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 foffiïoi'ènt pSxtR^r^it èn^ftlrl'e ai îe f‘ deS»^Vtemt'nS^tltr|p|^im''ÿn©lbW(  
 ■ aÆàÉ^SiÉiÉfafii Krokar!ii^ny|^K^^s^i' parte'aemfenfey  (ijutewestme  faisoient  plus  
 qu’un même  corps.  Par  là ce t  ediifiiee  euî~di8pRtè:Ad|i^,uiî©E1'u\ et  ctux  dés E^OMïain's  
 qui  subsistent  encore  aujourd'hui  avec  étonnement.  Mais  la mottOT®^.©®lbiKÉïqui,  
 c o m m e d e - ,   étdbli^sènffeiisîquijsM^^^iie.ht A.Mionætéto^K  
 Lobb IdSfeTÿ,  fnj  ‘'a contintiatibi^g^^^sS^ihir1'  ne  ptenarrt pas  autant 
 d int< reli quclîlui  cfjll  jkëÎMundi qtte ||||§$®^''d#,1?h®rûphe  fut- ïi©g|(^^it 
 fera  1 7 16   te duc  d Oiili|<miçA&gçfibfii1^Bâbtre.-teariddék',qrii$mibioit en  ,fülfie ,  et en  
 fit  enleveï?  jùsqu’à la dernière  pierre.  Ainsi  disparut pour  jamais f e  Jfon'Ument  qui  
 * û t  faiL le  plus d’honneur à  la Nation  Françoise,  et dont  la magnificence  eût  ajouté  
 un ftWÿpkëfelat  au  siècle  de  Louis XIV. 
 N° 53 .  Vue. des Ruines de. Fàncïende Mglise des Bernardins. 
 '  C e t   édifice  peut- être regardé comme Un chef-d’oeuvre  d’Architèçluré gothique ;  
 les voûtes  en,sont trës-ëfeëes ;  et  fârfc|&|n  prises  dans  leur légèreté. Benoit X I I ,  
 qui  avoit été Religieux de Citeàux,  et Professe»  du  Collège de s  Bernardins,  fondé  
 vers  12 4 4 ,  avoit  entrepris  dé  faire  bâtir  cette  Église  à s.es  dêge'Ms  Elle  fut  ëqrîï-  
 mdjfl?fcfe'*dhnpf JBrOTra-TOpc  attnl  laissé,  en  mourant,  de  ■ ffêS^grariaS  fonds  afin  
 qtï’fiif” ac li c t a f  ^S^qn il* îlu tl f” JTô m mi rie t  l'ÎNtjfMlfn  (tiiln$| I0fta  raïgëfiï  Art 
 1  lance,  il  fu tn îlë e h   1 niait, p 1 ndrSrajirb/frBubk t du  tt'grfë'dOWlarlp’-'Niqvtïh  SJÎIP  
 ijiife ce.'bâtimentÿâèmeu^ltoparïalfi'^^éâlis^laçéfplroxtréihitte^tiwlÿw^dfblt  
 de l’Eglise, mérite l’attënüSAdes-eurieux;  Le  plan  de  la  cage  est rond, 
 j^^te'3^Slft;dii|b,  S®r6hë3 
 est enclavée ~ll.ms1'li^mtvH^Ti.Kau:Adc  façon  que  d 1 u\  u iw jin ie saifm t ntodonitqr  
 et  descendre. saris  s.e-v.coir,  c om m e   dans  celui  du  ifiêine  genre  que  l’on  'remarque  
 au Château  de Chambord. 
 Le  grand Alltel  de  cette Eglise  qui  étoit d’une  forint "Iriéguïierë, a  'été  détruit et  
 rerrfplac'ë’Èar  celui  qui  Itd à- tjlidfSps  dr n1 .lé 
 MOT§^§Ée£tfutdetnoh  l’an  téSM  ,f  cs.SiatléplISf  Ri  hgiifr-tWi  Am  aulsî  Ji%£f  
 férées. 'Les  ,Sro.tts<(jîVd «.c'ujptec -.r dans  les  punit  ulx  de  i l s   St  Ihs  ^SlfeljSitû'  
 invention  très-ingénîêffs^'et; d’un  fini  très-parlait : on y  voit  léS aitrmes dé Henri  II,  
 qui  les fit faire  en  1 S 56 ..  ’ 
 -   On  lisoit encore  il n’y  a pas  bien  des années,  àiG’ôté de te Porte dé  1J  IgliS'e-,  
 au  dessous  des  armes  de  Benoît XII,  peintes,  contre  le  rtiur,  cette  Inscription  :  
 Hcec sunt arma sanctissimoe memoria domini Benedicti Papa duod'ecïmi j t  Ordinis, 
 cujus est pressens studentium Collegium, professons ;  qui hanc jundavit Ecclesiam ,  et miilds  
 dotavit lndulgentus. 
 ' N° 54.  Vue delà Halle  aux Veaux, et i ’iine partie  de F  Eglise \des Bernardins. 
 -" 'C E T ’riï  Kälte  a  été  traiisféiréé-pât  ‘Lettres-PateffBefe y rdu  Quai des Orates, «iat  
 le  terrein  dès  Bernardins.  Elle  est  isolée.,  couverte et  environnée  de  quatre  irajeS  
 auxquelles on à donné  lé.âiom de M. de Sartine,  alors Lieufenanï-Sénéral de Poii.céç 
 (   m 
 4#L&î.'sagfe  .adiWWsjfeaÓold fit agnéer  cê projet  M e , '«61/qtfl^en m m  Ja|préirf%re  
 piepre  <en  17 74.  Cet établissement  paÿmi  | U e 
 été  formés idépMt® iq u A pm  fessées dSafes ibefte'C  ipitale, pour 1’avantage  et laipqm-  
 ja@di.té duic6rnIpeiec, avoitété proposé par M. Regnaudet de Rouzières, Contrôleur  
 Cftèéfâldes posites. 
 D©®%' W*ÎM^Es'|,STTffil  UNE  M Ê S S^ gE ïf^M ;. 
 N °  53.  Vue du  Petit  Châtelet, prise du  Pélit-Pont.  
 iL y a a p p a ren c eq u e c e téd ific e ,a in s i que leG ran dC h âte le t,on té  té  construits 
 naill|?.’^TOrnj'iu^iu^Wsy qriihiiPEctirii.-iun1-! 
 dîmes  poüiÆulMmu, h'^jlaBiMBO^  qiiÿl  \ 1 npiûrOT^mraMoe^fec  Lljjro  »< 1 cjuneOSn i  
 conquête  des  Gaules,  nous  ppund  lui -même,  dans  le  septième  Livre,  de  Bello  
 Galliço,  que  Paris,  alors  connu  sous  le  nom  de  Lultefce,  étoit  déjà un  lieu  dWinqj  
 < ei I u nÆ lP tfte i^ S /  ."rh 1 ,. dit-il, Oppidum  est Parisiorum  in insula Sequanæ, perpétua  
 WfàSvilu sfi?V'e trfii tut  St pi  7utn aî^ut’-  ilium locum omet ni Jij 'gt.jpejt  H y h t -h à Lïl' 
 de  ides et plus Commode# -  <  t 
 |  du jq jldfaittrMdi, nai.le.lUqVrn d i  deux pOP(S  di HviiÆquAsént j & i a h u i   k   Petit-  
 Pm.Çet  le  Æbfcnd|'e  la H H 
 c  1 ®. I\»inmclsaJ^^^mqiÆüiimiA edittraMs  
 tTOMdoiî  èt-UUEsiSgsyitij^ nuf^ l'.f&Sbr  /.I 
 •  1  e  Peul  ( h  il( 1  r<mi  (ui  djab'lrd'^rc.u né PdT»l^rl)?â lt 1 <^ Pjr n\ qui  v r e n L 
 trésors,  devint par  la  suite  une  prison  publique,  ainsi  que  le  Grand  Châtelet,  et  
 H{^^^ro&iFeddusd’gû ju-qn’en»r j^ A Ô u tifc i^ Ù ’a^tofj^meQtj^tetruilWWâsiiocr.  
 de  ce  batiment trop  massif,  étoit  désagréable.  Il  étoit  percé  par  le  milie u .  m il  
 IdfflilHSp tai w-1 èraimftqim 17(1 a ri -if celte  L-tdiopV,‘~l 11 r i^ q jM ^n tfa j^y zV  etuiï&J. et  
 obscure.  Il sersiOit autrefois d(  porte  à la VilC||ijliorsqu’clle 11’ ivoit d’autre  étendue,  
 que  l’ilc  du  Palais.  I  a  diétnolition  de  cet  édifice  a' rendu  cet  endroit  beaucoup  
 I mîigUAiMs, cftl icihLéd ^ li^ ^ g id l.  te Lit  c o u   11 '1U  1  d  1  ijm&Sdiql  T  c  H H 
 iiwi ri rii''"  m’"’ 1f' dît  t s <. *  Ys uks T r mes. 
 Au fond  d’une maison  appelée  la Croix de  fi 1  rue  de  la  Harpe,  près  de  celle  
 •des Mathurins  on  voit une  Sali  voûtée,  très  va  te,  et haute  d’environ  quarante  j  
 pieds;  cesit-un resùf  de  l’ançien  Palais  des Thermt s ,  que  l’on;c 1 oit  que  l’Em p e iK   
 (  tun Moaumcnt rm-nirijxrdéil-la?fiic on^onffiFamtqij ht  
 9pv^C(rnq^HVc4'Aliiit'(ÿ  et  lës.  eoiAsrIdmcej^Lcudtot£up'oiont  loin  IX'sOâeèjeKtga  
 éétte rue de  la Harpe  et  la rue Sairndl-Jacques ,  depuis la rue  du  Foin  jusqu’à  la  rue  
 de  Sorbonne.  Son Pare ''jstèses  .rardins. s’étendoient  d’un  côté  jusques  sur  le Mont  
 Leucotitius,  appelé  depuis,  Montagne  Sainte-Geneviève ,.  et  de  l’autre, -M MlMlt-; 
 I  -’LèÉi'pM'd’I ^ k y ip u r a SM p ^ ^   ;-~i n -d fc '^oe â '# îl\ 
 ^ A ^ S P a l a i s ' . f u t t d m ‘4u:e,d'e  riovi<oi% dôf te prer ucîq  1 r/‘» 
 dit  Fortunat,  alloit  de  son  Palais par les jardins ju   qu  ux  environs, .de  l'Eglise  Saint-  
 Vincent.  La  rue  des  Mathurins  portoit  anciennemenl  le  nom  de  rue  du  Palais des