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ont-peuplé l’Europe'par le Nord. Le fécond fentiment >
qunefi? le' plus ^ a^ jra rem g n t^ ^ ^#& 'qui teff effêfe les
•plus .pEoÉaBle'^ 'fuppofe ;que la .population seft 'faite 'du
Midi au î& d ^ ^ l ^ u è ; l’Europe a ^ t |] ^ ^ f e u ^ p a r ’ la'
Méditerranée. Phrygrie .>
eurent d’abord le nom de Gomariens ^'Qomèrites du" nom
celui de ^Celtes } au rapport de Diodoïe de Sicile & d’Am-
mien Marcellin, par attaënement ..pour un de leurs Rpis,9
q,ui portoit le n!t>m%&: Celtes d’où les ‘Romains formèrent
r 1 fnom'dfe[ GalG. par une prononciation vicieufe3
K e l , K a l , CW ):, & les,Gr ecsiGèltiâ de>£ffiagfSCe. fende
ment eft d’ailleurs fondé fur un pafTage exprès de rHiftorieti
Jofeph. 'Eijl. des J u i f s , h v , I , C h a p .V I Üdit que
Gomer établit la colonie des- Gomores^ \ que, les Grecs
appellent. préfentemeÆÊGàTa^^^ ^ ^ Qb moi-,
^Mge;de^aféph3 qh|j|lace lMra^ffemèn^de s j ^ ^ ^ ^ 1^
^ûro^i^une:épfbquen^^M^ ^ dft trop, mffisjîffièn orn:^ uten^
puiffe s’-en-iprévaloir, & déterminer l e migiation*des
de rS^op^'aBMtémi^aujOS^ ^ ^ ^ ffi^ p é lu g e |u e te
petit-fils deNoé. Mais ce témoignage-, foutenu de ceux
moins quant aUffon^l' Voyez la R flig io n des G a u lo is, par.
D . JM q tiïs M a rtin (1) , &Tés tàV a n te ^ iflê r ta tïo n s a|gfet£
Auteur ar-ïâ «tête du pçètells f y i 0 d l i s h ^ ^M ^ :
Ij’a c ^ ^æ ë ’ià Fable avec teHi-ftoire, augmente la force des
preuves accumulées dans les Dijfertations citées'.
^ ^ tle -!r^ o lu ^ ^ ^ ^ ^ im^^'quL changfcg&ia ifiilfaffy di&
celles qui étoient renfermées dans l’Arche/, qu’ondoie re-
- garder, comme fle Berceau d it genre kumaiwj-fembte exiger
■un 'intefyaildiâffez corifidérable^ ÆOur^dqnfler^le^tec^Rsiatai
petit^O^l^^d’^^m^^oBappés'dé^eaipç, de repeupler Iâ|
terre; & il y a peu d’apparence que les petits-fils de Noë
fe :l t : # feqBftë; ’Ja raM fs 'fertile^* ôc^
F0 ^ W m ^ ren'
même-temps affez vafire pour les contenir avec 'leur
[©^féHte« duelMiëa^ m ^ m e ? Qtr'élle, pùt être^ C’eft^yrai-
femblablement par cette râifon:, que l’impoÿéuÈr qui, a ]
fabriqué l’Hiftoire ancienne foiis le nom de Be'rofe? jfuppofe
un fecond1 rb iia à ^ p d i^ ^ ^ p l ^ ^ ^ m p î ^ ^M è j ^ ^ ^ ^ inLi
hi^^è^erax'du Déluge s’étant ^drëfs<^i'diti|l^' > les
& h om m ê s l^ çm ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ S tl^ ^ râvâiü^nt v.hienéot u'
.» la reftauration du 'genre humain ; &, le féef.urs; divin.
» ‘concourant avec- leitréclejîifs .leurs femmes ^Ggtifeh’oienfr
IH‘ régulièrement d’un fils & d’une fil le en;même-temps. ,Ges
^^mîans;gemeaux-( 2)3 parltérius- à
» -d’une pareille fécondité ; & conjme leur vie étoit d’ailleurs
^ ^ è fttdonguë^ |^ TOuj^^ ^ ^ ^ ^ ^ li^ e n f 4 t/^ ^ Ë I I furent.
» obligés de fe féparer, & de s’étendre e'n diverfes con-
\% ~ A
Japhet, l ’un des trois -Ms‘de N o ë , aufii fameux dans la
F ab le 'q u e dans THiftoire ? ( A u d a x Jape ti Genus f§f
^eut^huït^F^fôris'^^-Ëm ^ '^ q u Utriém'e-^appellé
S amothès , vint s’ établir fd'ans aules,
nom à u x familles qu il eonduifok.-; taEféis" 'qlugïWôrfe.%^i:e
!TAnz/cbÆfîp,^ |i ’te ■l’A llem a gn e ,’ 6 îoz>?5/''rita,Iie , /&: Tubal
^E lfpa gn e.j2^ ^ ^ ^ ] HegIeféBoUdeld^P^ l 3^ ^ ^ ^ ^ a "
logues. Quant à fon frere J æ/tzoz/^'j ^ qui crOnduilit les
,Sam©tliéens' daàs les Gautesiiqia ilJbgLtitl’adcienne-Bibrafle,
1^ quipr'it Jans la-'-fultele
«de •
Gauloifes & de la Philofophie. Plufieurs prétendent qu’ il
•n^fitj»du’ë|f^^^^^^m'-frèrert(^o?7g ^ ^ u iid q i ir ia ^ ^ q q fm
de (?o/7zeifté s aux Gaulois. C’eft le fentiment diu~DoÊce
Chaffeneux j qui va jufqu’à dire que les Gaules furent peuplées
trente-huit ans après le D é lu ge.
pérfëiaianiï||- & ;fon|eé fût d« obfervat|ons exaSes^^mu fuppofent les
noiflances les plus profondes, & des progrès déjà faits dans tomes les. feiences .l
dès la plus-haute antiquitéa fuivi l’exemple du P. Pezcon, pour faire venir du
fond du Nord •& du Pays des Hyperboréens, les Peuples qui ont apporté le
flambeaui dës |rts 8c àe0 ciçn^s;^ACie 8c dans l’Europe. Il a réchauffé 'la fiible .
ufée'tde l’IJle Atlantique de- Platon j^qu’ilplace dans le Spitzberg & le Groenland,
pour -en. feke; venir les Atlantes, Peuple defeendu d’Atlas, dont la famille
.a fourni l’e fond de toute la Mythologie ancienne. Il jl été1 obligé, pour foutenir1
ce, fi;êle fyftôme , de VfaTer^dex'l&'Ê^^le' -hypoth^fe de M. de Bu£Fon , qui,t
fuppofiCÎapFerrê ^^iïâiSlièJfbus les polès;ài^^^jr -réfroidillément, &c. Tèl eQ
le précis .d'ë.Ja premierei opinion dont jè parlé-,dans le texte, fur l’Origine dèsv
Qaulois & Ja.population ja r le Nord.
(i) D. Jacques Martin, lavant Religieux Bénédiâin de là Congrégation de
fàint Maur, eft Auteur d’un .grand nombre dfO.uvrages fur lesGâuloïs. il.e^
premier parut en 1717, Cous^^it^^ljgwiv‘^^d^}jiiTéS'flesflus pures1
fources de Vantiquité ,‘;2.'ryél^in-40. a?. Origines Celtiques J& Gauloifes} en 1744.
30. Hijloire des Gaules Çfi des conquêtes des Gaulois, déplus leur onigide jùfqu'fi la
0 ndmon de là Muuackie-FM^mJifi-jDi ■ Martin étant mort dans le cours de la
•-comppfîtfdnvde-cet Ouvrage en' ^ÿor^ à'fbixanÉe-.neuEans, il fut continué par
. D. Jean-Fran^ffl^de^Brezillac, fon neveu, alTocié au même travail, qui publia
Je premier Volume in-40. en'i7y-z, chez le Breton ; le fécond en. 17^4, &c.
Çeft dansveet Quvrage, Templi de la plus vafte étudition, puifée dans les meilleures
fourcés, & appuyée fur tous les monumens hifloriques, qu’il efl prouvé que
toutes les lumières&dès connoîflànces nous^jenrienè de.l’Qfient^ qu’elles fe fbnc
répandues comme la population, du JVIidi au.Nord qui fut.tbdjpursîprc^ue défert '
& inhabitable jufqu’aux Empereurs ; que c’eft des Gaules ou delà Celtique pro-
pretnentidite, que fbm^OTtis.ces^ei&tms de^(3aulb'is;;, qui oiit défriché ;^Spéu
'^-J’Ëù'rb'pe^&c.
(z) Plufieurs Auteurs aflirrent que c’ efi de cette ancienne tradition, rappéllce
P”r le faux B'éro’fe 7 ^qùè Platon an.^ympoj. a1 tiré fa jolie Fable.'des Androgyn.es,
réunilfant J?es deuX^^^^^Dn fait que ce mot tiré£du,Grec, lignifie md/e "G*
;ftme/fe^ljesgl|feu^Ë^^raton dansroBajî^ ^ ^ ^ ^Jp;abordT(Kxn4im ^ S ^
îd’unëffiguré ronde, avec deux corps & deux fexes. Ce tout^bifarre-étoïc d'une
force extraordinaire , qui le rendit infolent. L’Androgyne réfolut de faire la guerre
aux Dieux : Jupiter irrné,flM^iMétruire ; mais iaché 5e faire oenr en même-
temps le genre'humain , il (ê cbpt'enta'*d’âfTOb|ii^^îi^Ogyne, en>Iè'féparânt?è^
deux ^^géç^cc. Gfette ^able parôit^plü^'emprunfée 'déi;ce;qui<efl. difêdàns
l’Ecriture, qu’Eve étoit l’os des os‘,^la^.hai^ë»l^ M pj d’Adam, parce que la
femrneïaÿoit ïété formée d’une' câte de l’Iiomme; : 1 '
La Fable de Piatona été très-ingénieufement eiuployée parié .grandjîôuireaui
L’homme créé par le fils de Japhec,
• ’ N’eut qti’un feul corps mâlc.cnfcmblc & femelle j '
Mais Jupiter de ce tout,fi.parfiiif > •
- (3)i’E f pfli2d poft wfmother qui,G‘Æis^Gelf(ù 'GbTonias fiindaidc; nec qùifauam
illâ oetatë ifapiènùorfluic. Béros. 1. V. 'On explique ,par-là 'pourquoiles Druides,
au rapport de’ Célar> /. ■ J''!, f^diloiedt1 ;tous' defcendus fdu Pèv^yÔ.isfy quë léj
Latins confondentavec Pluton. 'GiiWz 7è''omnej-,d Di/eWtre,, .progenitosproedichnis
idque à Druidibus proditum àicunt. Il divifa les mois par les nombres &:s nuits &
non pas des jours, ce qui lui fit donner le furnom de D.ir, félon quelques-uns;
•d’ÿHf Céfâr infère que les Gaulois ont -cbnfervc •jufqu'k“ fon temps la coutume de
■ compter pat nuits-: fiam o2> caufam fpaiium omnis-temporis non numéro ditftün,
noOuum definiunt, lib. Vf, de Sel. GràlJ. 1
■U i
A^Sâmbchès
5R o i q i^ à q lo is i ,
' ôc d ê ^ ^ ^ e s^ ^ Q i î^ ^ I ^ ^ é f ig ^ i
I ^ É bâtit l^ ^ ^pQ?ab om{ ap p eU ^ 'd a l
ip n |n qm \^ z^ a ; fn a is -R om u ^ X V I I® K \© i^ ^ ^ ^ ^ ^ p lîç * '
reffauree, j c e l u i
Ville fut nommée i?0/yi0//zrz^j: ; d’autres difent que d’étoit
'(0 câm^îdè'; jpl LMeur^E‘
Mogus -,
félon Anni-us de Viterbè; telles que Mayence;
N e v e r s ,
loifes. D’autres prétendent queiçe-mot Jfzz^zÂyeft Perfan5
& quil figni’fie , Interprète des chofes divines (i)^ .
•ce’ fort' à ce fecbnd Roi qu’on fait chef de la
s éav©i®fsi: i& lés
forêts, ©s-fait bâtir fous fon régné fa V illfe^ em i^ ep p ^ l
hê'-îësl'
■ pburfiiites dé fâymere Sémiramis.''..
ilte lùi jic ê é ^ ia p lï' u® r|g.né fe
cinquante-un ans. Il s'adonna* fort félon Bérofe, à l’étude
'des Lettres; & ce fut 1e premier qui inftitua des Ecoles
publiques & des Académies ^ poun adoucir la férpçité de
fes fujets (2).' II étendit fes conquêtes j-ufqûe fur la Ga1
xonne, où il b;âtit la Ville de Touloufe ƒ & ou il fonda une^
f a v a n t e A c a d ém i e . I ld o n n a f o n n o m à u n e f e f l e d e P h i -
lofophes appellés Saronides, qui paffent pour les plus anciens
Th éo lo g iens des Gaulois. I l pafla en Egypte pour
^tué’p ffl:trah jïb re ÿ^ ^ ^ u ^m u fte f^ o^ ^ ^m m e !ïï® p ^ e^ |,^
Jp|E l s< ‘ ' 5
‘ . .à>r Cultï^èi^flà-. éi '
lM i^ g j^ y ’î:étc>u‘r jB B B l i të ( ïe 'rM K m e 'rde
fon^pé^^V
DRYa^P ^ ^ |i^ Pi s » ^ ^ ^ a a .aMRoyâurne des Gâule^y
l ’anMul !^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ p i p ^ piaprèM^BMç^e!*Béfofe le f i l /
fpfdâ ïp^Brilides1 ( 3
f f l E m f f l 1\ nôni j ô6/'qui
‘ d e s iàn c iën s^m |is . I l
lë^K ima1 lu i-m êm e 'a k n s f^ ^m ^ ^ ^m c^ è sV ^ ’qfesjfwines
ée'meufps’ éçâi^feis^^mq^,'
jFTO^{^cluHe^(fô^mm^ép^ Ép M ^ 'n^m^amon'f -I|; fonda
la V ille de D reux où il établit un C o lle g e de D ruides ; & il
-^^^fe|s^‘ aprëg '
Jqffatqxze« ai^
B ardus I , fon fucceffeur fut digne de lui ; il eft règardé
^ ^ ^ ^ ^ ^ f v e n tw r ^ f e f^ B^ gfie , & de la
leurs èalëns à chanter en vers Héroïques, tes hauts faits des
Héros & tes aâions vertueufes des fîqmmes illuftres de
Maèroa., p
kM m^p^ g îiérâ lfe s '
M ^ l^ ^ ^ rqn ^ MWnfa'laé^fl^ lël'L ang ji^fM p p enéé^ d fSj
& en Germanie, & fournit avec fon fils Bardas une Nation
vërtu>
pARp.pjs: | i
(1) i l f MïgMQpèru&tx:& lés; Prêtres Egÿptiens'j qui- .portaient le mênie
ïtid^;^fqiit J^meùx. danS'tpute'.sfantiquïté'pay^h€j par-léurs eonnoÉïaqces dans
•lés ■ fecrêts de la1 nature & la (cience. d^^^^siidivines- & humaines où ■ ils
voit par l’Hifloire de'Moyfe.'ils n’a'dmettoient les
Profanes à l’iniciation.^e leurs myfter.es facrés, & à l’intelligence des Hiéroglyphes
& de leurs c'arafleres fymboliquesqu’après^ies épreuves terribles des
quatre étémeps:, &e. Lqs..:Franes-Mâcons de nos jours ,i qui foht remonter l’infli-'
tution de' leur ordre jufqu’aux premiers âges.ïdforriDnde, ne manquent pas de fe
prévaloir ‘des initiations anciennes, ufitéespar le Màgi/me, pour s’en fairepn-'ritrë.
d’ancienneté ; comme on le verra dans la Défcription de Paris, où nous aurons
é|parler]dë'la- Eraiic-Maçonnerie. - - ■
rjwyjl^mfe^a^^^Epf^^Mcontwergytfaociam hominum, primus litterarum jluâia
£n/Kcuir, ^iEo'nîèn; ^eroit.fe Ëor^'tùlus, il fbndaîjgpremiere Académiedu
monde dans la'Viü'e de Touloufe, qui en prit le nom de Doéïe & de
Palladienne \ que lui donnent Martial & Aufone. fuit haqué'Sanjn$Rex, Aeaàemia
^aîZiçflnoe. omnium^euliijjîma, erudhijjimus fundator ; unde. Tolofa folaf:
üfiiùni Ce/ticwingeriz, Do£l-i G Palladio ai atuoribus do&iflmiMiMUata, feç,;'. ■ §
'bien, fans 4«e je le dife, que Iorfque jèHcitf'a l’appui d une Hiffoire
fabuleufe-& annoncée pou|rVtelle des autorités modernes, ce n’eft'^'ue pour faire !
voir combien ces Fables ont eu de cours parmi nos Ancêtres ; & qu’il feroie
difficile de faké-quelque progrès dans là littérature & l’érudition.qui concernent
les..Gaûles, frinsifavoir 1’îïillbire fabuleufe qui leùrjgrfde fondement;{On fera
encore mieux convaincu ’de la nécelïité de cetfe' fqrtW^djéruaîtl^,1» Iorfque je
trditerai,'da_ns h'&efcrjption pSrticuliére de la France, de l’origine derVilles'Celu-.
ques o’^efondàtioVÆÉilblÆtr •;■ »
(}) Perfbnnc n’igî^ôcë'iqutles Druides étoient les Miniftres de la'Religion chez
les-anciens Gaulois, &qu’jlsréumEoientle fàcerdoce & l’autorité politique, avec
un pouvoir • prcfq,ue fouverain. ïtien ne /ê faifoit dans les affaires .publiques,
religieufes & civiles fan s leur ayeu , & ils''tènoicnt le premier, rang dansles
^Gaules ; tandis que, les Nobles ou; Chevaliers occupbient le fécond , & que le
Peuple langui/Toit dans la fervitude & l’ignorance., Us étoient en même-temps
Juges de la Nation & InlHcuteurs de la jeune^oble^è.^L’eur premier & principal^
•ÇbUége étoit dans le pays des Gnrnuieroù le pays Chartrain , entre Charté^ï'
& -Dreux, qui étoit le liemordinaire des grandes' affemblces de.la ]$ation|'^s '‘
G ouvernement de P/iris,
’^ ^ \ ^ tr v ^ ^ ^ gSs'f?iplufi'8utff û rdr^^^M^jg emierS^ ient ils
par leM^^«^^ ehfuite Ifacerretf/, Vdîês, ;
:atejp|^^^^^^crifiréf1St'''^quoieniÈ;âjâ"'c^^ém^ffiptt^dSif^^|^S^^OTP
|em,'jqii’on' no'mmoit proprement ^Druides, -Ees fecojd^e'rfc'E^i^'er, &
-tii,oieriçdes'^UCTx‘psyp;^iram&i^^^^P^^^^erg1^^ifpf^iêTO^i‘q|^''cèÀxqp'^'
»rnôdore 'dj^SicilVap^IlCSOT il èft 'parlé <J^Ia.“No^pri(cé'dente;
^n&lès.B^^qul^fôienttle|&Poe‘tes de chanter des-1
vers Idës.^HCTos, &c. Je renvoie aux Annales
Celtiques ^Romaines,, pour traiter de tout de/quî-regarde m^B'mdêi^t-Meeurs
,S^^^p}igiiii des Gadlôie^y - ç
Wehtiom Càrpiiiium•
tefpeéB parmi 'jeat.Ga|fâ^)‘'qn’iltf;
& à fàire^i'aB&;-
'ira'- crdit,fapiçniioe j
& Mars reverecur Mufas.
inférée datisi'lp.Metcbrèjau rj «J.bwie^i^^Y^^JdëvBames^f&dwcains 8e
a^æMfls|q^e^ifehtfl!origine»des>Rom^Si'de.'Glîejvkmi«ÿfli^îê qu-’il^onÊi'cdftmo^K
|^^oem.eSv tlîune antiquité très-reciUee^u^®b/î®nKMOore’f é^wil^y a daflà
le Mufée Britannique unoe^I^Æionf
^^^^^^en.Celtiquëpaf.I|s BardésjA'r^cftàinsJ >qù e^c^ftVp^cët te^ifo^
que les Romans François placèrent en Cornouailles la feene dé leursaveiltures-
rapport^éFranceyX^^^ ^ ^o,uhe^CArorfijz/,» des
^mfMdagnef\ e^^Vg^^^^<^ic^^,rifui- aJ.|t^^lduïte' e'ri|i|t^ par un
Bénédiâin G w| j - ■
càntie^t'uW^^^^^^^ttncesW^d]^^&è%-^|py^B^^jnfqüW
^feptie^e^'fîéde ^ Ë E t ^ , 8ccJ(^Æffitphil eft parlé •daf^’cetté,'
^hronique d’Alftedific de CHStlpjnagne^ h^fdejfoitaifé'prétefldFables
||P^é'.éèçitM par^Mome A^|lois;'du\op’i^-e;ff«f^^ j6
«nom de l’Arclfeyé^^^Mjn-ÿ donWlSHiftdi’e tâbuleufe af'éî^déélaré^ àürhwm
|moni er plus haut^AüBûr d^cette^ Chronique, à laquelle on^ajduto^tfKWffîve-
ment .ïcolnme^fem^p’fioy dèHM|n^oütfe^iédîâin,Gallois f traduôeuf ou
|çpmpilateur de cettq Eégéndeïba^Bretonfie.-
S B I
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