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1 1 3 RONGEURS FOSSILES.
Arctom. primig. Marmotte vivante.
Largeur de la septième 0,034 0,025
Hauteur 0,012 0,010%
Largeur de ta première vertèbre dorsale . . . . 0,030 0,023
Hauteur 0,021 0,014
Longueur de la première vertèbre lombaire . . . 0,015
Largeur 0,019 0,012
Longueur de la dernière et de l'avant dernière vertèbre
lombaire 0,031 0,022
Longueur de la première vertèbre de l'os sacrum . 0,037 0,027
Longueur du bassin 0,092 0,068
Longueur de l'iiumérus 0,079 — 85 0,058
Longueur du radius 0,059 — 65 0,048
Longueur de l'ulna 0,080 — 85 0,062
Longueur du fémur 0,090 0,070
Longueur du tibia 0,091 0,069
Longueur du fibula 0,079 0,062
Longueur de l'astragale 0,013
Longueur du calcaneus 0,022
SPERMOPHILUS SUPERCILIOSUS, KAUP.
Pl. XXV. fig. 3 et 4.
J'ai établi cette espèce d'après un crâne et une mâchoire inférieure. Le
crâne manque en partie les jugaux, les os du nez et les bords d'arrière des
cavités des yeux. Je compare ces restes avec le Spermophilm cUilliis fig.
ô el 6. auquel il ressemble le plus.
Il en diffère par quelques déviations dans les dimensions, très-peu considérables
sans doute, mais qui n'en sont pas moins essentielles dans des
animaux aussi petits, et par ce que le front, faiblement convexe au milieu, est
de 0,001 plus enfoncé que la paupière, laquelle s'élève en se recourbant; ce
que l'on remarque à peine dans le Spermophilus cilillus. C'est ce caractère
qui m'a engagé à lui donner cette dénomination.
hi'
SPERMOPHILUS SUPERCIIilOSUS. 11 3
Dimensions.
SperiMOphilus Spermophilus
superciliosus. citillus.
De la crête transversale de l'occiput jusqu'à la pointe de
l'os intermaxillaire 0,04872 0,048
Espace occupé par les cinq molaires 0,013 0,011
De la pointe tuberculée au-dessus du trou sous-orbitaire
jusqu'à l'autre pointe 0,016 0,015
Largeur de l'occiput depuis le bord supérieur de la cogicille
de l'oreille 0,025 0,025
Longueur prise de la pointe d'arrière du trou du palais
jusqu'à la pointe de l'os intermaxillaire 0,03072 0,028
Largeur de l'occiput aux jugaux d'arrière 0,034 0,031
Espace occupé par les quatre molaires inférieures. . . 0,011 V2
PALAEOMYS, KAUP.
G e n r e voisin du Castor.
Pl. XXV. fig. 7 — 13.
J e ne connais que des fragments de mâchoire inférieure, dont celui représenté
fiff. 7 et S contient la première molaire et les alvéoles des trois
molaires postérieures.
L'animal était fort âgé et la dent fort usée par la détrition. Cette dernière
est plus étroite à la partie antérieure qu'à la partie d'arrière, et elle
se resserre vers le milieu. La face triturante, qui est plus haute à la partie
antérieure, est couverte de deux petits cercles d'émail placés l'un après l'autre
dans une direction oblique, et vers l'arriére de deux plis d'émail, dont le plus
petit est droit, et le plus long i-ecourbé en dehors vers le milieu.
Les alvéoles des trois molaires d'arrière sont si peu profonds qu'on ne
saurait établir de comparaison avec ceux du Castor., surtout le dernier qui
est placé sur une cloison, qui n'a que 1 millimètre d'épaisseur au-dessué de
la dent incisive. Dans le Castor, l'alvéole d'arrière passe obliquement pardessus
la racine de l'incisive et arrive à la cloison extérieure de la mâchoire.
Les deuxième et troisième alvéoles montrent de légères traces de ra