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W m u 1 o-tàjSÎS1 < llt (Au
*e ^ ,111iii. j-t -, v I ? 1 *•
& d’une large ceinture, tenant de -la main.gauche une
efpéce de tliyrfe. A cô té efl: un homme barbu , a cheveux
co u r t s , orné d’un manteau militaire, paroiffant tenir
un cafque reaverfé. AMj^uqtrkme côté efl: une femme à
demi-nue, qui a.à fa gauche un homme orné du manteau
militaire , â c ,ïm i -blpèce - c o iio né fui la têt
Renier de toutes ces figures?-Sonc-ce des Dieu x des R o mains
, ou des Parifïens ? I l refte fur tout c e la , une obfcu-
; i i t é qui doit i â ^ f e t . fil :nce. N ou s »' -o is,prff<5ré:la def-
criptic n de D . Lobineau pour - SES figures ., parce que
•c’à r 1 * de rn êi , û ait f i „ i l’6riginal,au i t .que le dé i-
-ir em ïn t .ô bÆ 'e f f , a pu le:.permet i< ' i
T e l eft ce fameux Monument, le plus précieux fins
■ îdoute de tou s ceux' -qu-ô f i e i l 1 d e 'P a r is , qu'il1
ten d I icTaircir ce' gui nous à déoennin s-,à ;n in férer
J ’éxpliraBèw abrégée dans lé .ÿlüdfe- dies é'v înemens qui le HH E p ^ .u e i;ÿee£.'nous i n * la queftioil
-affez ■ impbiinte. de [ çw g n - è è ïjue. 1 n entend, pat les
■ TV] iorrE s -P r,-i îNs , auxquels -on düic-l’creclion de ces
:q uàt i ierres & -d u monument ai xqut ls leurs bas-rcjiels
i inferiptions :onc- rapport. M M . c M urour., L é il n z ,
I ce r d , •& c ..i gardent ces p ierres comme es-cippes ou
colonnes- quarrées ,'d â g é s par les Bateliers SC Matelots
du P a r ij ïs , pour rendre' grâces à Jupiter de ce, que Tib ere
, a v o it accepté le titre S A u t tjh , qu’i l feignoiç de refofer.
U n autre, fameux' critique, (a ) ne pouvant fe. pcrluader
II le le / ipl s Bateliers de l 5 iae fe foient iéun!S“.à
c e t te occalioii .pour .élever un feinblable monument publicj
allure qu’&'Frlë diefit Ttwx.' Soldats SC Matelots de la
0 &ké-: ; | i y
fuivant la notice de l’empiie i mais l'a réfidence dë cet
Officier & de'fa flotte'-à’Taris , au temps, dont
nefl rien1 moins. quefcer&aine. D5ailleurs rkfcription aurok (
porté le titre, S AnderecLani, au lieu de Nautoe Parifiaci.
On peut'reiaaarquer à ce fujet., que ces Nautes-Pa'rifiéns ‘
u &uïë&làfli J a y ° i | f gM ^
jp W B p W E jm fe
; ravant ; & qu!ainfî la 'Cité' Ëës 'Paiûifiens e|>une des pse-
,nideres Villes d’es Gaules qui-ait quitté fon ancien nonj|
Celtique pour 'pïse&d're Æelui de-’fôn Peuple | ' a qui i ’Ein-
pereur Auguftê''avéiÈ’'réndu? la liberté & le droit de_ Cite'j
.qup Céfar lu? avoit ,ôté. Cette réflexion, qui avpit échappé i
.HrftQrîensk1 p ^ t ^ ervir^^elâire ir '^i uelaues
points de droit public,, qui! feroit trop loqg de difeuter
Mais enfin^l^ ^ m i f ^ ^ ^ ^ ^ es^yÆ^gi-jPariÆg/z^^BëïMt;
lirapies Bateliers , ou' un Coj-psde ü^ocia/zj- -autorifé,^
première1 gravure de se-ibe’au*-M'©ijmin'elic,:?, d e - l ’ac-
. penfe queues-
Nau&e ^écoient da*eqMbres^d%imej;çàr\SjK^des,*^|gi^a|:sr
î ;mêmc£, .^ i^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ 6 â o q ^ e s f e y m t u r e s J ^ H è s ‘;icrarp
-vernies par eau., ôc ;^ ^ ^ C h ^ ^ ^ i a ^ o m a in 'S '
ont fauvent fait partie de femblables corps , & c . M . le
B ^ o id o nfrgilàiiq &i àÿ cité j ^ f c àvànt^d^i^^iÆuf^^lireM &
tion fur l'O rz^/ze i/g /’.#&<?/ ûfe P an j- (,3), s.attache
à prouver-que l-a l^ r è v ô tèd e s±M ^ ‘ifa'aÏÏ^^u:< YHôtel-dequatre'Witmd
.dbh.^pni vient de décrire ^ d’expliqüet'les.
&oj-rf/ïe/5, D. Lobineau en a encore'fait graver cinq .autres, trouvées au,
même endroit, & conférve'e? au même lieu.'.^tp j^ iaé|r,epréfente une
ÿgure fi effacée, quon nen-peut rierTdire. -La'fecOnde-eft un-autel; La troi-
fiéme èft le-foyer poür placer^ l’autel Le trou, qui eft^u-milieu, & qui
_ne paître'pas’ la pierre, 'âit {cçt Hiftorien , f été-trouvé, br^^m^écof^- ■
' verte, rempliJè .ehivii>ni & iïéacèns, tfune agréable odeur: ce que'je tiensyde
-perfonnes 'préjéntes lorfque ces monument onfvu le jour, après ianc 'âé fiedlës ~'LéL
quatrième cftjuftê;!pierré fur laquelle pn égorgeoic les victimes,. 11' y a une en-
iraille qui y paraît faite exprès! pqjir aflujettirplus ferme le dos'des'üâim^,
dorft 1« J^picer^e^oien^e^dÀ^leÿ; entrailles. La cinquième paroît
être faite pour fervir de bafe à la precedente. Il réfteroit à favoir,
l’Auteur p. GXLHl, fi toutes cesserais étoie^n^ans un ième lieu, &
vdétermiim les p,oficions’ de chacune ; mais .qui ofera hafardêCdes èônjèe-
tturesde^isnant de ficclfes'quC'ce-monument eft'détruit ?.( Voye^ ces pierres,
*^u%i fcit deffinei r&»graver-d’après lès originaux, de^Baris •
" 3u P.’ Felifiien)., ^ rjiii^Vr*'‘n i
ChrTX, édit.
ToJ. .J, p 7s ) fe fondé fur ce paflage de la Notice de l’Empire , ^ P r ^
4/indfo Liï*iunenfi Senoniâ, VroejeElus claffis Artdericiorum Pari/us, pour affiner:
que le Wivire qu on voit' voguer à pleines voiles dans les àrmoiries de la
Yille de Paris;,. loin de'repréfenfer une fimple barque ou. ûnCbatteau, de
Marchands, doit ’ Ùtç' un yéfitakç. Vàllilêau, d e j f natûre^de vèèi&('' |(ii
èompofoîent ïa'jZo:te des ■ Andénptâj*deMnéè à la garde de la riviere de
Sèinë' côntreTres i^ur^is des Pirates , & dont le bâfra, dit' M. Dubos,
4 tois ànéeanèmérdi Paris, dans le lieu vrtdfimblaBlemnfoù. eft1 aujourd’hui l’Eglife
JQithéh'oîeJi‘fuh/ant^ là Notice. Enfin, continue-t-il, ce' font les Mateldtsâe
cetre flétte ^0^/p>nf de îimples Bateliers ) qui drefferent, vers l’ân 15 -de
j . C., le monument qu’on-vient d’expliquer. ’Mais dix trouve-t.on que cette
• ànnée là, cverba-dire foüs le Régne de Tibère, les Romains' euflènt déjà
penfé £ f’ëtablfflèmént d’ûne pareille flotte l OU' trouve-t-on qüe fon baiQn
^fi’it îituc ïà£Païis*?' qu'il le fût au-deffus" plutôt qu’au-deflous 'de la Ville-?’ Et
^?qffi:autrè"cÔté^f Sùeëïüi,-qüi'll'à';'commandait,^yoit,yon'fiége à Paris, fes
~ Matëlots ,y'é^ie0t ils égalemerif, fixés? plutôt ;quTatu Bourg à'AndreJÿ, au
éoufluépV ils’-îavoient^ris^l^^^&ï^^^M^p^lwqWoi ^fe
*ifèrqiént^l,s appelles 'Nautoe Parijiaci fdr. 'ce monument, plutôt-que 'Ntfara.
.Mitreciàfr Yqvi étoit^leùr - véritable1 nor^?- >■
p. 'le - camp & le port d'Anàçely, aidfi^qiÆ èëfui^^TSàint^
jMâur-IeSrFofles-,’ n’ont- guère» pu être placés en\ceÿ ©ndïdifs-queipour s’op-
pofer aux ineurfions des Barbares, pofte'rieurement à Tibere.,
fc'Rpi, ancien Maître’8c .Garde de'l’Oifévrerie, Contrôleur ^lies
rentes de l'HôtéWc^Ville^ hb'mme' d’une érudrtion 8c d’une probité^iguiïere-,’
publia , quelqu^s'^nnc'es «après MM. Baudclot 8c de 'Mautbulj'Vtine^^pf^ ;
& excellente Diflertatton, âecomçagnéo des preuves les plus fortes fur
'fOr/ç/ne de Tfliîtel'de^Til/e & du Corps 7/;u«icÿ»aZ ,-quc j’ai dejà^appelle'e au
‘ füjet-d'c fon opinion fur les Çêfènjît/ir def‘Cités, p. 30, l^ore/D. 'Lobineau l’a
mife d la tête de.'l’a^V^de Hilloire de-Paris,- 8cfb5èft'{ën ieffet une des
* meilleures pièces de .cette-vafte ,éo‘lle6lion oii- eWÿôfcfcupe-.centr^ingt
iu-fol. petit carafterc , y conrpris les: preuves. Elle efi divifée en 'quatre
parties'. Dans-la première , -il réfiite l’inflituti on\ prétendue des> M'âgiftrqts municipaux,
attribuée à Philippe-Augufte, il dif’queiâmais laydlt^lc^Raris n’at
été érigée en cptnmunèi» qu’oh-èhqE'elièÈèit vainement la date d’èreCfcion 8?;
d’afFranchlflêment, 8cc. Dans la Jëconth Partie il mj^ëwq^lWfriinllfrà ti0n
populaire, l’aflociation de la marcharidife de l’eâu , 8c autres carafteres '
clTentiels de ^ffôtel-de-'Ville^x^Soié^rrSn^rtÇmps àv&t TyTio^^ftugÜue;
8c .la■préfendufe époque de fon "ëtabli-flemcnt. Dans 7n troj/îéme ,-ii combat
l’bpini^’du C^^SiMSe'^^^^^^^fixe'réràbliflemfepé'dete.navigation
.dans'Pâris -, -^flès'pféf e i è f s . d e
|Éomf îe. jeune| 8c -aueùn com-ifimercé"'
de/Iong-codrs à Paris’; qu’e ce 'rfe®|qpe I^la^în (du- fel, 'de*
falines 8c dés épiceries, qùi -engagê^çnï lés*pIu^^M^Hàbitahs?à',Vàlïbciei:
vers i Tÿro ', pôdr le^OT’mwè^Mr eau ; ;^|||fê:tàflîi#ent: leJpoïfePôpmf'iuE
la Seine, 8c une efpéce de Confrérie dans le Couvent 'de '■ Ilautcs-Bruyeres ;
que cêtte Cônfrérie'des Marchands de l'eau auxquels“ Èèuii l'érjëunè M fôri/'fils
accordèrent de grands privilèges, 8c notamment celui qu’on appelle Hanfe,
.pfÿir-'y alfocier les! étrangers ,"fut -’le- garnie -de PHliel-d^ilk , 8cc. M. le Roi
n’a pas grande peiné de déftui‘re, lè fentimen^duvCqriimilTaire JLamarre,
dont, le-^jut principal éto'it de\foÀ%ur->fqué>ia Po'hcc1 8c lïfjürifdiôtion' '
avoiti^.ttout teAips appartenue au Châtelet, c’efi^dife-âà^Côtâte^Hh'
-Pâtis,'.8c à fes Echevins oh' AlMeurs. Dans-/® quatrième &* derniere Partie j'
^ ^ » l- la plus .curieufe , M. le ^pi c/Taie .'dc-.p'rouver qaéA'Hdtèl-dèWille de
Paris .êxifioit/fous les deux premières races & que l-’époque
-.de<fa véritable"origiaé doit 'êt^pUicéé'dans le ptemiçr ’âge de cette Ville*
’'q'(i*êll'e/®trouve dans le-Cor^dMj-^autSf-Pûr/^sflî^KÎqSi^ri^tfflê^wus
TiberèTautel,dédié; à Jupiter ;\rque 1 ;è; JÉfenjîurs des: ëicès, chargés 'de la-
Jiuifdjétion'^ jj/einSere' infiance,’ de la Police 8c dti Reçoitvfemeht 'des
w m m wmsmmmm m m m m RM m
V i l le de P a r is , avoit eu de tous temps, même avant Péta-
bliffement de
,difes de
petite V i lle ; que ce corps de Marchands ayant une Jurifr
diction ^ avoit nécelfairèment un Scel^, repréfenté par une
dans fes A rmoiries 5 que ce fe e l n’ étoit dans r©rig>inq,qu’une
fimple barque de Marchand ,E à ( ^ ^ ^ ^ a^ | l> id u lc om l''
( M:É.ce: fi-6d'noh^u^^ ^ ^ ^ D a r é i d ^ ^ ^ ^ ^ P ^ iW ? k in f i .
i l n efl. pas befoin de recourir Gomra'e, quelques Auteu-rs ^ J
au prétendu ? pour débiter des fables j que
la polition avantageufe de L u té ce ^ dans une î f l e , de la
Se ine , avoit déterminé les Romains à en faire l ’entrepôt
de leurs -garnifons ’. & à y établir ^ comme fur ,1a Sone^
f e te |p/ÉiaÉee|’
Paris au nbimbre de celles que les - Romains ippelloient
F o ra , Marchés ou V ille s de commerce ; que c ’eft ce j
corps, de gros 'Gomiînerç'ans par e au , appellé vSpZe/zc/ir/i/^-
mum Corpus dans unè-'ànci enne infer ipti o n j qui a v oit fait
é riger en l ’honneur de Ju p ite r , le beau monument dans
le'qüel ce-;è©r;ps '.prend le titre de Æa«ZÆ Pari/Jagi y, que
c ê corps efl: la vraie fouche des JÆz^i/ZrÆAs- Æfa/zz'c^a??Ar
qui avoient 5 dès le temps de la première r^ce de 00s
R o is ^ un Æ appel'lé le P<2r/o£r aux Bourgeois
ou-, la M a ifon de là màrchajidife,
P fo it' ‘uhe,-w e »l fymh.qlè’,
comme, .ces yVazirej ne pouvoient être chargés y en cette s
qualité 3\ dës;\f#nmon^Mlmiêi'D^'e^;Æ M ^ u ^ ]^ a i
faire^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ C T v e rneMen|Rpma in. P a r is ta vA ^ f e
Officiers particuliers chargés de.js,es.foin£tions Municipalp-g-,
^H ^ f^ ^ o i|n^ ^ n l^ ^ ^ a em T ?p p n c itG ^ ^ is^ ^ u s^ le^ oO T -
p oids & mefures ; le recouvrement là- I^Êicip
en première inftance5, & c . que par ces raïfdns ÿ les
les Nautes &
Çqmmereans, f/zr^r Municipes SC Ao/zot-æ/oj , difent les
‘ Loix ; que cette forme,^d*kdSiiniflxati6n dura fous les.
W^gesrôMitidifes fiêlés Co^gÿé^blissdes'le temps d e p o i#
tantin dans les trois cens cinq Cités des Gaules« 9, que lors
de la conquête des Francs 3 ices' jgoîitiques -C®aquéràns
adoptèrent les Loix^feoètàfïes,, fiC les\(étahH^^^s’l a t i l ^
qu’ils trouvèrent dans les Gaules ; que le Comte Romain
.'.ayant ét:é rém:pîacé'|.ai; un Franc fous le .niêmeititrè j fie le
nom-des X)g^g/z/êarj éteint fleurs fondions avoient1 été; dès-
vïfers confervées au cor^^esWtzw/gg ou Commerçaiïspar eau
■ p !
> dahs^. -^ B I fô hrfe de?lhufspmefe', .MfWmn laq ec en^ ^ nam
aqueèj ’Pa^l-
,, SCç. titre'
avoient raàe xp e lleh cq , fis eoE^^Métânt-ià la tête qè}j
l ’état; ,p .i^ ^ ^ ^ |q ^ i^ d^^m^ovi;ehitP^Wfôijte
H<, fqrnjiàis p i i^ Ç h ëfs à fcgsjaCommerQans^gçc^me^mFa touK’
t égÿS P a r isO M d ^ p w ^ t à . fa- J u -
r ifdiélion, ficc.
de M l e
l ’éta-,
tem p sd eC o n fi
&oàman6une''i'mie^^^oansx;,T
• avah^M^^^^ement|d&l^j!^n’afGhiej^À<^j^^^^. û il. ex-»
P a r is , dont on trouve en effet la fource dans le corps des
Nautes-Farijiens. D . Lo b in e au , qui a publié cette Diiferx'î
fë..4 ■
càs textes
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^Ë^lanV.riéCelEté'.'ne^cbri'éeink'.lag
fif qui- anureTèut exfl^
Ê mp ëreurs. '
q^ -
m a in a q u t^ ^ £ dM S r^ ^ ^ ^ ^ B ,g r a v é^ ' ;de;l? u té l aWÊus,
foi^nerent
ap'peüée dans M e r c u S ^ b ï dans lé
P ôëhie d’Alopn^ JÊfpas M artis bd Ç m 10iirîa. M a r tB ^ t^ ]
qui pa|pit annone^^ u e M e rcu re ôc^Mars y^étoient adof ésÿ
• ^ ^ h '^ ^ ^ ê ^ I ^ V m i t é s j avoient leurs T é‘m'pî^; '^cfuvkt
l’afTmé ^ëfîf^ÿeme^ii dàps fes Antiquités ^:m^%il|n©; Gîte
& il? é É 'd iË M e 'd ^ ^ ^ ^ m â (q p E ^ é s
:fîmplé^ e x^ eïn p ÿs d e 'Æ M ^g Merèppe.i ^ È è ^ m t à g k e
: impôts .étoient tirés.,du corps des Nautes ou Marchands de l’eau ; que ces
derniers ont Remplacé les,Définfeurs dès-Cités, dont le nom s’eft-éteint fous
la domination- Franppife, &c. Tout' ceci fans doute eft ^plusf fflnjeôijrâr
que réel , puifquè l’Auteur ^l’a (aucune preuve pofitive gue[rmfôi^ida dës^
Kautes>Parlfiens. licite, parmi fes autorités, ces beaux wrs de^Gu'illaumc
t le Breton, dans : fa Philippide, qui, en parlant des .anciens Pariiiens, dit
qu’ils fe gouvernoient par leurs propres,loüc, .en payant'aux Romains les’
impôts, 8cc.
Jh qui mànerÛM degtnmjùçpliftyitl. ■
' Tcmporibî’smuUis j genàli mort regtntts,
Se populofque fuos ;, rerfrfenrfo Tniiim gwor flnmV ;
^ ( Débita Romanis ', legefque fequcnio tpaterpas'S&ç.
Voyez ce beau paflage dans l’ïiWduaion .('p.' 10, note') ; mais qè; -M
font pas-là des preuves'Inftoriques. Au furplus, l'Ouvrage de' M. le R01J
'COÜTERNEMENT DE P//-ÜI5. -
i' eft ütt fbu|e^^^è^'îfiftux ïcrifelqpë nôus- ayons'1^- l’Hiuôiré
ancienne de Paris. -
B«PfiffQh?fgaj|ygh;effi^^ dansée
te^.pu;noùs^reno^E^^^^&Ep^èto&mlpæo7^ntaz>er def^^É
*;>■ , dànalssigS®:
en!P ^ ^ ^ji’I®
lÊM .“ °'nce?u*i/,®®5f^ ^ ^ e^^%i° f fabs.„àuhuh^âi^i
Jf'qft' vrai que ^yuivanfeètôhe ÉIV,
^ m pfes 'deà’pieüMaMJ^Gauie Eaî&Templatiue DèüqMfàis. rejèrta,
i«Çi Mais, dit l’Auteur ,d'es:.nouj'e//er Annales de ?arisl, il ne faut pas conclure
|||hf> avec quelques Sçavans', quelles Temples des anciens Gaulois fu/fent
’M«^édifices tels que ceux des Romains Scdes Giccs, àÿmoms, qu’on n’ait
, prouve auparavant ,^u.èi|aixdont;p^rle^uétone ctoient dans la GauleTfans-
Alpine, par rapport, aux Romains.
(*) L’Aiitcur cité dans Ià> note précédente, afliire q ^ p plupart.dés e?em-
.■ m