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 Difparc*‘(i)  dünt 1r ‘p'è'Stîbfi à caufé'beaucoup  d’enïbarras^  
 ■dans  THiftoire.Ce Prince  fongea"'bientôc. au  mpy,en  de  
 s’établir  plus avant vdans l'es Gaules ,  & de tirer fa paît des  
 ’•débris  de.  FFirapire.  ’Quelques  'Hiftoriens  lui'attribuent  
 la  prife de  Trêves,  qui fat faccagée pour la troifieme foi$,,  
 f  jjjjdies. Wr ançsy ÿalFlèâ 
 fois  un  bûcher'de  cette ma'lheureufe  capitale  de la Belgi-  
 que.  L’Impératrice  Placidie envoya  
 meuX'Aëaus 3  Préfet des Gaules ,  devenu  dans bes temps  
 de"^nfélaftëüleyieflTOuf^^^ ^ m ^ ^ ^ g  .,fpA.vdlcMn^Eié'  
 y Général Romain attaqua le R oi des Francs av,ec fon Bonheur  
 ordinaire,  le  défit &  le  força  de  repaffer  le  Rhin ;  
 gratis les  affaires d Aëtius à Rome ne hii.ayant pas  laiffé le  
 temps d’aührer fa conquête, Gl’odion yreparut bientôt plus  
 ;:^ui3^ ^ ^ pm am a is.  jp|§f?£  aucuneo^qnp? 
 tance de cette guerre ; les Auteurs qui'en parlent fe comten-; 
 £uéilla pàÈti'P  Gaules  l'esj£ 
 Francs  s’étpient établis, fut  reprife par Aëtius après beâù-  
 eoup de fang répandu  (2). 
 V^^Tt^,pBcmifàcfe^'Gduyemei^â’^ ^ q ü e ^ «M e s  faux avis  
 quil lui avoit fait  donner feçrëtément y.avoient Occâfiô“nné  
 îk conquête de l’Afrique  par Genfericj  Roi des Vandales 
 ,en  Ëfpagne. X e   Comte. B p i fa c e   s’ étant  juftifié “à  fon. Te^ 
 {gnPPWp J1  I  icNaTO.11  J 
 fon r iv a l, c e   * i a W tE 6 . !   ■ ]  11  e une guerre- | | | l § | | n s 
 l a q u a i Ç f f l r a P ’t ^ 1  1  W W # ' 1  l l t J^P  " 
 >Ti!  s f i  S  r  11-1 V)L-fl*ÎOTniÿt  r>*  rr"  î1 n<^, 
 mo rt  ’   l ’ '   l I :ffures.  L ’Impératrice ne v it   poi M O T r t l - 
 î f ^ i   ^ î t î & n . \ i >  1  i r s 
 g S p i ’li«vtoii.e 
 K m   ■>  r f i ' s Æ ^ r f î l r   M a ^ r x " *   t  ?  l|>,iLi',Wtni»  1  iv  f i   
 / ja lic . ’. - t T  I  S  J le în ’c ^ l  ■■- 1^JKJ_; ? ,‘l t' 
 B u S w t^ w i r l i l i ^ l * ' -  l . t - jn c h iL ^ û u ^ ^ t iu M C & W U ? ^   
 v ag e   des  Romains.  . 
 H ^ ^ ÿ ^ ’t lf'ir tv  JO T ^ S ^ 'V e - .iu 'v   ' ^ ^ t t i y - r î ’nwr 
 .y.'yVÆl^ r |K S TO ^ .U l'Æ i.¥ rm ^ i i ^ ^ [ |j ÿ e ^ i e »   
 ïr ï/J  r  ^   *„^ ^ ï- 
 '(i-) Apui Difpargum cajbum habïtabat,  quoi ejl in termina  Toringorum.  (Gteg.  
 Tur.„ li. II1 j  G. IX }, Ôn a cru que pat ce detnier-mot^ ^ goire^de Tours  
 défignoit'là  Turinge  d’aujourd’hui',  8c  que  g'i^^,gu?n^e'tbit"l5^ pfflrgnur  
 riflel-, 'dans le Comté de Zutph'en  ou Düifbourg fur Ie Roer', atf-deïïpùs  de  
 Vefei,-8c pafrconf^^hJîâ^îdèlàtdu/'Miin ; -'çèjïgps!^ 
 •  du Royaume  des Francs dans les Gaules en deçà du Rhin : m^jjg^^ntog?!;  
 ; lf*l Par Toringi-* î ’Hifldrien.entend^garïer de  làTongrie dans  la  Belgique ;  
 puifiju’iî 'dit  au meme endroit que les Francs après avoir paffé le Rhin-'t^ ;  
 verferèné ' la' Thôringé,: 8c  qu’il^Ôut%?auânême  lieu  que?les  p|j|§|||'|||  
 occupoient  le même pays au nÿdi jufqu’à  la LokéfaG^ ne^eut ,dpnc douter  
 qu’au lieu de Toringorum,  il  faut liic Tongromm,  danuliè le  
 éditions. Pi^jargum eft félo^P^omfeâe Bôulâinvîlfiers, ( Erat-dé la iFrôflçe ,  •  
 torn.  I , pagl pl^'/lle'viî^elîe5 Duibou^ on DËIborch éntre  
 Bruxelles.  Le  P.  Jourdan,  dont 1 j’ai .ordinairement  funu  l’Hiftoire  dan  
 cette  derniere  partie  de  f’Epoque'v'place le 'châtean^de  -Di/pargum  dans la  
 Toxandrie  à  Die'fl,  pe'tite  ville fur  la  rivière  de  Demere,  entre Tongres  r  
 ■  ^^effàqfêE^ooi  ^ 
 .  (a) Fèiicé &  Tauro GoJf. pars GàlliaTÜm propinqua Rheno quam Franci po$den-  
 iam ocçupaverant i Aëtii comitis armis recepta. Tiro  
 v'' Jà-'-mêmé chofe.  M.  de  Boulainvilliers, qui  regarde  Ràarâ^pnd  comme  un  
 Prince  fuppofé,  eft oblige, de  faire''remonter  cet événement  à  l’an  420,  
 qu’il regarde cómmé Fépoque de la Monarchie Françoife dans les Gaulés, &   
 d’avarfce£l!jâéâ:io^^^pB^fqu’ilii^^cbinpJg'q&q, pour lè/fiÿiemë Roi des '  
 Francs à  l’an'414 jTdâfeple la mort du Roi Théodemer,  fon  préde'cefleur j j   
 7%u^u moins  vers 418.  On voit'paVlà  dans quels embarras il  fe  jette; pour  
 concilier les évenemens 8c les dattes.  Tous ceux qui ont admis  ce fyffême  fe  
 trouvant dans le même cas,  les  incertitudes qui *én - réfültoient ont engagé  
 le P. Daniel à rejetter comme  incertain  8c fuppofé tout ce qui  s’eft, dit.dés ,  
 Jf^mç^^avànt Clo^^jfcé. qùijtrancha en effet la difficulté, mais ne la rcfout  
 pas i & ne  faîit:qu’augmenter les  ténèbres avec  le Pyrrhonifme hiftprique. fi  -,  
 'ébmmââe pour  la parelfe :- Ùeciâhm Sylltm cupUm vitare Charybdim.  Les Hiftoriens  
 poftéri'eùrs,  tels que l’Abbé de Velli, le' Pféfîdent Hainaut r '&C.  ont  
 adopté le plan-du P. Daniel; 8c l’autorité de ces grandi Hommes ,a entraîné  
 tous  les fiîffrages aupoin^deraire' regarder aujourd'hui  comme des Romanciers  
 tous teux qui entreprëndrbient'd'éclaircir Vffijtoire de France avant Clovis..  
 ©nn’bfe pas même parier'dé MerofiéP^Qp ayeul,  quia donné  le  nom à la  
 première  race de nos Rois.  (Vèjezf/e DitcôUrs ■ préliminaire  que  j'ai mis  à  la -  
 tete de la Défcription de Paris & de fes^plus beaux mommens,  dédiée au Roi  en 
 (3,)'Lesdétaiîs dé la vie à'Âëdus  importent fî fort^lMïftoiré dès Gaulés  .  
 ;  8c d'è iâ^arice , ainfi qu’à  celle de L’Empire Romain > dont fa mort accéléra  
 la chute »qu’on a lieu  d’être fur;pïis  quùn  fi beau fujet n’ait pas encore  et'é  
 traité' particulièrement  dans' n'otfe langue.  La  vie du dernier Capitaine  djfsi  
 Romainsintéreflante pour le  fond fi elle étoittfa|fe par une main jhgblp;»^  
 ïépandroit  d’ailleurs  un grand  jour  fur l’Hiftoire tehébreufe  de  fon temps, 
 :ôjaJl?b'n  voit tant de nouvelles Monarchies 8c de Républiques élevées, ■ & dés 
 tfuitesi^ f f là ^Æ iBM 
 fils de Gaudentiur,  maître (delà  cavalerie,'  tué  dans les  Gaules',  
 étoit  né dans  la Moefie,  auvoifinage  des Huns,  auxquels  il  fut donné“en 
 ô^ge dans  fi bien^Tattuer  l’eflime &  l^mplë^es peuples  
 barbares,  qu’il en  difpofa toujoursà  fon gré, 8cqu’il entretint toute  fa  
 vie correfpondance avec  eux.  L’Empereur Honorais ayant  fait  fuccéder  les  
 foupçons 8tla haine, aux privautés intimes  qu’il fut accufé  d’avoir avec  fa  
 fesur Placidie,  veuve du Roi  Àtàulphe, & de  l’Empereur Confiance,.çette  
 PrinceiTe fut forcée par Jean, Secrétaire d’Honorius, de fe lauver en Orient  
 avec fon fils Valentinien III, auprès de l’Empereur Tliéodofc le jlùjie. A la mort  
 d’Honorius,  Jean fon favori, foutenu par Aëtius, fe fit'déclârer Empcréur en  
 413 , tandis qu’Afpar,  fameux Général  de Théodofe, foutenoit  le  parti  de  
 Placidie. Apres  deux ans- de guerre 8c de fuçces variables,  le  tyran  fut fu'r-  
 .pris  à Ravenne, 8c envoyé à Placidie , 'qui lui fit trancher la tête,  après  lui  
 avoir fait côüper la-main qui avoit o'fé  'toucher au fçeptre.  Trois Jours après  
 la mort du tyran, Actius arriva aveefoixante mille barbares qu’il conduifoit 
 • à' fon^feêo.urs ;  & il hafarâà pèùtsctre plus. voTonliiers .pour lui-même une ba-  
 taillé ,.dont le gairepou^oit lui aflurer l’Empire. Aëtius & Afpar, les deux plus  
 grands Capitaines de leur tèmpseS vinrent aux mains ; le combat fut fanglant 8c  
 la viftdire incertaine.  L’Impératricê^qui crfignl^ê fort dfuheïeconde bataille,  
 çonfentità'làiraix^qniîaî^lfiàrge de.Gomte^des Ôqmeftiques|8c de Préfet des  
 Gaulesà Actius. Il fe'tendit a Arles, affiégée par Théôdoriç,, Roi des Wifigoths, 
 '  qu'il de'fit entièrement. De retour à R'ome, il trouva la confiance de Clmpéra-  
 ^mce/occûpé^^xïl'Êo^niéBàniface, Gouverneur d’Afrique, dont la gloftCSc  
 '-Wérit^ôffiifquôiént fofien; Çe-dcrmer,,homme franc, généreux, guerrier , ne  
 devoiéfafôrtun^qu’à fes bonnes qualités;iîl'^^^ôt^^ujour^Tuî.yî^^êg^rti^^^Pla-  
 'cidiç pendant  la vie 8c  après la mort d’Honorius, 8c il èn.^ut  toute  la  fa-'  
 II étoit  grand'ami'  de  Saint  Auguftin,  Evêque  d’Hipppnc dans  fon  
 gouvernement.  Il  avoit époûfé unePrinceffe du fang, dgs Vandales,  qui lors  
 ■ de lafa’meufe  irruption de.4p6,-av,o'i'ent'p.octé leurs armes  triomphâmes;juf-  
 qu’en Efpagne  où ils' s’étoient  fixés., Aëtius fongeant aux moyens de,fe  dé-  
 1 faire  d’un homme  qui  faifoit  ombrage  à fa  fortune,  ïnfpira  des méfiances  
 contre lui à  l’Impératrice, fofts,prétexte qu’il s’appuyoit de la proteftion ,des  
 ' Vandale* pour fe rendre indépendant en Afrique, d’où il le fit rappeller-après  
 lui avoir donné fccre'tcment avis de fe garder de venir à Rome s’il ne vouloity  
 ^ apporter fa tête. Bomface pourfüivi, pafla en Efpagne pour traiter avecGen-  
 feric,  Roi des Vandàïes fon'âl^  il repafla en Afrique.  L’Impératrice  
 ayant découvert  trop  tard  la  fraude  d’Aëtius,  fit 'écrire  au^'Gonite 
 ■  »  &  )|ù’ilMny.oÿ4Hlçs^^dales ; 
 • mais Genfcric-Î Prince  auffi habile qu’ambitieux,  ne voulut pas  avoir- pàlFé  
 inûtilê'ment la mer.‘:^Lré;Comte-'Éoniface  n’ayant-iien pu gagner.furllfôri  ef-  
 prit, futobligéVde'iIui' déclarer la guerre „quiidura plulicnrs années avec peu de  
 fuccès.^LeiComte 'Bonjface de retour en Italie  chercha les moyens ,dê|fe ven- 
 4 ger d’Aëtîus. Cès dcux rivaux qui s’éftimoient , en vimcntaux-màinj dans  un 
 |éftS-  H'  commença  par  les  Bourguignons  qui  s’ étoient  
 jettés  dans  la  Belgique ;  il  leur  livra  un  lànglant  combat  
 ou  vingt .mille  dfes 'leurs  reâerent  lur  la  place.  Les Huns  
 ).  fiagpi  unfécond  
 eo’Mbtaë oùsGiandicaire îeur R o i  fut  tué ;  le  P a tri ce  
 ‘M ^ f^ S ^ S ^ ^ ^ ^ ^ t enre^etcette^partié de  la  Savoie  &  de  
 l’Helvétie  où ils ^voient été reçus ea qualité  d’Hôtes. Un  
 nombre infini de payfans oppriniés parles levées continuelles  
 que  faifoienc  les Romains  s’étoient  révoltés,  &  avoient  
 pris  le nom''des  anciens  Bagaudes 5  qui  s’étoient  confer-  
 \îés,  dit-onj  dans  leur  château  fur  la Marne,  ainli  que  
 'd^ns  les  Alpes & les  Pyrénées.  Conduits pa'r « p   nommé  
 2)//5rzi0/zy chef hardi &popidaire^ ils è^(urùréi$t  les Gaules, 
 difGipés par A ë t iu s ,  qui Ht m ourir leur,chejf. I l  fe difpofa en ‘  
 même-temps  à  faire la  gjaerre  à T h éodOr ic,  ,R o i   des  "Wi- 
 ^ p e  rgaEV^nlçfQüfa'ge-3^ 
 força  de  lever  le   f ie g e , ,   
 &   il  chargea  un  ch e f des  Huns  ,  qu’il   avoit  fait  venir  
 de  D ac ie  ,   d’aller  ravager  le   pays  des  "Wifigoths,   tandis , 
 pM p i^ f^ P ^ aU i^ Bicofius~ 9  a p r è y ia ^ ^ ^ m M â | ^ rsrkr>,  
 j v,march'a|c0’h1fè^e^peugl^s mutjhsMp^^m^^tcÉâ^i  
 grands  avantages. 
 ^^Eulanf# çe.Æemps ;  ; g u e S ^ ^ f f i r o S ^ 
 R o i   des  F ran c s ,   ne  s’ étoit point endormi ;  non-feulement  
 i§ s’étoit rétabli  dans  la Toxandrie & les  terres  que P'hà- *  
 r<am©nd. fom  pere\aw©iit-:j^ x upéesf,t mais  après'avoir1  en-- 
 de^la^\BdgihuA ^iI{ eri&af ‘  
 dans Xaf  &  '^^ampre'jÉl 
 il délit les, Romains ien plufieurs  occa^ons j  fe rendit maître  
 .de Tournai, .de  Cambrai ôc  des  autres» places' jufq,u à  
 la   riviere  de  Somme.  Clod ion  s’ étoit  avancé  jufques  dans  "  
 r  Artois }  o ù ,   s’imaginant les Romains  fort éloignés &   o ccupés  
 ailleurs  par  leurs  ennemis«,  tous  . 
 les Seigneurk  aux-^ftih^ÉesînÔces' 
 d’un  des  principaux  du Roy aume 3  qu on  c ro it  avoir iété&  
 ^ è r o ;vléE^foh^l^Mpm ^ Jperet'd(^Ghüdé,ric.^tieà~Francs  
 étoient  campés,   autant  qu’on  peut  le  conjecturer  d’après 
 auprès  de  la  petite  ville, 'd^/e/ze  ( aujourd’hui  L e n s * o i ï '   
 conduifoit  la mariée au bruit des^mJftrurriens 7  dans le  eamp-  
 feftjM^^^^M^aféJ^ïqrfqù’Àëtius  ' qui  av’o’i t   caché  
 £1 marché les  attaqua  'hru^uement.  A ^ ’o riè/z^l^plut depuis  
 Empereur 5 s’ étoit  êmparé|d’un spontf pour ê tre m aître  
 ^ im f l a g ê i  B e s   Francs^iitïerent: la  ,taBîè' poui^êomdr aux|  
 armes  ôc  fe  défendirent  vaillamment.  Clodion  rallia  fî 
 ' D '*W ÈÊi4  m Ê M p   ' ^   4  % 
 le e tó te f t iM 
 , beaucoup  de  monde ;  mais  les  équipages,  le- feftin  &   la  
 t - ' b .   : j j ^ r  V!>  't a S à 1  ;  Rap  
 niii  '-M . J I   '  1^  ^ ü   Carn  VitVja.  ' J ijî -  m 
 4   m a * 1^   ‘   ' 1  c»**i’va' 
 1  ^  ^ n u   milieu,des  h ; ,   n 
 A,  1  1  f  leutÿ^ 
 ma ris,  6c quie  la   guerre  ét:uit  leur  vie:  orc inaire,   i i s  I \Ji! ï1.  '.‘A aÊt^gûrfPtlrr'u ,it- 
 . '’ i î   V u i a g a 
 -aire,  qui  vivoit  alors ,   pai I  d ms  S: 
 ont,  dit-il,  la  taille  h 
 bleus ;  ils  rabatet  .feS Sl 
 1* f  A u   it r g f t   f ‘  j 
 rra iuSij‘  [’%  ■ -îLe-  £ 
 i l ÿ ' l   ‘V 1  '.’ lîr, 
 f  ’  \  t L J  i  i  i *  h  jja(  '  j l i j e ,   i  s S ti B 
 'I '  -J  f y pEfii 
 .manier  la  hache,  I ‘L-  vi- 
 I  >  K '-■*?!  " î 
 '   ^ i L   ra 
 i i  U  K   ' -.îvrw 
 co u r fe ,  qu’ ils  arrivent  avant  leurs  javelots  au  lieu  où  ils  
 Æ ? , » ' * # ' - : 'rnm f fTi  iW ! 
 •fiy  "’f   li.J * S" ^  i! 
 i  -ra'q''?Tx|  T ,3 l   ■ 
 S ü A u v S jjr ' rX i ' ’ Ç,  'u i' 
 ’lu- ujîo.ii.*K ■ ■ + i/iijV H   H M I   n 
 tin  ^ , ,   ;  { 
 ' ■■MtUftju-!i'iMm»!ft'ii. 
 ne '|."jjSgKyil lAl-r-. \.u:i ■‘«E aw C iù* 
 ,Tn  r   UX  ,•  l‘b  11  t  J 
 '  i   f e 1*   l& i'u i^ u « l"ÿ \ln^ 
 o  i  u  <-  ,  iri?  1  (L^uOfiiu  u  ,{-'u V.; 
 '  Ici  n   n’ ^V1, 
 ,;,'il | 11 J  ï i^, . J 11 Cr"  *i ^ é'sï r I I  B 
 mais  Théodotic  le  défit  entièrement  &   le  fît  prifonnier.  
 Après l’a\r  ‘l  ex  (:rjles m  i  lerrierele dos, à 
 fanglant combat où Aëtius fe fervit du  javelot que-miîavbif 'iànc^o^Mce'  
 ■ pqur'Ie percer lui-même,  ce qui ne. l’empêcha  pas de gagneçiJ^wiaoirè- 8c  
 de forcer1 fon^ènn'crxîi à>'fc  fa,u-yeiphez les Huns.  Il prèvif 'qù^ëüusi'ne  tar-  
 deroit pas à revenir ’plus’pùilfant qüe' Jamais', 8c il eut  la* gcnerojiïé:’de  re-i  
 commander  en, mourant  à  la  jeune Pélagie  fon époufe,  q^’il^d^Eoit,! d;é  
 prendre pour époux celui  qui l’avoir bleffé a ràoit,  parce que c’étoit Je plus--  
 .grand des Romains. Aëtius amena en effet une  armée dà-Muns^|^mcûi'téiL  
 'fa.'paix, ,8c le fit nommer Patrice. Depuis ce temps, fa vie ne fut plus!|f|fl|  
 cercle perpétuel de viéloires contre les Bourguignons, les Wifigoths, les Francs  
 8^ ‘tous  les Barbares  qui  inondoient  l’Empire.  Le  récit  de  fes‘trioiripnes|  
 ferait  en même-temps celui 'des efforts de  toutes les nouvelles, Mdnar^i^  
 L’Empereur Valentinien III, qui lui  avoit pronysPEudoxe'fa fille unique eri  
 ipariage, te tka.i.de;f| main, eh 4X+^mrfqi2h‘^oiï|^ùfûl\p oui^ faj. quatrième; 
 |fois'.'  dheià  l’Empereur quHl s'étoit coupé là main  droiteé 
 avec la gauche.  En effet la chûte;de'« grand Homme- eiftraîriaS%àr^ft rKmê;;  
 ^ n S æfie'ib’n meurtrierju^mê ^ ^ l yvv.,: 
 de 'C (frdepq|;^ac^èet' Evénement remarquable',-- d b n K © ^ ^ f f » -  
 Tours^ne'dit rien,Y.èfs^â^^;M^de'B ôùlainvilirers le met en 418, fan*  
 vî j i p ® ^ ^ ^ g g W ; d e   régne- de1 PiMamonà MijWfè',  
 'auffi  que' Clodion ày(a n 't|^oe f^ p ^ a v e c  fëlfto1|àrfi'4 tenvpya,rè plus' jèürù*,  
 g f c s  fils à RomeÉçour #rf«irêt»les b ^ n h è ^ g ta le ^ ÿ fe iS& V a le n ^   
 ^ » , ^ 8 î :  qu’A|t^ 'ad d p ’^ p à | i J h   Prince  qu’il' comfilaVd^ 
 ,  8cc.;:  Peut-être  plàc^qfi^ 
 retra'riclie^hp fi&c le filence d P l ^ ^   
 goir&^ ^O^p î^^® u pMeh i^uS;Çe s| écarts.- f g f l