  les Bataves, peuple, chaflë de  la Germanie,  par  les Carter un  
 daprincifaux peuples de la Ligue des Francs':  Les Bataves fçurent  fe maintenu: 
   dans l’IIle appellée  dfe  leur nom Batavia,  formée par  les deux bras  du  
 Rhin  à fon  embouchure; ou qui  aurà  communiqué‘fon  nom  aux habitans  
 B fegl* -Ia fprée dù^mot: eelÉiqué;,: Barfou Bar, Battaw,  qui  fignifioit  une  
 ^ré“ Ç noyce,  fubmergée, une iRe;  Les Bataves jouiflbiehf fôüs  lesfempe-  
 pàïtiGulierës  ,  &  on  éjte plufieurs  inferlptions où  ils.  
 (ont  qm$£és.de:frétés 8c amis deé Romains 5  ils  a-voieht la garde  Impériale.  
 Baravodurum,  \7ick, ,8c Batavoburgus , Battenbbufg, étoient leurs  .principales  
 Villes ; .d’autréç difënt  que Leyde fur le Riiin:,:  Làgdunum Èdtavomm,  étoit  
 leur Chef-lieu. Utreeht, Trajeflum, doit  à  une ancienne  fortcrelTe 
 • que 'hitiient .Ies'Ro^hains ,j8c'^u’ils nommèrent Trajè&um,  pa^S'qujon -y  
 pafloit  l’ancien Canal  du.Rhin,  fur' le bord  duquel elle a  cté bâtie... Çôfoniâ  
 Trojanft:, aujorfhiji Kellen,-étoit uneColonie Romaine près;àü lieu oii féfait  
 la  féparation du Rhin ; Albinianoe ,îM|êni ou Alpen,  entre Leyde ^  Htrecht.  
 î  Morini,  les Morins,  f Peuple màr-itime, comrnè  le défign^m^l^eWil*'  
 ^qe Mor,  la Mer),  avoient pour.capitale Téruenria, TérouanneT-^^a%-  
 Ê g nne  rér là- Lys,  détruité par- G f e rQupzfl  Ils- àyoierit aufli  un  Port dé  
 Mer appellé Portusmrhus, 8c enfuite1 Ge/oriacum , qui prie e n f i n w f f l l   
 ? ononia’  BôJogné.fur-Mer-,'  Port fameux  dans  l’antiquité,  depuis  que-  Ies-  
 Romains eurent fait la conquête des Ifies Britanniques. 8c par le Phare qu&Ca-  
 ligulaÿfit  f-OoifflMm'fêlaifë'gui  commande Je Pbrttee ihpëèe Mo-'  
 hument connu fous le nom de Tour d’Ojdre ou d’Ordanj, mo'ts' 1conompus de 
 G ouvernement  d e   P aris, 
 s /; !  ,  /  I  ^  4 i 
 ) ,  .fans fftêiné 
 araufe ^ep£:,\appris^4yeniie.  Il s’empara  
 du Pqrt| i ^ ^logne^^p-\tqg[tè la Batàvie,  avant que Ca-  
 raufe & les  Francs  puffent  la  fe.courir ;  il  pouffa * eçs der,^ 
 il  en  transféfdpWjffritusëntierès l.dahs  les  cantons 'dés-i  
 * 'Amhi i ^ ^ ^ ^ ^ ^ eMov'kces-\ • ( ^ ^ ^ ^m îp r ig   de JBeaufeais() 
  ; 
 des f  a/fe/zj-,  Tune  des  principales  tribus des F r a n oÆ d ^ 
 ^Ifles^éifea^^q^es/l^uni-fiiM e f fS ^ ^ ^ ^ F prliiqi'ip.  lès. K p ^ 
 mais 
 ayant  été  tué  par  un  autre  ufurpateur  ,  Gonftance-Chlore  
 s’en ^e^ d if^ a jt'fc^ ^^fôj^ ^ P ^ ^ ^ ^ ^ ^ dé'partémënt -des4 
 L a 
 /avec ,-plufIeursr  
 -^ayagea^.^sK^aülèSj  <pç^ 
 faillit même à furp*rendre le' Céfar Chlore dans le pays  des  
 -Li/z^/z-y  4 ceux  de  Langres ) ;  mais  le  Général  Romain  
 leur  livra  une  fanglante  bataille  où  il  leur  tua  foixante^ 
 '•  11 r  5 dé.Canto'rz. 
 des  Attuariens.  ( V o y e z  Defcription  de  la France,   Partie  
 A ê-  oM.  ‘y  • ^ 
 ^lrL^«Empe^eurs^-^|bc^  rayant .eu^dea 
 reurs de la perfécution, & fe contenta pour 
 abattre-quelques Eglifes. Le Céfar Galere-Maxime ayant 
 *fprcé;.des^|^^^®’Êieûrs Diool^ M^^Màximieh dîSMÎ-j1? 
 l’efpece de  captivité où  le  retenoit Galere-Maxime  vint  
 rejoindre-fon  pere  Conftance-Chlore,  qui'  étoit allé  fou-’  
 4îèttre  lési^iiies;  la  Grande^Bïetagitre.  € e 
 Tunis ardens ,f^ô^ne T d . O q z ^ ë n t l b l e m e n s ^ o u  galeries  
 ménagés par étages, dans l’e'pàiJeuraÆmurV^à-A^glois^m^^U^dè  
 ^Bologne,■  firenfâ^^^^ÿn/fortnrr-famême falai/e', qui poxtoiffle'Phare,  
 &dan'^m^lleçi^)|hltans' ëqrent l’imp^dénce d’ouvrir 3èsfrarrxeres-fLéï  
 ;'MUx’â^mSm^WPMdemenf'-rât fâlâife, lë-fort &  IaAtdùr'duTKàre  s’englou-  
 firenrlfej^^pl^-3744. fes Morins avoient en'coçe deux autres' Ports ;  l’un  
 apoelléldciuîfeortus  que l’onLcm^^^MBourg 3è%htflàn  &  non pas Ca-|  
 ^^■ ^ufe^^pVilIe mqdefnW;,l’MtVe g^^î^ap|èîîe Portusüterinï^d’fô i   
 fMcpuyro itTes côtes de j^ ^ ^ ^e^^^uei’on-Rlace àAmbleteufëf&c^  
 ÿ^V<SgmmeJja Bélgiqpêfàf&lgbacéaii de  ”avàné qup 
 Mans-ré^ devint  le fiege ordinaire 
 ^xaire  connoître les peuples^lfes (cités de^^ïe partie  des.'Gaulesjj .aiedefure1  
 ^otcafioriM^^^p^jrSi:^ 1  d?it‘  [ 
 Panéprigue, ^Max^m$rWS^j^ce,  q[délps tâtes  
 Sc les  Francs,  le Chamave ^'|®Ar^ fi?^ ^^ ^phn'eur r d e ^ ^ ^   
 if Romaré^ >|eréi^^^ <ys,'  l^phaipjjs'Me Ja  BèlgiqueVqu’ils I 
 ^^,ent fi fouvent ravagés  ayant 
 Soumis &tranfplant&,d|^ydvivers 
 e h® ^ |Æ _ L e  pàffëge [<^ùÿuÈTùà&  
 Ipwimiane Augujle muNmfâtâ;&AreM^  Loetifrpojt-limmo 
 rejlituhis,  G*  ni«cerio'm^Cha^,' 
 mWM ^Frijius,  & }requentatvnun-0 
 dînas meor,pecore iW z , &* cu/ror barbaïus laxat iwnoparfe  ^an ëtiamfi ad dele&um  
 vocatur occur 1 it &  obfequio  teneur &-  tergo cocr 'cètut:,  ty fimm je  nomine militito  
 'g\oncm^o^à^^0 ^m efelaye 'de^yrn^nl'iousle regne^eÆ®^,; 
 *  L