SEPTIEME CLASSE.
A P P A R E IL S PO U R L A D É T O N A T IO N E T L A C OM B U ST IO N .
P L A N C H E D I X - N E U V I È M E .
Figure i rc. Cuve de marbre préparée pour une combustion 3 sa description se trouve tome I I ,
page 346 , zc. colonne. I l y a une faute, ligne 14 3 au lieu de fig. 7 , lisez fig. 1.
Fig. 1. G H I. Tube de verre à l’extrémité I , duquel on tortille un morceau de papier. ( Voy.
tom. I I , pag. 3 4 7 , i re. colonne.)
Fig. 3. Fer recourbé pour allumer du phosphore placé dans la capsule D de l’appareil,
fig. 1.
Fig. 4. E F G. Ballon destiné à des combustions. ( Voy. tom. I I , pag. 361, z e. colonne. )>
Fig. 5. Appareil de Lavoisier pour la combustion du gaz hydrogène ou la recomposition de
l’eau. Cet appareil n’ayant pas été décrit dans le texte de cet ouvrage, nous croyons utile
de reproduire ici le passage du Traité de Lavoisier où il en est fait mention. C e qui suit
devrait se trouver tome I I , à l’article A p par e ils.
Préparation. « On prend un ballon A de cristal à large ouverture, et dont la capacité doit
» être de trente pintes environ 3 on y mastique une platine de cuivre B C , percée de quatre
>y trous auxquels aboutissent quatre tuyaux. Le premier H h est destiné à l’adapter par son
» extrémité h à une pompe pneumatique par le moyen de laquelle on peut faire le vide dan»
>» le ballon. Un second tuyau g g communique par son extrémité M M avec un réservoir de
» gaz oxigène, et est destiné à l’amener dans le ballon. Un troisième , d D d , communique
» par son extrémité d N N avec un réservoir de gaz hydrogène : l’extrémité d de ce tuyau se
» termine par une ouverture très-petite., et à travers laquelle une très-fine aiguille peut à peine
» passer. C ’est par cette petite ouverture que doit sortir le gaz hydrogène contenu dans le
» réservoir , et pour qu’il ait une vitesse suffisante, on doit lui faire éprouver une pression de
» un ôu deux pouces d’eau. Enfin , la platine B C est percée d’un quatrième trou, lequel est
» garni d’un tube de verre mastiqué, à travers lequel passe un fil de métal G L , à l’extré»
» mité L duquel on adapte une petite boule, afin de pouvoir tirer une étincelle électrique de
» L en d1 , pour allumer , comme on le verra bientôt, le gaz hydrogène. Le fil de métal G L
» est mobile dans le tube de verre, afin de pouvoir éloigner la boule L de l’extrémité d de
» l’ajutoir D d 3 les trois tuyaux d D d\ g g , H h , sont chacun garnis de leur robinet..
>» Pour que le gaz hydrogène et le gaz oxigène arrivent bien secs par les tuyaux respectifs qui
» doivent les amener au ballon A , et qu’ils soient dépouillés d’eau autant qu’ils le peuvent
» être, on les fait passer à travers des tubes M M , N N d’un pouce environ de diamètre ,
» qu’on remplit d’un sel très-déliquescent, c’est-à-dire, qui attire l’humidité de lair avec beaucoup
„ d’avidité, tels que l’acétite de potasse , le muriate ou le nitrate de chaux. Ces sels doivent
» être en poudre grossière, afin qu’ils ne puissent pas faire masse, et que le gaz passe facilement
» à travers les interstices que laissent les morceaux.
>» On doit s’être prémuni d’avance d’une provision suffisante de gaz oxigène bien pur, qui
» ait resté long-tems en contact avec une solution de potasse caustique.
» On prépare avec le même soin le double de gaz hydrogène,, en- décomposant 1 eau par dît
» fer bien ductile et bien pur.
» Lorsque ces deux gaz sont ainsi préparés , on adapte la pompe pneumatique au tuyau H h ,
» et on fait le vide dans le grand ballon À : on y introduit ensuite l’un ou l’autre des deux gaz 3
» mais de préférence le gaz oxigène par le tuyau g g , puis on oblige , par un certain degré de
« pression, le gaz hydrogène à entrer dans le même ballon par le tuyau d D d1, dont l’extrémité d1
»» se termine en pointe. Enfin, on allume ce gaz a laide dune étincelle électrique. En four-
» nissant ainsi de chacun des deux airs, on parvient à continuer très-long-tems la combustion. »
Effet. « A mesure que la combustion s’opère, il se dépose de l’eau sur les parois intérieures
„ du ballon. La quantité de cette eau augmente peu à peu 3 elle se réunit en grosses gouttes
» qui coulent et'se rassemblent dans le fond du vase. >* : -v
Fig. 6. Enfer de Boyle:.cesz un matras dont le fond est très-aplati, et dont le col a été
tiré en pointe 3 il est principalement employé pour contenir le mercure quon veut oxider au
moyen de l’air atmosphérique et de la chaleur. . r 1
Fig. 7. Appareil de Priestley pour calciner les métaux. {Voy, tom. I I , pag. 349, i rc. colonne.)
Fig. 8. Perspective de Vappareil de Lavoisier pour la combustion des huiles. ( Voy. tom. I I ,
pag. 5 6 4 , i rc. colonne.) ■ '
P L A N C H E X X .
Figure 9. Grand bocal contenant l’huile à brûler. ( Voy. tom. I I , pag. 3 3 , z c. colonne. )
Fig. 10. Son couvercle. ( Voy. idem. )
Fig. 1 1 . Tige destinée à passer au travers de la boîte à cuir que porte le couvercle en T .
( Voy» idem. ).
Fig. i z (1). Lampe où est contenue l’huile. ( Voy. idem. )
Fig. 13. Coupe de la lampe grossie. ( Voy. tom. I l , pag. 344 , i re. colonne. )
Fig. 14. Appareil d’Ingenhou% pour brûler le fer dans le gaz oxigène. ( Voy. tom. I I ,
pag. 3 46. ) . ;
Fig. 1.5. Appareil pour réduire l’éther en gaz. ( Voy. tom. I I , pag. 353.)
Fig. 1 G. Appareil de M. Sage pour la combustion lente du phosphore. {Voy. tom. I I , pag. 361,
z e. colonne.) Au lieu de mettre le phosphore immédiatement dans l’entonnoir, il yaut mieux
en introduire des bâtons dans des tubes de verre dont l’extrémité inférieure est terminée par
une petite ouverture 3 parce moyen on évite que le combustible 11e brûle trop rapidement, et
ne se convertisse en acide phosphorique.
P L A N C H E X X I .
Figure 17. Appareil dont Lavoisier s’est servi pour oxider le mercure. [Voy. tom. I I , pag. 549,
ze. colonne.)
' Fig. 18. La figure indiquée sous ce numéro dans le texte, tom. I I , pag. 349* lignes. 34 et 3 5 ,'
se trouve dans les planches sous le n°. 38 de la classe V I .
La figure 18 des planches représente l’appareil de Lavoisier pour la combustion de Técher 3
il est décrit tom. I I , pag. 363 , i re. colonnè, sous le n°. i z 3 mais c’est une erreur de chiffre5
il y en a une seconde, même page , ligne 31 : au lieu de figure 16 y classe V I I I , il faut lire r G ,
figure 8 , classe VII.
Fig. 19. Appareil de Lavoisier pour augmenter l’action du calorique. ( Voy. tom. I I , pag. 351
et:. 3 S
Fig. z o , z i et zz . Appareil de Lavoisier pour la combustion du charbon 3 il est décrit
tom. I I , pag. 365.
■ Nota. A cette page , deuxième colonne, ligne 27, il y aJigure 23 , au lieu d eJigure 21.
(1) C’est par erreur qu’on li t , tome I I , page 363 , lignes g et 3g , Jigure 12 ; c’est Jigure 18 3 classe V II,
qu’il faut lire.:
C z