C R i P T i é & b m l a f =è j ;n | g g l
I p l l s vaîîTëâux, -a ÿ è M i i j S « f p o ï t e r
'dê là- Bïefrgne
dans les^plîé^qûIvle's S - ^ ^ ^ ^ ô i^ i f M i t i 'M s '
âb aT ito àn® & fèïil Mbitfiris j
é té 1
^ u e «
‘ i^ ^ l$ | - f k ;
’ i ^ r S à lie â s^ ü i s’é&y
to ïe n t émpaïës )* * 11 aMüïa
fuà ^ ^ A épm v iftê i:;6 c -~ le s ,
f o r ç ÿ | | | M ^ to u ch é de létits W , '
ôiès lén v,
, Romaines,;, ■ & lés détacha
«tirifi *du' ïëfto:de le w ^ ^ t i^ ^ S voye%_ Arrimièn ,.;
f l m^feha é t î î^ ^ t ï^ ^ i jB à É â v ie JèS' LM | | ;'
■ thW& àpî%$î4® è | ^ iin, combat; L $ f il§ ;|#
leur R o i ^ f ^ ^ ë fciânt refté;par^i lèl|pM fon nfe rl> ft^v
pleuré f c l t S è .mortfî ^ "^ s^ l^ r en j en p ü t l^in-Jfôèrette-^
. êÈtènh Apïès a ^ i r ^ é f â ^ l f c forts ^ Ç ^ 4i Batavie j g j g f ÿ
pàflfer' le (- l o r fq u & 7 ^ ^ ^ f t é ‘ën-
\É^a detfianâfef l a paix > ^ ^ M ^âuxÆ^êpûÿjéS'
^ÎÉ||*ti&'feër qâi l e
lés ,
. pafeEÿ M:|me i l RII: fi. Éüàge. Le
Roi Fianc IuLxépondit par des fanglots^ P | | j « D ie u ,
Cé/ar, que mon fuis p û t être êâ
mêlée • où f^%.?courage t avoit empor té ï ^C c . Le dilbQjiïà
- é lô ( l^ n tp ^ i% R ë l |^ b |^ § f r â p p ô r ^ p a 'r Jwnndén^ . to ù | i
•: êfra.J^ïi^^^ larmes ; a ;fi£\tf ^ “ cM p:p a ïd îè è t e '
, jeune Prince avec-tous Jes oruemens deftinés aux !l p $ ^ '.;
R o is ; le pere tomba ën ïoifeMfe , ’ièS ^ în p ^ t iS r S ,feprÔ!^
ternèi?eïi-t-&: adoVètent Julien. Jaiiraiè Ifc io t e f l , d it i ’H îfte -
Èg&r5 ^ d l à i ï a -tnïë plïis ^feflè jbHrtîée , ‘bu l ’o n -admira
• r n n ^ y ü M f e t ë ffets-dela.triÆeâfe^ 'd e lâ^bifeJêc-^è-là ré?
■ édiiîiôitofcê. ‘3^sêtai ga¥da!le^eüffe1f >SÉfidë^ ^c p’ro'mit^Çnÿ
g afie 95nt. o h ^ ^ e r a â|AS îa fuite.
marcha con tre les Àüemaûs , d o n t Ü for^a le s R o is -à fç
jlâ'Cite qui étoit en effet fortifiée; partout âilleurs il lui donne .le nom de
Ville, .parce qu’alors il entend parler.de Paris entier, tantau-dedans qu’au
.deiiÔK^e^Me..|e-traiterai ailleurs cette queftion, que tous, ceux qui-ont
écrit fur Paris jufqu’à M. de Sahit-Foix lui-même » ont fi-foit embrauillée,
L’Auteur,de YHiftoire littéraire de la Promet, ||f|J|ivet), .dit.que^Jui/efl,
Vàpôftat fit de la ville del’am comme un-théâtre de Sçavaas. IUÿ^ppliqaoit,
dit-il, à la philofophie /& tous ceux -qui -feifoientproféffion ^3è^iençes ,y .
accoUroient de toutes par«. Un des plus fameux que Julien y attira &t le
Médecin ©ribqfe, qui «’y fit particulièrement comioltre -par lîab|ggé, -dès ..^?,u-.
vragesdê-GâHen^uSI^y^ublia^■ &qui fervit à y perfeftionner la Médecine.
Ce n’eft qu’après les époques .hifio tiques, que je parierai du progeè? des Art»
ôc des Sciences en France 8c dans la capitale.
Au relie o'fi apu^agerpar-tout ce-qui-a éte' dit'.jufqu’icifur l’ BijloiK'de&ms-,
-'tombien Sont ^peu .judicieux les Editeurs de Sauvai , lorfqu’ils avancent;,
tom. I , pag. J des Antiquités <ié,Paris , que depuis le fiege de Labiénas
^ufqu’à Julien f ’apoftafc, î -n’eft fair'meûtion nulle part ni-de Paris ni de les
italptai».
,(iyJid^^tbipéÿ^eB\eM ;attadré4a partie des Francs-Sdiens, quioc-
cupoient la Batavie ; au pOTnt'quhls s’oppofeïent au,p«flage des Saxons, gui
les -chafferent eüx-memes. Julien- Jeur donna d’autres terres j ÔCWas lèsJ
Francs qu’il avoit’li favorablement traités en-d’autrestoccalions, demeurèrent
fans .’rien entreprendre dans les Gaules pour ne pas lui déplaire;. 11* «engagèrent
même à de.fu^vre à 'la .guerre., à condition qu'il ne les mènerait
point au-delà des -Monts {jfôk. ^eft^eçtÜ8“Ge temps qu’on diftingua -tour
jours les Saliens de la Toxanàrie 8c de la Belgique, devenus ‘fujets -des; Kqmajns
/ fous le nom de Salii juniores feu Gallicani, des anciens Saliens d’au-delà du
(îîiT iï t t rP j 6c g ^ ^ l i P u O P il m y
' ~' C '. ~ I ’ WM
Co n fian c e , qui pour aEFoiblir Ju lien , envoya des ordres
Til ' i “ 7
J i 1î i f â r "J î I * r U
l ’ c v C "
à . tp J t fC û f t s
H lars les fau ÿb 'èftg s I
1 S ■ Kir,':
1 ^ . s *’"‘u 11
r | u ^ eS
‘ 4 « ]‘=1 M H H H , TU « } iK " - l u ^ h c
S â à liC j l u f r e , u ïMc^ J « a i ■
-eft , ! i «^3 ’ ,r- uj V ° “
- ftis, J J A ',h‘ i 1 1- ‘ aï*a ha l n ’il < cL, 6
le lui mit fur la tête. Julien fè T eBraY r t « M w B H 8 | B W
B f l i i ï 1 i & ^ A T S v
' ' i n s fi 1 1 *■ 1 ~ t' 1 , r j u j
c w i 'n t ul 1 ’ lb ' ' ‘ 1 -*V 1 ^
Wi!^l..ir â fi .- t^ f [a i , ^ -1 n''.' ' a - a
| p ^ ^ ^ ^ S i a e sftct>:> f fe r e f f lïe ^ K r a g o t i^ a ^ a p e s , q u a i
-Cfi . * .’J ^ p n n
fti) t V l r i u s î î ^ 'W t ' ’^ ^ ^ a J .ntl« | -i' 'a K '. t 't tü : -
. - i r f i i& i a ti&e-, & 1 ul ^ ^ n tK ft lr tc .'n tn c «M r ^ p y
les autres ^n’ fSëiat « t r ib -étaienï-, tfe feefeflt honnanr d’une
t â n 'u ^ P ï ^ ’c' '1 1 f ' î \ ’ ,'X.(pl3 «i-1 Fji rui.’n ' qu il* « a-
ouT ïa^.^cr & ) , r y ^ ù r q S «
qu’il lui feroir toujours fidele.
|i' s
profeffion du Chriftianifme (3 ). C e C o n c i le , dont il nous
Rhin, voilîfls de la Sala , &c. -
; Cèfar Julien poftëdoù aufuprême d e g r é | |^ ^ ^ ^ M ^ D ^ ^ g
eut pénétré que l’Empereur Confiance ne cherchoit que les moyens d e^ a gp ^
, Mut, il fongea à profiter de cette ôccafionmêmepqmfe.dëljvre'rdela-c^t^
que I’Empereurlne le traitât commejfla^it^aiffdnÆere Gaüux^;8c,.toùft. ft
famil|e._'Il(fit répandre dans l’armée .cantonnée dans la Belgique „ dont |nxJ.
, vouloit tirer des détanherhens, que^étoit^our ies .envoyer dans - W autre
partie du «noflde ,"d|^|is^ne.reviendroieM3amais, tandis quedeuM/émmes
• fiCvj^M^enfafts deviendront cfclaves des Allemans , d'ont ils les avoient
délivrés a(i jprix de leur fang ; que leurs obligations po^o^&qu’dn'Ti»
pourrait les employer au-delà des Monts ^Scc^Il^ énfoEte^ferf^â t jpaflèc
ces troupespar P«irw, & les 'difpofa fécretement à le proclamer Empereur,
pour qu’on ne les oOnduislt pasiglusloiQ; ce ,qui arriva comme il favoit
prévu. Il fe-lt .forcer diacoepter le titre dlEmpereur-comme malgré lui ; il
ipleuta-; il-gérïïi.t^dë s’y .voir contraint ; al,écrivit à'Conflanceique fa Jongue
■ rcfiftaiice -avoit excité la rage des foldats qui .I’avoient menace de le tuer ;
maié-qu’il jie.pan*oit la -qualité d®mporeur quîàprès -gu®-y auroit ,con-
•fent'i lui:mème, 8c qu’il ne trouveBoitjamais en lui‘-gué'foumifflon .fc obéif-
fance‘7,&P*,'Cette Mettra £ foumifeolétoit que pour en> impofer au «publie^
car il en-écrivit une autre plus piquante-, mais feceette , ipour exciter î-'Enia
.pereur à rompre de manière à mettre les torts defon 'cfifté- Ænfin Julien joUB
ceMe comédie avec tant d’art, qoetoutle monde y futtrampé. Aulfli l'EmH
pereur râppallbit ^T-dpa'loifuax, c’oft-4-dire Taupe parlante, parce qu’il-etoit
ibpbifte, .grand parleûr/8cÆiypocrira-,*agiirimt toujourspar des voies.cachées
_V8cToucerréincs. ,
- ((.3) feftdonc à ‘toit« ou-du moine,par i une erreur Typographique» que
t e W $ > T O M » m S : D - 'E „ P U R n s . î *
taÜX l ’eift.
- dê?^ cée ^qiXçlià® 'laiÆo B im l^ ^ aïité.4 j
v-raifeiè'blable .que lfes Ë y ê âm s^ ^ pG a u le s^ fu r^ ^ ém f^ - ;
1 qués à Paris plutôt qu’ailleurs , par l’autorité de Julien déjà
l^^^méJ.Empereur, 'M&^ ^ p nMviOiCpàs) ehcor,e^.|pHo|tâfi,é)>)1
afin de jetter plus de haine & de ridiciii'l’eXur l’a c©ndudte de'
l ’Empereur Confiance, pro teûeuc déelacé de lMgianifmet'!:
lànt pas ergiitpi^ I,es ' mena,
contre les A ttu a r ien s } peuple Franc
avoir vaincus, il leur pardonna, fçaehant toujours al'lrefr'
la clénfence à la févéricé. Il vifita toutes les places des Ro-
n^aln^le j & après^ayojr lêl^ ^ fieres' |
il vint palier Fhiver à Vienne, où Ammien,'/£. X I / , remarque
qu’il fe rendoit avec le peuple' dans l’Eglife pour
adorer X>ién Jes ^ojijs. de f^fe. ; Sut % :n..o:u^||lf ;!,§kg; .
tance quitt-oitla guerre confre Rçide Perfe, pour
mârc^èr^
de la ^a®n‘#ni%,. avqk'beaucoup de Francs dans, fon armée
j tandis’ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^m qM ^ a la 'r ièA ,'
& quantité d’autres de la même nadon étoient dans celle
de Confiance. Si ces deux redoutables ennemis , qui par-
tageoient les meilleures troupes du monde en- fuffent venus
zpix mains, l’Empire en eût plus fouftert que de toutes
' ^ /^Ageance j^ M ’iMgaÿ;
tience . d e , ^ i ^ d r e # u ^ u ^ k ^ A > p^u&rent ,tant d’alqu’il
êfi 'ATÜUfüt'À Mo.pfüefie 'èrif'Gf-
da^^jS ^ ^ r a’nte-aMaaFiemef annëecd^’fo'n âge» I
■.'’ La mort dë Confiance qui afiiiroit l’Empire à- Jû 0 én ^
pMiéeVdMs ie^confiynéree fëqreé qu’il^
;dit luferr^^^pjpii|'èu aveçîïes) p îeü x ., ('Epijl\ ad^t/çèfyjÆ
lui fit 'lever le manque de4%ÿpocrifie, ^ rétablir l'é'À^f
^niime;.a an||^üwK^ ; mai^ilïjp&iiî't^sl fes^jnipiétes'
religieufes beaucoup de philofophie & de popularité ; il
Reforma’An^.'.Müllîtù^^
l’état; il fit ’faire le'profcès aux délateurs qui avoient fait
tant de mal fous le régné précédent ; sii régla les gens de
rétàib& arméëS1 qiïeé^l^
sr>@nnpues,.;,^'en donna lui-même l’exemple par fa fitïipli-
-Ammien
éftinie'î:'d f
| tant îl^ en d it lk
ro.yauté modérée & 'populairè ( i). Il périt dans un com^.
bat GPn.tï,e lès Perfes en 3 qu’il avoit fait dé- ;
;g r a a e r g ^ pÆ a ^ ^ ^ M ® M ^ '’^crifi'eri'rà ^ ïdÔle*ivÈfu't%là^
m bMlës' deV>Fmc|f;
& pl-ufieurs1 autres Francs qui'avoient les premiers em-,
■ iPei^e'sfM^
■ |pn^it '‘iF â tÿ ÿ ■’
g uM g s J em p le s d e s^M ip® u ^ ^ e® v ^ pM i^ ien ^ ch'afla
les
D. Fdibieft, Hijlalre de Paris, tom. I, pag. lÿ v pîaée la proclamation de
PEmper,eôr JùKST^l’an 3.90. Le même Bïfïér'ien fe trompe encore, lofqu’ilj|
met le premier Conct/e de Par« fous l’Evêque Vi&oiin. D. Rivet fait voir que
qeidok«tte PaS&fon$jfifcç|^Êur.,ile même qui écrivit un traité de îà P'éhi'ténçé
pour prémunir les Fideles ëontië le ;.d|ie||oïf: ( Hijl. littéffye^IqFrance', tom. P,
pagV-14 &* ij2>. Les fuccefleurs de Paul font, i°. l’Evêque Prudence, dont
on voyoit le tombeau.dans l’Eglife'baffe de Sainte Geneviève, félonM. de
Tillemont, Hijl. Ecclef. , tom, X , pag. 416, 1°. Saint Marcel, qui délivra
les Êàriiiens au rapport de Grégoire de Tours , ( de Glor, Conf-Jf.
’ C LXXXIX) , d’un énorme ferpent qui défoloit leur tçrrltaire ; ce qui poux-
soit Bien ne fignifier, félon l’annalifte dë-Paris, pag. 3 Oj- que la deftruction
du Paganiûne dans fon Diocèfe. Il étoit né dans une maifon rue des Herbiers
ou de la Calandre, dans laquelle IesiiGhanoines de la Cathédrale^^ ^portent tous
les ans'le jour de PAfcenfion le cotps^ùt Saint en proceffion, 8c y chantent
une antienne,en,foi^tfnnep|. i°.',-Fiûien.<^m:-Füic ou Feüte ^ùiid'onna le
x'Voil'c des Vierges:-à Sainte Genevieve. y0'. Flavien. 60> Ürjfcjn. 7°. Afédejne
ou Apédien. 8°. Hera'cl/ûj^O^a^a’ûflêyAk la fuite de tous ces Evêques de
Paris, parce qu’ils ne font guëres connus, ( à l’exception de Saint Marcel ; ,
que'par les Catalogues ’, '8c quîils 'rî’ont ,aucune' part a.ux événemens4Ùi^fl,ént
à taconter pour fërminercftte^"Epoque'. -
-■ j,.^e|^6hçi/e' .de .Paris,, tehft fous Juüën vé^'^oy, prouve .qjie;cette -Ville de-
vonilbis as^i'.uiîe etendue confidémblè^pour- contenir tous - les Prélats
aiTemblés, la Cour de l’Empereur 8c fajùite/lès Légions qui le proclamèrent,
;8cci La ville.P^rj^étoit donc alors toute chrétienne '8c il y avpit-uhe '
Cathédrale qu’Adrierî,^ Xàlois dè Bajilic'. Pàn&JtSÏ^Ï', dém.ontre.av'oir été*'
conftruite fous l’invocation 8c le nom de hùViérge ,..àù même lieu où elle efl
cncqrc. .Tl y avoit un Palais .dans ie Fâuxbourg du piïà^^MAqüeduc d’Ar
cuêil ^aroénçit^eÆ eaux. On.tsn voit ,encote aujourd’hui les';ruines''prcs lés
Mathurins, dans une fa'lle fpacieufe, dont la voûte hardie 8c fo^t.'exliàuffée'i '
donne une noble rdee de la grandeur de tout le bâtiment. -Il y avoit dans le
même bürg' dmim|di:5^^ Place publique, oh. Julien fuf
il harangua les habiïans,; un Camp à demeure où les troupes étoient’logéés;; ;
un grand Cimdere, fur la montagne de Sainte Genevieve jufqu’ÿ l’Eglifet
Saint-Marcel ; unjimpkithéatre, où-font les peres de 4a Efcftrine vis^à-visf
Saint Viftor, dans un'liëuqui enijavôit^onlerv^lejpt^d^^^^ dfj Aennej',
8t oît^e R-oi Chilperic donna le f |^ p l | des J^iiLsdmt^kon^ Grégo®
dc >ll- v > c - XFHL Enfin il y avoit au Nord un autre Fauxbùurg,
ou plutôt une Fr7/e bâtie parles'Ro.mains‘, 8c ôu<Jutiêht'tè’ Vçhdifepour fe^
cevoir à l’entrée Jes fr°uPe^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ I^ ^ l|^ ^ îC e ’,(^a'û^oi«,g(
^g^®d^gneTéjn|qre àujoùtdn’ui. foa^^m^ %rapreàl^ ^ ^^ avoit une en»-
Î&Slx, & Pat ^l’Tot^e'.Baûdëri ou dês^Ba-fl
. CO Jamais Empeçeur .n’a^^^^Mtiipens^plus partagés à fon-toccafion J
parqe que dès qu’il n’eut a craindre par«, la mo^d-^rrmf^^ J
la haine, qu’il portoit à^èt^^|aeuî'if8é4 fon p'ere lè',gtanM^^^m|y
meurtriers de toute fa f^illeÿs%renâ^u|qp?at'Il^eîigi6 ’qu’ils âVbienfe- em-
braffée. Les autels des ^ u | î^ |^ ® s ] avoient fait a&àttreVurerftiralèvés
ÆÔies. Il Qaffa'tqpslé^^’fBcîers qui^féM^êfufèrent .de'lÿfïcens, IL1 fit
p^iV!a croix de' l’étènHàrd«^sr^^^^®^^OT^p:e^par JeV'Wag^dM!
fauffes Divinifés^'y8cciVlVl?iis du moirft fa’ pèfécuffenV^^' fu{{p‘as;';fatgùî,T
ce quiJn’emnecha- ^^Kétf^d^fè.déchaîn^r ^o^e'i’fdîfeàpof-^
'Aotàm'^ent ^cf’ê't# fOTaëç^^agî^/
%fe^îy 8c1 dîaVôirYacrifié aux^Eé^OT^iÛfieprs''.wBmis.'humatnes'- pour' lire
'F^^^n'a^asvi^^^Les' Chrétiens
...débitèrent" auiïïl'qu’âa^Bleffé' à rhbrt"da'^ l^cbàbàlïconAe ’ Iës“,..Pérfës,. .il
^ ïb it reçu dima^d^^^Ie^rê? dans Ife
:*jétté cdnfrfe'l^iëb.-ên s’adrefiànt à Jéfus-Chriil' pàfceèsnafsfe^i^vaincu
Càlilëen , raffafie-toi de mon fang. ( FÔjei Zona'ras, Theodoiret, Sozomene ,
Nicephorc, 8cc. ) Mais' A'nfnfién qui !!e fuivit dans toutes fes guerres, dit '
p u ’ffsmo^urutp^stavVr^ak^hm^ aùx?Gàpitàines' de’’ foj^la^ ^
^rée.' grand <Erin,Æsp|rvcèùx vqu|'në,-cpnnÉ^
&pièbt--efllûi®qde’IePhiIofqpHe*8bié grand'^oha^quei^^d&'pp|iuîaritéIui
, gagna tous les'coeurs. Les Gautoix fur-tout','à.vo,fe‘nr>p’our lui un tendre ref-
pe£t mêlé d’eftime 8c d’amour : non-feulement il avoir mi^lpnr payS à‘cou-'.
. ';^ert des-barbares , 8c les;avoit déIivrès de l’oppreffion des Miniftres de Conf-
^ncé^n;les-forçant'de;ào yd«e^fê^^^igmap|m5iVieNgrave 8c févëre
IuI# n,tenoit affez dQ naturel d&s Gaulois qulh dépeint lui-même dans
^k;Myfopàgon, pag. 9j , comme’ a’ccoutlimésaux piusygrandes;fàtigues, fo-
;bres, équitables, finceres, ouverts, ennemrs de la flatterie, mépnfant la
mPleffe & les amufemens frivoles. Cet éloge'des Gaulois dafts# bouche
>< ÿ ?S '^per^Ur quHeS 3V0it fi lonS-tèiîlPs fréquentés leur fait le plus grand
8c les Salieé-
'Ga}ic^ ^hm^^^^mî^é^lè^errèfi.l!aii^ues 8c la Toxandrie, If
■ regrettèrent comme uh-pere.,
f - l