H i p F* S E R V I T 7 7 GS. \ f y m m 7 Jà I F ' R ^ ' B I h
3&4>'j huit mois''-; ^T bsÆ^ÆiQ^m ^m^alenti/zien , forv;
>Vaffàcia -ifon frere JÇdl'çds , auquel jy|j£'éd|
,^|^l|eldes AHemans 5 c b r ô r ç ^ é f j |^ ^ | s^
rieton} vaillant F ran ço is , qui commarfdoit l ’armée Ro~
. -maine fur l e R h in , .perdit une fànglante bataille' ‘avec la
v i e , attira l'Empereur Valentinien dans les Gaules. -H'^ -
xëqdif à Paris en 3,0$]% <&. il y paffa unèlpar:fei&\de‘4^1iiver.
I A n „ primons il envoya Jovin /m a îtr e de la milice .des
Gaules contre les Allemans. Ce Général .ayant rempoité
.-pMieuif • y5i(É|||i|;| Yalenrinfe^ «qui 4e à Paris
en 3 6 6 , vint recevoir les vainqueurs jufqu au dehors de
■ ’ = f i §j§J$f au nord / oônjB^e le remarque Ammien. L ’Ernpe-
renr Ht fQ ^ ^ m o n n e u r s àffttfviri^ 8ç le pomïmà
Confu'l pour ? à r in é e ^ Ê ^ te p i^ ^ ^ ^ ie if^m êm e ^ éM p s I "
t ^ ^ e ^ t t ;§ ^ p |^ é ''n e ù £ r a n s ^ Ë ÿ |p ^ G sM ^ Ï . G .errpani^
& les Saxons leurs voifins j -qîai reprirent leur ’ranpien.
‘métier de pirates ^ infeftpient _les cotes de l ’Empire
la ; défoîation 6c Ja m Ô r^ ^ & ï^m | e i| t'
envoya contre eux Xliépdpfe., (-p,ere du grand Th éodo fe
depuis Empereur ) , qui les b attit fur mer & fur^terre^ ê t
le s força de fë tenir tranquilles. Va lentinien, Prince .ap-
f liq u é ^ S p |o ri% f> to u s {es c M t e a ^ ; ^ J p ^ ^ ce
cenir 1 par lM ^ ^ B des Bourguignonsjj i: ) 5 ledrs "vgifiijtë/
■ avec lefquels iLavôit fait alliance, & par celle ries .Francs,
' -dont -le R o i Mellob aûdes, toujours ami des;,Romains ^
tu a M âérien, ;R o i des Allémans., d a n sm ^
: ■ ( B. X X IX )*£■ ,L ’
Valentinien étant mort fubitement en Pannonie, le 1 7
i j l f j fl-ar^g-du^pius - tiffdH cféd itÿ f g t ^ ^ ^ ^ ^ M
v eu v e ' de M agn enc e , & fécondé femme de l ’Empereur,
fit proclamer le jeûné V alentinien 7/ , fon fils ; ce qui fut
;^ p © p ^ f 6c ^ | iv©Iê^
alors a Trê v es . C e feÇ ^ e doux & humain fe contenta des
Gaules^ des Ifles Britanniques & de rË fp a g n ê , en laiffant
% fon jeu ne frere confongum l'Italie- & l ’AFrique. lie s
Allebâans ayant palTé le R h in fur la g lace au mois de F ë -
- vrier 3 7 8 , Gratien envoya Mel'lojbaudes , R o i des F ran c s ,
9.5* 1 ^t01c
Prince courageux leur livra un’fanglanç combat près d|
' Strasbourg, & tua leur Roi Priarius. L Empereur Gratien
•; étant •arrivé apiès ce fuccès, pouifuivit les Apemans juf-
• s|Ü ^ Ï |p f 'f c # p»y% rerîdre, |;:^ï||f|i@ii3,
6c pj?it- Éput-é lfeur -jeuneflet ppur ’Acre •naèoyp.Qrée' dâM És
troupes. L'Empire d’Oriefit gouverné par Valens étoit
^alorp^pr^e^es Go.tbs que les Huns , peuple .'de Scythie,
.aboient châfljè des palu's méotides ôc des rives du-Danube
Gratien envoya au fecours de fon oncle Valens un c'orps de
troupes commandé ^■ai Ric/iomer , l’un de ces Francb , parlivra
imprudemment la ’bataille^ fans ‘attendre Tarrivée de
Gratien qui venoit le joindre. Valensible’Æfé fe fauva dans
une cabane oh il fut brûlé v i f par les Goths. Son neveu
Gratien affligé de fa perte 5 au lieu de rec-ueliir fa fuccef-
fion, crut devôir s’affocier -un .collègue dans k perfonne
Ju- p c p l ^
lui isdiîà, des ,
auxquels Tliéodôfe. dut -tontes fes vi£lo>kes contre les
: C/^7z^/zr-7^2A:i/7ze qui ' Goramandoit les. légions de la
Grande-Bretagne, jaloux de l’élévation de Théodofe dont
il étoit parent 5 fe 'fit proclamer Augufte par fon armée
'f n ^ ^ rendit'dans.,te'Gaules ^pour faire la ’guerre
affeâant 'de fa-ire venir des corps d’Alains' 4 '’de Huns en
qualité d’auxiliaires, & de les préférer aux trAia$lfr Romaines
; il avoit fait un traité avec les Wifigoths, ( ©a àp-
; (i)Xes Bourgmirnonr,.( Burgundiones ) , peuple de Germanie j fedifoient, aCu^
rapport d’Orofe, defcendus des Romains , gue D^uTus & Tybere avoiélt-afe
1 tïëfois éiablis dans la Germanie. Jfnr quondam fubaûâ i/iceriore Germaniâ à
àhmtlnmapummùuifeèm'p' tir., Qraff
li.'V lI. C XUT. Aînfî ils ctoientjiaturcllcme - '" e a . 1
l’Empereur courre les Allamns leurs enuemls naturels, avec lefquels il.
ctoicnt continuellement en guerre pour là litotes & les lhlines qu’ils fe disputaient.
Ammien qui parlé de ces peuples, li.JCXmî, dit quiils airoient
' î tis le nom dc Bourguignons des bourgs qu’ils habitoient; !quc leur Roi
avoir le titra de Hendin, mai. qu’il n’en conrenroit les prerogative's qu’autant
que la fortune le lavorifoit ; que fi le fort lui dtoit.comrairc, on le..ddpolloit •
comme s’il-y avoit eu-de fa fente ; que leur grand Prêlre appelle’ Siu/Æ. croit '
Balaie, & ne pouvo.t etre depolii dins aucuns cas, ne qui le roudoit fupé-
ticpr au Roi, &e. Ils le rendirent au nombre de quatre vingt mile fur le
Rh,„ pour fe jomd,e alamiéedel’Empe,eut; mai, ce Prince qui eraignoit
peut erre autant 1er Bourguiguous que les Alleman., eliercha des prfeLes
pour n^Pas^ trouvcrau êtedez-vous, & les Bourguignons indignes rerour-
- Itèrent dan. leur pays pour revenigpluTiêurs années après
Ou .peut-recourir aux deus premie» tomes de la De/rr. de i, Fr., ~k-M On
y ttouven. M o ire la plus eomplelte des Bourguignons, qui fondèrent la
' °ee l’Hillotn. p,r.;„ ,ll. „
de. ProvmcesfeUc neuelfairement à 1'Hiaoire générale de. Gaules & de fe !
grands Sommes, au?on’ les re
gardoit comme desfreres. Quoique payens, ils éroient amis de S. Ambroife
fég ^ S ^ f^ fÊ ^ m o fehK aû Eappost de Zofiiâe^ aÎFec
tionnes à l'etat. définterefles, ne cherchant que l’honneur 8c la gloire, libé
raux, ^ncapa$e£d'êt^c^^ fages, diferets, généreux, aimant le
lettres, & très-fçavans d a n s f e Roma
nosammis, ahavamî&mhf^üé çqptanâis piïrfià. ’immunes, in MUçk rebus pmdentü
pariter ac robore priantes, ùîc^Ztâçn. lib. IV. Arbogafie' awo'it un efprit plu
entier & plus fdvere que les deupaùt«||m|is"Bauioh étoit: pluS-!ccmCdërépa
fon âge & fes grandes-qualitési'yérôD^w onunius è gme-Francorum\ quem fe
cundum d Bautone duce locum Gratianus obeinere jujfcmc. Zozim. ibid; On a crt
•quj^rbogafte étojt ce même fils du' Roi‘des Chamaves, élejre par Julien ; &
chaffé de fon pays &au Trônerpat'Marcomér 8c Sunnon. , Roi
des Francs, fes ennemis particuliers. (F0<e? Greg. Turon.7ir / |% % . ' ) Or
• A d-autres-nommen:
f , • 11 ftt P1“”' “" f0,‘m â :i1 “voit un naturel modéré; qui feponoi
de lui-même a toutes les aflions grandes 8c honnêtes ; iliràmilibitàtoutes le'
qualités focialçs le goût des belles-lettres 8c la fciertcc.-militaire: II eut un fil-
nommé M e s ir r . qui iù, Roi des Francs ayànfPharjunond. L’Empereur Gra
l^d e v ed u c éleb teA u fou e^ co ,
& ô § .n 'îdu‘ dc“ s I0" r,anï° ls « auxquels il donna a condance. ■ s
Saône
i ^ m ¥ T , A 0 p f r S p T . $ t p A R l ' S i
^ffitè-arraf , ' j ' j J , * l u u" ~ t5 ? ,iT T l I n™ .'! ^
c G J y 11 h ^ y t n K / g ' *
pS y . i J " tT»*î! 111 * i
r 1 1 j f l ^ ‘t 1 a ! r 11 i l sj^ il 1 l ‘ i j ï ^ i j
[fèo F. h-Y R es? r ‘■ÆaHr s tur , " ' f j r i ,' ' i
l ’entrt , Üi yy -TX RjBOjl . 'iv i * lj I irW -^ YK i
û i'4 im s 3 c ^ T r ? ^ Æ fb f iJ l
ftT~.‘u’ :« ‘ F ■ t t t r’iT * 111 i^ ' lEffi* J I
le sfe cou i ^ q l 1L ^ 1 \ i I r '^ÜKÊ i " iF i i f IP f * ;
1 *■ 'riaMBiîpiî^*^iur -T1*-“"r*1 *•> ’’J
l y ; r ' j q W y p S S ä t l '^ f y f 1' 1 '■ " ? ! / > " >l A i ' l<"
B U ’ * W f ‘ 11 f w L ' ' - ' 11 V i y i f t ^ i * * ^ 1
l l f ‘4^ % r ’ i V î l & L è . % k‘ ^
' 1 ' 1
K ' ft ‘ . M i . 'i*t*|
RI rUjlR' y HH
I q i S O i l“ *”
d’e xcellent n ’ It E tT î 'ewV Î , , ' 1' ’ « h W „
m m
plus fçavans hommes de fon i’i? il,*'*Ÿt ïï(’à'n.'inlfiÈrt''V .1- I
Im iÈjl' SUr 11.(1 K’.|5 I
K ? 1 r l'S ''/ j | t^l f l 1 ni mu I
accompli en t o u t , ptomettoit un Empire aufli heureux
que g lo r ieu x , lorfque la trahifon & la mort tranchèrent le
pJ^i.gP5 >grol|d J‘ y. 'W. t
p ii ir^ aiL It!- ti T ' t u u i ^ - ! ‘ Â i f t i ]
& Richomec fut trouver T héodofe j qui le fit conful l’année
fuivante. Juftine qui gouvernoit pour fon fils Vî r V- j
- ^ ' ™ ' i ï r l ! ^ v n
'û f e ^ o .1 ■ '• t 'j f i f f l S jR Ü ÿ J
F T I j Epifi ^ j
W Ê Ê M
1 f P (-5 ? :;- - 1; = ' i '/ / * ' t ■
d eaf’ è'gsp'fïes
à f ’^ K ë S i i W è ï ; ;
F Gaules P0“ n% ocier la paix. L ’ufurpateur affe ao it le
Piu grand1 * refpe * . »r ; Prélats càtholiqu p B B
r, S ' fP * 2 2X Bb 1H l ’s’S c f u'-ii^i’j,' v-s^. !
y, ’■ À V * t t f * ' „ *■ v -*v B P I - 1 -, liJ s
ciel pour maintenir la teligi I. q
& fon filfe^#iieH'clic t0Ut 5ï j L
” 9 ' % -
S i S ' î1 i - i i g | B
tin , Kvf’rruc ::c To urs i c'eit *; s À
T(> édsj c(U6 le Saï.» Êv ' . . ,p 1 tnt pat P is , raid u i
* ■ ü l ü u ^ ^ f - '' 'n iïlvr^ ‘x-1 UL' * Ù ‘ I '* n n ' ' ’ll 1
rapport de Sulpicé Sëvere fon Hiftorien : on y bâtit p j£
[ 'k v . . J a S ö i ■ ? l‘f i J ‘/ tUd ;
(V o y e z les A i - ' n
r l g f f g p
** nth. -^1 , A l ' , I ''.* ,
f* lé fes S e fl t its. ' I l 'en fit mourir un grand nomb:
OTMlLiîi* V 1 ' " ^ S s K S î ! « ? ^ i 1 1 a 1
to it pc " !\ ' " 1 , -tort ; & qir'au iisu des fup'-
r I’fI< :r 1 doucei & les inftru * *1
ois sv * V \S i l l ‘1 '
toujours des ( ^},f|S X r f f f i t Ù ! ' i^ÜTV'I .’ ‘H îa^ ’ î |
fes mefures. ,Sàints lu g u fl ii iq f i iïp » ! i iö i i t la ré the,ri que r
i f f l H V ‘ 's
. nous auroit appris b;ien des pa i r ' r
des plainces à la (. l , n avoir
M m / m m * aeJ“ S Pranso“ . parvcnus parleuis grandes qua-.
lités aux .premieres .'charges de l’Empire. Après la mort de Valentinien I , il
l i f r l.-rîe 1 rodl” -I ' f ” Weléutihien, frere de Gratien , qui lui avoit
J pardonné. & qui Pavoit élevé au Çonfulat: il étoit alors maître de la mi-
.lice & intendant de l’armée de Gratien. Ia'. .Ciinji%ue de Ïïro-Prejpsr p„.
-blicç.parPitliou,.&Zoisime, li. fF . difent que Mérobaudes fut l’antcur de
’ftf’ Sgi/lri ùnliniin 'jtjSËSsjBffijfe S
•fe'“ “ . f »£*ni enpnrr «rqur ocrifi, ejî. ProrP. H y a cependant de la difficulté i
a concilier ce teste avec les événemen . Il femblc que Maxime devoir
, recompenfer un pareil: fcrvice ; cependant, quelque temps après, le tyran le
& mo“Fi “ rame de ceuit qui avoient été le plu attadiés au parti de
Grat1™- L’orateur Fecunmqui viydit alors, raconte avec, indignation l'in- ;
fortune de ce grand Homme , qui r-V - - le m fois Conft I, &
avoir palTé par les plus grandes charges-de l’étàt.' fuUeéfin Ïiéïime' de la
cruauté de Masimc : Meniiaeder peji «mpljji»™ msyillmm, fr purpuroi Cbelû-
* ‘ NJu^sf ‘ % C1 îrcrerur . i e e Grériâai’&. G '•-
rianu. eu» fe rre r , &c. Panég. Théod. C’ell cb qui a feit péufer q„c
Profper s emit trompé ,& qu’au lieu de Mcrobaudes, il vouloir parler de
J.JVIglIobaudcs, Roi des Francs ; mais c'é Prince écoièlmôrt ^brs 8c l’on ne J
Peut£* ter que Mc’: 1 c i c on i àt r é '1 trahit Gratien; pe , .
ôre fi“-*.1', entraîné! malgré lui par la défcétion des troupes, ce qui- doniia
préteste w j fta » s a i » >*.r r iin
^"ftieble le donner à entendre. Adrien de Valois, lier, franâc-, B.' f/, veut
_ qu’on life dan Profper Jlfclleiaiiéer pour ilfiVvisu t 1 bl é l I as coiirou
“ s d' “R perronnages; &M de ïïllemont, en lifaut le teste de Profpir
d’une autre manière , tâche de prou qi ni Mc a ■ ■ r lellobaudcs
n’ont point nabi Gratien. (Jfrjl. des Emprr. , tûbtï’ F , pi 713 ). ’ ’
1 re, toujours gét c’reua, oublia dans ccttc occaüon lerclfen-
“mc tdcs «oitionsdëWn ér ri e J„ i equié 0 Irienne life rendit
'. .' ::<?0[rriiiijEi{i^îVDi; P jj t jy . ' :
r B t - , -, vy ’ .’ p^Çr'Ær ^
r i*’’ ' ’ i f ''y - J s > r . 1 i
B b D B H ! ï * l.iv .a Jq ^ y * '* ’$
tîifbi£]j’ ,'i'4 .’ 'i -"r r‘ ’ iW S t t i« ~ * * ibF t - ^ I r T ^ i i r •
I ’1 9 ' ■ , » » pires. Saint Ambroife répondit que la
r ’ '•e.’- A 't S ' , . . . • - „ ■ -> ,’ r un cnf f ’r , r," T’
t klPes étoieut couvertes ; q t i ^ f ' i ‘j J
1 " V * Ü ,a Saint Ambroife smufr t"l - M HM j i
B B H H B M l C T W H M B g g “ (fautre
|;, gQpiSïfflfOT^^trê'memengGgrîeux. ’ •
(t) Prifcil/ieir étoit de Galice.en Efpagne, noble, riche, d’un efprit vif
f . ? ‘. .A I I l* ‘i 1
r sT a UII 1 g ;T ;.r e a e V ’P t ,fc > t .
f * T O T O m w ia9 ^ B l B M K Mâp«w>e.
C^.« ' l..*b’ ’ . . v * ' .b1; t iAI •'s4 B ,
B S jliOt t lf^ ru îL lûSillM u llb jl i * ‘ 2 r ' b ’ H B I -S
B * & s f e -M j T S 1 ^ W H W B i B M B H B i
e - , C..L XX. Il fe fît ordonner Evêque d’Avila par des Pr Sffl
Iats de fa fcéte, & quoique condamné au Concile de îlarragoce il fe maintint
dans fon liege par la .proteaion de l’Empereur Gratien qu’il avoit fçu fe
concilier ” rime, 1 îcurtrier de Gratien, voul nt pla’ ' ix Evêques par
un scie apparent, pour 6iiï;blàmcr la te é c de fon prédéceflbur, reçut la
plainte des Prélats, qui accufoient Prilcillien, & le fit condamner à mort
“Vecli iSca. te ...par f vodius, I fferdes laules en 1 |g . t’.’ 0 .
‘B