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 »  Havre<ggTO^n *1 ( nce)nta q ^ji^ 3 a ^ i l  pqut if 5fiC&mî»|  l^ ÿ l t  1101- cents 
 >1  «.’j g l «  c ^ ü g J p H ^ U   , 
 V lV C j^ n r^ d ^ » T^ ‘^ ^ u ^ i  l pahdhiik jeteestde m açonnée (  
 cl ‘■ nircii tré&ùne gro=--c^^W^ppel^la  
 q mij^ïSameY fort  battit,  \ oj&f? V e t  ■ iM*cpr t ,ul fof t î l ig-V e t§febtpK-,dès§üs  
 liff^ ^ pjplaffi-foniitgjmi-il  âfcesdu*lorl^uiswfeajie 
 u EOTWronÆfeyfeiruLm^nl^frt tilt  I r  eçm 
 qu’on  veut  le  netlo') en?JlSa^CT^pTO(I ’  c ux? lifeu^tlil Port 
 delendui  du Nord  au Sud. .Ony mouille à  douze  brasses de  grande mer 
 P 6 n i jX . ii  î i à ë . 
 Ier'l’.ifmct-  n  i\  ftfl-dUÜ:^ihcè,^^dyfaeuf3 frT)TiSirùrs jjpïiri  
 en  loule sûreté.  On y a vu aussi,  il y a quelques  années,  l’Escadre A nglaise,  ( ffia 
 H H n n B   r  1  n 
 elle  a un  quart de lieue d’ëtenduê en  quai î<  Le  mouS'âgèÿ.est b oe pour  les' petits  
 NaviÉtes.  I.a partie diù Port dont nous àiv^ffls parlé ci-dessus,  es t des tinée aux r aisseaux  
 MuMbainL .çét.c cille  qu’^amqff^p l f e l j foin 
 contenir vingt - cinq- c»   trente  gros V  lisseaux,  et ceux  de soixante jpiëees  de  caoon  
 peuvent y entrer et  m ri< 11 ts-mai^qydjilliuièf| 
 i|Vls d’eau. Il y aune écl'usepoqrle nettoyer;, par le moyen des fossés de la fi dlé 
 ^ ^ nm ^ iT iir^m  H^liwl^WiaSimMnîr  1 n1'%riÇt 
 teh-sortir.de tous vents. MM. de Vaiiban.-Béliclor,  et autres Ingéhjitetars,  avoient conçu 
 pSetenApr-o] èterelaî fs  ^  ^ '^ f e n  (Aicpl 6 It 
 ^fë^ml.'tloi\ëntSiiagrandir <  l’ fji,augntgntet  iÇ î^ Q ^ ^ O N o u ^ j f e l r a ^ ô ^ ' i ï j   
 y l ^ î g a O T f f i   f l^ r e ^ s u f fo n d t  A   f H  y i t i e n t ^ H l ^ p j 
 p j^ S p j^ iem a ïq i ie r .  ipu r i c fté o?pofrtion dimâVre et  ,  q üé-l;d(î||?§a 
 même de jouir dans ses environs, de points de Suie bob moins agréai)lies et nôiîmcmis  
 •inLéjio^^sjÉbtyiffi^  nu. S j S ^ a te l? ■ •'la •l'lf'^-oiijUjA:ae 'rriïmu e 
 ja^n»  juâ8ma8ftaft\«»tpndii»  ;  les phares,  du  haut  desquels  on  apperçoit un  vaste  
 horizon,-même du côté de la terre, etlà d fted  Ingouvillê ©pies objets sont plus gr; ntis,  
 irai )inf Al  11 x P ^ ^ i 'p e t î l .  >  é - 
 iiveslles plus  flatteuses ;  èt ces tableaux reçoivent un nouvel  in térêt à chaque heure  
 dur-jôurs  car  la mer varie  en  couleur,  en  degré d  igitnlion,  sous  un  ciel  différent.  
 On-trouve  au bas  de l’Estampe  le;  indicatipns des objets les plus  remarquables,  Jé -  
 ■ présentés dans fsLu? p iSa|Bj