
 
		14  xi'* sfB Ê Ê B Ê Ê F '& 'T‘ 1 ■ TiWauprès  
 de  Saint  E u ftad ia ;  un  ttpifième'  au V illa g e   d’I f f   ; , ï:   
 a n   quatrième à M e lu n ,  & c .  &   i l   n’en  a  pas  fallu  davàji^.  
 rage  ar e c la '  eônfèirniicé'.du nom  des  Peuples  de  ces  cont 
 r é   s  P a r ifd  ) ,   po.ur  entrai  er  tous  les modernes  à  cette  
 opinion. 
 Moreau  de  Mautour  féaVant  B o u rg u ig n o n ,  & -habile  
 Antiquaire,  1 un  'des■.plus.jbeaux.  ùr-pemtns■ de11  \ c i   émie  
 dès  ï  ïfçripri Di S  i   â  combattu  av e c .1 i ç c è l   te   fentiment  
 qu'oft :y-ierk ■ ïé x ]  ofer.  J t  fout ent  avec  raifon  qu’Ifis n  eft  
 point  ,un  n  11  G   ; c ,   mais  Ég yptien  félon  I  te ,   ôe 
 qu’on  i f  auroi  p o int'réuni  d  u x  mots  d’idiomes  diffère ns  
 ‘f  Pa. a.-lfis  jjyjf ou c  '.en,  -fa s e   le   nom  d'une  V i lle   tSS--s&_.  
 d  ix   L   1  s  éto iênt  étrangères  &   inet  nr Lies ;:  q t ié ja -   
 'Siais  :1e cuit  d’Ifis  n a é  é   admis  dans les  G au le s , ni  ayant  I  
 n i   après  les'E -omarns  ;  que  G-fat  en  parlant  des  Gaulé:s  
 s L   de  leur  R e lig io n  ,   dit  que  leur  princ pal. 1 >  u  éto it  
 Mercure  &   après  lui  Apollon .,  Jupiter  6c  Mu.  v  1  ,  
 &   qu’il   n’ a  point  fait'ment■ ipn.id’rÿ&’îijGé  q u i 1. n’ eû t  [  j>  
 o u b lié ,.fi  les P aiifi  1 s  eüITent  è ü 'd e s l f e t   pies  fameux  &   
 des  Prêtres  cônfacrés  au  culte  de  cette  D é e ffe ;  que  les  
 bas  eliefs  trouvés  !  1  171.1  dans  la  Gathédi  le   ds  Paris,,  
 fur  iefquels.  font-  repréfentées  pluifiéi|rs:  Divinités  C e lt iques  
 &  K pm ain eà ,n p  contiennent r en  qui puiffe  défig 1er'  
 le   cuire. d'I  is.  Ç lu e le   lilenee  dè  tous les  anciens 8c  le  dé-  
 f  de  nom mens  fënéient- une p reuve  néj  ative  fuffifat te  
 pour montrer q u lf is  nMtoit point  connue dans  les Gaule s ;  
 s   1  n éc  if   point  prouvé  d’ailleu rs ,  que loin  ,u  ce foie la   
 iViilè'cpiï  ait  donné  ft  nom  au  P ar {fis  ( 2 ) ,   c  e ft  au  
 contraire  Paris  qui  a  quitté  Çm_ançièn  n<  1  de  Lutece  ,  
 pour  prendre  celui  dés  P euplel  qui  ïh d b itd ient ;  que  la  
 qui  lion doit donc 1  ré( >  1  Ire  à  fçavoir ,   d’ôù. les  Peuples |  
 appellés Ml  t  tiré  leur  n om ,  &   q u i  V  udroic  au- 
 ‘ tai  c'dl manc er "d 1  n ie s  d éno u 1 ,   les  Ça nut  r ,  les  Turoi  s , .  
 les  Kern  LSI,,  les  L in g  iris  ont  tii é   le   leur  5  que  d Ou lo ir   
 eherchei'  l’ eiiinH: de ées noms  Celtiques ,   c e  lèroit'donner  
 d an sd e sy ifiû ns   chimériques,  Si c . 
 Su r quel  fondement  a-t-on donc  pu e mire que  la  Déeffe  
 m   avoit  é té  adorée  dans  P aris ,  &   qu e lle   5  avo it  des  
 Temples ?  C e l t   ce  qu  A î  it  Mau t  ur  examine  dans  la  
 fuite  de  cette même  Differtation.  Jean  le   Mair 3  qui  v i ve  
 t  fous  Françoi  I ,   êft  un  des  piiis 'anciens  qui  nient  
 parlé  de  cette. Divinité-  H  rapporté-dans  fon  Illufiration  
 des  Gaules  ,  «  que  l'on  voyo.it  en  o r c   de  fo  temps  1  
 »  Paris  le   fimulacre  d'ifis  ,  que  t ul jairemeîit  o 1  appt 1- 
 (1) Ii ne faut pas croire que cts’Dieuxdes Gaulois, dont parle Ccfar, fiiflènt les  
 même! qui étoient adorés à Rome maigri h  relTem  n  -  nom. Les Romains,  
 à  l'exemple  des. Urées  ,  cherchoient  par-tout  la  Religion  &  la  Mythologie 
 ■ Grecques. S'ils'voyoîent une Nation barbare honorer un  Dieu  ou un Héros,  
 dont l’Hifioire, le nom, le culte St les attributs leur  tappelIalTcnt quelques-uns  
 de ceux qu’ils ador oient ; aufli-iôt, par amour propre, par intérêt-, par crédulité:,  
 ils foutctt'ôicntr.fans examen ,  fans critiqué ,  .que.  ce  Dieu ,  ce Héros, étranger;  
 étoit le  leur 
 L’objet de laDifiertation deM. de Mautour n’étoit pas de rechercher qûi%pient,  
 les Dieux Gaulois ; mais feulement fi la DéefFe Ilîs avoit à Paris, & aux environs  
 des  Temples confàcrés à fon* culfeVCette' curieufe Dilfértation  eft  imprimée à  
 la tête de la grande Hiftoire de Paris,  par les PP. Bénédictins, & dans  l'es Mémoires  
 de l’Académie de^tnfçrip'Mpns, tom. III, pag. 196.  /: ' 
 PJiïlib'ertrBernard. Moreau de Mautour, originaire'de'Dijon^, né_à Beaune  le zz  
 Décembre 1654, mort Vétéran-de  l’Academie dès inferiptions, a donné;dansi)le 
 ■ Reçiieil-de VAcadémie ,  une. multitude de. Mémoires & de DilTertations bieiÇp.fp||  
 près à juftifier l ’éltoge de ce  fçavant Antiquaire,  que l’Auteur du petit DiSlion-  
 tune  IfiJioffqu£,y C^M.l’Abbé'iLayocat ) ne fait .connoltréquc’comme Poète. 
 >  ,(z)  Le Parifis étoit proprement le canton, le pays', le territoire des Pari/ïens, 
 L A   F   R   A   N   C   E . 
 "  : ^  Sairit^£w%mrp i  parce  y 
 »- tue’  par le'Cardinal1  Briçonnet  , jiors  Abbé  de  Saintmais  
 d’une" maniéré |Sÿ-étgÙ£l'ue.  Il- dépeint  cette  Statiie:  
 haute ,  droite ,  maigie ,  nôtre pmir fort  antiquité  SC  nue , |   
 J înon  avec  quelque figure  de  lange  enLapé en tous f e s  mem-  
 è re s,  SCc.  A  ce  portrait  fans  aucun  fymbole  ni  attribut 
 -M’s ,  puifque l©rf^£e'la figure  eût en,tiei;e, «Me eft © ld ii^ /  
 'fêpèiM  â®:fes  ’ 
 da'nt  fur’l'5autorité ,<âev \ces deux Ecriwaifas ,  .tous  ceux  qui-v  
 les  ont-fuivisj comnaê lé P.  duBreuii, Mail-ing^e, Triftarî1  
 de Saint-Arnaud  , Morery  ,  le P.  du Molinet  , 
 I  fa ns l’avoir  ap pro fondie. 
 -L e   P.  du  Breul  enuautres^q?!;ne1 donne aucune  defjfalajglÉag# 
 paroiJTent,  r|ndrê  ce  témoignage.^dÆQÜ'eo a  cr©lpe.-'D un 
 "' Paris  â t   ié|ë: 
 Jacques 5  ayant des épis à la maduj  &c. Gefte ckcorisflan'ce  
 a  fi  peu  de rapport  à Ifis ^  <§ue Malingre  lui - même,  qui  
 parle de cette Statue,  ne  feait fi  c étoit Ifis,  Gérés, Mercure  
 9  ou  quel qu’autre  Idole.  Ainfi  après  ces  variétés  &  
 dès ^ ^ E ^ ^ a r ^ ^ ^ e u ^ ^ ^ y ^ ^ ^ iugèment  
 iur  ■ 
 gnage  de qeux qui difen-t Tavoii vu ?  ' 
 D’autres  pour  appuyer  ce même  fentiment,  prétendent  
 ’qu'è le'îKraviçe  des  armes  de  dè‘Paris  a 'rapport-  à 
 :eëiiiâ d^iis^ 
 .a n s  I , parce, qu* o n^ufeattrib^oit 
 É®&Matitoïir  cè^fin^a 
 *  leJtfe 
 1 
 - ( f  dgus  Bdrijiorum*-),  dont Lutece  étoit  le 'chef-lieu.  C’cft  ce  qui  a  fa-t  fans  
 doute que plufieurs  F 
 tels que cLouvre en Parifis ,  Cormei'lle,  GÎaye,  Gouflènville »^ilîe’i Parifis ,  
 'Goneire’'én.:P,ari'fis, &c. 
 ’  (3)  Vojc’i  les termes du P. du  Breul.  « Lt.Stktfefon&dtlè  d7jfr,  q.ûpavolt"'  
 »  toujours  été g'àrdée ^n onjg^lalq tèrga ?^^  remarque^aiiti^t^d^  
 lieu, fut érigée & pofée contre le mur feptentrional de la nef d’icclle Egfifc r  
 P   & y a demeuré jufqucs en l’an 1 y 14 ,jque Meflïre Gui'Ifeume'Briqonnec,-Evêque  1  
 »  de.»Meauxv/&;Al>b^;dutit i^n^ei^'j'la'fit’ 
 »  tfbuyié-unie'iSunriié ■ li%e)iOTX!âévantûceHè:Idoile', '-tenan^^e'tôta'^iâ^l&iüS^  
 »'déliés allumées  . . . . .  ^hùtrivial Raptodieux  a écrit  que  ladite'IdoJe-seR  
 »  encore entière,  & ç[uc  lys'Moi^eside-Léans1l’onV>çacH'ée eri certain lieu ; mais  
 „   je  puis  âfliirer  du  contraire ;  c’eft à  fij&voir  qu’elle-  mife^'eft. 
 t,  pièces j l’iyant appris de‘qüa'tre :deÉ‘oiiî'Relig{eÙJt i’ qiit’s’emjlloyeren( à la déi  
 a»  raOlition, lelquelsétoient'cnocre vivans en  iÿj‘oï,En4a placeid.e ladite Tdole,  
 n  ledit Sieur.Briçonnec y 'fit  Sceller une grande^^roix que  l’on .y^bi't encore «•  
 Théâimdes À^tip^e 'Paris 16-93, pjMk&K  ^ . 4 
 j  Quelle créance ajouter à un Antiquaire qui  décrit à la même page la'tqriifbcidu  
 Géant,Iforet , ayant vingt pieds de long , nbn'ctfmpris'laitêtc,1 Sçc.'  ■  - 
 H I S T O I R E 
 les Ecliev.ins  de  Paris  en  11 po  ,  donna  à  cette  
 Yille-pour  AimjDiiies  ^   ézzt  "}  aiifil 
 fem é   de fleurs  de  L y s   d’o r ,  ainfi  qu’étoit 
 Villes  du  Royaume, 
 »  qu’elle  eft  la  N e f  d’abondance,  &  affluence  de  tous 
 fes  Armoiries  ( 1). 
 Deefle,  a-.ÇEU'.àvoir  trouvé la preuve  de leur 01lé'gué dans  
 la  découverte  d’une. ,j£te- dé  Femrae  de  antique^ 
 ? dans  les 
 5.aint>Euflache, qui faifoit partie de l’enceinte  de Philippe-  
 Augufte.  @ette^têtesi Ég; BTQnz^^çcmem éem^ 
 ie; bà#rel r   &îâv-oit  une  tourjihr  la  tête.  Elle  a | ^ ^ Ë :  
 ;M.  dte .lP'aiii©^!.^  'iùï- ,en  .;à 
 pied§. dëu0 ?ip||if;@  -iA® ^pied^@Ka ^ m ^ y 
 dans  la plus grande largeur  de la face :  elle avoit des yeux1  
 d’argent  félon  Germain  Brice,  &c. • 
 Le  P-  de. l’ipÿnqiai Jdes. 
 -Auteurs  qiai  r©.n^'jprdé'édé^ ■ s’eft  perfuadé  qne  c’éMt-la  
 Déefle  Ifis î  mais  on fçaic quels  fouDles 'a |^ b ‘^feije  cette 
 fcBsa|médailles^6c^idans^le^^ m n ^ M ^ ^ ^ ^ | ^ n ^ g l f ê ^ 
 tê te ,  avec une  efpece  def voile ; ,ôc  tantôtjun globe entre  
 deux  cornes  de. Taureau,  avec  uny^Sgë;d’Epervier  Air  le  
 front j  &c.  Par  cette  différence-,, on  ne  é^iê.’pas  la ^ o n -- 
 figné par une tour ^  ou 
 lA \ j   ’   ^   ^ 
 j» ^ ^ B M c o nn^M,e j  lay-toùm ^ W f e g ^  *( 
 auire 
 qùp lrpJ^P'e,.  ir^oluic'dansî'les-1* 
 |n.eSs.  • ^l>4 9 ue'j   on^ ^ Ê Ê 
 d»Adrien  o t^a^ty 
 perdu de  leur perfeûion. 
 gemb 1  t 
 arts  ’ 
 t f ’. SC ftiLVjP,ftomY'J^'} 
 lKü r^ ill^fC Tn^ ^^ ^W eu ,.d e ' temps  im-  
 à  la 
 )S ) « ^ j ^ e^mt-!bâtfe?^ M i s ÿ ^ ç iénneglCTAme^E^^Q^^^B  
 fur  ie Mont Leucotitius 
 ^ fE u f t a c i f f i^ ^ ^ ^ ^ M ^ à g n^ 0 1e s ;p rë iiv ë^ c cum u le è s ï; 
 fedf^Mqreatf^^Maùtour^epYènt^êg^Sécs^iêg^par-cCB i^ Ë  
 ^^^jardlès.# v^ ^ nt 
 t  ^van?ef 
 '• nieiikàns  doi 
 commencement  Y.  Ilj^ 'ixC an q u e 
 '.h fl-3 J^'fçris que le fentiment de cet Académicien a été vivement combattu par  
 M. le Roi,  & par D. Lobineau,  dans les Dlffettations  qui  font à  la  tête  àe  la  
 grande Hiftoire  de Paris.  Ces deux Auteurs’font  remonter  l’origine des; /frmoi-  
 rier, & de l’Hôtel dcj&ll<£de Paris  jufqu’au temps des Romains, en s’appuyant  
 de la fameufe' Inlcription grav.ée £ür l’Autel dédié à Jupiter par les Nautes Pari-  
 fiens, fous'lc régné de'Tibère ; mais;commeii n’eft point fait mention  d’Ifis dans  
 ices bas-reliefs  trouvés en  1711  ,  on n’eti peut rien  conclure  en’fâveur du culte  
 ^d’0 î.j  & de l’çxiftence .depTemp^çyie  cétïé Mée'ftè  à Paris.  ^  ■; 
 (z) Claude du Molinet, Chanoine§^^l^rj;&'Procureur général de la  Congrégation^ 
  Sainte-Geneviève, Pua dés -plusWgâSflps Am‘tiquair0 du dix-feptieme  
 fieclc,néà Clidlpn fur'Marne en  16zo, mort, le 2 Septembre i 6'87 î  e^uteurf  
 d’une .Hiftoire des Papes par Médailles, & de plufieurs autres Içayàns .Ouvrages ;  
 celui;dont.on parle ici eft (àDi/fertntion Jur une têté/IJis^c. Il amafla un'Cabinet  
 confidérable deiCuriofîtés j.&.mjt la Bibliothèque de 'Saîiitc: GMeyieye à Paris  
 dans ^un état .quiifl’à; rendue  célébré. 
 .  ?^^m^)xL~prétend  dans les Mémoires de Trévoux, Aoîit 1703,  que ce bel Antique  
 repréfentc  lajDÉESSE  Lutèce , comme la'Diyimcé tutélairè'de^Paris : pn trouve  
 en effcc'queïqjies exemples même dans l’ancienne Gaule,  où la Déefle proteârice  
 d’une  Ville rta\5oic  de la Ville même ,  telle que  la  fameufe  Inlcription 
 Dbæ Bibractæ , découverte à Autun, qui décide la queftion tant débattue  fur  
 l’identité  de Bibraâe avec  Autun ; mais  le  défaut d’Infcnpuom fu^Antique  
 trouvé à Paris,  oblige de s’en tenir au lymbple^ ^quidefigne une tête  de Cybèle. 
 (4) M. de  Saint-Foix  cite  Tacite,  De moribus  Germon. ,  C.  VÏÉ:;  mais’-là  
 leâure  du  paftage  entier  apprend  ce  .qu’il- 
 ■ traniporté  d*Egypw:(l|^[çsit@9ules & en Germanie. « Une partie des  Sueves, 
 »  ( dit 'Ta,dte\rÇ. *IX )  ,  adore  CousWa^i^î^  vauféàu 
 In  ttburnùn} pjëùve^w^ m ^^^r* eyyemi’d’a ï l l é ~ u e  » 
 pjéfentatioi^ n^l'é^^myinité^^^mWaaiff^y n’etoit  tin^j') fê'Sqit e 
 iW'^utevesiàvoient fàit^^j'?q«fe^fe^em^7&_qûe ,)'fiii^^^r«:pufume ,  jjg  
 %y6i^^^ffif^oeé^da^unfdêrieùr^p^®&crés;V'gduc yî^oejiia 1'ihonu,meiJt  de1’  
 ilei^ytélfïire., tes Armoiries''modern^fa^a Ville deTJàriifion fd o n c une.p^euvè 
 cui^T^^o^M^|ÇdëfrGe/rgJ^S^!Pe//^‘èrydMw,‘ 
 'Ce ^ggVde Tacite èft'une despreuves  dont  ^KEt^^^aÿaftÉ'Wchart'j  ü^  
 n’ëft^qm£î'deWïre^^^^^^connoifiè G^PMeg.-Scl^Êjé0mKfi^a.]s  la 
 ■ ciens Auteurs*ÿï^îiroqq,ués^ foit mal  interprétés. '(^^^u^f^Jumnte ).,.  
 i^ H O n  a  lieu deè^^^errq.üô;PAP.e^bU^iEj^^Æc|r‘ qe^Ièt prévale paâ ,  
 ^^ôtyde^iàutÔMadu^oâefBqchart,  qùi'fe  ' 
 ■ ^^^ercüle Egyprie^^wjp^raiei|culte d*Ifis dans lehGmtles vfinperfinfmU :  cette  
 ^^mv.q ifti 'du!  bqone^u’fe^p é^^a^ ^ ^ M'râh  IVfeis ,dili 
 .M^Pelloufier, loct  8gMÿes VoyageS a tout 
 stjarr  d’une fàble/^^^js^i^ftWas 'diffidK .Cd^^ m er,-c^q’ui en V irimofé  
 Mgfts' cétte'-o'cca^^aux Grecs & aux RomainsquîsOrit parl4,d'f@ mle comme  
 §j|un .rféros  exploits n’avoient'pas été'inconnus'aux ^tüfejs & 
 I^^UGèrrnal^^^^^eltes’ ’dohnmKif ié  nomade' Gàrp^vr'^^-)i'^tous  leurs  
 vJ^àyes;  c’eft çe.q^'fignyipMe J&m'dé .Charles,  ^^ïmuri’^®ni'|les'Francs f