
Feuilles stipulaires Irès-fréquenles.
Boutons à iru it moyens, coniques, bien allongés et aigus ; écailles d'un marron
peu foncé el brillant.
F leu r s assez grandes ; pétales ovales-allongés, veinés de rose au moment de l’épa-
nouisseraeiit, bien concaves ; pédicelles courts et un peu duveteux.
F ru ille s des produetions iruitière s bien allongées, sensiblement
atténuées à leur base, se terminant régulièrement en une pointe assez longue, presque
planes, presque entières ou bordées de dents très-peu profondes, retombant mollement suides
pétioles de moyenne longueur et très-souples.
Farartère sa illan t de l ’a rbre : teinte générale du feuillage d’un vert
gai ; toutes les feuilles plus ou moins allongées et mal soutenues sur leurs pétioles.
F ru it moyen, conique, souvent irrégulier dans sa forme, ordinairement plus développé
d’un côté que de l’autre et courlié sur sa liauteur. atteignant sa plus grande épaisseur
bien au-dessous du milieu de sa hauteur ; au-dessus de ce point, s’atténuant par une
courbe tantôt à peine convexe, tantôt ô peine concave, en une pointe un peu longue, obtuse
ou aiguô ; au-dessous du même point, s’arrondissant brusquement par une courbe bien
convexe pour ensuite s’aplatir largement autour de la cavité de l’oeil.
^ P e au assez mince et cependant ferme, d’abord d’un vert clair et mat semé de points
d’un gris noir, très-petits, nombreux et très-peu apparents. Une tache d’une rouille sombre
couvre souvent te sommet du fruit. A la maturité, iiriiiteniiis , le vert fondamental
passe au jaune orange doré ou légèrement lavé de rouge rosat du côté du soleil.
OEil grand, ouvert, à divisions très-longues, étroites et étalées, placé dans une cavité
étroite, peu profonde et régulière par ses bords.
PROFESSEUIt IIËNNAI]
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Annales de pomologie belge, Bivonî.
Dictionnaire de pomologie. A n d r é L e i io v .
The Fruits and the fruit-trees o f America. D o w n in g .
O b s e r v a t i o n s . — M, Grégoire, de Jodoigne, est l’obtenteur de celte
variété qu’il dédia à M. Hennau, professeur de l’Univer.sité de Liège. —
L ’arbre est d’une vigueur très-contenue sur cognassier et ne peut suffire
qu’à former de petites pyramides dont le rapport e.st li-ès-précoce et dont
la fertilité doit être ménagée, si l’on ne veut les voir s’épuiser bientôt.
Son fruit est bon, mais sa saveur n’est pas assez distinguée pour qu’il
puisse toujours être considéré comme de première qualité.
DESCRIPTION.
Bameaiix. forts, peu allongés, obscnréinent anguleux dans leur contour, bien
flexueux, à entre-noeuds courts, teints de rougeâtre et omiirés de gris ; lenticelle.5 blanchâtres,
larges, nombreuses et apparentes.
BoMtoiiS à Ilois moyens, coniques, aigus, appliqués au rameau, soufemis pailles
supports un peu saillants dont l’arête médiane se prolonge un peu liistinctemenl ;
écailles d’un marron noirâtre.
Pousses «l’été d'un vert très-clair, noni colorées de rouge â leur sommet el
couvertes sur une grande partie de leur longueur d’un duvet blanc et un peu cotonneux.
F eu ille s «les pousses «l’été petites, ovales, plus ou moins allongées, souvent
sensiblement atténuées vers le pétiole et s’atténuant assez promptement pour se terminer
presque régulièrement en une pointe longue et recourbée en dessous, bien creusées
en gouttière el bien arquées, bordées de dents peu profondes et obtuses, bien soutenues
sur des pétioles courts, de moyenne force, bien redressés et presque appliqués à la
pousse.
s tip u le s en alênes de moyenne longueur.
Fe tiilles »«fipiilairei« manquant presque toujours.
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